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 Bloqués [Fic - Shweir]

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MessageSujet: Bloqués [Fic - Shweir]   Bloqués [Fic - Shweir] EmptyDim 15 Jan 2006 - 13:13

Alors qu'est ce que vous en pensez? Que ce soit positif ou négatif.

Auteur : caramelle
Genre : aventure (enfin un peu), romance shweir
Episode : aucun

Elisabeth avançait tranquillement vers la salle de contrôle. Aujourd'hui c'était un jour un peu particulier; pour la première fois depuis qu'elle gérait Atlantis, le docteur Weir allait repassée la porte. En effet, le colonel et son équipe avaient découvert un temple qui était assez vieux pour avoir été construit par les anciens. Ils avaient essayé de ramener des clichés des symboles inscrits sur les murs mais les images restaient blanches.
La jeune femme brillante linguiste avait alors décidé de se rendre sur place afin d'essayer de déchiffrer les écrits. La mission devait durer 4 heures et pendant son absence, le colonel Caldwell dirigerait la cité. Parvenue dans la salle de commande, elle donna encore quelques recommandations puis descendit rejoindre les membres de l'équipe SGA. La porte fut ouverte et l'équipe la traversa.
La planète sur laquelle ils arrivèrent été déserte malgré une flore luxuriante. Dix minutes de marche leur suffirent pour atteindre le site. John demanda à Teyla et Ford de surveiller les alentours pendant que Mckay, le docteur Weir et lui-même inspecterait l’intérieur.
Le bâtiment comportait 2 couloirs qui donnaient dans une unique salle, Rodnay prit celui de gauche. Il avait remarqué des divergences dans les différentes mesures prisent et espérait en déterminer les causes. Elisabeth et John empruntèrent celui de gauche, le seul endroit où apparaissait des symboles. La jeune femme commença à les répertorier pendant que Sheppard se dirigea vers la salle.
Tout à coup un bruit étrange se fit entendre. Deux énormes dalles de marbre bloquèrent les issues puis commencèrent à se rapprocher. Le colonel et le docteur essayèrent d’arrêter leur progression mais rien n’y fit. Arrivés à un mètre d’eux les deux autres côtés se mirent à bouger, les enserrant de plus en plus.
Ils se retrouvèrent collés l’un à l’autre, n’osant pas parler. Elisabeth avait posé sa tête sur le torse de John qui l’avait enlacé. Les quatre blocs de marbre arrêtèrent de se déplacer alors qu’ils n’étaient qu’à deux centimètres de leurs prisonniers. Le colonel fut le premier à le voir et en fit la remarque à la jeune femme qu’il tenait toujours dans ses bras.
- Elisabeth, les murs ont arrêté de bouger. Nous allons rester encore en vie pour l’instant, rajouta-t-il en essayant de détendre l’atmosphère.
- Vous êtes sur John.
Malgré la faible luminosité émanant de la torche, il pus remarquer son teint livide et ses yeux exprimaient une profonde terreur.
- Mais oui, vous n’avez entendu que le glissement s’est arrêté et …
A ce moment là une plaque au dessus de leur tête coulissa et Elisabeth reposa immédiatement la sienne à sa place initiale.
- Qu’est ce que c’était ? Lui demanda-t-elle à mi-voix n’osant pas relever les yeux.
- Une dalle a coulissé à environ 3 mètres au dessus de nous.
Il s’inquiéta pour la jeune femme qu’il tenait dans ses bras ; elle paraissait fragile à l’opposé de ce qu’il connaissait habituellement.
- Ne vous inquiétez pas nous réussirons à sortir d’ici.
- Je sais que vous tentez de me rassurer mais je sais aussi que nous avons très peu de chance de survivre. Elle releva la tête.
- En ce qui concerne l’oxygène je ne pense pas que nous en manquerons. Je sens de l’air passer dans mon dos. Attrapant sa radio, il essaya de contacter les membres de son équipe mais sans succès.
