Attirance et passion (Sheyla, bcp, et un peu de Mcweir.) (E)

Bien alors voilà ma première fanfiction. J'espère que vous serez indulgent. Je n'ai pas énormément de temps, mais j'essaierai de poster la suite régulièrement, enfin seulement si elle vous plait. Dan le cas contraire, j'en essayerai une nouvelle! Je suis ouverte à tous les conseils, et à la limite, si vous voulez quelque chose de particulier, vous pouvez m'envoyer un MP!
Auteur: Uniquement moi, sauf si des gens m'aident ou me donnent des idées, dans ce cas je coterai le nom dans le nouveau passage
Genre: Et bien, ayant revu des épisodes, j'ai voulu commencer par du sheyla. Il y aura un peu d'humour, pas énormément d'aventure mais plus de la romance dans le cadre de fêtes, moments guimauve^^ et autre.
Spoiler: Et bien, je pense que je vais réecrire divers épisodes de la saison 1 et 2. Je le dirai avant dans ce cas. L'histoire commence dans le 1er épisode de la saison 1, et j'espère pour vous que vous l'avez vu...(Sheppard est trop beau dedans!!)
Disclaimer: Rien n'est à moi, et je ne suis pas payé. Je le fais par plaisir car j'adore cette série et aussi John Sheppard (ou Joe Flanigan...)
Note: Je ne sais pas encore la longueur que prendra cette fic. et je ne connais pas les dialogues par coeur, même si je m'en rapproche, aussi excusez les fautes. Au moins le sens est le même

SPOILER SAISON 1 EPISODE 1 ET 2 (une nouvelle ère partie 1 et 2)

Teyla était assise avec ses compagnons, à table, et ils discutaient de tout et de rien. Teyla était heureuse, car les Wraiths n'étaient pas venus depuis quelques temps. Mais il lui manquait quelque chose de vital: l'amour. En effet, si elle attirait beaucoup de jeunes gens, ce n'était pas réciproque. Puis Hallin arriva, annonçant qu'il était avec des visiteurs. Elle sourit, pensant à l'arrivée matinale d'amis à eux, et lui dit d'entrer. Elle se leva. Hallin entra, suivi de personnes inconnues. Le premier semblait peu sympathique. elle ne put s'empêcher de remarquer que le deuxième était très séduisant: cheveux noirs en bataille, beau visage, torse musclé sous sa veste, belles mains, et des yeux pétillant de malice. Le troisième semblait facile d'accès et sympathique. Hallin lui murmura à l'oreille que ces hommes venaient faire du commerce. Soudain le deuxième eut un demi-sourire à faire fondre, enleva un appareil étrange qu'il avait sur sa tête et dit
"Excusez. Ravi de vous rencontrer"
Teyla ne se laissa pas troubler par lui, du moins extèrieurement, et se présenta
"Je suis Teyla Emmagan, fille de Tagan"
Le premier inconnu en ft de même pour lui et pour ses hommes:
"Colonel Marchal Sumner. Voici le major John Sheppard (Ce dernier esquissa un autre sourire et fit un léger signe de tête) et le Lieutenant Ford (qui salua de la tête). Nous avons des besoins précis et limités"
"Nous ne faisons pas de commerce, avec les étrangers" se contenta de répondre Teyla.
John s'avança alors et dit en jetant un coup d'oeil à son chef. Teyla pensa
*Qu'il arrête de sourire ainsi ou je vais fondre!*
"Alors peut-être, pourrions nous essayer de faire connaissance? (déclara ce dernier) En ce qui me concerne, j'aime le football universitaire et les fêtes foraines."
Le lieutenant se rapprocha de lui et lui murmura quelque chose à l'oreille, ce à quoi le major répondit. Teyla, sentant la bonne volonté de Sheppard, répondit
"Le matin, avant que le jour se lève, nous buvons un thé très fort, pour bien commencer la journée. (Elle esquissa un geste vers la table) Vous voulez vous assoire?"
"Jespèrai que vous nous feriez une proposition pareille. Comme ça, vous savez que j'aime aussi le thé."
Teyla ne put plus s'empêcher de sourire. Le major regarda son chef puis la regarda à nouveau. Teyla remarqua qu'il avait de magnifiques yeux marrons-verts. John dit ensuite
"Vous voyez, nous sommes quasiment amis!"



John entra dans une tente, en suivant le dénommé Hallin. il avait beau être sur une autre planète dans une autre galaxie, il se sentait toujours à l'aise. Son coeur manqua un battemant lorsqu'il vit la beauté que ce peuple avait pour chef. Longs cheveux bruns ondulés, yeux foncés brillant d'intelligence et de courage, dignité... elle devait être un très bon chef. Il ne put s'empêcher de faire ce demi-sourire, qui faisait craquer toutes les femmes, plusieurs fois quand il parla. il citait ses loisirs terriens, lorsque Ford vint lui dire à l'oreille
"Major, cela ne veux strictement rien dire pour eux"
"Je sais, mais j'essaye de briser la glace..." rétorqua-t-il entre ses dents. Il fut ravi lorsque l'Athosienne, apparemment intelligente en plus d'être belle, se glissa dans son jeu. Il faillit laisser échapper un soupir lorsqu'il vit le sourire sur ses lèvres...

