Stargate Triangulum [E]

Genre : Action/ aventure/ Genéral
Personnages principaux : Meredith Mackenzie, Mike Wilson, Martha Alberts, Brad Harper et autres pas encore existants
Personnages secondaires : Henry Nelson, Joe Morrison et autres pas encore existants
Chronologie : Se situe après l'arrivée de Woolsey à l'expédition d'Atlantis et avant le début de SGU et la fin de SGA.


Générique de début : Musique :

Stargate Triangulum

Sarah Clarke dans le rôle de Meredith Mackenzie
Jorge Garcia dans le rôle de Mike Wilson
Faith Fay dans le rôle de Martha Alberts
Lamont Thompson dans le rôle de Brad Harper

Avec la participation spéciale de Dennis Quaid dans le rôle de Joe Morrison.




Une belle journée s’amorçait sur Atlantis. C’était la journée de repos obligatoire. Richard Woolsey était en train de faire du ménage dans son bureau lorsqu’il vit un homme courir vers son bureau, un homme légèrement grassouillet et avec des cheveux courts. C’était Rodney McKay. McKay entra dans le bureau de Woolsey et dit :

-J’ai fait une découverte surprenante.
-Dites toujours.
-Les Anciens ont bâti une ville dans une autre galaxie.
-Dans quelle galaxie ?
-Dans la galaxie Triangulum, c’est une galaxie qui est éloigné de la notre mais qui est une des galaxies voisines de la galaxie de Pégase.
-Bien, pouvons-nous sonder cette planète avec un MALP.
-Non, j’ai sa position dans l’espace, mais je n’ai pas de coordonnées pour l’instant et je ne sais pas s’il y a une porte des étoiles de l’autre coté. Mais, par-contre, cela pourrait être intéressant d’aller y jeter un petit coup d’œil.
-Bien, je vous l’accorde. Mais, serait-elle comme Atlantis?
-Non, c’est d’un autre genre.
-OK, procédons selon la procédure, emmenez vos recherches et un ordi, nous allons sur Terre.
Woolsey alluma dit en criant : Chuck! Composez l’adresse de la Terre.

Quelques secondes plus tard.

Woolsey et Mckay sortirent d’une sorte de flaque d’eau verticale contenue dans un orifice rond. Un homme, le général Landry, les attendait de l’autre côté et dit :

-Woolsey, quel mauvais vent vous emmène ?
-Je viens vous faire part d’une récente découverte.
- Bien, j’espère que cela vaut le détour. Allons dans mon bureau.

Et les trois se dirigèrent vers le bureau du général.

-Donc quelle est cette fameuse découverte ?
-McKay a découvert quelque chose dans la base de données des Anciens. Rodney…
-Oui, donc, j’ai découvert que les Anciens ont bâti une ville dans la galaxie du Triangulum. Cette ville était censée devenir la nouvelle terre pour eux, s’ils perdaient contre les Wraiths. Mais, pour une raison que j’ignore, ils n’y sont pas allés. Ils ont préférés revenir sur Terre. Je crois que l’on peut peut-être y découvrir des choses dont nous n’avons pas encore la moindre idée.
-Et cette ville serait…
-Cette ville serait sur une de leurs planètes. Je crois que le climat serait vivable. Même s’il n’y a peu de chances qu’il reste des Anciens vivants, on pourrait trouver de nouvelles technologies, de nouveaux artéfacts…
-Oui, j’avais compris la première fois, on va y trouver de quoi. Mais ce n’est pas cela qui n’inquiète. Comment pouvons-nous la rejoindre ?
-Par vaisseau pour l’instant, je n’ai pas encore calculé les coordonnées pour y aller par la porte.
-Messieurs, je dois aller prévenir le Président. McKay, venez avec moi.

