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 Echange [Friendship Sheppard/Rodney - K][E]

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Hestia
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Capricorne
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Echange [Friendship Sheppard/Rodney - K][E] Empty
MessageSujet: Echange [Friendship Sheppard/Rodney - K][E]   Echange [Friendship Sheppard/Rodney - K][E] EmptyVen 30 Déc 2005 - 1:12

Genre : Friendship.
Personnages : Rodney, Sheppard.
Raiting : K.
Saison : au moins la 2.
Spoilers : pas de spoilers.
Disclamer : pas à moi. C'est bien dommage!!

Note : Bon alors c'est un délire nocture, mais contrairement au autre cette fic n'est pas une one shot. Habituellement je connais toujours la fin de mes fics, mais pas pour celle ci, donc je ne sais pas du tout où je vais. Je m'en excuse d'avance. Cette fic est centrée sur l'amitié Sheppard/McKay, mais moins je réfléchie et plus je vois un petit passage slash. Plus pour l'humour qu'autre chose. Si slash il y'a je vous préviendrai, mais pour le moment, y'a rien et toujours si slash il y'a, ça sera pas bien méchant (pas de lemon en tout cas je ne pense pas). Les pensées des perso sont en italique.

Note 2 : je sais pas si c'est très claire. N'oublier pas que c'est un DN. J'essaie d'être drôle par moment, mais bon je sais, mon humour ne fait rire que moi...


Échange.

S’il y avait bien une chose que John appréciait par dessus tout actuellement , c’était sa couette! Surtout que bien qu’on soit au mois de Juin sur Terre, il faisait particulièrement froid ici sur Atlantis.
Il regarda sa montre. 7h02. Pas de mission aujourd’hui, pas de check up avec Beckett et ses satanée piqûres qu'il semblait t'en aimer et pas d’entrainement avec Teyla, il n’avait donc strictement rien à faire de la journée, à par une grâce mat et n’avait qu’à apprécier la douce chaleur de sa couette sous laquelle il se blottie un peu plus au passage. En bref, le pied!!

C’était sans compter sur son scientifique préféré qui s’amusait à tambouriner à sa porte.

-Colonel!
-Non pas encore, grommela l'intéressé un poil endormie, sa couette lui recouvrant déjà la moitié du visage.
-COLONELLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL!!!
-Rodney fichez moi le camps, lança John tout en se blottissant un peu plus dans son îlot de chaleur personnel.

John eu un petit soupir en entendant la porte s'ouvrir. Mais pourquoi, pourquoi oubliait-il toujours de la verrouiller?

-Colonel?

John, toujours blottie sous sa couette, les yeux fermer :

-Le colonel Sheppard est actuellement indisponible, veiller lui laisser un message ou rappeler plus tard.

Le canadien soupira.

-Très drôle colonel. Débout!

Un froid mordant viens envahir le militaire vêtue d’un simple boxer noir et dont la couette avait joyeusement valser à travers la pièce après que Rodney est pris la décision de réveiller lui même son ami.

Rodney la prochaine fois que vous me piquez ma couette, je vous accueille avec mon p-90!

-Debout, j’ai besoin de votre gène.

John, toujours coucher les yeux fermer :

-Je croyais que Beckett vous en avait donner un!
-Il la fait, mais j’ai besoin du gène naturel.
-Tien en parlant de lui, à cette heure si, il doit déjà être à l’infirmerie. Pourquoi vous ne lui avez pas demander?
-Vos quartiers son plus près de mon labo, et j’avais pas envie de le déranger.

John lança un regard noir au scientifique.

Pourquoi attendre la prochaine fois, je vais vous tuer maintenant Rodney! Où est mon Beretta?

-Vous vous foutez de moi Rodney? Vous ne vouliez pas le déranger! Alors que c’est mon jour de congé et qu’il bosse depuis six heure se matin!
-Je vous attend dans 10 min Colonel.

Pour toute réponse le physicien reçut un oreiller en pleine tête. Puis il lança avant de quitter la chambre, un sourire aux lèvres.

