Jeu, Set et Match - [Fic Sheyla - NC 17]

Auteur:: Moi Clélia première du nom
Saison: Je dirais HS mais plus vers la fin de la saison 2
Disclaimer: Rien n'a moi, blablabla ....
Rating: C'est du NC 17 très très hard, je vous préviens !!!!
Note de l'auteur: Bon alors voilà c'est la suite de Premières armes et de pensées aussi si vous les avez lu mais vous pouvez le lire sans avoir lu les autres.
Je vous l'ai déjà dis c'est un NC 17, mon premier pour etre exact et je vous avoue que je suis choqué quand je relis cette horreur, moi une jeune fille si sage, je vous donne pour votre éducation sexuelle cette espèce de.... je sais pas quoi.
Pour tout vous dire je l'ai écrite pendant ma semaine de vacances et je changeais de pages dès que mes parents arrivaient derrière moi, je suis pas très courageuse !!!

Bon je me tais et je vous le mets
Bonne necture et pas de bave sur mon topic


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Depuis cet échange de connaissances guerrières entre Teyla et Sheppard, ils passaient beaucoup de temps ensemble. Entre l’armurerie et le gymnase.
Mais depuis l’attaque des Wraiths, la découverte des dons télépathiques de Teyla et la mutation du colonel Sheppard, tous deux s’évitaient le plus possible. Pourtant cet éloignement pesait sur leur conscience et sur leurs rêves. Teyla avait peur de John. Pas de l’être humain mais de la force brute qui sommeillait en lui. Elle en avait eu un aperçu quelques jours plus tôt alors que le rétrovirus avait réveillé en lui des instincts que le docteur Beckett avait qualifiés de primaires. Elle avait également eu peur du Wraith qui était devenu parce qu’elle avait peur de lire ses pensées la plus noires, les plus profondes. Tous ce qu’il s’évertuait à cacher depuis qu’ils se connaissaient. Tous ses souvenirs douloureux d’une guerre à laquelle il avait participé dans ce qu’il appelle le Golfe. Elle savait qu’il avait peur de toutes ces images et de tous ces souvenirs qu’il s’évertuait à fuir le plus possible en s’abrutissant de travail.
John se trouvait dans le même état d’esprit mais pour des raisons différentes. Le rétrovirus lui avait permis d’admettre ses sentiments mais le rétrovirus, même s’il n’était plus actif, restait dans son sang. Il avait peur de refaire ce qu’il avait fait. Il avait peur de se retrouver en face de Teyla et de la forcer de nouveau à l’embrasser, de lire l’incompréhension et la peur dans son regard. La peur… Jamais il n’avait vu ce sentiment dans les yeux de la jeune femme surtout par sa faute.

Sortant de ces idées noires, John décida qu’il était temps de briser la glace. Il s’élança vers les quartiers de Teyla, espérant y trouver la jeune femme. En s’approchant, John ralentit et s’arrêta devant la porte. Il frappa.
-Teyla ? Teyla vous êtes là ? Il faut que je vous parle !!
Teyla apparut à la porte l’air sceptique.
-Me parler ?
John baissa les yeux.
-Oui, depuis quelques temps nous … comment dire … Nous nous évitons et comme vous êtes mon entraîneur et bien disons que je commence à rouiller.
Elle esquissa un sourire.
-Et vous voulez parler pendant que nous nous battons ?
John haussa les épaules en fourrant es mains ans ses poches.
-Et ben pourquoi pas. Allez chercher vos affaires, on se retrouve au gymnase.
John sourit et se repartie vers ses quartiers.