Plus tard, après discussion avec le Marshal Sumner, qui décida d'aller visiter une ville abandonnée à côté, il retourna dans la tente de la belle jeune femme. Il lui sourit et dit d'un air content, s'en réjouissant presque à contre coeur
"Nous sommes plus que tous les deux maintenant"
Puis il vit l'Athosien derrière elle, et ne put se retenir de froncer légèrement les sourcils
"Tous les trois plutôt"
L'Athosienne dit
"Votre chef regarde à travers moi comme si j'était trasnparente...
- J'ai le même regard? (ne put s'empêcher de demander le major. Elle se rapprocha de lui et il frissona. elle le regarda droit dans les yeux:
-Non...Vous pourriez retourner sur votre monde si vous le vouliez?
-Non
-Je dois vous montrer quelque chose dans ce cas..."
Le major sourit et la suivit hors de la tente



Teyla tentait de se convaincre qu'elle l'avait invité à le suivre juste pour lui montrer les dessins des wraiths, mais elle savait qu'il y avait une autre raison. Elle sourit intérieurement. Elle venait à peine de le rencontrer, mais il lui faisait beaucoup d'effets. Soudain, elle entendit un glissement derrière elle. Elle vit le major Sheppard, qui venait de glisser, se relever précipitamment et se frotter les mains comme si de rien n'était. Elle sourit [J'adore ce passage! il me fait marrer]
Plus tard, ils arrivèrent dans la grotte. teyla voulait lui montrer divers dessins des sélections de mondes par les Wraiths. Tout à coup, le major Sheppard l'appela. il lui montra le fruit de sa découverte: un collier. elle eut un choc au coeur et balbutia:
"je...je l'ai perdu il y a très longtemps! Comment...
-Je l'ai vu briller à la lumière de la torche."
Il s'approcha d'elle et commença à lui attacher. ses mains frolèrent sa peau. elle frémit. Il avait les mains très douces...


Quelques jours plus tard, après que le major est sauvé Teyla et ses compagnons des Wraiths. Le docteur Weir avait organisé une petite fête en l'honneur des revenants, de la réussite de la mission et pour accueillir dignement les Athosiens. Cependant, John restait sombre. Il avit tué lui-même le colonel Sumner, et avait réveillé un terrible fléau pour la galaxie. Le docteur Weir cherchea à lui remonter le moral quand il lui dit penser ne pas leur avoir fait de nouveaux amis. elle lui montra tout le monde autour d'eux, riant, plaisantant et bavardant comme si de rien n'était. La superbe....non, Teyla, se corrigea-t-il mentalement, s'avança vers lui avec un sublime sourire. Elle posa ses deux mains sur ses épaules et pencha sa tête en avant. John resta un moment paralysé, puis se rappela avoir vu deux athosiens faire pareil. Alors il pencha lui aussi la tête en avant, touchant celle de Teyla. Leurs deux souffles se mélèrent, et il se sentait si bien qu'il serait bien rester ainsi. puis iols relevèrent la tête, et leurs regards s'accrochèrent
"Sachez que désormais mon amitié vous est acquise, ainsi que celle de mon peuple. Avec notre aide, vous vous ferez plein d'autres amis...!"


Teyla pensait simplement prouver son amitié en faisant le geste rituel des Athosiens, mais son coeur battait à tout rompre. elle cacha son émotion devant l'espoir qu'elle faisait de l'effet au beau major sous un sourire éclatant. Oh...le sourire de John, et ses yeux! Stop! Il est un personnage haut-gradé de nouveaux alliés, pas un petit ami potentiel!


Un an plus tard...

Teyla était couchée dans son lit. Ces temps-ci, elle ne cessait de penser au colonel Sheppard. il était si beau quand il souriait... et ses blagues! Il avait toujours le mot pour rire, dans toutes les situations. Et derrière ses apparences de militaire, se cachait un coeur généreux et tendre, courageux, un être intelligent...STOP!!!! Elle devait cesser de penser à John...euh au colonel ainsi. Pourtant, elle savait que l'attirance physique qu'elle éprouvait pour lui depuis le début s'était muée en une passion sans retour. Elle avait de plus en plus de mal à rester naturelle sous le regard de cet homme. D'ailleurs, elle était toute exitée, car ils devaient se rendre avec lui, McKay, le docteur Weir et Carson sur un planète. Ils y avaient été invité pour la plus grande fête de l'année. Elle sourit en pensant à McKay et Elisabeth. ils avaient beau se le cacher, c'était clair qu'ils ne se laissaient pas indifférents! Comment pourrait-elle s'habiller? Le colonel lui avait qu'il aimait la voir porter du rouge, lors de 'un de leurs entraînements. Il lui avait semblé à ce moment qu'elle ne le laissait pas indifférent. ils avaient toujours des sourires entre eux, comme si quelque chose de spécial les unissait...

