Quand la soeur de John débarque! nouvelle version!!

Quand la sœur de John débarque !
Nouvelle version.


Auteur : Sélène Sheppard
Style : romance sheyla et peut être ronon/ sélène!
Disclamer : les personnages ne m’appartiennent pas à par Sélène et je ne gagne rien à écrire cette histoire.
Pour celles et ceux qui avaient pus lire le début de mon histoire ils se rendront compte que j’ai modifié pas mal de chose car quand je l’ai reprise il y a quelque temps j’ai voulu changer des trucs qui ne me plaisaient plus.
Résumé : La sœur de John arrive dans la cité et va mettre son grain de sel dans la vie de son frère….



Générique


Les portes du Dédale s’ouvrirent et le colonel Carter sortit du vaisseau suivit de Teal’c et du docteur Jackson. Le docteur Weir se porta à leur rencontre
Liz : heureuse de vous revoir.
Sam : nous aussi et à ce que je vois tout le monde va bien.
Des soldats sortaient du vaisseau transportant diverses caisses voyant que le regard de tout le monde se portait sur eux.
Daniel : on a pensé à vous ramener quelque truc à manger, du matériel scientifique, et vos proches vous envoient quelques affaires aussi.
Tous les habitants de la cité allèrent aider les soldats à décharger pour leur montrer ensuite où tout ranger. Le Colonel Sheppard et Teyla vinrent alors à la rencontre de SG-1
John : salut d’atlantis docteur Jackson !
Daniel : Colonel sheppard, comment allez vous ?
John : bien mais j’espère que vous nous avez ramener des enregistrement de match de football ?
Sam : on vous a ramener mieux que cela mais vous le verrez tout à leur je pense.
John était intrigué mais il se dit qu’il saurait bien assez tôt de quoi il retournait
John : Au fait je vous présente Teyla elle est le chef des Athosiens, vous n’avez pas encore eut l’occasion de la rencontrer.
Teyla : je suis ravit de faire votre connaissance.
Sam : moi aussi.
A ce moment là on entendit un gros bruit en provenance du vaisseau
?: bordel ils peuvent pas ranger leur caisse en dehors du passage .
Liz : Général O’neill ?!
Jack : Eh oui vous pensiez quand même pas vous débarrasser de moi simplement en vous exilant ici ?
Sam comme à son habitude sourit à la blague de son général
Daniel : c’est surtout que vous avez perdu votre pari.
Jack : Daniel mettez la en veilleuse !
Liz : quel pari ?
Jack : j’ai fait un concours de tir avec quelqu’un et comme j’ai perdu je suis obligé de rester ici jusqu'à que le Dédale ait finit sa mission.
John : et qui a réussit à vous battre ?
?: c’est moi.
John n’en croyait pas ses oreilles, il pensait qu’il n’entendrait plus jamais cette voie, il se tourna alors vers le vaisseau et vit une personne qu’il pensait ne jamais revoir.
John : Sélène ?!
A l’évocation de son nom la jeune femme sourit et couru dans les bras de John, ce dernier la serra très fort espèrent que se n’était pas encore un rêve. Quand il la lâcha enfin il souriait
John : Mais comment se fait il que tu sois ici ?
Sélène : parce que j’ai voulu venir et Jack et le général Hammond on appuyés ma demande auprès du président qui a accepter.
John : mon dieu je suis heureux de te voir
Il l’observa un moment puis un toussotement de Jack le ramena à la réalité.
John : (il se tourna vers Elizabeth et Teyla) je vous présente ma petite sœur : le docteur Sélène Sheppard.