Teyla s’étirait dans le gymnase en attendant son adversaire. Les yeux dans le vague, elle attendait perdue dans ses pensées. La porte du gymnase s’ouvrit et se referma sans qu’elle s’en aperçoive. Le colonel posa ses affaires puis s’avançant vers elle et lui passa une main devant les yeux.
-Atlantis appelle Teyla, vous m’entendez ?
La jeune femme sembla revenir à la réalité.
-AH colonel, vous voilà ! Nous allons pouvoir commencer.
Elle se leva, alla chercher ses bâtons puis se mit en position de combat.
-Voyons voir ce que vous avez retenu de mes leçons.
Elle attaqua avec rapidité. Pourtant John para le coup avec facilité. Bizarre. Il para un autre coup pis un troisième puis un quatrième. Il attaqua et rapidement mit à terre. Vraiment très bizarre. Elle se releva et réattaqua tout de suite. Pourtant sans sa force habituelle.
Quand elle se retrouva pour la troisième fois à terre, John commença à s’inquiéter. Il tendit la main vers la jeune femme pour l’aider à se relever.
-Vous êtes sûre que tout va bien Teyla ?
La jeune femme soupira en baissant la tête.
-Plus ou moins.
John bascula la tête sur le côté, l’air sceptique.
-Ce qui veux dire ?
Elle releva les yeux.
-Je ne suis pas au meilleur de ma forme voilà tout.
Elle avait des valises sous les yeux et semblait lasse de tout. John insista.
-Que ce passe-t-il Teyla ?
La jeune femme soupira et alla s’asseoir sur le banc, la tête tournée vers la fenêtre. La joue contre la vitre, les yeux dans le vague. E plus en plus inquiet, John alla s’asseoir près d’elle, sans dire un mot, lui laissant le temps de remettre de l’ordre dans ses idées, dans ses pensées. Au bout d’un moment, elle ouvrit la bouche mais la referma presque tout de suite. Cela se reproduisit plusieurs fois, mais John ne dit pas un mot, il attendait patiemment que sa compagne trouve le courage de lui dire ce qui n’allait pas. Teyla sentait le regard de l’homme sur elle mais ne s’en sentait pas gêné. C’était un regard patient et doux qui ne demandait aucune réponse.
-Depuis quelques temps, je suis fatiguée.
John se redressa sans pour autant se lever, se tournant totalement vers Teyla.
-Je dors mal, même depuis que le Docteur Beckett et le Docteur Heigthmayer, m’ont appris à me fermer aux visions télépathiques des Wraiths. J’ai peur toutes les nuits de m’endormir, je ne dors plus que quelques heures. J’ai des problèmes avec mon peuple, ils… Ils me reprochent de rester sur Atlantis plutôt que d’être avec eux, pourtant je vais le plus souvent possible les voir, je règle moi-même les problèmes les plus importants, je pars en négociations seule pour leur bien. Je… Je ne reste ici que pour leur permettre de vivre un jour sans la menace des Wraiths. Je ne comprends pas qu’ils puissent ne pas le comprendre.
Les larmes coulaient sur les joues de la jeune Athosienne. Elle n’avait pas tout dis. Elle voulait aussi lui dire que ce baiser, même s’il était forcé, ne cesser de tourner en boucle dans sa tête. Elle tourna alors la tête vers son compagnon, son confident du jour. Il avait lui aussi posé sa tête sur la vitre et la regardait, le regard doux. Elle s’était tu, laissant les larmes couler sur ces joues. Elle n’aimait pas paraître faible mais aujourd’hui, paraître forte lui paraissait impossible. Elle ferma les yeux et doucement se laissa aller en avant s’affalant sur les genoux du colonel. Surprit, John posa ses mains sur ses épaules pour la relever.
-Vous êtes tendue Teyla ! Vous ne pouvez pas dormir en étant aussi noué. Attendez moi ici. Et surtout ne bougez pas.
Le Colonel se leva et alla au fond de la salle. Teyla le vit attraper les tapis d’arts martiaux et les disposer en carré sur le sol de la salle. Puis s’éloignant de son œuvre et enleva ses chaussures. Il ferma la porte et la verrouilla. Puis s’approchant de la jeune femme il lui tendit la main. Surprise elle prit la main tendue et se leva. Ce contact la fit frissonner. Il avait cet air mystérieux qu’il arborait la première fois qu’ils s’étaient rencontrés et qui l’avait fait craqué. Il la conduisit vers le matelas improvisé.
-Allongez-vous. Lui ordonna-t-il.
Fronçant les sourcils, elle obéit pourtant. S’allongeant sur le dos, elle eut la surprise de le voir s’asseoir à côté d’elle. Se mettant sur le côté, elle le regarda se frotter les mains.
-Que faites vous ?
Il lui sourit.
-Mettez vous sur le dos.
Elle obéit.
-Il existe sur Terre une méthode assez efficace pour soulager les tensions dans le corps et je me demande d’ailleurs pourquoi nous n’avons pas emmener avec nous un spécialiste.

