J'ai tout oublié !!! [Song-Fic sheyla]

Auteur: Clélia
Saison: HS je pense
Disclaimer: Rien à moi, tout aux autres !!!
Note de l'auteur: Alors voilà cette chanson m'a inspirée donc je m'y suis mise !!!

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Voilà deux ans que nous nous sommes séparés, je vis près de toi mais tu ne le sais pas, je me suis toujours caché lorsque je te croisais dans la rue. Ou alors est-ce toi qui vis près de chez moi, je ne sais plus. Je vis dans un monde de chimères, où plus rien n’a d’importance à part toi. Chez moi, il n’y a que toi et personne d’autre, je pense parfois que je suis mort et que tu vas rentrer ici comme si tu étais chez toi et que je te verrais évoluer dans cet environnement qui est la mien mais qui est aussi le tien même si tu ne le sais pas. J’achète toujours par deux, comme si nous étions toujours ensemble, comme si tu n’étais jamais partie. Elizabeth et Rodney viennent parfois me voir évoluer dans cet appartement tel un fantôme hantant un château, je leur fais peur mais ils continuent à venir. J’ignore pourquoi.

A deux pas d’ici, j’ai égaré ce que j’étais
Mon nom ne me dit rien, ni la photo sur mes papiers
On peut bien m’appeler untel ou untel
Sans toi peu m’importe qui m’appelle.

Voilà deux ans que nous sommes séparés, je vis près de l’endroit où tout à finit, où ma vie s’est écroulé. Je n’ai pas pu me résoudre à quitter les endroits où le bonheur est encore présent. Mes nouveaux papiers sont arrivés depuis longtemps, je suis désormais terrienne. Je suis Teyla Emmagan, née En Tanzanie, il y a des années. Mon existence est officielle mais suis-je vraiment cette jeune femme souriante qui est sur ces photos. Ce n’est que l’image d’une journée révolue, d’un bonheur qui ne tenait à rien du tout en fait, qu’à une bonne entente entre deux individus de sexe opposés. N’est-ce pas ces propres mots. Ca fait si mal quand on y pense. Elizabeth et Rodney viennent me voir de temps à autre, ils entrent et me prennent dans leur bras. M’appelant Teyla. Je ne suis plus personne depuis que tu m’as quitté depuis que tu m’as oublié dans les bras d’une autre.



Je ne rentre dans les magasins qu’en cas d’extrême nécessité, je rentre la tête basse sans regarder personne, sans parler à personne, plus de bonjour et plus d’au revoir, je ne sais plus

Le parfum des beaux jours
Je le sens plus

Les jours sont fades et sans intérêt, pourquoi sortir alors que je serais seul(e) à refaire le chemin de notre bonheur

Comment fait-on l’amour
Si j’avais su

Il n’y a plus eu personne après toi, j’ai bien essayé de t’oublier dans les bras d’un(e) autre mais rien n’efface ton image.

J’ai tout oublié
Quand tu m’as oublié.

Je ne sais plus rien, je ne fais plus rien, plus rien n’a d’importance, je n‘aime plus rien. Tout est mort, comme moi.



Plus personne dans ma vie, plus de mots doux à te susurrer à l’oreille, ils sont coincés dans ma gorge et e veulent plus sortir.

Et le sens de l’humour.
Je l’ai perdu

Je suis devenu(e) morose et le rire ne me sert plus que de moyens de défense contre ceux qui veulent me faire oublier tes bras.

Comment faire l’amour.
Si j’avais su.

Deux ans d’abstinence ne me font rien, j‘ai perdu(e) mon l’amour et de tous ses plaisirs

J’ai tout oublié.
Quand tu m’as oublié.


A deux pas d’ici, j’ai essayé de revenir.
De mettre un peu d’ordre à mes idées, les rafraîchir.

Je me suis arrêté près de cet endroit maudit où l’on s’est séparé ; Je me suis assis sur le banc, te souviens-tu du banc où nous nous sommes aimé et séparé ? Penser à autre chose, voilà ce que j’aurais pu faire, essayer de passer à autre chose, de faire la part des choses, de te mettre dans un coin de ma tête et sans t’oublier, te reléguer au rang d’ex. Je n’y parviens pas.

Je me suis coupé les cheveux, j’ai rasé les murs.
Ce que j’ai fait, je n’en suis pas sûr.

Depuis que nous nous sommes séparé, je ne pouvais plus me supporter, je me suis coupé es cheveux, je dirais même que j’ai tout rasé, je ne supportais plus de toucher les cheveux dans lesquels tu passais tes doigts alors que nos faisions l’amour. Ils ont repoussé mais je ne les supporte toujours pas. Je sors, je suis oppressée de rester chez moi, il faut que je sorte avec tous mes souvenirs. Evacuer cette angoisse qui m’étreint. Je rase les murs, la tête basse, je ne sais plus ce que je fais, je retourne là où tout a commencé et où tout a fini.



Tu es là devant moi, je ne bouge plus, je ne pense plus, hypnotisé par tes yeux qui plonge dans les miens. Ce banc où tout c’est joué, va accueillir une nouvelle page de notre histoire.