Liz : j’ignorai que vous aviez une sœur !
Sélène (regardant son frère) : tu ne leur a même pas parlé de moi, je suis vexé !
John : je suis désolé mais je t’assure que j’ai pensé à toi tous les jours depuis que je suis partit
Sélène : je plaisantais Johnny.
John : Mais quand es tu sortit du coma ?
Sélène : il y a 11 mois environ. J’ai lu ta lettre.
John : tu m’en veux sûrement.
Sélène : Non, tu es partit pour trouver un moyen de me guérire, pour quelle raison devrai-je t’en vouloirs ?
John la prit dans ses bras.
Sélène : Euh…Johnny…si tu veux pas que je retombe dans le coma tu devrais me lâcher.
John(s’exécutant) : Pardon, mais je suis si heureux de te voir et en bonne santé.
Sélène : en plus tu ne va pas te débarrasser de moi avant longtemps parce que je reste ici avec toi, enfin si vous voulez bien de moi Docteur Weir.
Elle dit cela en se tournant vers l’intéressé.
Liz : Bien sur que vous pouvez rester
Teyla : excusez moi de poser cette question mais comment êtes vous tombez dans le coma ?

Sélène : il y a deux ans j’ai eu un accident lors d’une randonnée, je suis tombée dans un ravin et j’ai eu une commotion cérébrale qui a entraîné un coma.
John (continuant) : Cela faisait 1 an qu’elle était dans le coma lorsqu’on m’a demandé de partir pour atlantis. Les médecins avaient très peu d’espoir qu’elle se réveille un jour mais je ne voulais pas la « débrancher ». Alors après avoir mûrement réfléchit je me suis dit que peut être ici je pourrais trouver une technologie qui pourrait la guérire donc j’ai accepté de venir.
Sélène (continuant) : Il m’a laissé une lettre pour le cas où je me réveillerais pendant son absence, il m’expliquait pourquoi il partait et qui je devais contacter.
Jack : et c’est comme ça que je l’ai eu au bout du fil un beau matin alors que j’étais plongé jusqu’au coup dans la paperasse.
Tout le monde sourit à sa remarque.
Sélène : j’avais vraiment hâte que le président donne enfin son accord pour que je vienne ici, mais en attendant j’ai fait quelques missions avec SG-1.
Jack (à John) : en tout cas votre sœur ferait une bonne recrue pour le SG-C, tant au niveau militaire que scientifique et archéologique.
John regarda sa sœur avec fierté.
Sélène : j’ai fait des études pour devenir archéologue, tout en étudiant l’astrophysique en parallèle mais ma mère m’avait déjà presque tout appris, étant astrophysicienne elle-même, et mon père et mon frère mon tout appris du combat au corps à corps au maniement des armes, j’ai plusieurs doctorats en archéologie et en astrophysique.
John (à Sélène) : qu’est-ce que tu dirais d’aller visiter la cité ?
Sélène : on peut y aller de suite ?!
Weir : Oui, allez y, si on a besoin de vous on vous appellera par radio.
Sélène attrapa le bras de son frère et le tira vers la cité.
Sélène : allé vite on y va !
Tout le monde sourit en la voyant ainsi, elle n’avait qu’un an de moins que son frère mais on aurait dit qu’à cet instant elle était une enfant de 5 ans et que l’on venait de lui promettre une glace.
Tout à coup Sélène se retourna
Sélène : Dites Teyla vous voulez venir avec nous ? J’aimerais beaucoup que vous me parliez de votre peuple.
John (d’un tons dramatique) : et voilà ! L’archéologue refait surface !
Teyla (souriant à l’idiotie de John): bien sûr.
Et tous trois partirent vers la cité.

Self 3h00 plus tard

John était heureux de retrouver sa sœur, pendant toute la visite elle n’avait pas arrêté de poser des questions sur tout et elle avait écouté Teyla parler de son peuple avec l’attention d’une enfant à qui on raconte un conte de fée. Ils avaient ensuite croisé Mckay, et Sélène et
lui étaient partit dans une grande discussion scientifique ; John et Teyla s’apercevant qu’ils n’étaient pas près de finir leur discussion les laissèrent seules préférant allé manger un morceau .

