Offre d'une nouvelle vie [Abandonnée]

Auteur : Melinda
Titre : Offre d’une nouvelle vie
Genre : Romance et Aventure
Ship : Rodney/Autre
Saison : Hors Saison
Résumé : Alors qu’il est en mission avec le reste de son équipe, il fait la connaissance d’une personne qui va changer sa vie…
Disclamer : Je ne vous parrends rien en vous disant que l’histoire originales et les personnages ne sont pas à moi… si ? Il n’y a que l’histoire de cette fic et le personnage de Manon qui m’appartiennent.

Manon



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Chapitre 1 : Disparition

La porte des étoiles se referma derrière l’équipe du Colonel Sheppard,. C’était une nouvelle exploration, une nouvelle planète, une nouvelle mission qui les attendait aujourd’hui. La planète était emplie d’une forêt verdoyante, et lhumidité y était très présente. L’air était lourd et il y faisait chaud. D’après les capteurs du MALP, il reignait une température de trente degrés, et un pourcentag d’humidité de 89%.

John : C’est charmant ici, vous ne toruvez pas ?
Rodney : On crère ve chaud vous voulez dire !
John : Quand vous aurez fini de vou splaindre…
Rodney : On se croirait dans la forêt équatoriale…
John : Oui justement, c’est pour ça que c’est charmant.
Rodney : Vous êtes fou…
Ronon : Pour une fois je suis d’accord avec McKay, on meurt de chaud ici !
John : Vous savez, si déjà vous enleviez votre peau de bête…

Ronon le regarda en soulevant un sourcil et retira sa veste.
Ils continuèrent la route. Mais sur la planète, il ne semblait pas y avoir grand chose d’autre à part la forêt. Ils continuaient à marcher, car de sa vue aérienne, et grâce à ses détecteurs, le MALP avait repérer un océan, et une plage.

Rodney : Ca fait deux heures qu’on marche, on ne pourrait pas la trouver cette plage ?
John : Un peu de patience McKay, et puis un peu de sport, ça ne vous fait pas de mal !
Rodney (essoufflé) : Vous dîtes ça à chaque mission !
John : Parce qu’en rentrant sur Atlanrtis, après chaque mission vous mangez de quoi reprendre dix kilos ! Voilà pourquoi vous devez encore éliminer la fois d’après…
Rodney : Vous ête sun sadique.
John : Non Rodney, c’est pour votre bien je vous assure.
Teyla, Vous voulez un peu d’eau Dr McKay ?
Rodney : Merci Teyla, mais je crois qu’il m’en reste dans ma gourde.
John : Bien, alors on peut reprendr ela route.

Rodney soupira, Teyla leva les yeux au ciel, et Ronon le regarda de travers. Puis, ils reprient leur chemin. Mais au bout de cinq minutes, Rodney dit :

Rodney l : Teyla, vous avaez pas de l’eau ? Moi j’en ai plus.
Teyla : Si bien sûr Docteur, mais ne me prenez pas tout !
Rodney : Non je vous assure.

Teyla lui tendit sa gourde. Puis le scientifique but une grande gorgée d’eau, avant de rendre l’bjet à Teyla.

John : C’est bon ?
Rodney : Oui, on peut continuer.
John : Bien, aller en route !

Puis ils reprirent le chemin. La chaleur ne baissait pas. Le soeli filtrait un travers de l’épai feuillage. Il y avait d’immense plante, et des bruits d’animaux en tout genre. Il n’y avait rien d epire pour stresser Rodney. Il entendait des bruits d’animaux. Mais ils ne les voyaient pas. Sales bestioles !

Devant lui, il y avait John et Teyla, qui était à la tête de leu petit groupe. Ronon marchait en fixant ses pieds, et Rodney pinait pour ne pas s’évanouir.
John jeta un regard à Teyla qui lui sourit. Puis, ils se remirent à contempler le paysage….
Au bout de cinq minutes…

Rodney : J’ai mal aux pieds !
John : Oh cest pas vrai !
Rodney : On peut pas fair eune petite pause ?
John : Cinq minutes !
Rodney : Merci !

Ils s’assirent et en profitèrent pour boire. Puis, ils reprirent la route.