Le docteur Weir remarquant leurs corps collés, voulus se dégager mais à peine fis-elle un demi pas que son dos cogna contre la parois. Pour ne pas la gêner John colla ses bras le long de son propre corps. Un silence pesant s’installa, seulement troublé par les respirations de chacun. Ne supportant plus de la voir si inquiète il essaya de lui rendre le sourire.
- J’ai pour mission de vous protéger mais je ne savais pas que ce serait une protection si rapprochée.
En l’entendant elle esquissa un sourire et encouragé il continua donc à parler. Au bout de 5 minutes Elisabeth l’interrompit.
- J’espère que Rodnay trouvera un moyen de nous faire sortir de là.
- Ne vous inquiétez pas il trouvera comme toujours.
Les deux partenaires réfléchirent à de plus sombres pensées. Quelques minutes passèrent puis se fut au tour d’Elisabeth d’entamer la conversation.
- Euh, John nous sommes amis, n’est ce pas ?
- Oui, pourquoi Elisabeth ?
- J’ai un service à vous demander. Voyant de l’inquiétude dans les yeux du colonel elle se pressa de continuer.
- Voilà en fait depuis tout à l’heure, j’ai une démangeaison entre les omoplates, pourriez-vous me gratter s’il vous plaît ?
- Mais bien sur.
Elle se colla à lui afin qu’il puisse passer sa main le long de son dos et lui donna quelques indications sur l’endroit précis de sa torture. Quand enfin il le trouva John se rendit soudain compte de la proximité d’Elisabeth et pour ne rien arranger elle se mit doucement à se balancer. Cela se transforma en torture pour l’homme qu’il était. Les reins de la jeune femme frottaient sur la partie la plus sensible de son anatomie. Elle ferma les yeux et pencha légèrement la tête du côté gauche laissant ainsi son cou totalement découvert. Réussissant à reprendre le dessus sur l’attirance qu’il éprouvait et afin de ne pas se trahir, il réussit à articuler d’une voix rauque.
- Elisabeth !
Elle sursauta en entendant son prénom et se ressaisit. La jeune femme s’était sentie si bien qu’elle s’était laissée aller sous les sensations qui ne se situaient pas toutes à l’endroit où il avait posé sa main. Afin de ne rien laisser paraître de leur trouble, ils s’écartèrent le plus possible l’un de l’autre et évitèrent de se regarder. Chacun reprenant le dessus sur les émotions qui avaient déferlés en eux.
De nouveau le silence s’installa, une heure passa sans qu’aucun mot soit échangé. Il y un déclic, croyant leur fin arrivée John la prit par la taille et l’embrassa fougueusement. Elisabeth mit quelques millisecondes avant de réagir et de mettre dans ce baiser toute la frustration qu’elle éprouvait depuis le 1er jour de leur rencontre. Vinrent s’ajouter ensuite l’amour et la passion.
Contrairement à ce qu'ils pensèrent, les dalles s'écartèrent. Heureuse de pouvoir enfin sortir d'ici, Elisabeth sans même s'en rendre compte se colla à John et l'embrassa passionnément.
C'est ainsi que Rodnay, Teyla et Ford les découvrirent; apparemment les deux prisonniers ne les avaient pas remarqués et ce fut Mckay qui les interrompit en se raclant bruyamment la gorge. Les deux adultes se séparèrent immédiatement. Les trois amis avaient chacun l'impression d'avoir devant eux deux adolescents pris en faute par leurs parents mais n'en dire. (Même si ce fut difficile pour Rodnay). Afin de détendre l'atmosphère, le lieutenant prit la parole:
- Docteur Weir, colonel Sheppard, nous sommes contents de vous revoir vivant et en bonne santé.
- Nous aussi Ford, lui répondit ce dernier. Nous pensions mourir lorsque le piège s'est actionné. Mais comment avez-vous fait pour nous sortir de là?