Teyla : votre sœur est toujours aussi joyeuse ?
John (souriant) : oui ma sœur a toujours été pleine de vie un vrai réacteur à naquada !
Teyla : vous devez vraiment être heureux qu’elle vienne vivre ici.
John : oui et non.
La jeune femme le regarda sans comprendre
John : je suis content de la revoir et savoir qu’elle est sortit du coma me rend plus heureux que je ne saurais le dire, mais je préfèrerais qu’elle soit à l’abri des wraiths sur Terre.
Teyla : vous savez Colonel, si nous n’arrive pas à les vaincre, qu’elle soit ici ou sur Terre elle court les mêmes dangers. Ne vaut-il pas mieux qu’elle soit ici ? Ainsi vous pouvez la protéger.
John semblait réfléchir à ce que venait de dire Teyla.
John : vous avez raison.
Puis prenant un air joyeux.
John : Et si on allait s’entraîner ?!
Tous les deux partirent donc vers la salle d’entraînement

Salle de réunion
Le docteur Weir et SG-1 au complet étaient entrain de discuter des dernières découvertes faites sur Atlantis comme sur Terre ; lorsque tout à coup un flash de lumière les aveugla quelques secondes. Et quand ils ouvrirent les yeux :
Jack : Thor ?!
Et oui notre petit ami gris se tenait au milieu de la pièce.
Thor : salutation O’Neill, je suis venu vous prévenir qu’Anubis s’apprête à attaquer la Terre.
Jack : Quoi ? Encore ?
Teal’c : O’neill, je pense qu’il serait préférable que l’on retourne sur Terre afin de préparer une contre attaque.
Thor : je peux vous ramener avec mon vaisseau.
Sam : Merci beaucoup Thor.
Jack : Anubis, je le retiens celui là, il profite de la seule fois où je m’absente pour essayer d’envahire la Terre.
Daniel : au moins vous n’aurez pas à faire votre gage.
Jack : je ne l’avais pas vu comme ça mais vous n’avez pas tort. (Pensées de jack : Yessss !!!)
Bon bin on va vous laisser Dr Weir il faut qu’on aille botter les fesses d’Anubis.
Weir : vous voulez un coup de main.
Jack : non, occupez vous de vos hommes et si on a besoin de vous on vous enverra un message, (puis il se retourna vers Thor), on peu y allé.
Et SG-1 et Thor disparurent dans un éclair de lumière.
A ce moment là, Mckay entra dans la salle
Mckay : désolé je suis en retard, puis il vit qu’il n’y avait qu’Elizabeth, ils sont où ?
Weir : Thor est venu les chercher car Anubis s’apprête à attaquer la Terre.
Mckay : j’y crois pas.
Weir : oui on aurait pu penser qu’il était enfin mort mais apparemment non.
Mckay : non je parlais pas d’Anubis mais du Colonel Carter, sa fait plus d’un an que je l’ai pas vu et la elle vient sur atlantis et j’arrive à la louper y’a vraiment pas de justice.
Et il partit dépité sous le regard amusé d’Elizabeth.

Salle d’entraînement

John était encore au tapis, il se releva et se remit en position de défense.
John : vous ne voulez pas me laisser gagner pour une fois ?
Teyla (lui souriant) : Non.
C’est alors qu’il eut une idée, qui le fit sourire.
Teyla : pourquoi vous souriez comme ça ?
Ils se tournait autour cherchant une faille dans la défense de l’autre.
John : on va faire un jeu, le premier qui est mit au tapis à un gage vous êtes d’accord ?
Teyla : D’accord.


Aussitôt après avoir répondu elle l’attaqua, mais John, motivé par le fait de pouvoir lui donné un gage s’il la mettait au tapis, repoussa son attaque et la fit tombé sur le dos, mais Teyla l’entraîna dans sa chute, ils se retrouvèrent donc tous deux au sol, John allongé sur Teyla.
John : j’ai gagné.
Teyla : Non, nous sommes tous les deux au sol donc il n’y a pas de gagnant.
John : je vous ai fait tomber en premier ; donc c’est à moi de vous donner un gage.
Aucun des deux n’avait envi de se relever ils aimaient le contacte du corps de l’autre. John n’avait jamais vu le visage de Teyla d’aussi près, il leva une main pour lui caresser la joue ; voyant que Teyla ne le repoussait pas il continua pendant quelques secondes puis il la fixa dans les yeux. Ils en avaient assez de cacher leur sentiment pour l’autre avec tous les combats qu’ils avaient mené et toutes les fois où ils avaient été blessés ils avaient compris que la vie était courte. John fit passer tout son amour pour Teyla dans son regard et lorsqu’il vit cette dernière lui sourire il eut alors la certitude qu’elle l’aimait aussi il approcha donc son visage du sien pour l’embrasser, mais au moment où leur lèvres allait se toucher un grand bruit se fit entendre dans le couloir, brisant ainsi la magie du moment. Teyla et John se relevèrent donc un peu gênés pour allé voir la raison de se raffut.

