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 Plante verte, couture et vérité [F]

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Jojo
Tardis
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Taureau
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Plante verte, couture et vérité [F] Empty
MessageSujet: Plante verte, couture et vérité [F]   Plante verte, couture et vérité [F] EmptyMar 11 Déc 2007 - 20:05

Auteur : Jojo
Titre : Plante verte, couture et vérité
Rating : Début aucun, fin NC17 (c'est mon premier Plante verte, couture et vérité [F] Smiley_1 ) je préviens avant.
Dislaimer : Ces messieurs ne sont pô à moi (snif) sont à la MGM (re-snif)


Plante verte, couture et vérité


Rodney était dans ses quartiers, seul, allongé sur son lit sans même avoir prit la peine d’ôter ses vêtements. Cela faisait quelques minutes qu’il s’était écroulé là après avoir résolu un problème sur lequel il planchait depuis son arrivée sur Atlantis. Bien qu’il soit épuisé, la simple idée d’annoncer sa découverte aux autres dès le lendemain lui imprimait sur le visage un immense sourire. Il pensait déjà à leurs mines réjouies et à l’admiration qui se lirait dans leurs yeux… SES yeux. Ses beaux yeux verts qui pouvaient briller à l’idée de pouvoir expérimenter une nouvelle arme… un nouveau jouet en somme… comme un gosse. Et puis, cette fois il serait sûrement fier de lui… Oui. John Sheppard sera fier de lui.
Brusquement, des coups rapides et nerveux sur la porte tirèrent le scientifique de sa rêverie. Il grogna un peu puis se décida à aller ouvrir. La porte coulissa, laissant apparaître un John visiblement gêné et paniqué…

- Oh Colonel c’est vous ! Justement j’étais en train de… hum… peu importe… Alors ? Quel bon vent vous amène ?
- Je vous en prie Rodney aidez-moi, laissez-moi entrer !

Rodney jeta un regard furtif dans le couloir pour voir s’il était poursuivit : personne, juste les innombrables portes et une plante verte.

- Pourquoi ?
- Cette saleté de plante… Elle a raccroché mon pantalon… J’vais pas vous faire un dessin !

Rodney s’écarta machinalement et laissa entrer John tout en baissant les yeux vers ledit pantalon. Ce dernier était déchiré de tout son long et John le retenait du mieux qu’il pouvait. Si quelqu’un était passé dans le couloir, Rodney aurait bien rit…

- Je ne pouvez pas retraverser toute la cité dans cette tenue… Surtout avec les scientifiques qui hantent le couloirs des labos… Enfin pas vous…. Mais euh…
- Bien-entendu… répondit McKay en pouffant à moitié. Mais euh… que faisiez-vous à cette heure si loin de vos quartiers ?
- Oh… ! Eh bien je… je revenais de… hum, d’un rendez-vous !

Rodney fronça les sourcils, pourquoi était-il si hésitant ?

- Avec une femmeje suppose ?…
- Vvvoilà ! C’est ça… avec une femme… !

Rodney fronça les sourcils de nouveau, cette fois avec un léger pincement au cœur. Il devrait avoir l’habitude pourtant…

- Hmpf ! Le retour du capitaine Kirk !…
- Oui mais, sans l’uniforme-pyjama noir et jaune moutarde !
- Vous avez retrouvez votre humour douteux à ce que je vois.
- Vous pas le vôtre apparemment…
- Vous allez faire comment pour votre pantalon ? Je vous en aurais bien prêté un mais ça risque de pas être le bonne taille…
- ‘Pas faux…
-
* Silence *

Soudain une étincelle jaillit des yeux de Rodney qui se retourna brusquement et partit fouiller dans un placard.

- Enlevez votre pantalon !
- Pardon ?
- Déshabillez-vous !
- Euh Rodney … C’est si soudain…
- Là voilà !
-
Rodney se retourna, brandissant fièrement, tel le roi Arthur venant d’oter l’épée du rocher, une étincelante aiguille métallique de 5cm à peine… Souriant, il attrapa une bobine de fil.

- Vous savez coudre Sheppard ?
- Euh… J’ai dû louper ce cours là à l’académie militaire…
- J’ai compris… Je vais le faire.
- Vous savez coudre Rodney ?!
- Ca n’a rien de sorcier… C’est de la pure logique en fait… Ouais, c’est LOGIQUE !
- Ma foi si je me prend pour Kirk, vous, vous parlez comme Spock ! Même si je doute qu’il s’adonne souvent à la couture…
- Dieu merci j’ai eu grâce des oreilles !
- Oh je suis sûr que ça vous irai à ravir Rodney…
- Mouais…
Visiblement Rodney n’avez pas saisi le compliment.
- Alors ce pantalon ?
- Ah oui pardon…

John hésita quelques instants, puis s’exécuta un peu gêné. Rodney fût, lui, d’abord troublé de pouvoir ainsi observer Sheppard à moitier nu, d’autant plus que ce que portait le militaire en dessous laisser deviner pas mal des choses… Il repris ses esprits et attrapa le pantalon, le mis sur l’envers, passa le fil dans le chas de l’aiguille et se mis à l’œuvre, étonnament concentré vu la situation. John était fasciné devant la concentration de McKay et l’agilité avec laquelle il travaillait. Et puis il avait cette mimique sur le visage… John ne put s’empêcher de sourire.