John était lui aussi dans son lit, mais dormant d'un sommeil agité. Oh, il ne faisait pas de cauchemars, bien au contraire. Disons qu'il ne cessait de se retrouver dans des situations assez chaudes, voir carrémant...torrides avec une certaine Athosienne [Vous savez pas qui c'est? Allez, un petit effort!] Il se réveilla en sursaut en entendant son réveil. Dans 1 heure, il avait un entraînement avec...Teyla. John soupira rêveusement à cette pensée. Comment allait-elle s'habiller? Peut_être ce corset bleu moulant, qui s'arrêtait au-dessus du nombril? Ou alors...Il se morigéna intérieurement. Elle était sa meilleure amie et sa coequipière. Il ne pouvait pas penser à elle ainsi. Cela devait être la chaleur. En effet, on était en été, et malgré l'océan, il faisait assez chaud à l'intérieur. Il se voilait la face. Il savait qu'il était follement amoureux d'elle. Au début, il était déjà attiré par elle, mais cela était devenu un lien beaucoup plus fort. Ils avaient des sourires, des regards bien à eux. Et Mckay ne cessait de le taquiner là-dessus. Mais il ne savait pas si Teyla était juste flatté de ce petit jeu, ou bien vraiment amoureuse de lui. Et il n'osait se lancer de peur de briser le lien très fort qui les unissait déjà, sans être de l'amour. Il se sentit tout exité à l'idée de la fête. En effet, il voulait demander à Teyla d'être sa cavalière, à defaut d'être plus. Non...il devait se calmer. Une bonne douche, voilà ce qu'il lui fallait. Il se précipita dedans, et il commençait à se calmer, lorsque la voix qui dans ses rêves lui murmurait des choses peu catholiques, retentit
"Colonel, vous êtes là?"
Il sursauta, sortit de la douche, enfila vite fait un pantalon et alla ouvrir . La porte laissa apparaître...

Teyla avait fii par se décider à aller voir le colonel, selon elle pour simplement lui demander de l'accompagner sur le continent, inconsciemment parce qu'elle avait très envi de le voir. Elle calma son coeur qui battait un peu trop vite, mais ce dernier repartit de plus belle lorsque son beau colonel apparut...torse nu, et encore humide. Elle ne put s'empêcher de remarquer qu'il était très bien proportionné et musclé... Elle fut interrompue dans ses pensées par John qui déclara
"Teyla! Que me vaut l'honneur de votre visite"
Teyla lui sourit et déclara d'une voix qui se voulait calme et naturelle
"Et bien, comme je sais que vous n'avez rien de prévu aujourd'hui à part notre entraînement, est-ce que vous accepteriez de m'emmener sur le continent? Je sais que vous deviez y aller pour choisir votre tenue pour le fête."
John lui fit son célèbre sourire "auquel aucune fille ne résiste"
"Oui, ce serait avec grand plaisir. Laissez-moi juste le temps de m'habiller correctement et d'aller prévenir le docteur Weir."
Ainsi il rentra à nouveau dans sa chambre, enfila un T-shirt noir typiquement sheppardien, ressortit, en tenant à la main un étrange objet, inconnu de Teyla. Une sorte de planche avec deux roues en haut et deux autres en bas. Elle demanda, alors qu'ils se dirigeaient vers le bureau du docteur:
"Que tenez-vous à la main?
-Oh, ça! Sur Terre, on appelle ça un skate-board. J'avais expliqué ce que c'était aux enfants athosiens, et je leur en ai apporter plusieurs. Je leur ai promis une démonstration lors de ma prochaine visite.
-Cela m'intrigue...
-Vous pouvez venir si vous voulez (lui dit-il avec un sourire)
-Merci. dans ce cas, je vous accompagnerai puis irai ensuite choisir ma robe, ou du moins ma tenue.
-Vous avez déjà une idée?
Elle eut un sourire malicieux
-C'est une surprise"
Sur ce, après avoir prévenu le docteur Weir, ils partirent en jumper sur le continent. Ils se sentaient bien, car ils parlaient de tout et de rien, puis au fur et à mesure de la conversation, se dévoilèrent peu à peu. John raconta son enfance, sa famille morte quand il était jeune. Comment il avait voulu depuis toujours voler, et était donc entrer dans l'armée. Comment il était arrivé sur Atlantis. Teyla, elle, parla de sa mère, morte tôt, de son père, enlevé par les Wraiths. De comment elle était devenu chef, sa solitude. John intervint à cet instant, d'une voix douce
"Mais vous n'êtes plus seule maintenant...
John se maudit intérieurement. Ses mots étaient aller plus vite que sa pensée. En effet, quand Teyla avait dit qu'elle était célibataire et seule dans son peuple, il n'avait pu s'empêcher d'intervenir. Maintenant elle le regardait étrangement:
-Que voulez-vous dire?
-Et bien...
Il fut sauvé parce qu'ils étaient arrivés. Il changea avec joie de sujet, mais cela avait mis une gêne entre eux.

Attention, cours passage NC-17, mais léger

Les enfants Athosiens les entourèrent dès qu'ils arrivèrent, poussant des cris de joie. Ils adoraient évidemment Teyla, et le colonel étaient admirés par tous.Teyla avait tout de suite été impressioné par la façon qu'il avait de s'attirer soit les pires ennuis, soit les amitiés es plus solides. Il faisait déjà craqué les petites filles avec son sourire! Teyla sourit en y pensant. Les garçons avaient emmenés leurs skates. Ils se dirigèrent tous ensemble vers un endroit spécialement aménagé pour faire du skate. John prit le sien, et commença sa petit démo. Il commença par truc très simple, puis enchaîna avec des figures plus compliqués, pour finir sur un saut. Quand il était plus jeune, il passait son temps à en faire, quand il ne travaillait pas ou ne faisait pas de foot. Tous les enfants l'acclamèrent. Teyla, elle, était subjuguée. Elle ne s'attendait pas à ça de sa pat. il l'étonnerait toujours. Elle le fixait. De plus, ses dernière paroles résonnaient dans sa tête. Qu'avait-il voulu dire? Elle n'eut pas le temps d'y réfléchir davantage car des amies à elle l'entrainaient vers une maison pour qu'elle choisissent sa robe, ou du moins sa tenue.