Un mois plus tard, une expédition se prépare pour aller rejoindre cette cité. Le général Landry est dans la salle de commande avec trois autres : le colonel Ellis, commandant de l’Apollo, le colonel Taylor, commandant de l’Odyssey et le colonel Henry Nelson, commandant du nouveau croiseur terrien l’Héraclès. Le général Landry dit :

-Comment vont les préparatifs pour le voyage ?
-Ils vont bien, dit le colonel Ellis. Presque tout le matériel est chargé à bord des vaisseaux. Il nous manque encore une dizaine de générateurs au Naquadah de la Zone 51 et 16 F-302 pour l’Héraclès. Nous serons prêts à partir d’ici une semaine.
-Mais, dit le colonel Nelson, qui sera le chef de l’expédition ?
-Ce sera la docteure Meredith Mackenzie. C’est un membre du Comité International de Surveillance.
-Pardon mon général, dit Nelson, mais c’est qu’elle est une…
-Écoutez, travailler avec une civile n’est pas une option, mais un ordre ! Je vous comprends messieurs, mais vous ne questionnez pas un ordre du Président. S’il dit qu’elle est la plus qualifiée, c’est qu’elle l’est.
-Bien. Mon général.
-Donc, le départ se fera dans une semaine. Colonel Ellis, vous partirez immédiatement après la livraison. Vous allez vous dirigez vers Atlantis. Vous, colonel Taylor, vous avez la permission de rester deux semaines pour aider à l’occupation de la ville. Colonel Nelson, j’ose espérer que vous allez collaborer avec la docteure Mackenzie pendant votre séjour là-bas. Des questions ?
-Non, dirent les colonels.
-Bien, bonne chance et bon voyage.

Les trois hommes sortirent du bureau et se firent téléporter dans leur vaisseau respectif.

Sept jours plus tard.

Un impressionnant spectacle se présentait à la base militaire de Peterson près de Colorado Springs. Il y avait trois immenses vaisseaux spatiaux qui étaient stationnés un à coté de l’autre et du matériel était embarqué dans ces vaisseaux. Devant ces vaisseaux, étaient rassemblées des centaines de personnes qui écoutaient le discours du général O’Neill.
D’un côté de cet homme, il y avait les colonels, Ellis, Taylor et Nelson et de l’autre côté, il y avait une femme, plutôt grande, assez jolie, mince, la docteure Meredith Mackenzie.
O'Neill dit :
-Mesdames et Messieurs, vous avez été choisis pour participer à une grande mission vers un endroit inconnu. Qui sait se que vous aller y trouver, des technologies, des extraterrestres, des belles femmes… [Tout le monde se mit à rire aux larmes] Non, sans blagues, il va aussi y avoir de beaux hommes [Idem, sauf que cette fois Meredith rappela le général à l’ordre avec un hum hum] Bien, comme je le disais, cette expédition n’est pas sans risques. Certains n’en reviendront pas et d’autres y seront blessés. Mais, n’ayez pas peur, ce sera une expérience inoubliable. Avant de finir cet interminable et pénible discours je tenais à vous souhaité bon voyage et bonne route ! À vous Docteure…
La docteure Mackenzie s’avança vers l’estrade et dit :
-Bien, que dire de plus! J’ose espérer que le voyage se sera sans ani-croche et j’espère que nous allons avoir assez de temps pour tous se connaître. Bon, il est temps d’y aller, j’aimerais que vous rejoigniez vos groupes de téléportation. Je dis aussi vous bonne route et au plaisir de vous retrouver de l’autre coté.

La masse de gens se sépara en trois groupes, chacun près d’un vaisseau et furent immédiatement téléportés dans les vaisseaux. Quelques instants plus tard, les trois croiseurs décollèrent. Ils allèrent dans l’espace et disparurent. Le voyage alla sans trop de grandes encombres. Dans l’Héraclès était regroupé les militaires et les chefs de département. Les deux autres se séparaient le restant de l’expédition.

Dix semaines plus tard, dans la salle de commande de l’Héraclès des gens s’affrétaient à s’occuper au bon fonctionnement du vaisseau. Assis dans son fauteuil, le colonel Nelson était en train de lire des documents lorsque dre Mackenzie vint lui parler.