Au bout de quelque sminutes :

Rodney : On est presque arrivé ?
John : On ne sait pas Rodney.

….

Rodney : On est presque arrivés ?
Teyla : Non pas presque…

…

Rodney : Dîtes on est presque arrivés ?
John : Oui.
Rodney : C’est vrai ?
John : Non !!!!

John soupira, qu’est-ce qu’l pouvait être agaçant quand il s’y mettait celui llà ! Il adorait McKay mais à certains moment, il avait plus encvie de le planter là qu’autre chose !
C’est alors qu’ils entendirent un bruit.

John et Teyla braquèrent leurs P90, le bruit recommença.

John : Teyla, venez ave cmoi on va voir. Ronon restez avec McKay.
Ronon : Pourquoi cest toujours moi qui reste avec lui ?
John : Bon très bien, Ronon venez avec moi.

Puis, ils partirent tous les trois, laissant Rodney là.

Rodney : Hey, attendez moi !

Mais ses amis avaient déjà disparut.
Rodney reprit vite son packetage, et commença à les chercher.

Rodney : Sheppard ! Ronon ? Teyla? Vous êtes où?

Mais aucun son ne lui répondit. Il commença à paniquer. Perdu, il était perdu, abandonné par ses amis au milieu de cette jungle hostile… Mais où étaient-ils ? Et c’était quoi tous ses bruits ?
Il regarda autour de lui, il n’y voyait plus rien. Que du vert, de la forêt… Du verre de la forêt… Des arbres qui semblaient s’élever à l’infini, des herbes ausis grandes que lui, des fougères immenses… Et des animaux qui grouillaient partout autour de lui.
C’est alors qu’il entendit le bruit d’une cascade. Il se retourna, mais n’arrivait à identifier la source du bruit… Où était cette maudite cascade ?
C’est alors qu’il débrucha sur une racine. Il cria, et tomba par terre de tout son long. Sa tête heurta une roche, une vive douleur déchira son crâne. Puis, il tomba dans l’inconscience.

A suivre...

Chapitre 2 : Rencontre


-Mais ou peut il bien être ?
- Il ne doit pas être bien loin ! dit Ronon. On ne perd pas un Rodney McKay comme ça c’est trop…
- Bruyant ? hasarda John.
- Oui, si vous voulez... dit Ronon peu convaincu du terme.
- Dr Mckay ! Appela Teyla.
- Allez Rodney c’est pas drôle ! dit John.

Mai sil n’y avait que le silence pour leurs répondre.

- Je pense, dit John. Que l’un de nous devrait aller à la Porte des Etoiles pour prévenir le Dr Weir.
- Allez y, dit Teyla, on va continuer les recherches.
- Vous êtes sûrs ? demanda John.
- Oui, rpéondit Ronon.
- Bien, mais rentrez avant la nuit.
- Bien.
- Soyez prudents.
- Toujours ! lui dit Teyla en souriant.

John lui répondit de la même façon et il partit en direction de la Porte des étoiles, alors que Ronon et Teyla vcontinuaient les recherches.

*************

La première chose qu’il sentit fut une sensation de flottement. Il ne savait pas où il étaiet ne désirait pas vraiment le savoir. Il en boulait pas se rendre compte u’il était mort. Il n’avait pas mal à la tête, ce qui l’étonna, vu tel choc qu’il avait reçu…. Quelle douleur ! Il pouvait encore la sentir, meême s’il n’avait pas réellement mal. Il ouvrit les yeux. C’est alors qu’il remarqua qu’il devait être dans une espèce de grotte… Etrange pour le paradis….
Il essaya de se lever, il eut du mal. Il se redressa un peu, mais cela lui demandait torp d’effort. C’est alors qu’il entendit des pas. Il se figea, qui cela pouvait-il être ? Il ne respirait plus, il sentait son cœur s’accélérer.
C’est alors qu’une tête blonde apparut. Elle le regardait et lui souriait, elle avait de grands yeux bleus.