John la regarda disparaître avec une pointe de regret, mais aussi de satisfaction car il lui semblait qu'elle avait été impressionée par son show de skate. Le reste du peuple, en tout cas, était subjugué! Tous lui firent une véritable ovation. Il était gêné et commençait à avoir chaud. Feignant un léger mal de tête, il se retira dans une maison un peu éloigné dont il avait fait son fief, lors de sa première visite au peuple des Athosiens. Tous respectaient son intimité et nul ne pénétrait dans la maison lorsqu'il n'était pas là. Un matelas assez grand était placé dans un coin. Il retira son T-shirt, fit un feu, posa sa tête contre le mur et commença à somnoler.

Teyla avait fini par se décider. Elle avait soigneusement empacté sa tenue [je garde la surprise pour la fête], et l'avait placée à l'arrière du vaisseau. Comme il allait bientôt faire nuit, elle fut surprise de ne pas voir le colonel avec les enfants, l'attendant pour repartir, puis inquiète lorsque Hallin lui dit qu'il ne s'était pas bien senti. Elle paniquait car elle ne savait pas où le chercher. soudain, elle sut où il était. Après avoir pris une pomme dans son sac, elle se dirigea vers la petite maison à l'écart, isolée. C'était un havre de paix, loin des chamailleries, des dicutions. Teyla toqua doucement à la porte, et n'entendant pas de réponse, entra. Elle se figea, et un sourire apparut sur ses lèvres en voyant John somnolant doucement, face au feu. Il était si beau, si paisible, si attendrissant! Ce dernier ouvrit les yeux en sentant un regard sur lui. Teyla s'assit à côté de lui, en face des flammes.
"Je voulais être sûre que vous alliez bien, j'étais inquiète..."
Elle se tourna pour exposer son dos à la chalaur, et être face à John. Avec la tiéduer de la nuit et le feu de cheminée, il était lustré de sueur.
"En vérité, je me suis senti gêné quand ils ont manifesté leur...enthousiasme"
répondit-il avec un sourire. Le son de sa voix fit frissoner Teyla, comme si elle était pris de faiblesse. Le regard de John, plongé dans le sien, l'emplit de toute la puissance contenue du jeune homme. Elle sentit que son souffle s'accélérait. Elle ne s'était jamais senti aussi détendu. En sécurité. En même temps, la tension qu'elle éprouvait ne ressemblait à rien qu'elle eut connu; Une expérience troublante... Elle détacha ses yeux de ceux de John et les laissa errer sur d'autres parties de son visage: son nez, ses joues, son menton. Quand ils se posèrent sur sa bouche, elle avisa qu'il faisait vraiment une chaleur torride dans cette maison. On pouvait facilement perdre la tête... Croisant de nouveau le regard de John, Teyla sortit la pomme de sa poche et mordit dedans lentement pour laisser l'empreinte de ses dents; Sur une impulsion, elle mit le pomme devant la bouche de son ami pour qu'il en prenne aussi une bouchée. Au lieu d'un fruit, si elle avait pu poser ses lèvres sur les siennes! Et pourquoi pas? Devrait-elle mourir en mission sans connaître la joie qu'il pouvait lui offrir? Sans cesser de le regarder dans les yeux, Teyla poussa plus fort la pomme contre les lèvres de John. elle le désirait tant que s'en était douloureux. et elle croyait lire dans les yeux du colonel un écho de son désir. ce désir se répandait dans son corps comme une délicieuse faiblesse... Timidement, elle retira la pomme, et du jus coula sur son menton. Teyla se rapprocha doucement, et lécha cet enivrant nectar. Son compagnon ne bougea pas, leurs visages si près l'un de l'autre qu'elle sentait son haleine chaude et douce lui caresser les lèvres. La logique et la raison s'évanouirent de son esprit, remplacées par des pulsions et des promesses pleines d'épanouissement. John se rapprocha doucement, et posa ses lèvres dans son cou. Sentir l'humidité de sa langue la faisait frissoner comme jamais. Le coeur battant la chamade, Teyla gémit. une tendre chaleur se répandit dans sa poitrine, tandis que John continuait son exploration. Les doigts de la jeune femme coururent le long du menton du jeune homme, descendirent sur son cou puis sur son torse. A genoux au dessus du jeune homme, elle dessina des cercles autour de ses muscles félins. Tendrement mais fermement, elle le renversa sur le dos. Sans résister, il la laissa se pencher vers lui, lais mains à plat sur sa poitrine pour se soutenir. La délicate texture de sa peau et la dureté de ses muscles surprirent Teyla, sensation grisante qui s'ajouta à la moiteur délectable de la sueur. John, lui ne comprenait pas ce soudain revirement de situation, mais il en était ravi. Il désirait la jeune femme depuis si longtemps qu'il ne réfléchissait plus. De plus, il était curieux de voir ce qu'elle allait faire. il passa une main dans ses cheveux, savourant ce contact. Sa peau mat luisait à la lueur du feu, la rendant plus belle que jamais à ses yeux. Mais il ne restait pas en reste tout de même. Il profitait de cette proximité pour laisser ses mains balladeuses satisfèrent leurs envies d'exploration. Teyla se saisit brusquement de ses lèvres, et ils échangèrent un baiser plein de passion. Un genou plauqé contre sa hanche, la jeune femme glissa une jambe entre les siennes et se pencha davantage, après avoir libéré ses lèvres. Entre ses genoux, les muscles de la cuisse de Joh se tendirent, accélrant les battements de son coeur. Un instant, elle se noya dans les yeux du jeune homme, ces puits jumeaux qui la mettaient à nue. Sa lâchant d'une main, Teyla déboutonna le haut du T-shirt de John et le sortit de son pantalon. Toujours en équilibre sur un bras, à une distance délicieusement tentatrice du corps tant désiré, elle glissa une main sous la tête de John et lui caressa tendrement les cheveux. Une main puissante s'insinua sous la chemise de la jeune femme, lui caressa le creux des reins, dessina des petits cercles, remonta le long de la colonne vertébrale et s'immobilisa entre ses omoplates. Le jeune homme, lui, perdait complètement la tête. Teyla venait de pencher la tête en arrière, gémissante, attendant ses moindres caresses. Il renversa la situation et se retrouva au-dessus d'elle.
Il allait continuer plus loin lorsque l'on frappa à la porte, et on les appela. Cela les sortit de leur transe et ils se relevèrent, gênés. Les deux avaient les cheveux en bataille, les habits froissés, surtout John qui avait aussi le haut de son T-shirt ouvert. En s'évitant du regard, ils allèrent ouvrir. Mckay se tenait sur le seuil. ce dernier commença à expliquer, dans tous ses états, qu'on s'était inquiété à la base, et qu'on l'avait obligé à quitter son labo et à venir les chercher en jumper. Il s'arrêta au milieu d'une phrase en remarquant enfin l'état dans lequel ils se trouvaient. Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres
"Je me demande ce que vous faisiez de beau..."
John le foudroya du regard
"Rien du tout. J'avais mal à la tête et Teyla est venue voir si j'allais bien. puis nous avons...discuté."
Teyla acquiesca de la tête, ne regardant pas le colonel. Rodney eut un sourire en core plus grand. Ils se doutaient qu'ils finiraient ensemble. Par contre, ce qui l'étonnait, c'est que eu lieu d'avoir l'air de vivre le grand amour, ills semblaient extrèmement gênés l'un envers l'autre. En effet, les deux ne savaient que penser. Tout avait été si vite! Il fut décidé que le colonel rentrerait seul dans son jumper et que Teyla monterait dans celui de Rodney.