à suivre...

J'attend vos impréssions avec impatience!

Merci à ceux qui m'ont laissés des commentaires, voici donc la suite!




Arrivés dans le couloir ils tombèrent sur un scientifique qui aidait la sœur de John à se relever.
Flash back 10 min plus tôt:

Avant que Rodney ne parte pour la réunion avec le docteur Weir et SG-1 il avait dit à Sélène qu’elle trouverait probablement son frère en salle d’entraînement. Se souvenant où se trouvait cette salle pour l’avoir vue pendant la visite Sélène s’y rendit seule. Arrivée là bas elle vit John et Teyla au sol, son frère caressant le visage de cette dernière. Sélène sourit en les voyant ainsi, elle avait bien sentit pendant la visite qu’il y avait un lien très spécial entre ces deux là quelque chose de bien plus fort que de la simple amitié. Elle était heureuse que son frère ait trouvé une femme qui l’aime autant que lui car il n’avait jamais eut beaucoup de chance en amour. Et puis elle aimait bien Teyla, Sélène n’avait passé que peu de temps avec elle mais elle la trouvait sympathique, ce qui l’avait elle même étonnée car elle avait toujours détesté les petites amies de son frère. Ne voulant surtout pas les interompres Sélène fit volte face pour partir lorsqu’un scientifique un peu trop pressé lui rentra dedans la faisant ainsi tomber par terre….

Fin du flash back.

Scientifique : je suis vraiment désolé, j’aurais dut regarder où j’allais, je…
Sélène (enfin debout) : ce n’est rien, mais la prochaine fois regardez où vous allez.
Le scientifique, après c’être à nouveau excusé, partit, et Sélène vit alors que Teyla et John étaient sortit de la salle d’entraînement. Ce dernier vint à sa rencontre
John : tout va bien ?
Sélène : Oui t’en fait pas.
John : tu es sûr ?
Sélène : Oui.
A ce moment là Teyla arriva à leur hauteur, tendant à John son sac de sport.
John (le prenant en lui souriant) : Merci, bon si on allait manger.
Sur le chemin qui les menèrent au self ils ne parlèrent pas beaucoup , John et Teyla étant encore un peu gênés et Sélène ne savait pas trop comment engager la conversation.



A peine 2 min après qu’ils se soient attablé au self ils virent Mckay arriver, il avait l’air contrarié. Il s’assit à leur table.
Sélène : Quelque chose ne va pas Mckay ?
Mckay : j’avais la chance de voir le colonel carter pour la première fois depuis un an et je l’ai laissé passer !
Sélène : comment ça ?
Mckay : vous n’êtes pas au courant ?! Anubis se prépare à attaquer la Terre, alors Thor est venu chercher SG-1 pour les ramener sur Terre.
A peine eut il finit sa phrase que Sélène se leva précipitamment de la table et sortit du self en courant. En sortant elle croisa Ronon qui venait s’attabler avec le reste de l’équipe. Quand il arriva à la hauteur de John il demanda :
Ronon : c’était qui le courant d’aire
John : c’était ma sœur.
Et sous le regard étonné du Runner il sortit à la suite de la jeune femme.