-A tout de suiteeeeeee.

Dieu se qu’il adorait énerver Sheppard, c’était toujours hilarant, surtout qu’en il le mettait en rogne avant son premier café!

Dix minutes plus tard John sortie de sa chambre. Il n’avait même pas eu le temps de prendre une douche, juste de se raser et de s’habiller et sans même passer par le mess histoire de déjeuné, il entra dans le labo, pensant que Rodney aurait de quoi le sustenter, après tout, le scientifique avait kidnappé la resserve de barre au chocolat!

Un quart d’heure plus tard, en entrant dans labo n’importe qui aurait été étonné par ce spectacle.

A ma gauche derrière un bureau se trouvait un scientifique affranchie sur son bureau, à moitié endormie ayant visiblement eu, lui aussi, droit à un réveil fracassent : Zelenka.
A ma droite, un scientifique surexciter parlant à toute vitesse et sirotant un café bouillant : McKay.
Assis à côté de Zelenka, un militaire plus qu’endormi et affamé qui plus est, et qui pensait sérieusement à mettre un embargo sur la caféine, vu l’état dans lequel était Rodney : Sheppard.
Après un monologue d’un quart d’heure de la part du scientifique John sombrait progressivement dans une douce léthargie est n’avait rien écouter de ce qu’avait dit Rodney.
-C’est pourquoi j’étais intrigué par....

Sheppard le coupant :

-Ok ok c’est bien jolie, mais vous pouvez arriver à la partie où j’active votre..... truc .... et où je vais me recoucher?

Regard noir du scientifique qui n'appréciait pas qu’on appel ses précieuses petites machines ancienne "des tru"c.

-Ce n’est pas mon truc. Aller le chercher Radek s’il vous plaie.

Et pendant que Zelenka changeait de pièce.

-Est qu’est ce que c’est alors si ce n’est pas un truc? demanda Sheppard, une lueur joueuse dans le regard.
-C’est un appareil servant à..... à.....à......

John était face à Rodney, les yeux plonger dans les siens, un sourire aux lèvres.

-Aller Rodney dite le avec moi : je n’en sait rien.

Rodney soutenant le regard bleu/vert du Colonel.

-Mais c’est la différence entre vous est moi Colonel. Vous vous n’en savez rien tandis que moi....

Il se le termina pas sa phrase, coupé par un bruit de métal tombant au sol et des jurons en tchèques. Après avoir lancé un regard à John, tout deux se précipitèrent dans la salle adjacente.

-Mais bon dieu Zelenka vous ne pouvez pas faire un peu attention non? Cria Rodney en découvrant l’appareil ancien trônant sur le sol.
-Je n’ai pas fait exprès! Votre satané machine ma glissée des mains! Cria t-il plus fort.
-Ce n’est qu’en même pas compliqué....
-Et mais vous vous êtes coupé!

Rodney lança un regard assassin à John, n'appréciant pas d’être coupé lorsqu’il engueulait quelqu’un.

-C’est rien Colonel, répondit Zelenka redevenue calme. Juste une petit coupure, ça n’a pas l’air très profond.
-Vous devriez aller à l’infirmerie qu’en même.
-C’est pas une mauvaise idée. Mais avant faudrait nettoyer ce bazar.
-Je m’en occupe aller y.

John se pencha pour attraper le petit appareil. Rodney se pencha également voulant attraper la machine en premier.

-C’est une mauvaise idée, si vous l’activez alors qu’elle a été endommagée....

Sheppard releva la tête l’air interrogateur en direction de Rodney. Tout deux avaient déjà posés leur mains dessus.

-Vous n’avez pas tord....

Trop tard l’artefact émit une violente lumière qui aveugla les trois hommes. Une puissante vague d’énergie parcourue l’appareil et après les avoir traversés, envoya John et Rodney valser de l’autre côté de la pièce. Une fois la lumière redevenue normal, Radek se précipita vers ses compagnons inconscient. John et Rodney saignaient du nez et leur pouls étaient rapide, beaucoup trop rapide!