Pendant les semaines qui suivirent, John et Teyla s'évitèrent, au grand désespoir de cette dernière, qui n'arrivait toujours pas à comprendre comment elle avait pu faire le premier pas. Mais elle ne cessait de se demander si John avait répondu par amour ou par désir. Elle mangeait moins, et passait pas mal de temps en selle d'entraînement. Ronnon, comprenant qu'elle avait besoin de compagnie, passait de plus en plus de temps avec elle, pour la soutenir. Ronnon maudissait le colonel d'être si hésitant, et de faire souffrir celle qu'il considérait comme sa petite soeur. Cependant, il arrivait parfois à Teyla de repenser à ce qui s'était passé et de sourire béatement. Alors, les autres la regardaient étrangement. Elle voyait souvent John la regarder, pensif, comme si il cherchait à lire quelque chose en elle. Et quand leurs regards se croisaient, il partait, gêné. Elle ne comprenait pas sa réaction. Il lui sembalit qu'il pérouvait plus que de l'amitié pour lui, mais dans ce cas, pourquoi ne venait-il pas la voir? La fête approchait, et elle espèrait que ce serait le coup de pouce pour leur aventure.


John était dans sa chambre, pensif. La scène qui s'était déroulée sur le continent ne cessiat de repasser sur sa tête. Il ne savait ce qui ce serait passé si Rodney n'était pas venu. Cependant, il n'arrivait pas à croire que Teyla puisse être amoureuse de lui, car, tout simplement, il avait bien vu que Teyla s'était rapprochée de Ronnon, et il était jaloux. Par moment, il regardait Teyla, se demandant qui elle aimait finalement: lui, Ronnon, aucun des deux? Comment savoir! Il ne voulait pas briser le peu qu'il restait de leur amitié. Puis il en eut assez. Il voulut redevenir l'ami qu'il avait été avant pour Teyla, si il ne pouvait être plus. Il commença par essayer de plus souvent parler à Teyla, lui sourire, être sympathique. Et il décida de jouer le tout pour le tout le jour de la fête. Les entraînements recommencèrent entre eux, mais ils ne parlaient plus de choses sérieuses, seulement de banalités. Un jour, après leur entraînement, John demanda à teyla, hésitant:
"Teyla, j'ai quelque chose à vous demander...
-(Teyla, surprise de cette hésitation du colonel en général si sûr de lui)Oui colonel?
-Vousavezuncavalierpourlafête? (demanda-t-il d'une traite)
-Pardon???
-Vous avez un cavalier pour la fête?
Teyla sourit intérieurement. Allait-il enfin se lancer? Elle répondit innoncamment
-Non, pourquoi?
-Vous voulez...être ma cavalière??
Il toussota et reprit plus distinctement
-Voulez vous m'accompagner?
Teyla eut un vrai sourire cette fois
-Ce serait avec plaisir colonel!
John sourit enfin, soulagé.