Bureau du docteur Weir :
Elizabeth était plongée dans la lecture des derniers rapports de mission de ses équipes d’exploration lorsqu’elle vit débarquer le docteur Sheppard dans son bureau.
Sélène : c’est vrai ce que m’a dit Mckay ? Anubis s’apprête vraiment à attaquer le Terre ?
Liz : Oui c’est vrai.
Selene : Mais on ne les aides pas ?
Liz : Je leur ai proposé mais, le général O’Neill m’a dit que s’ils avaient besoin de notre aide ils nous enverraient un message.


A se moment John entra à son tour dans le bureau du docteur Weir.

John (voyant que sa sœur était là) : Ha ! Enfin te voilà, je t’ai cherché partout.

Elizabeth reprit le fil de la conversation après l’intrusion de John. Elle s’approcha du docteur et lui posa une main compatissante sur l’épaule.

Liz : Je sais ce que vous devez ressentir mais on ne peut rien faire de plus c’est leur combat et nous avons le notre à mener ici.

Sélène : vous avez raison, ils s’en sortent toujours.

Elle s’apprêtait à sortir du bureau accompagnée de son frère lorsque :

Sélène : Si vous avez des nouvelles vous m’appeler.

Liz : Promis.

Et la tribu Sheppard (réduite au nombre de deux) sortit du bureau.

Chambre Sélène :

John lui avait trouvé une chambre pas très loin de la sienne. Sélène venait de finir de ranger ses affaires, il lui restait seulement trois cadres sur le lit. Elle sourit en se remémorant où ces photos avaient été prises.
La première était une photo d’elle et de SG-1 au complet prise lorsqu’elle les avait amenés à Walt Disney en apprenant qu’ils ne l’avaient jamais fait visiter à Teal’c ; la jeune fille rit en se souvenant de la journée qu’ils avaient passée à s’amuser et à se moquer de Daniel qui était malade la plus part du temps en sortant des attractions. Ils lui manquaient tous, depuis qu’elle était sortit du coma ils avaient été comme une seconde famille et le fait qu’ils soient confrontés à une attaque et qu’elle ne soit pas à leurs côtés l’attristait mais le docteur Weir avait raison elle pouvait faire plus ici et puis elle avait son frère.
La seconde était une photo de la famille Sheppard au complet. On pouvait y voir Sélène petite juchée sur les épaules de son frère, tous deux entourés de leurs parents. C’était l’une des rares fois où toutes le famille avait été réuni car quand ce n’était pas leur père qui était en mission , c’était leur mère qui avait une conférence ; mais à chaque fois qu’ils se retrouvaient tous ensembles ils passaient de merveilleux moments.
Sélène posa ces deux photos sur sa table de nuit et allait faire de même avec la troisième lorsque quelqu’un frappa à la porte.

Sélène : Qui est-ce ?

?: Un type qui selon son code génétique est ton frère.

Sélène sourit, son frère avait toujours eut un sans de l’humour très développé.

Sélène : entre.

Il entra et vint s’assoire à côté d’elle.

John : tu es bien installée ?

Sélène : oui, heureusement pour moi il y a assé de place pour ranger tout mes livre.

John : c’est vrai que toi et les livres ça fait un.

Puis il vit la photo que sa sœur avait dans les mains, il sourit, c’était une photo de lui et de sa sœur qui avait été prise peut de temps avant qu’elle tombe dans le coma. Ils étaient allés pique-niquer près d’un lac, on pouvait voir sur la photo un John trempé, Sélène l’avait poussé dans l’eau, qui tenait sa sœur dans ses bras, ils avaient l’air heureux.

John : tu sais que j’ai la même photo dans ma chambre ?

Elle lui sourit.

Sélène : c’est donc ici qu’elle était passée. Je l’ai cherchée partout heureusement que j’avais les négatifs.

John : tu sais, je n’ais pas eut le temps de trop parler avec toi aujourd’hui, et je voulais te dire que tu m’a énormément manqué et que je suis très heureux que tu sois ici avec moi aujourd’hui.

Sélène : moi aussi je suis contente d’être là…

Puis avec un sourire diabolique sur les lèvres

Sélène : et comme ça je vais pouvoir t’embêter toute la journée et raconter des histoire compromettantes à tes hommes.