-Bonjour ! dit –elle.
-Je sui au paradis ? demanda Rodney.
-Euh…. Non je ne pene pas, dit la tête blonde. Vous alle zmieux ?
-Ma tête… Je n’ai plus mal.
-Oui, je vous ai soigné.
-Oh euh… Merci mais… Un choc comme ça n’auraitn pas pu me tuer ?
-Si mai sje suis arrivée à temps et je vous ai sauvé !

Rodney la regarda. Il s’était resdressé. La jeune femme qui lui faisait face avec de longs cheveux blonds ondulés et de grands yeux bleus pâles.
Elle l’avait sauvé d’une mort presque certaines ? Ce peuple devait avoir un niveau technologique très élevé… Tout cela devint intéressant d’un coup…

-Je m’appelle Rodney McKay dit-il.
-Bonjour Rodney McKay, dit la jeune femme. Je suis Manon Cyr, répondit-elle.
-Ravi de vous connaître.
-Moi aussi Rodney McKay.
-Rodny suffira.
-D’accod !
-Vous n’aurie zpas vu mes compagnons ? demanda Rodney.
-Vos compagnons ? Non, désolée, répondit Manon. Mais vous ne voulez pas manger quelque chose ?

Rodney regarda ce qu’elle désignait. Cela avait l’air délicieux, mais il devait retrouve la porte des étoiles . Mais il avait faim.

-Bon, je mange un bout, mais après, je dois essayer de retrouver la Porte des Etoiles.
-La Porte des Etoiles ? De quoi s’agit-il ?
-C’est… Un grand cercle gris avec plein de symboles.
-Oh, le Cercle ! s’exclama Manon.
-Oui c’est ça le cercle, vous savez où il est ? demanda Rodney .
-Euh… Non.

Rodney soupira. Alors il n’avait pas le temps de manger, il devait partir tout de suite, il ne savait pas combien de temps il avait été incsonscient.

-Désolé, je dois partir, dit-il.
-Mais…. Commença Manon.
-Je vous remercie de m’avoir sauvé vraiment mais… Il faut que je rentre chez moi.
-Attendez ! s’écria Manon alors que Rodney se dirigeait vers la Porte.
Mais quand il l’ouvrit, il faisait nuit, il y avait beaucoup de vent, il pleuvait à torrent et des éclairs zébraient le ciel.

-Vous n’irez nulle part à cette heure, dit Manon derrnière lui en lui posant une main sur l’épaule.

Rodney restait là, à regarder la pluie tomber. Il ne pourrait pas retrouver les siens… Il était condamné à rester ici…

-Allez, venez, dit Manon.

Rodney la suivit et referma la porte.

********

-Alors, vous ne l’avez pas trouvé ?
-Non, pas encore.
-Où peut il bien être ?
-C’est une bonne question, répondit
-On va le retrouver Dr Weir.
-Je sais Teyla… Colonel, envoyez deux équipes plus la votre sur M2X123 et recommencer les recherches.
-Nous devrions y aller demain, il fait nuit sur la planète.
-Bien, alors partez dés la première heures.
-Bien Docteur.

a suivre...

Quand Rodney se réveilla le lendemain matin, il dormait dans un « lit » que lui avait aménagé Manon la veille au soir. Il n’avait pas vraiment parlé avec elle, parce qu’il était trop désespéré à l’idée de ne pas revoir les siens.
Mais aujourd’hui, après cette bonne nuit de sommeil, sa philosophie était tout autre : vu qu’il allait rester ici un bon bout de temps, il ferai bien de prendre contact avec… l’habitant.
Il se leva, et alla dans la pièce, où il s’était réveillé la veille au soir. Il vit Manon, qui était en train de faire ce qui ressemblait à de la cuisine.

-Bonjour, dit Rodney.
-Bonjour Rodney ! s’exclama joyeusement Manon. Comment allez vous ?
-Bien, merci pour tout ce que vous faîtes.
-Cela est normal ! répondit la jeune femme en souriant. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu de visite.
-Oh… Vous vivez seule ici ? demanda Rodney. Il n’y a pas de villages aux alentours ?
-Non, les villages sont très éloignés, c’est pour cela que j’ai choisi cette maison, dit Manon.

Rodney remarqua qu’en lui posant cette question, il avait du la toucher, car la jeune femme avait détourné le regard.