Le jour de la fête arriva. Teyla était anxieuse, mais splendide. Elle portait une ample jupe châtaigne. Son chemisier de fin côton était réhaussé par un corselet rouge à lacets qui révélait sa taille et sa poitrine. Ses cheveux, lâchés, clairs comme un soleil au zénith, tombaient en une pluie d'or sur ses épaules. Elle était belle et naturelle. On vint frapper à sa porte, et elle reconnut avec joie la voix de son colonel.
"Mademoiselle est prête?"
Elle rigola doucement et ouvrit la porte. Les deux restèrent un instant immobiles à se dévisager. Teyla trouvait le colonel si beau! Il portait un jean délavé, une chemise crème légèrement déboutonnée en haut avec par-dessus une veste noire. Puis se rendant compte qu'ils se fixaient, ils rougirent et partir vers la salle d'embarquement. Et...surprise! qui croisèrent-ils dans le couloir? Rodney et Elisabeth en train de s'embrasser. John et Teyla, ne voulant pas les gêner, firent un détour et arrivèrent au jumper. Quelques minutes plus tard, les deux tourteraux vinrent les rejoindre, un peu rouges. Les deux autres ne firent aucune remarque, et tous partirent vers la fête dans une bonne ambiance.

Lors de cette fête, chacun devait monter sur scène pour présenter quelque chose avec son cavalier. John et Teyla en avaient discuté et avaient finalement décidé que Teyla danserait sur un morceau de guitare joué par John. Aussi, quand ce fut leur tour, John y alla, suivit par Teyla qui avait légèrement retroussé sa jupe pour avoir plus de liberté de mouvements. John accorda sa guitare, et commença doucement à jouer, d'une main, puis le morceau prit de l'ampleur et de la difficulté. Alors, Teyla commença à danser quelque chose qui se rapprochait du flamenco. John était émerveillé par Teyla. Sa prestation lui serrait le coeur. Elle était si belle, si investie dans sa dance, qu'il mourrait d'envie de l'embrasser. Teyla, elle, était éblouie par ce qu'elle découvrait chez John: Une grande sensibilité que son métier de militaire ne laissait pas deviner. On sentait de l'amour dans sa chanson, mais pour qui? Elle avait l'impression que la chanson lui était dédiée, mais était-elle aveuglée par ses propres sentiments? Le public les regardait avec envie, car même si cela échappait aux deux protaganistes, on voyait que chacun jouait ou dansait pour l'autre. Ils n'étaient pas capables de s'avouer leur amour de vive voix, alors ils le faisaient par l'intermédiaire de la musique. A partir du milieu du morceau, à part les moments où la musique les obligeait à regarder ce qu'ils faisaient, ils ne se quittèrent plus du regard. A la fin du morceau, ils restèrent plongés dans les yeux les uns des autres, comme à l'écart de tout. Les applaudissements les sortirent de leur transe. Ils rougirent , saluèrent, et descendirent de la scène. Teyla, par contre, était extrèmement fatiguée. John ne s'en était pas rendu compte, et il profita d'un morceau particulièrement pour proposer de danser à Teyla. Cette dernière refusa gentiment et avec beaucoup de regrets, car ses jambes la faisaient trop souffrir.
"Mais qui vous demande d'utiliser vos jambes?" s'écrita-il en la prenant par derrière et en la soulevant dans ses bras. Avant qu'elle ait pu dire quoi que ce soit, il la faisait déjà tournoyer au milieu des autres couples. Rodney trouva l'idée exellente et fit de même avec Elisabeth. Les cris de surprise des deux jeunes femmes se changèrent en rire et leurs yeux pétillèrent. John était fou, elle était si belle. A chauqe tour, elle se serrait un peu plus contre lui. Son coeur battait à tout rompre. Les yeux de l'un n'existaient plus que pour l'autre. Les gens autour d'eux arrêtèrent de danser et les regardèrent, un sourire aux lèvres, amusés, et heureux pour eux. John et Teyla, eux, ne s'étaient rendus compte de rien. Le monde extèrieure sétait envolé, leurs soucis, leurs problèmes, leurs raisons de se battre ou d efuir avaient disparus.