- En fait, Teyla à trouver la solution, qui se trouvait d'ailleurs sous nos yeux, lui apprit le scientifique.
- Je vous remercie de nous avoir sorti de là, j'ai une grande estime de vous et elle s'en trouve renforcée.
- Oh, ce n'était rien docteur Weir, j'ai juste gratté un peu de poussière, dit la jeune femme gênée par le compliment.
- Bon, si on rentrait maintenant, j'en ai assez de tout ce sable et j'aimerais pouvoir prendre une douche. Je pense que cela ferait du bien à tout le monde, qu'en pensez-vous? Leur demanda John.
La proposition fut adoptée à l'unanimité et ils prirent le chemin du retour. Les 5 amis discutèrent de leur vie sur Atlantis ne voulant pas aborder le fait que deux des leurs auraient pu trouver la mort. John et Elisabeth habituellement plus renfermés prirent part à la discussion qui s'était engagée entre l'athosienne, le lieutenant et le docteur Mckay. Chaque personne présente avait décidé de plus profiter du moment présent malgré la menace des Wraiths qui pesait sur eux.
Rentrés à la cité, le docteur Weir leur accorda 1 heure avant que le débriefing soit effectué. Il eut lieu vers 5 heures et demi; toujours de bonne humeur bien qu'ils aient chacun de lourdes responsabilités, ils se donnèrent rendez-vous vers 8 heures pour le dîner. Quoiqu'ils puissent faire à cette heure il était convenu de s'arrêter à moins bien sur que cela soi trop important.
A 8 heures précises, Elisabeth, John, Teyla, Aiden et Rodnay se retrouvèrent donc assis autour d'une table de la cantine. Ils avaient décidé que durant le repas les grades ne seraient pas mentionnés mais seulement les prénoms. Cettte soirée fut l'une des meilleures qu'ils passaient depuis bien longtemps. Les deux jeunes femmes amusées par les joutes verbales qui s'engageaient entre les trois hommes, le plus souvent entre le colonel et le scientifique, avaient fait un tableau où elles inscrivaient les points marqués par les différentes parties.
A la fin du repas un constat évident s'imposa à elles: John avait largement battu McKay qui ne comptabilisait que 3 points. Cette soirée fut si agréable qu'ils décidèrent de se retrouver tous les soirs pour dîner.
Le lendemain l'équipe SGA-1 ayant quartier libre, chacun passa la journée de son côté. Rodnay chercha à améliorer la puissance des générateurs à naquada; Ford et Teyla allèrent sur le continent, rendre visite aux Athosiens et John donna aux scientifiques qui le souhaitaient des leçons de tirs.
Elisabeth quant à elle devait s'occuper d'un accord diplomatique entre la cité et un peuple nommé les Yaks qui leur fournissait des plantes médicinales très puissantes. Bien que la journée de SGA-1 leur paraisse agréable contrairement à la diplomate, tous attendirent patiemment la soirée qui était prévue.
En effet, en milieu d'après-midi comme il faisait très beau, le colonel avait proposé de dîner sur une des nombreuses terrasses de la cité. Les quatre autres approuvèrent cette idée, à condition que ce soit Sheppard qui se charge d'apporter les repas. Celui-ci accepta leur condition et à 8 heures moins le quart, il débarqua au mess, emporta une grande nappe, les repas et une bouteille d'alcool que les Yaks lui avait offerte en présent.
L'endroit qu'il avait déniché était parfait. Le soleil éclairait ce côté d'Atalntis ce qui permettrait de conserver une température agréable tout au long de la soirée.
Teyla et Ford arrivèrent les premiers, puis Rodnay fit son apparition 2 minutes plus tard. Il leur fallut patienter encore 5 minutes avant de voir Elisabeth. Le groupe enfin au complet Mckay entama le dîner, prétextant n'avoir rien mangé depuis longtemps.