-Alors, dans combien de temps nous allons arriver ?
-Nous allons arriver en orbite de la planète dans quelques minutes.
-Bien, faites un balayage complet de la planète à notre arrivée.
-Certains membres de l’équipage m’ont confié que je n’étais pas, comment dire, très appréciée de vous, es-ce vrai ?
-Comprenez-moi bien docteure, à ce que je crois, un militaire ferait un meilleur travail que vous. Je n’ai rien à faire que votre statut grâce auquel vous avez eut ce poste…
-Colonel ! N’oubliez pas une chose, que c’est en partie grâce à des gens comme moi que vous avez une paye et un gros vaisseau à commander. Es-ce clair !
-Oui madame. [Il eut un petit bip qui se fit entendre] Arrivée prévue dans 10 secondes… cinq…quatre…trois…deux…un…
Et les vaisseaux sortirent de l’hyperespace l’un après l’autre.
-Scannez la planète, dit le colonel Nelson. Et puis ?
-Je ne détecte aucun signe de vie, dit un technicien.
-Bien, avez-vous une idée de la géographie de l’endroit ?
-Oui, la planète est couverte d’eau sauf pour une petite parcelle de terre oû il semble y avoir une sorte de complexe.
-Merci, dit Nelson. Madame je crois que c’est votre ville.
-Bien, dit Meredith. Colonel, dites aux autres vaisseaux de téléporter dix marines, avec 4 scientifiques sur la planète et téléportez-moi avec eux. Et faites-le dans un étage de la plus grande tour.
-Ok.
Quelques instants plus tard, 15 personnes arrivèrent au milieu d’un immense complexe. Ils étaient dans une salle remplie de commandes et avec une porte des étoiles au fond de celle-ci.
-Marines, dit Mackenzie, faites un périmètre autour de la salle. Wilson…
Personne ne répondit.
-Mike Wilson!
-Oui, oui, j’arrive, dit Mike.
-Bien, toi et ton équipe, prenez un terminal et extirpez toutes les données que vous pouvez. Si vous trouvez une salle sécurisée près de nous, dites au colonel Nelson de téléporter les soldats là-bas qu’ils commencent à explorer les alentours de cette salle.
-Je m’y mets.
Une trentaine de minutes plus tard, les soldats avaient déjà commencé à sécuriser des sections du complexe et les scientifiques, médecins et autres commençaient à se faire téléporter dans certes zones.
-Madame, j’ai des précisions!
-Dites Wilson…
-Comme vous le savez, la ville n’est pas totalement construite.
-Et alors?
-Plusieurs choses manquent : des murs dans certaines tours, détecteurs planétaires, on a une baie à jumpers sans jumpers totalement construits et près à l’ouvrage, pas d’énergie sauf celle du minuscule capteur solaire qui est…
-Bien, mais est-elle habitable?
-Oui, dans la mesure du possible, oui. Au moins, nous ne manquerons pas de places. Ce complexe est semblable à celui que les Réplicateurs avaient dans la galaxie de Pégase sauf qu’il n’y a pas de vaisseau de celui Altantis.
-Montrez-moi une carte de la…
-Mike! , s’écria un des autres scientifiques.
-Quoi?
-Venez voir.
Et ils se dirigèrent vers le scientifique qui dit :
-J’ai trouvé une chose qui peut peut-être vous intéresser. J’ai découvert que les Anciens ont construis leur machine à eppz. Qui est pleinement opérationnelle. Elle se trouve dans une des salles des tours connexes.
-Quand pouvons-nous en produire un?
-Mettez au minimum trois à cinq jours pour comprendre son fonctionnement et un certain temps pour la création.
-De combien de temps parlons-nous? dit Mike.
-Je ne sais pas attendiez… Oh, c’est la poisse! Il faut un eppz pour produire un eppz.
-Et nous n’en avons pas répliqua Mackenzie.
-Si, j’ai deux idées, prenons des générateurs au naquadah pour en fabriquer un ou, dit Wilson, prenons celui qui sert de source d’énergie à l’Odyssée.
-La première solution est la meilleure, dit la docteure, vous et… Quel est votre nom?
-Frank Baumgartner madame.
-Vous et Frank vous travaillerez sur ceci en priorité après l’installation des équipements dans la ville.
-D’accord, répondirent les deux scientifiques.
-Nelson êtes-vous là?
-Oui, je viens de me faire téléporter.
Meredith regarda l’écran de l’ordinateur de Wilson et dit :
-Posez-vous sur l’aire d’atterrissage qui est près de la salle de commande et dites à l’Odyssée et à l’Apollo d’aller sur celles qui sont à chaque extrémité de la ville. Wilson, commencez à faire venir d’autres scientifiques dans la salle de commande.
-Entendu