John : alors là tu n’as pas intérêt.

Il se jeta sur elle et commença à la chatouiller

Sélène, rigolant : pitié arrête…promis je dirais rien.

John arrêta sa torture quand on frappa à la porte.

Sélène : Entrez.

Et la porte s’ouvrit sur….

Je remercie toutes les personnes qui ont postés des commentaires j’apprécie beaucoup !! et j’espère que cette suite vous plaira…


Et la porte s’ouvrit sur…. Ronon.

Ronon : Sheppard, je vous cherchais.

John : Comment avez vous sut que j’étais là ?

Ronon : C’est Teyla qui m’a dit que vous serriez probablement ici.

John : Au fait Sélène je te présente Ronon Dex, Ronon je vous présente ma sœur le docteur Sélène Sheppard.

Ronon (la saluant d’un mouvement de tête) : Docteur.

Sélène : Appelez moi juste Sélène.

John : Pourquoi vouliez vous me voir ?

Ronon : et bien apparemment tous le monde se retrouve en salle de repos pour jouer à un truc que vos amis ont ramenés de la Terre je pensais que ça vous intéresserai.

John (complètement largué) : Un truc ?!

Sélène : Un baby-foot ! C’était une idée de Jack et moi, on s’était dit que vous ne deviez pas avoir beaucoup de distraction ici.

John : tu es géniale !

Selene, pas modeste du tout : je sais, je sais.

John : Et fait gaffe à tes chevilles.

Ronon : Alors, ça vous intéresse ou pas ?!

John : on arrive.


Salle de repos:


Il y avait beaucoup de monde, tous étaient agglutinés autour du baby-foot.

John : ouah, c’est fou le monde qu’il y a.

Sélène : tiens regardez voilà Teyla et Elizabeth.

Effectivement, les deux femmes venaient de sortir de la foule.

Sélène : salut, vous êtes venues jouer aussi ?

Teyla : pas tout à fait, Elizabeth était entrain de m’expliquer les règles de ce jeu, c’est intéressant…
Elizabeth : moi cela ne me dérangera pas de jouer mais je n’ai pas d’équipier et puis cela fait longtemps que je n’en ai pas fait.

Sélène : je veux bien être votre équipière si vous voulez.

Elizabeth : pourquoi pas.

Juste à ce moment là une voie s’éleva de la foule

Voie : Equipe suivante.

Elizabeth et Sélène se mirent donc d’un côté du baby, elles avaient pour adversaire un duo de militaire qui avait déjà gagner plusieurs parties, car la règle instauré était : l’équipe gagnante reste. Les deux hommes rirent en voyant qu’ils allaient affronter deux femmes ; mais a peine 5 minutes plus tard ils ne riaient plus du tout car ils avaient perdus. Sélène et Elizabeth gagnèrent ainsi plusieurs matches encouragées par les femmes de la base. En appelant l’équipe suivante elles eurent une surprise : il s’agissait de John et de Ronon. Le colonel avait expliqué au runner en quoi consistait ce jeu et ils avaient décidé d’essayer.

Sélène : oh non on est mal là.

Teyla, qui s’était placé à côté d’elle pour discuter et mieux comprendre le jeu l’entendit.

Teyla : pourquoi vous dites ça ?

Sélène : et bien parce que mon frère est très bon à ce jeux, c’est l’une des rares choses où il arrive à me battre.

Elizabeth, qui avait tout entendu : effectivement on est mal.

Ils commencèrent la partie, les deux équipes ne pouvaient être départager car des qu’une marquait l’autre faisait de même. La partie allait s’achever, les deux équipes avaient le même score, ce qui voulait dire que la première qui marquerait aurait gagnée. C’est alors que Sélène eut une idée diabolique. Elle se pencha vers Teyla pour qu’elle seule l’entende et lui parla pendant un instant. Teyla releva la tête et regarda la jeune femme étonnée, mais finalement elle se mit à sourire.

Teyla : d’accord.