J’ai tout oublié
Quand tu m’as oublié

Oui j’ai tout oublié mais pas quand tu m’as oublié, quand toi aussi tu as oublié.

FIN

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Voilà mon dernier délire qui n'est pas NC 17 celui là

Bon alors puisque vous vouliez une suite, la voilà mais j'en suis pas trop fière, je la trouve moi bien réussit !!!

Ma devise devient ce que fan veut, fan l'obtient

C'est toujours Marc Lavoine mais cette fois ci c'est seulement Teyla

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Tu es là devant moi. Tu es assis sur ce banc qui a vu toute notre vie à deux défiler. Tu as le cœur lourd. Comment je le sais ? C’est Carson, quand il vient me voir qui me glisse quelques mots sur ta santé. Son serment d’Hippocrate devient serment d’Hypocrite. Il n’y a qu’à ces moments là que je l’écoute réellement. Dans tes yeux, je vois beaucoup de choses passées. M’aimerais-tu encore ? Tes serments seraient-ils encore d’actualité. Toi qui m’avait promis de toujours m’aimer, quoiqu’il arrive. Moi je n’arrive plus à penser qu’à toi, je ne suis que pour toi. Je n’ai jamais aimé que toi et je n’ai jamais rien ressentit d’aussi fort pour un autre. Je ne pense qu’à toi tous les jours, tu ne quitte plus mes pensées, chaque jour, chaque heure, chaque minute et chaque seconde sont remplis de toi et rien que de toi. Moi qui, depuis ton départ, ne vivais plus que pour te retrouver, moi qui ne croyais plus en l’amour.

Sur un signe, un seul mot de toi
Je vole en éclats

Tu me dis quelque chose, je n’ai pas écouté. Le son de ta voix, ses intonations chaudes, me transporte dans le temps. Il y a deux ans, tu me faisais flancher dès que tu m’approchais, dès que tu me disais que tu m’aimais ? Je n’étais qu’une poupée de chiffon dans tes bras t pourtant j’aimais ça.

Avant toi j’ignorais tout ça
Tu n’en savais pas plus que moi

J’ai aimé des hommes avant toi. Pas beaucoup, 2 ou 3. Puis il y a eut toi. Toi qui me faisais chavirer le cœur par un simple regard. Toi qui lisais en moins comme un livre ouvert. Ne n’avais jamais ressentit ça. Tu faisait de moi ce que tu voulais mais tu n’en abusait jamais ou alors seulement quand nous n’étions que tous les deux. Je sentais bien que tu étais comme moi et j’avais les mêmes égards que toi. Jamais je ne me permettais de te faire perdre la face devant tout le monde. Comme moi tu vivais ça pour la première fois. Nos étions deux nouveaux nés dans c monde de bonheur. Des nouveaux nés qui sont vite morts, privés de l’oxygène qu’était l’autre.



Tu me demandes si je veux aller boire un coup, si je veux que tu m’invites. Je te réponds par l’affirmative, nous voilà tous les deux dans ce petit bar où tu m’as demandé en mariage et où j’ai accepté de devenir ta femme. La vie à deux était douce, même si nous avions des disputes. Quel couple normal n’en a pas ? Je suis là devant toi et mon cœur bat la chamade, je ne peux plus le ralentir. Il bat comme le jour où je t’ai vu la première fois. Ton sourire alors m’avait ouvert le cœur et tu t’y étais installé sans que je ne proteste. Mon corps me rappelle que j’ai, durant près de 3 ans, entièrement à toi. Je n’ai connue personne après toi, mon corps ne supporte pas le contact d’un autre. Je brûle tous les jours pour toi, que tu sois là ou pas, que je pense à toi ou pas. Mon corps se rappelle de toi. Moi qui ne croyais guère à l’amour.

Sur un signe, un seul mot de toi
Je vole en éclats
Avant toi, j’ignorais tout ça
Tu n’en savais pas plus que moi

Toi mon amour
Toi qui as le cœur lourd mon amour
Est-ce que tu m’aimes toujours pour toujours

Tu m’en veux, je le sens dans le ton de ta voix. Tu m’en veux d’être partie sans explications. Je ne t’ai jamais dis que je t’avais vu avec cette pinbêche, cette blonde qui te collais alors que tu te laissais faire. Nous étions en train de faire des courses, tu m’avais envoyé chercher des céréales alors qu’elle était en face de toi. Je suis rentrer sans toi et j’ai fais ma valise en te laissant tout de même un mot. Je te disais que je partais que tu comprendrais. Mais tu n’as pas compris.

Sur un signe, un seul mot de toi
Je vole en éclats
Avant toi j’ignorais tout ça
Tu n’en savais pas plus que moi
Avant toi j’ignorais tout ça
Et tu n’en savais pas plus que moi.

Toi mon amour
Toi qui as le cœur lourd mon amour
Est-ce que tu m’aimes toujours, pour toujours ?