//-Une équipe médical au labo 4
-Que ce passe t-il?
-J’en sais rien Carson, rappliquer c’est urgent! Sheppard et McKay son blessés!
-J’arrive immédiatement//

***

John ouvris les yeux mais les referma bien vite. La lumière lui brulait les rétines.
-Ça va. Aller y progressivement.

A en juger par ce roulement de r peu commun est produit par un seul membre de l'expédition, John était à l’infirmerie sous les bon soins de Carson.

-Carson? Que c’est-il passer? Demanda John en se s’asseyant sur son lit. Il aperçut Teyla et Elisabeth assissent sur un lit à sa droite et Ronon debout à côté de Teyla.
-Vous vous êtes blésé en travaillant sur un artefact ancien. Mais ça va aller maintenant Rodney.

Rodney? Carson à péter les plomb ou quoi?

-Pourquoi m’avez vous appelez Ro....
-Ça va mieux Rodney?

John leva les yeux. Non c’était impossible. Devant lui se tenant..... lui! Enfin l’homme qu’il voyait tout les jours devant sa glace. Mais bon dieu que pouvait-il bien ce passer ici!

-Rodney c’est moi John. Vous vous souvenez? Dit son interlocuteur, le regard plus qu’insistant. On a eu un problème avec un objet ancien mais Tout va bien maintenant n’est ce pas? Tout va bien.

John, comprenant enfin ce qu’il.... ce que l’autre voulait, il répondit :

-Oui oui, tout va bien. Il lança un regard interrogateur à... lui même, dieux que c’était étrange de ce voir ainsi! Malgré lui il ne pu s'empêcher de penser qu’il avait bien besoin d’une coupe de cheveux!
-Carson qu’en pourra t-on sortir?
-Vous pouvez retourner dans vos quartiers John, mais si vous avez le moindre problème, appelé moi!

John fit mine de sortir de son lit.

-Pas vous Rodney, je vous garde encore un peu.
-Ça va aller Rodney, ne vous inquiétez pas, surenchéri Élisabeth.

Après avoir lancé un bref sourire à Carson, elle ainsi que Teyla et Ronon sortirent.

John, enfin l’autre lui même celui qui tenait debout lui murmura.
-Je vous expliquerait plus tard.
Puis il sortie.

-Je reviens Rodney, dit Carson avant de partir en direction de son bureau.

Zelenka surgit quelques instant plus tard.

-Salut Rodney! Alors comment vous vous sentez? Vous nous avez fait peur!

John qui commençait à comprendre ce qui se passait, mais toujours surpris répondit :

-Depuis combien de temps je suis la?
-Trois heures. Au moins!
-Et qu’en pourrais-je sortir?
-J’aimerai vous gardez encore un peu, jusqu’à ce que vos analyse soit terminées, lança Carson qui venait de revenir. Pareil pour vous Radek.
-Ok. Bon ba je croie qu’on va devoir se tenir compagnie alors!

John ne répondit pas.

Carson fronça les sourcils. Il ne dit rien, mais entendre Rodney rester muet l’inquiétait un poil. Normalement il aurait lancé un très gentil mais ma fois très ironique, Génial ou chouette, mais la rien. Décidément quelque chose clochait depuis son réveil. Et si Rodney restait totalement muet, John lui semblait avoir adopté le mode sarcastique de Rodney à son tour. Non décidément quelque chose n’allait pas du tout, mais alors pas du tout!

Carson ce décidât à relâcher ses patients trois heures plus tard. Et après un rapide “merci et au revoir Carson” plus que troublant de la par de Rodney, celui ci fila directement. Qu’en Rodney lui avait-il déjà dit merci pour un de ses soin?

John passa d'abord dans ses quartiers et après avoir fait un rapide passage dans la salle de bain, ses soupçons furent confirmés. Non ses amis n’étaient pas devenue tous fou et personne ne prenait de drogues non plus. S’i tout le monde le prenait pour Rodney c’est parce que actuellement il était McKay! Après avoir manqué de s’évanouir à cette nouvelle et avoir parcourue tout la cité en long, en large et en travers pendant une demi heure, il fini par trouver ce qu’il cherchait, c’est à dire lui même, accouder nonchalamment à un balcon, observant l’océan dans une partie isolée de la citée. Il entra, ou plutôt sortit, et lança s’en plus de préambule :

-Ok, j’aimerai savoir ce qui ce passe ici!