Et elle partit se placer à côté du Colonel qui lui sourit. Elizabeth se pencha vers Sélène, pour lui demander ce qu’elle préparait.

Sélène : rien de bien important regardez bien la balle, il va y avoir un trou dans la défense de mon frère dès que vous le pourrez tirez.

Ils remirent la balle en jeux, aucune des deux équipes n’arrivait à marquer. C’est alors que Teyla mit le plan de Sélène à exécution, elle se rapprocha de John à le frôler. John le sentit et il dégluti difficilement, il avait beaucoup de mal à se concentrer, le fait de la sentir si près de lui, lui donnait envie de… hum… non il fallait qu’il se reprenne. Voyant que sa première tentative de déstabilisation avait échouée, Teyla passa au plan B. Elle approcha son visage de John et lui souffla dans le coup. Cette fois ci John fut complètement distrait et Elizabeth en profita pour marquer le but gagnant. John voyant cela, se tourna vers Teyla pour avoir des explication, mais celle –ci pour toute réponse lui sourit et alla rejoindre l’équipe gagnante pour les félicitées. John, lui, était dépité, il s’était fait avoir en beauté par la solidarité féminine ; mais il se promit de se venger. La nuit étant bien avancé, ils décidèrent que le tournoi de baby-foot était fini pour cette soirée. Ils partirent tous se coucher.


Teyla marchait seule dans le couloir qui la ramenait vers sa chambre, elle était contente de sa journée : elle avait rencontré la sœur de John, et cette dernière était très sympathique ; elle avait appris un jeu terrien, mais ce qui avait été le mieux dans sa journée c’est quand elle avait vu dans les yeux de John qu’il l’aimait, malheuresement pour elle un crétin de scientifique était passé par là empêchant John de l’embrassé. C’est alors que Teyla entendit quelqu’un l’appeler. Elle s’arrêta, se retourna et vit John venir vers elle.

John : vous avez été une vilaine fille ce soir Mlle Emmagan.

Teyla comprit de suite qu’il faisait allusion a la façon dont elle l’avait déstabiliser pour permettre à Sélène et Elizabeth de gagner. Elle prit un visage innocent

Teyla : Moi ? Mais qu’ai je fais ?

John : vous m’avez distrait afin d’aider ma sœur et Elizabeth à gagner, ce n’est pas très loyal, je dirais même que vous avez pactisé avec l’ennemi.

Teyla, prennent un air désolé : Mais ce n’étais pas mon idée, vous me pardonnez ?

John, souriant : je suis désolé, mais c’est une faute trop grave, il va falloir que je vous punisse.

Teyla commença a reculer mais se retrouva vite adossée à un mur, John se mit en face d’elle et s’appuya au mur en mettant un bras à la droite et à la gauche de Teyla l’empêchant ainsi de fuir ; mais de toute façon elle n’en avait aucune envie.

Teyla, avec un aire espiègle : il n’y a vraiment rien que je puisse faire pour éviter la punition ?

John, lui faisant un sourire taquin : c’est possible.

Ils se regardaient dans les yeux et on pouvait y lire tout l’amour qu’ils se portaient. John s’approcha encore de Teyla et lui caressa le visage, la jeune femme ferma les yeux sous ces douces caresses et passa ses bras autour de la taille de John. Ils approchèrent leur visage l’un vers l’autre, leurs lèvres allait se toucher quand ils entendirent des bruits de pas venants dans leur direction. Ils s’écartèrent l’un de l’autre à regret mais il ne fallait pas que quelqu’un les voit ainsi enlacés.

?: ha Major, vous êtes là, justement je venais vous voir.


John : Mckay, qu’est ce que vous voulez encore ?

Mckay : Eh, bien aujourd’hui on a trouvé un appareil et on pensait le testé demain mais pour cela on aurait besoin de vous.

John : n’y contez pas Rodney ; la dernière fois que je vous ai aidé pour une expérience je me sui retrouvé collé au plafond de votre labo pendant une demi-heure.