Dernière édition par le Dim 4 Juin 2006 - 11:57, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Bloqués [Fic - Shweir]   Bloqués [Fic - Shweir] EmptyDim 15 Jan 2006 - 13:13

Suite.

Les cinq amis se détendirent rapidement et les discussions furent bientôt entrecoupées par des éclats de rire, favorisés par l'alcool consommé. Vers 11 heures, le docteur Weir confortablement installée fut la première à s'endormir, imitée quelque temps plus tard par les autres.
A son réveil, John perçut quelque chose de chaud contre lui. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il vit Elisabeth blottie dans ses bras. Le soleil étant encore assez bas dans le ciel, le colonel décida de profiter de la situation encore quelques minutes malgré le bourdonnement dans ses oreilles.
En bougeant légèrement la tête, il aperçut le scientifique serrant tendrement la nappe dans ses bras, avec un sourire de béatitude. Il remarqua aussi que le lieutenant et l'athosienne étaient serrés l'un contre l'autre et dormaient profondément. Le docteur commença à s'agiter. Ne voulant pas qu'elle remarque son réveil, John referma les yeux et feignit de dormir.
En s'éveillant elle constata qu'une douce chaleur l'entourait ainsi qu'un délicieux parfum dû à la proximité d'un corps. Etonnée par cela, elle ouvrit les yeux et frissonna. Ce n'était pas un rêve, le colonel la serrait dans ses bras.
Gênée par leur contact et les idées très peu professionnelles fleurissant dans sa tête à la vue de cette bouche qui semblait si délicieuse. La jeune femme tenta de se dégager sans trop bouger pour ne pas réveiller John. La sentant frissonner il décida de ne pas réagir même s'il aurait souhaité rester plus longtemps dans cette position.
Au bout de quelques minutes, Elisabeth finit enfin par y arriver à force de contorsions et rejoignit directement ses appartements.
Le colonel une fois la porte refermée attendit encore un peu, se leva et décida de réveiller le reste du groupe. Ce furent Ford et Teyla qui réagir les premiers; surpris de se retrouver dans les bras l'un de l'autre ils se levèrent d'un bond. Ils n'osaient pas se regarder en face et de la tension commençait à apparaître mais elle se dissipa rapidement.
En effet, Rodnay protestait contre la façon dont John les avait éveillé, venait de s'étaler de tout son long. Il avait voulu suivre Sheppard qui se dirigeait vers ses appartements mais s’était pris les pieds dans la nappe.
Le colonel en entendant du bruit se retourna et éclata de rire en voyant Mckay virer rouge pivoine, la jeune femme et le lieutenant qui s'étaient retenus ne purent cette fois s'empêcher de rigoler.
Aucun incident ne vînt troubler la tranquillité d'Atlantis ce jour-ci. Les équipes d'exploration ne rencontrèrent pas de difficultés. Donc Elisabeth et sga-1 purent profiter du dîner et se moquer de la réaction de Mckay durant la mission.
Il s'était plaint d'une coupure à la paume qui selon lui pourrait s'infecter et il risquait de perdre sa main. John avait répliqué qu'il aurait mieux valu qu'il s'érafle la langue ce qui fit taire le scientifique. Vers 11 heures chacun parti dans ses appartements excepté le docteur Weir qui prétexta avoir des dossiers importants à voir.
Il était 3 heures du matin et le colonel n'arrivait pas à retrouver le sommeil après s'être réveillé en sursaut. Lassé d'attendre il décida de faire un tour dans la cité afin d'essayer de se détendre. Alors qu'il passait près de la salle des commandes, il aperçut de la lumière dans le bureau d'Elisabeth.
Sheppard soupira, elle était généralement l'une des premières à être debout et la dernière à être couchée, il pensait qu'elle devait se ménager un peu. En entrant il l'a trouva profondément endormie sur un dossier, ne voulant pas la réveiller, il l'a souleva et l'a conduisit dans sa chambre. Alors que John commençait à la poser délicatement sur le lit, une voix lui dit:
- Ce n'est pas très galant de profiter d'une femme qui dort.
Surprit il tomba sur la jeune femme.
- Et en plus de cela vous continuez et vous m'écrasez! s'exclama en cachant difficilement le rire qui la submergeait.
- Excusez-moi mais ce n'était pas très habile de me parler il me semble! lui rétorqua-t-il.
- Si cela ne vous dérange pas pourriez vous vous levez j'aimerais pouvoir respirer.
- Je ne suis pas si lourd que ça je vous signale.
- C'est vous qui le dites.
Le colonel vexé s'apprêta à se relever mais le docteur Weir d’une légère pression le fit retomber et l'embrassa. Quelques peu déconcerté, il répondit au bout de quelques secondes à ce baiser avec fougue. A bout de souffle, ils finirent par l'interrompre et se détachèrent l'un de l'autre.
- Elisabeth êtes vous sûre de ce que vous faîtes?
- Je n'ai jamais été aussi sûre de quelque chose, et apparemment je ne vous suis pas indifférente, à moins que cette bosse contre mon ventre ne soit que dû qu'à votre arme, lui répondit-elle avec une moue coquine.
- Ce n'est pas mon arme mais êtes vous vraiment sure?
- John agissez au lieu de parler je commence à ....
Les habits jonchèrent rapidement le sol, des souffles rauques s'élevaient du lit et..(Vous n'avez qu'à imaginer le reste, je pense que vous saurez très bien le faire, non mais espèce de voyeurs).

Le lendemain matin, John en se réveillant remarqua que le lit était vide mais qu'une carte était posée sur l'oreiller. Il y était inscrit:

"J'espère que tu as passé une bonne nuit, pour moi elle à été merveilleuse. Je t'aime Liz.
PS: N'oublie pas que du as briefing à 9 h 30.
PS 2: Es-tu toujours aussi sur de vouloir l'annoncer à la cité."

En apercevant l'heure sur le réveil, il sauta du lit et s'habilla rapidement. Il n'avait plus le temps de passer se changer et voulait revoir la jeune femme avant le briefing.
Pour la 1ère fois mais sûrement pas la dernière John se dirigea directement vers le docteur Weir et profita de leur solitude pour l'embrasser. Ford qui allait entrer dans la pièce changea d'avis et prit le micro dans ses mains pour annoncer:
- Docteur Mckay vous me devez 100 $. Le docteur Weir et le colonel Sheppard ont enfin craqué.
Pour toute réponse un
- Et merde! Retentit dans le couloir.
En entendant cela les deux personnes concernées se mirent à rire car ils savaient que maintenant quoiqu'il arrive ils seraient deux pour l'affronter. Et beaucoup de personnes n'étaient pas contre leur couple car certaines leur sourirent quand ils sortirent de la salle.
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