Sur les conseils de Maliang, je vous remet en rouge et en très grand

Cette partie est du NC-17

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Ils basculèrent sur le tapis de massage improvisé, s’embrassant toujours. Tandis que Teyla lui caressait les épaules et le dos, John quitta ses lèvres pour descendre dans son cou brûlant. Y déposant de petits baisers qu’il alternait avec de petits coups de langue. Il y trouva la zone qui la faisait frissonner. Dès qu’il y posa ses lèvres, de violents frissons la traversèrent de part en part. Abandonnant son cou, il descendit plus bas, traçant un sillon brûlant de son cou jusqu’à sa poitrine déjà nue. Teyla, sans s’en rendre compte, le stimulait de ses caresses. Il traça d’abord le contour de chaque sein avec sa langue puis la sentant impatiente, il finit par remonter au centre de sa poitrine. Attrapant un téton, il s’aspira et la mordilla tendrement. La jeune femme sous lui se cambra, le souffle court. Elle sentait les mains de son compagnon descendre sur ses flancs palpitants. Il descendit encore plus bas, traçant de petits cercles de baisers sur son ventre pour descendre encore plus bas et atteindre son nombril. Il s’y attarda quelques instants. La sentant se cambrer violemment, il attrapa ses hanches pour la bloquer. Il descendit encore, arrivant là où il souhaitait aller. La jupe légère fut ne rapidement plus qu’un souvenir lointain. John glissa ses mains entre les jambes de la jeune femme, posant une main sur son genou, il remonta doucement, frôlant la peau frémissante, touchant l’autre jambe du dos de la main. Même si elle voulait qu’il aile plus loin et plus vite, Teyla se laissa faire. Arrivant à la limite de la culotte, John s’arrêta. Un grognement de frustration le fit sourire.
-Quelque chose de va pas ? demanda John.
Il avait le souffle trop court pour que son air innocent soit convainquant. L’entendre réagir comme ça avait tendance à la mettre dans tous ces états.
Un gémissement lui fit relever la tête. Elle avait la tête rejetée en arrière, les yeux clos, la bouche entrouverte. C’était une image qu’il n’aurait crut voir cette image. Teyla abandonnée à ses caresses, les attendant, implorante. Elle ouvrit les yeux et John crut qu’il perdait la tête, les yeux sombres de la jeune femme étaient voilés de plaisir, son regard implorant ne lui demandait que de continuer. Il repartit à ses activités. Glissant un doigt sous la couture du sous-vêtement il fut étonné mais heureux de la sentir aussi brûlante et déjà prête à l’accueillir. Il enleva enfin le sous-vêtement, titillant les lèvres de la jeune femme de sa langue, Teyla écarta les jambes, lui facilitant l’accès. Accédant à sa demande, il se glissa dans les plis humides son sexe. Ignorant volontairement le bouton gorgé de sang et le creux palpitant de la jeune femme. Il s’amusa à explorer chaque recoin. Elle était humide et la chaleur qui se dégageait d’elle le rendait fou.
Teyla avait de nouveau rejetait la tête en arrière, cambrée à l’extrême, elle sentait les vagues de plaisir affluer dans son corps, de plus en plus fortes. Le souffle court, les lèvres entrouvertes et les mains crispées dans les cheveux de son nouvel amant, empêchait la jeune femme de perdre pieds. Pourtant elle plongeait peu à peu dans la déraison et dans un océan de plaisir qu’elle savait plus grand que celui qui entourait la cité d’Atlantis. Elle ne garda pas ce contrôle très longtemps, elle perdit le peu qui lui restait quand elle sentit John jouer avec le bourgeon gorgé de sang. Arrivée au seuil de la jouissance, elle se cambra de nouveau violemment, le souffle de plus en plus court, la plaisir l’emportait par vagues successives, ne lui laissant aucun répit. Sentant venir l’orgasme, elle voulut reprendre le contrôle. Elle attrapa la tête de John et le fit remonter vers son visage. Accrochant ses yeux, elle l’embrassa passionnément, goûtant à son propre plaisir. John se sentit aspiré par ce baiser. Teyla retourna la situation. Se retrouvant sur John, elle lui infligea les mêmes tortures. Commençant par la bouche, elle dévia. Mordant tendrement le lobe de son oreille. Déposant des baisers légers sur son cou. Ses mains descendirent le long de son ventre pour sortir le Tee-shirt de son pantalon. John l’aida à l’enlever et avant qu’elle ne reparte à ses passionnantes explorations, lui attrapa la tête et l’embrassa. Elle délaissa pourtant sa bouche assez rapidement pour rejoindre son épaule. Elle traça une ligne imaginaire entre son épaule et son torse, y laissant une traînée humide et brûlante. Jouant avec la peau de John, elle descendait encore et encore, la mordillant de temps à autre. Tout en descendant, elle attrapa la