Mckay : Mais vous …

Notre scientifique fut interrompu par sa radio.

?: Rodney ? Ici Zelenka, j’ai besoin de vous au labo immédiatement

En entendant cela Mckay courut vers son labo laissant la conversation en plan. John se retourna alors vers Teyla pour finir ce qu’ils avaient commencé, mais elle avait profité de l’intervention de Rodney pour s’en allé, laissant un John très frustré. Mais qu’avait il bien pu faire aux scientifiques, cela faisait deux fois aujourd’hui qu’il était interrompu par l’un deux alors qu’il allait enfin embrassé le femme qu’il aimait. Il se rendit alors vers sa chambre en maudissant les scientifiques.

Au même moment, Sélène allait elle aussi se rendre à sa chambre quand Ronon l’interpella. La jeune femme stoppa sa marche pour qu’il arrive à sa hauteur.
Ronon : j’ai vu ce que vous avez fait pour gagner !
Sélène (d’un air innocent) : moi ?! Mais je n’ai rien fait du tout je jouais contre vous.
Ronon (secouant la tête) : vous avez trouvé le point faible de Sheppard et vous en êtes servit contre lui, c’est pas très jolis.
En entendent l’expression point faible la jeune femme sourit.
Sélène : alors vous aussi vous avez remarqué ?!
Ronon : bien sur tout le monde l’a vu mais il n’y a qu’eux pour ne pas s’en rendre compte.
Pendant toute leur conversation ils avaient continué à marcher et ils arrivèrent devant la chambre de la jeune femme.
Sélène : Et bien c’est là que je vous laisse.
Ronon : bon, mais plus de coût fourré je garde un œil sur vous.
Sélène : oh ! Il va falloir que je fasse attention quand j’irais prendre ma douche alors ! Bonne nuit.
Elle avait dit cela avec un sourire énigmatique et était rentrée dans ces quartiers. Ronon sourit, cette femme avait vraiment quelque chose de différent et ce n’était pas pour lui déplaire.

Lendemain matin 8h00 :

Teyla marchait en direction du labo qu’Elizabeth avait attribuer à Sélène espèrent y trouver cette dernière pour allé prendre son petit déjeuner avec elle car comme il n’y avait pas de mission aujourd’hui John allait encore dormir plusieurs heures. Elle regrettait maintenant d’être partit mais elle aimait le jeu qui s’installait entre elle et John, et puis si Rodney l’avait vu il se serait posé des questions. Teyla entra dans le labo et vit Sélène plongée dans son ordinateur, elle n’avait pas remarqué que quelqu’un était entré.

Teyla : bonjour.

Sélène se retourna et vit qu’elle avait de la compagnie.

Sélène : Oh, bonjour Teyla, excuse moi je ne t’avais pas entendu rentrer.
Les deux jeunes femmes avaient décidée d’un commun accord de se tutoyer.

Teyla : ce n’est rien, j’étais venu voir si tu voulais déjeuner avec moi.

Sélène : Oh, je suis désolé Teyla, tu sais le matin je ne prend qu’un café et …

Elle lui montra la tasse à côté de son ordinateur.

Sélène : demande à mon frère, je suis sûr qu’il sera ravit de prendre le petit déjeuner avec toi.

Teyla : ton frère dors encore, quand on a pas de mission il dors jusqu’à 10h00 généralement.

Selene : quoi ? Mais il m’avait promis de passer pour m’aider pour une expérience, j’y crois pas il a oublié.

Teyla : tu n’as qu’a allé le réveiller.

Selene, soupirant : non je peux pas, je viens de lancer une expérience et je ne peux pas la quitter des yeux.

Teyla réfléchit pendent 1 minute.

Teyla : je peux allé le chercher si tu veux ?

Selene lui sourit

Selene : tu ferais ça ?

Teyla : bien sûr si ça peut te rendre service.

Selene : Merci beaucoup.

Et elle vit sortir Teyla de son labo pour partir en direction de la chambre de son frère.
Une fois que Teyla fut sortit un sourire apparu sur le visage de Sélène.