-De quelle planète venez-vous ? demanda Manon.
-De… La cité d’Atlantis, répondit Rodney.

Il ne sut pourquoi il avait dit cela. Il savait qu’il devait protéger la couverture d’Atlantis, mais il ne pouvait pas s’empêcher d’avoir confiance ne Manon, c’était étrange, il ne savait rine d’elle pourtant.

-La cité des Anciens ? J’avais entendu dire qu’elle avait été réveillée par des humains. Mais vous n’êtes pas de notre galaxie n’est-ce pas ?
-Non, nous veons d’une galaxie lointaine, répondit Rodney, qui était étonné par le sens de la déduction de la jeune femme.
-Comment s’appelle votre planète ?
-La Terre, elle est très loin.
-Ah oui ? Vous pouvez y retourner ? demanda Manon en lui tendant quelque chose à manger.
-Merci… Et bien oui, nous pouvons y retourner, mais le voyage dure la moitié d’un mois.
-Je comprends, cela doit être long, dit Manon.
-Et vous, vous venez d’ici ?
-Oui, de l’océan, répondit Manon.
-De l’océan ? s’étonna Rodney.
-Oui, mon peuple vit dans l’océan depuis des générations, nous sommes… en danger sur la terre ferme.
-Mais pourquoi arrivez-vous à survivre ? demanda Rodney. Et comment ?
-J’ai demandé à devenir humaine, répondit Manon.
-Ah bon ?
-Oui, répondit-elle simplement.

Puis, elle se plongea dans son repas. Rodney la regarda. Elle avait l’air bien seule ici, dans cette grande maison. Une partie était fermée, peut être avait-elle était occupée autrefois, mais plus à présent.
Quand il la regardait, Rodney voyait en elle une grande fragilité. Elle sembait toujours de bonn ehumeur et pleine de vie, quand elle lui parlait, lui demandait comment il allait… Mais dés qu’on abordait son passé, l’endroit d’où elle venait, elle semblait se renfermer sur elle même.

-Dîtes, dit Rodney. Aujourd’hui, il à l’air de faire beau, vous croyez que je pourrais rejoindre la porte ?
-Je suis désolée, dit Manon. Mais.. C’est entièrement innondé, il a plus toute la nuit, nous sommes entourés d’eau.
-C’est vrai ? demanda Rodney étonné.
-Venez, lui dit simplement Manon à demi-sourire.

Elle se leva, Rodney la suivit. Ils sortirent de la maison ? Dehors, brillait un soeil qui faisait régner une atmosphère chaude, mais supportable. Le ciel était pleu, parse mé de longues traînées blanches formées par les nuages. Rodney et Manon s’avancèrent sur la terrasse en bois de la maison. Rodney remarqua qu’elle était construite sur piloti. Les inondations devaient être fréquentes…
Il s’avança un peu, et contempla la beauté du lieu qui s’offrait à lui.
Sur les rembardes de bois qui entouraient la maison, Manon avait placé une quantités importante de plantes qui ressemblaient à des fleurs. De couleur rouge, rose, jaune et orange. Au delà de ses fleurs, s’étendait une étendue d’eau importante, comme si la maison s’était trouvé au centre d’un lac. Et plus loin, la forêt qui reprenait. Le soeil se reflétait dans l’eau. Quand Rodney tourna son regard vers la jeune femme à ses côté, le reflet du soleil déformé par l’eau, renvoyait des vague de lumière sur son visage.
Rodney sourit, ce lieu le rendait paisible… Mais que ce passait-il ? Rodney était-il en train de devenir…. Romantique ?
Mais il était vrai que le paysage s’y prétait.

-C’est magnifique, dit simplement Rodney.
-J’adore cet atmosphère, dit Manon. Juste après une nuit où il a tellement plu. La chaleur est étrange, elle ‘nes tplus sèche, et il fait moins chaud.
-C’est vrai que c’est plus supportable qu’hier ! s’exclama Rodney.
-Vous avez raison, nous devrions rentrer, le soleil est tout de même fort.
-Je vous suis, dit Rodney.

Ils quittèrent la terrasse, pour rejoindr le afraîcheur de la maison.


a suivre