Un jour plus tard, dans la salle de commande, dans la salle de commande discutaient quatre personnes : le colonel Nelson, la dre Mackenzie, Mike Wilson et un homme dans la quarantaine, qui est grand, mince et blond.
-En effet, dit Nelson, le chargement est presque totalement sorti des vaisseaux et mis à la bonne place. D’ici la fin de la journée, le tout sera effectué.
-Bien, dit Mackenzie, je voulais vous dire que le colonel Joe Morrison sera à la tête des divisions armées de la base pendant vos absences comme vous suggérez colonel. De plus, il sera à la tête de l’équipe d’exploration principale de ce complexe qui sera composée de lui, le docteur Wilson et de deux marines de votre choix.
-Hum.., dit le colonel Nelson. Et bien… Je crois que le major Harper et la major Alberts seront de bons candidats.
-Très bon choix colonel, dit Morrison.
-Le major Harper est juste un très bon soldat, en tout cas selon son dossier et la major Alberts est une tireuse d’élite très talentueuse.
-Bien, bonne chance! dit Mackenzie
-Wow! cria Wilson, cela veut dire que je vais partir en expédition?
-Oui, j’ai besoin du meilleur scientifique disponible sur le terrain. De plus, vous ne serez pas en mission tout le temps, dit MacKenzie. Et, pour répondre à votre future question, le départ est prévu dans deux heures pour, (Meredith regarda son ordinateur) pour une planète prénommée Yéllona.
-Et pourquoi cette planète?
-Selon les données laissées par les Anciens, elle est peuplée par des êtres ayant une incroyable intelligence. C’est la première planète qu’ils ont visité. Cela serait donc judicieux de commencer à cet endroit. Mais, ce peuple était un peu trop agressif pour les Anciens.
-Agressifs comment? dit Morrison.
-Aucune idée. Peu importe leur comportement, des gens avec une grande intelligence peuvent être un atout.
-Je propose d’envoyer une équipe de marines pour protéger l’équipe.
-Vous parlez comme si l’on allait se faire attaquer, dit Mike.
-J’aime mieux prévenir.
-Messieurs, veillez-vous préparer pour l’expédition. Nelson, j’aimerais vous parler.
Le colonel Morrison et le docteur Wilson sortirent de la pièce.
-Que me vouliez-vous madame? dit Nelson d’un air préoccupé.
-Je veux que vous commenciez à rédiger les protocoles de sécurité.
-D’accord, dit-il, soulagé. Madame, si je puis me permettre?
- Oui?
- Bien, cette planète est dangereuse, non? Pas que je remettre en doute votre jugement, mais la note que les Anciens ont mis dans leur base des données devrait être prise avec plus de considération.
- Moi, je ne crois pas. Les soldats sont formés pour se battre. Si danger il y a, et je dis bien si, ils seront se défendre.

Trois heures plus tard, dans la salle de la porte se tennaient quatre marines, le major Harper et le docteur Wilson. Ils attendaient après les colonel Morrison et le major Alberts qui arrivèrent enfin après quelques minutes.
-Bon, les amours sont finis! dit Harper, le sourire au visage.
-Jaloux? répliqua Alberts.
-Non pas trop.
-Une question avant d’y aller, les relations amoureuses ne sont pas…
-Oui, ils le sont, dit Morrison, mais cela ne s’applique pas pour nous. Je suis américain et elle est canadienne.
-Oh…
-Bon on peut y aller. Baumgartner, composez l’adresse.

La porte de modèle Atlantis se mit à composer les sept chevrons. Les huit personnes traversèrent le vortex. De l’autre côté, c’était tout un spectacle qui s’offrait aux huit personnes. En effet, devant eux se tenait de nombreux bâtiments d’aspects totalement différents. À leur droite, il y avait quelques vaisseaux spatiaux à l’aspect légèrement anciens, un peu comme l’Orion class. Au loin, une femme dans un fauteuil flottant venait vers eux. Elle dit : Oupa jyr ouq?
Aucun membre de l’expédition compris.

-Oupa jyr ouq?

N’ayant aucune réponse des terriens, elle appuya sur une touche de sa console et le vortex se referma. Puis, une alarme se fit sentir et de nombreux hommes armés sortirent du bâtiment le plus proche.

-On fait quoi? demanda l’un des marines.
-On lève les bras répondit Morrison.

Ce que firent les huit explorateurs.
Les hommes armés firent un cercle autour des explorateurs. La femme s’éleva au-dessus d’eux et répéta sa phrase.

Harper dit alors en agitant la main : Salut, on se fait un pool?

Les soldats prirent cela comme une provocation et tirèrent sur l’expédition qui tomba inconsciente sur le sol.

À suivre…