Puis, la musique ralentit, les chants faiblirent. Délicatement, John souleva sa partenaire au-dessus d elui et la reposa droite sur le sol à la fin de la chanson. Teyla était sous le charme, sa tête tournait encore, elle n'osait bouger. Elle fut encore plus troublée lorsque, fort de son effet, il la salua pour la remercier. Le rouge lui monta aux joues. L'assistance les applaudit. John s'était retrouvé gpené par les applaudissements. Il ne s'y attendait pas. Il fit un sourire emprunté, et prenant sa partenaire par la main, il la fit sortir de l'atroupement qu'avait crée leur couple. Essouflés, retournés par leurs sentiments et confus, ils ne savaient plus comment se parler. La convenance aurait été de se séparer, mais aucun des deux ne pouvait s'y résoudre. Ils marchèrent l'un à côté de l'autre, sans but, sans prononcer un mot.
Ils avaient dépassés l'entrée du village et un flanc de la colline s'élevait devant eux. Ils continuaient leur chemin, laissant derrière eux la dernière grange un peu isolée. Le soleil couchant nimbait de rose les ommets des montagnes. Le vent se leva soudain, et des frissons gagnèrent le couple. John, dont la veste était chaude, la défit, et la proposa à Teyla. Celle-ci refusa
"Oh...vous devez avoir aussi froid que moi... et puis ma chemise est assez chaude
-Ma veste est suffisamment grande pour deux. J'allais;..vous proposer une place au chaud. répondit-il en tendant légèrement les bras.
Teyla sourit et même rougit pour la deuxième fois. Elle en rêvait!
-Je devrais peut-être accepter, ma chemise n'est pas si épaisse que ça." dit-elle en fausse excuse pour se rapprocher de lui.
Tout chose, elle plaça son dos contre son torse. Avec uen absolue tendresse, il ramena le vêtement sur elle en fermant les yeux. Elle était dans ses bras! La tête contre sa joue. Il sentait sa chaleur. Il la serra légèrement avec l'envie de ne plus jamais la laisser repartir. Teyla, elle, se sentait si bien dans cette étreinte protectrice. Elle aurait pu rester une éternité ainsi, dans les bras de l'homme qu'elle aimait. Il était si adorable! Il n'y avait que lui qui pouvait la faire se sentir aussi bien, aussi rassurée, qui pouvait la faire rire dans toutes les situations.
Ils restèrent là, figés, à regarder le soleil se coucher. Des étoiles commencèrent à s'allumer au-dessus du couple. Il ne restait plus qu'une bande rouge étendue sur l'horizon. Les dernières nuances du soleil s'estompaient sur les champs au gré des nuages et les rivières perdaient leur couleur sang pour briller avec celle de la nuit.
Leur passivité, leur bien-être leur faisaient délaisser la réalité. Ils étaient seuls, perdus dans le temps et la vie, somnolant de bonheur.
Lentement, John risqua sa jour sur la tempe de la jeune femme. Elle le sentait se diriger vers ses lèvres. Ses paupières se fermèrent, et leurs lèvres se joignirent avec toute la douceur de leur amour, de leurs sentiments. Lorsqu'ils se séparèrent, front contre front, John sourit charmeusement. Teyla ne put s'empêcher de reprendre ses lèvres, mais cette fois avec toute la passion contenue depuis tout ce temps, la fougue qu'elle avait en elle. John murmura un "Ouahou" lorsqu'ils se séparèrent pour reprendre leur souffle
"Teyla...je t'aime"
Teyla sourit. Enfin il l'avouait. Enfin ils s'étaient trouvés
"Moi aussi"
Puis, elle demanda, curieuse
"Après ce qui s'est passé sur le continent, pourquoi ne pas être venu m'en parler alors?
John se sentait franchement stupide
-Je pensais que tu préférais Ronnon...
Teyla soupira et le réembrassa
-Imbécile...
John lâcha les lèvres de Teyla, et descendit vers sa gorge. Ses mains passèrent sous la chemise de la jeune femme et caressèrent la peau douce. Le désir monta doucement.
A ce moment là, Elisabeth et Rodney arrièvèrent, les cherchant. Comme il faisait noir, ils ne virent la situation dans laquelle ils venaient de surprendre John et Teyla, qui se séparèrent immédiatement en échangeant un sourire complice et frustré, et leur dire
"Vous venez? Nous avons promis aux Athosiens (qui avaient aussi été invités) de les raccompagner sur le continent."
Les deux autres acquiescèrent, mais avant de repartir, Teyla se serra contre John et lui souffla à l'oreille
"Nous avons un...travail à achever...dans ta maison. Une pomme, je crois, que nous n'avions pas fini de manger."
Elle augmenta sa pression contre la hanche de John et s'autorisa un sourire en coin qui manqua lui coupper le souffle. Non sans peine, il détacha son regard de la jeune femme, et avec presque de l'impatience, doubla Rodney et Elisabeth, et s'exclama
"Allons-y! Il ne faudrait pas faire attendre les Athosiens, ou Athosienne..."
finit-il en regardant Teyla avec insistance. Cette dernière rigola doucement, et partit à leur suite.