Quand le travail fut fini, le scientifique tendit tristement le vêtement au militaire, sachant pertinemment qu’après l’avoir enfilé, il n’aurait plus le plaisir d’être près de lui… John attrapa l’objet tout en plongeant son regard dans l’océan mélancolique qui le contemplait.

- Merci Rodney… lui dit-il d’une voix douce et feutrée.
- De rien John…
- Si je peux faire quelque chose…
- Comme quoi ?
- Ce que vous voulez…
- La Verité. Dîtes moi la vérité…
- Euh… d’accord… mais à quel sujet ?
- Que faisiez-vous si loin de vos quartiers ?
- Je vous l’ai dit je…
- La vérité…
-
John inspira profondément pensant à tout ce que la vérité impliquait.

- Je… je n’avez pas rendez-vous avec une femme…
- Avec qui alors ???
- Personne ! en fait… je… je voulais vous parler, et finalement j’ai renoncé et cette foutu plante…
- Me parler ? Mais de quoi ?
-
John avala sa salive et prit son courage à deux mains, de toute façon il en avait trop dit, il risquait gros mais toute sa vie il avait prit des risques, ce n’était pas aujourd’hui que ça changerai… Il se rapprocha alors doucement de Rodney et déposa un tendre et doux baiser sur ses lèvres.

- De ça… lui-murmura John au creux de l’oreille.

Voyant que le scientifique ne s’écartait pas, bien au contraire, John l’embrassa de nouveau, passionnément cette fois, puis le pris dans ses bras.

- Je vous aime Rodney.

Passage NC17

L’intéressé lui répondit par un baiser plus ardent encore, tout en pressant son corps contre lui. Les mains de John descendirent vers le bas du dos de son compagnon et le rapprocha encore davantage de lui. Chacun sentait se durcir l’autre sous l’effet du désir. John imprima un mouvement à Rodney, ondulant le bassin, faiblement, lentement, attisant son propre désir aninsi que celui de son compagnon. Son sexe touchait, bougeait et appuyait sur le sien. La respiration des deux hommes était haletante. Le militaire glissa sa main entre eux, dans le pantalon de son amant, et saisit sa verge. Tout en la sortant doucement du vêtement, John se mit à genoux et y posa ses lèvres, sa langue, titillant et faisant languir son compagnon qui commençait à gémir. Il le prit dans sa bouche et fit aller et venir ses lèvres autour du membre érigé lentement d’abord, puis de plus en plus rapidement. John commençait à avoir mal à la mâchoire mais le plaisir qu’il procurait à Rodney l’excitait et lui apportait satisfaction à la fois. Le scientifique poussa un cri rauque et John sentit le goût à la fois doux et amer de l’essence de son plaisir .
Après quelques instants, John se releva et prit Rodney par la taille, celui-ci se blottit contre lui et lui murmura d’une voix encore essouflée « Fais moi l’amour John ». Le militaire désirait cela au plus haut point et poussa doucement Rodney sur le lit et s’installa face à lui, à califourchon et entreprit de le désabiller, puis il s’attaqua à ses propres vêtements. Ainsi nus l’un contre l’autre, ne jouissant encore que du seul contact de la peau de l’autre. Rodney vola un baiser à son amant, qui se plaça entre ses jambes tout en caressant son corps, augmentant encore sa propre excitation. Il souleva les jambes et les reins de Rodney, introduisit un doigt en lui, le caressant de l’interieur pendant un moment puis le retira. Son désir avait alors atteint son paroxysme, il ne pouvait plus attendre. Tout doucement, par à-coups de plus en plus amples et de plus en plus profonds, il entra lentement en lui. Chacun de ses mouvements faisait mal à Rodney, mais l’envie de celui-ci à le sentir en lui était telle que là douleur importait peu, il en voulait plus. Soudain John pénétra en lui plus rapidement, lui arrachant un cri. Le militaire se sentit alors coupable, mais le regard de son amant était brûlant, il voulait qu’il aille jusqu’au bout. John le pénétra alors entièrement, prit le sexe de Rodney dans sa main et commença un lent va-et-vient simultané de sa main et de son bassin, se mouvant à l’intérieur de lui. Leurs deux respirations étaient anarchiques. John accéléra et accentua son mouvement, poussant des râles rauques avec son compagnon jusqu’à l’orgasme, qui éleva leurs cris poussés comme d’une même voix.
John se retira, sécroula sur Rodney puis s’allongea à côté de lui, le laissant se blottir contre son torse et le serrant contre lui. Ils se laissèrent envahirent pas un intense sentiment de plénitude et d’amour.

- Je t’aime John.
- Moi aussi Rodney…
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