L’autre tourna la tête vers John.

-Je sais que sa doit vous faire bizarre, mais croyez moi, ça me fait la même chose qu’en je vous voie.
-Dite moi que c’est vous McKay.
-Bien sur que c’est moi!
-Ok, alors je voudrais que vous m’expliquiez pourquoi vous avez autant insister pour que je ne dise rien à Carson! Il avait fini sa phrase en criant.
-Je pourrai peut être le faire si vous arrêtiez de me gueuler dessus! Rétorqua l’autre toujours en criant.

John reprenant son calme.

-Ok. Mckay j’espère que vous avez une bonne explication.
-Je me suis réveillé environ une heure avant vous et qu’en je vous ai vue, enfin que je me suis vue allongé en face de.... de moi et que j’ai entendue les autres m'appeler John, j’ai compris ce qu’il s’était passer et j’ai quelque peu.... paniqué.

John resta quelque instant les yeux rond.

-Ne me dite pas que vous ne leur avez rien dit!
-Et bien, en quelque sorte. Au début j’ai paniqué et après j’ai trouvé ça amusant.... et puis ensuite je ne savais pas comment leur dirent que nos conscience avaient malencontreusement été échangées.

-Non mais c’est un cauchemar, cria de nouveau John. Ils pensent vraiment que je suis vous! Mais vous êtes timbré ou quoi! Ça n’avait rien de très compliqué à dire pour temps!
-Je sais mais j’ai paniqué!
-Allons voir Élisabeth, dit John en se calmant.
-Non je vous en supplie! Personne ne doit savoir.
-Et pourquoi donc?
-Parce qu’on va me poser plein de questions après. Tout le monde va vouloir savoir pourquoi je n’ai rien dit!
-Vous rigoler j’espère! Moi j’y vais.
-Non je vous en supplie Sheppard!
-Ou quoi? De tout façon la situation ne peu pas être pire!
-Très bien, si vous le dite je..... je..... je me sentirai tellement mal que je ne pourrai pas trouver de solutions!

John sembla réfléchir un moment. Constatent que Rodney était encore sa meilleur solution il fini par dire à contre cœur.

-Ok très bien. Et vous voulez qu’on fasse quoi alors?

Rodney soulager que John accepte son argument soupira. Si quelqu’un apprenait ça il était mal. A tout les coups Élisabeth fichait de sa couardise, puis elle le tuerait pour lui avoir mentie. Qu’en à Carson, il exploserait surement de rire devant cette situation plus que cocasse.

-Pour le moment, on va faire comme si de rien était. On va devoir se faire passer l’un pour l’autre.
-Oh oui, moi je résoudrai des problèmes de physique quantique pendant que vous vous essaierez de ne tuer personne, parce que je vous connait Rodney, je vous ai déjà vue avec un Beretta dans les mains! Super plan!
-Et le grand militaire à une meilleur option peu être? Hum?
-Génial! Parfait! Alors faisant ça. Mais vous avez intérêt à résoudre rapidement le problème Rodney. Je vous donnes 48h et après je vais voir Élisabeth!

John enfin Rodney quitta le balcon en trombe, manquant de renverser un militaire passant par la.

-Pouvez pas faire attention non?

John continua son chemin vers ses quartiers visiblement furax.

-Ah ce Mckay! Jamais un pardon!! lança le soldat.

Rodney sortie lui aussi du balcon.

-Eh! Non mais ça va pas de dire des choses comme ça!

Le soldat au garde à vous.

-Excuser moi, monsieur.

Rodney partit en direction du labo, un grand sourire aux lèvres. Finalement ça aurait pu être pire. Peu être même qu’il pourrait en profiter un peu.....

a suivre si ça vous plaie
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