Voilou! Alors, j'hésite à clore ici ou pas l'histoire. Dites moi ce que vous en pensez dans le sujet réservé à ça!

Passage léger NC17

John pilotait le jumper, avec à ses côtés Teyla. Derrière la séparation fermée, des Athosiens étaient assis. Elisabeth et Rodney étaient dans un autre jumper avec la deuxième partie des habitants du continent. John et Teyla ne cessaient de se regarder, quand John pouvait quitter l'espace des yeux, et le désir montait, prenant possession de leurs corps. De plus, Teyla, taquine, se leva, se mit derrière John et passa ses mains sous sa chemise. Ce dernier frémit, et gémit très bas
"Pas maintenant, Teyla, s'il te plaît!"
Elle éclata de rire devant sa réaction, que son pantalon moulant laissait voir, mais continua tout de même, l'embrassant derrière l'oreille, puis descendant. Elle aussi le désirait, énormément, et des pensées pas très catholiques ne cessaient de traverser son esprit. Est-ce que John était un bon amant? Selon sa réputation, oui. Et l'étincelle qui brillait dans les yeux de son colonel lui prouvait qu'elle allait regretter de le mettre à cran ainsi. Lorsqu'ils arrivèrent, John réussit tant bien que mal à se calmer, mais ils s'esquivèrent rapidement vers le fief du colonel, sans se concerter. A peine la porte refermée, il la plaqua contre le mur et l'embrassa d'abord doucement, puis passionément. Leurs langues se mélèrent dans un duel ou il n'y avait ni perdant, ni vaincu. Les mains de John glissèrent doucement sur sa taile, traçant des ronds, des lignes invisible qui la faisaient frémir. Bientôt, elle se retrouva sans corset. Ses boutons de seins se dressaient contre le coton de sa chemise. John la regardait, comme hypnotisé. Lentement, il effleura du bout des doigts le sien gauche, caressent la pointe à travers le tissu, ce qui la fit haleter de plaisir. Ses vêtements parurent insupportables à Teyla. D'un geste vif, elle se débrassa de sa chemise et le colonel s'occupa de son soutien- gorge. Le regard de John parcourait son corps avec adoration et désir. Il la fit s'agenouiller, et il se mit à genoux devant elle. Il l'embrassa à nouveau fougueusement, puis laissa ses lèvres descendre lentement vers les territoires inexplorés. Il s'amusa à tracer le contour de sa pointrine, puis la caressa doucement . Puis une main passa sous son sein, caressant d'abord, soupesant, pressant doucement. Les lèvres de John allèrent jusqu'au bouton, qu'il mordilla doucement. Puis il se mit à sucer et elle gémit de délice. Lorsqu'il descendit encore, elle se cambra violemment, le souffle court. Il l'allongea, et fit descendre la jupe jusqu'à ses mollets, pour l'enlever enfin. Il couvra de baisers sa toison, puis, joueur, il glissa sa main entre les jambes de la jeune femme, caressent la douce peau à l'intérieur, mais sans rien faire de plus. La culotte suivit le même chemin que la jupe. Alors, il embrassa doucement l'extèrieur de la cuisse, puis se dirigea vers son intimité. Elle écarta inconsciemment les jambes. Alors, il explora sans plus s'arrêter. Teyla gémissait, cambrée au maximum. Elle avait sa réponse à la question de tout à l'heure. Il était bien plus douée qu'elle ne l'espèrait. Ses mains caressaient ses cheveux, s'agrippaient quand une vague de plaisir la submergeait. Il savait vraiment s'y prendre. Puis il se redressa, mouilla légèrement deux doigts et la pénétra avec. Il la touchait juste où il fallait. Elle ferma les yeux et s'abandonna au délice qui l'envahissait. Ses hanches se soulevaient et s'abaissaient en mesure. Comme elle perdait le contrôle, il se retira, la faisant grogner de frustration. Il rigola doucement devant sa réaction, même si il ne la désirait que encore plus en la voyant abandonnée à ses moindres caresses, implorante. Mais Teyla n'avait pas dit son dernier mot. Elle retourna la situation et se mit sur lui. Le T-shirt partit rejoindre ses propres habits. Elle l'embrassa, puis lui murmura à l'oreille
"A toi maintenant"
Le jeune homme fut surpris mais ravi de cette annonce. Teyla embrassa doucement son oreille, puis à son tour, descendit vers le torse du jeune homme. Ses mains enlèvèrent le pantalon, en prenant soin de frôler sans interruption le sexe en érection du jeune homme, qui se mit à son tour à gémir. Lorsque le boxer et le pantalon furent très loin, elle eut un sourire coquin, et le caressa doucement, puis de plus en plus rapidement, lui faisant subir la même chose que ce qu'elle avait vécu. Il n'en put plus, se mit au-dessus d'elle, et la pénétra. Elle gémit son nom à ce moment là, et lui se sentit complètement perdre la tête, surtout lorsqu'elle commença à bouger contre lui. Il cala son rythme avec le sien, et plus les mouvements étaient rapides, plus le plaisir montait. Lorsque la vague les emporta, ils crièrent en même temps. Il retomba sur elle, en sueur. Puis il sortit doucement d'elle, à leur plus grand énervement. Alors il la porta sur le lit, où ils s'endormirent.
Le lendemain, ils rentrèrent rapidement, car ils avaient un briefing à 10 h. Ils ne cessaient de se sourire, de se frôler, de se faire du pied, tout cela dans la plus grande discrétion.Les autres voyaient que quelque chose avait changé entre eux, mais sans trop savoir quoi.
Deux semaines plus tard, personne n'était au courant. Mais on se doutait que le colonel voyait quelqu'un, car la nuit, on ne cessait de le voir dans un quartier d'habitation opposé au sien. Et puis il n'était pas très discret, au contraire de Teyla, si bien que personne ne soupçonna leur couple. Un matin, alors que tous deux dormaient dans le lit de Teyla, car il n'était que 5 h et ils avaient eu une nuit plutôt agité, on frappa à la porte. Teyla se réveilla en sursaut, et sauta du lit, arrachant un grognement à sheppard qui dormait. Elle demanda à l'invité d'attendre, pendant qu'elle se rhabillait. Puis elle alla ouvrir, trouvant avec surprise Rodney devant sa porte
"Qu'est ce que vous faites là, à 5 heures du matin?"
Rodney semblait très gêné, puis finit par se lancer
"Voilà. ce n'est un secret pour personne, je suis nul en auto-défense et...j'aimerais que vos me donniez des cours."
Teyla était étonnée, car Rodney reconaissait rarement ses défauts et ses points faibles. Elle acquiesca
"Mais que cela reste entre nous, s'il vous plait! Si la colonel Sheppard était au courant..."
Ce dernier, d'ailleurs, avait tout entendu, et sans penser aux conséquences, vêtu seulement d'un boxer et d'un T-Shirt, était apparu aux côtés de Teyla, fisant Rodney avec de grands yeux. Ce dernier lui rendait la pareille parce que le voir ici, habillé ainsi, le surprenait, et le gênait à cause de la confidence qu'il venait de faire. Teyla était devenue rouge pivoine. Le silence dura quelques instants, jusqu'à ce que Rodney crie d'une voix suraigu
"Colonel Sheppard! Vous êtes avec Teyla???"
Tous les gens aux alentours l'entendirent au grand désespoir de John, qui venait de se rendre compte de sa gaffe. Son regard croisa celui de Teyla, et tous deux furent pris de fou rire. De toute façon, ils s'aimaient, alors pourquoi se cacher?