Tu me le dis, tu m’aimes toujours et pour toujours. Tu me pardonnes, tu me dis même que tu ne m’en a jamais voulut. Moi je m’en veux, je m’en veux de t’avoir laisser dans l’ignorance.
Tu m’aimes toujours, moi aussi, nous sommes donc deux naufragés de l’amour qui viennent de se repêcher l’un l’autre.


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Voilà c'est la fin, j'espère que ca vous a plut !!!!!!!
ALors peut etre une troisième sur John puis une plus grande si j'arrive à trouver un coauteur !!!

Voilà le dernier volée de la trilogie !!!!

Bonne lecture !!!!

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Elle est si jolie quand elle me touche
Un Midnight express me traverse
Parfait le parfum
Adorer la bouche
Un Midnight express me traverse

Elle est devant moi et elle vient de me prendre la main. Dans ses yeux se lisent toutes ses émotions. Elle est peinée, elle veut se faire pardonner mais quand elle me touche, je suis si bien, je m’imagine alors dans ses bras et je la trouve si jolie. Dans mes veines, le sang va de plus en plus vite. Comment fait-elle pour toujours me produire cet effet. Je sens mon cœur battre comme s’il venait seulement de se remettre à battre. Comme si je n’avais pas vécu depuis qu’elle est partie. Son parfum flottant dans l’air me ramène en arrière. Sa bouche est si tentante. Je vais me laisser prendre, je ne demande qu’à me laisser prendre.

On ne me l’enlèvera pas de l’idée
Elle est la seule idée que j’ai

Elle est en moi, dans mon esprit, elle ne me quitte pas et elle est la seule à y être depuis 2 ans. Je n’en veux pas d’autre

Elle tient debout
Depuis que tu l’as renversé
Ma vie
Je commence à l’aimer
Je tiens debout
Depuis que tu m’as renversé
Debout depuis que tu m’as renversé

Je me sens revivre puisque tu es là, je vais enfin pouvoir me redresser, supprimer ce poids qui m’accable. Je me redresse, je redresse ma vie, enfin mon semblant de vie et elle est désormais plus stable que jamais. Tu l’as renversé mais elle est de nouveau droite. Je l’aime, j’aime ce que je suis et je hais ce que je suis devenu.

Elle est jolie même à l’envers
Une lune de miel améliorée
L’été, le printemps, même de travers
Une lune de miel aromatisée.

Elle dort dans mon lit, c’est la première fois depuis que l’on s’est quitté. Elle dort paisiblement, le visage serein. Je me suis levé, je ne pouvais pas rester là. Je me sens de trop dans ce lit qui l’accueille comme un écrin. Je l’observe depuis le pas de la porte. Elle est superbe. J’ai l’impression que nous ne nous sommes jamais quitté. Que c’est notre nuit de noces. Mais il n’en ai rien. Le temps n’a plus d’importance, je confonds les saisons mais peu importe, elle est là et rien d’autre n’a d’importance. Tout à un goût beaucoup plus doux.

On ne me le l’enlèvera pas de l’idée
Elle est la plus belle idée que j’ai

Et voilà que ce maudit mot me reviens en tête, ces quelques explications qu’elle a laissé sur la table avant de partir. Je n’ai jamais cherché à comprendre mais maintenant que je cherche tout devient plus clair. Cette fameuse après-midi où cette fille m’a dragué au supermarché. Je suis resté paralysé de peur. Moi, Colonel de l’USAF, je suis resté paralysé de peur, peur qu’elle nous voit et qu’elle comprenne de travers. La peur est devenue réalité. Je suis rentré sans elle et elle n’est plus jamais revenue sauf pour me dire que c’était fini.

Elle tient debout
Depuis que tu l’as renversée
Ma vie
Je commence à l’aimer
Je tiens debout
Depuis que tu m’as renversé
Debout depuis que tu m’as renversé.

Quand je la vois de loin
Je doute qu’elle soit à moi
Mais c’est portant vers moi qu’elle vient

Nous revoilà dans ce supermarché mais cette fois je reste à côté d’elle, elle ne me quittera plus jamais, je la garde auprès de moi, comme elle me garde auprès d’elle. Elle part en avant, je n’ai pas le réflexe de la retenir, elle est loin et soudain je doute. N’est-elle pas la compagne de cet homme que je vois s’approcher ? Que fait-il ? Il lui fait des avances mais elle le repousse. Elle revient vers moi, elle est à moi pour toujours. Je suis à elle pour l’éternité.



Je ne crains plus rien, tu es là et je ne m’effondrais plus. Tu es mon soutient quand je flanche. J’ai peur de te laisse aller seule. Tu es si belle que j’ai peur qu’un jour tu te rendes compte que je ne suis rien qu’un homme qui cherche désespérément à te plaire pour te garder. Jamais je ne referais les erreurs qui m’ont valu cet éloignement trop long. Je serais tous les jours l’homme que tu attends que je sois. Celui qui sera te surprendre, l’homme tendre, doux et attentionné, l’homme qui te protège. L’homme qui t’aime tout simplement.


FIN

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Voilà la prochaine est celle que m'a demander Idril dans quelques heures surement