ceinture du jeune homme et l’enleva, déboutonnant lentement les boutons de son pantalon. A chaque bouton, elle frôlait son sexe en érection. John se mordait la lèvre pour ne pas gémir. Les mais dans les cheveux de Teyla, il suivait les mouvements de la jeune femme qui descendait de plus en plus bas. Enlevant le pantalon, elle posa une main légère sur la bosse de son boxer. John se cabra à son tour, le souffle court. Elle enleva enfin le boxer, libérant le sexe de son partenaire. Elle le prit dans sa main et le caressa. D’abord doucement puis de plus en plus vite, laissant le désir de son partenaire monter dans ses reins. John ne comprenait plus rien. Il ne contrôlait plus rien. Il se sentait sombrer dans des abîmes de délices dont il ne voulait pus sortir. Plus rien n’existait, que les mains de Teyla qui lui donnait autant de plaisir. Il n’y avait plus de Wraiths, plus de menaces, plus de pénurie de nourriture à court terme, plus personne aux alentours, même plus de subordonnés qui patrouillaient dans les couloirs. Il grognait sans pouvoir s’arrêter. Il ne pu prévenir Teyla de l’inévitable que par un « Teyla » murmuré entre deux gémissement. Elle lâcha le membre juste avant l’inévitable, le frustrant plus qu’il ne fût humainement possible. Grognant de frustration, il serra les poings. Il vit Teyla se redresser et approcher son visage du sien.
-Tu vas me tuer, grogna-t-il.
Un sourire carnassier apparut sur le visage de la jeune femme.
-Tu comprends la torture que tu m’as fait subir tout à l’heure.
Il fit un sourire ironique.
-Je vais devoir me venger alors !
Le sourire de l’athosienne s’élargie.
-Et si je te dis que je l’ai fais exprès !
John la renversa sur le dos.
-Hum… Alors ce que femme demande…
Il l’embrassa de nouveau, faisant passer tous ces sentiments dans ce baiser. Elle se glissa sous lui. Une main dans ses cheveux en bataille, elle accentua le baiser qui passa de tendre à passionné. John passa une main sous la fesse de Teyla, il la souleva du tapis. Leur corps entrèrent en contact très rapproché. Leur peau recouverte de sueur se frôlèrent faisant naître des frissons. Les mains de John caressèrent les fesses de la jeune femme. Instinctivement elle s’ouvrit à l’homme. Passant ses cuisses sur les hanches du militaire, elle sentit le membre turgescent se serrer contre sa féminité. Embrassant le jeune homme à en perdre haleine, elle se laissa dériver dans l’océan des sensations qu’il faisait naître en elle. D’un geste souple, il s’enfonça en elle. Ils gémirent à l’unisson. S’arrêtant un instant, il voulut reprendre son souffle. Teyla glissa une main sur la joue rappeuse de John. Ne reprenant toujours pas son mouvement, elle s’inquiéta un peu.
-John ?
Le jeune homme sourit tendrement à la femme qui l’accueillait en elle. Prenant une grande inspiration.
-Je… Je t’aime Teyla.
Les yeux de la jeune femme s’écarquillèrent, un sourire resplendissant naquit alors sur ses lèvres.
-Moi aussi je t’aime John. Je te demande pardon pour t’avoir évité tout ce temps.
Il l’embrassa alors qu’il s’enfonçait plus loin en elle. Elle se cabra sous lui, un gémissement passa ses lèvres entrouvertes. S’appuyant sur ses avant-bras, John se retira presque totalement avant de s’enfoncer de nouveau en elle. John n’en revenait pas elle était si chaude, si humide, si étroite autour de lui qu’il en perdait la tête. Elle répondait à chacun de ses mouvements, allant vers lui alors qu’il s’enfonçait en elle. Gardant un rythme lent, il s’enfonçait de plus en plus loin, sentir son sexe étroit le retenir en elle, lui faisait perdre le contrôle de ses mouvements. Il accéléra le mouvement, tous deux sentirent le plaisir monter en eux. Teyla se cabra de nouveau contre lui, le désir lui brûlant les reins. John perdit alors totalement le contrôle de son corps et de ses pensées. Il accéléra encore le mouvement, s’enfonçant de plus en plus loin de plus en plus durement. La jeune femme gémissait contre lui, lui enfonçant ses ongles dans le dos. Poussant les fesses de son amant à l’aide de ses pieds, elle l’encouragea une dernière fois avant de plonger dans les abymes du plaisir. Ils jouirent en même temps, , le corps secoué de spasmes, gémissant le nom de l’autre dans son oreille.
John s’écroula sur sa partenaire, épuisé. Les cuisses toujours autour de ses hanches de son amant, Teyla lui caressa le dos en souriant, savourant cette plénitude qu’apportait l’après amour. Ils reprenaient leur respiration, calquant les mouvements respiratoires sur ceux de l’autre. John déplaça sa tête pour la poser entre les seins de Teyla. La respiration enfin calmée, John voulut s’écarter de sa partenaire, pour ne pas l’écraser. Elle refusa de le laisser partir.
-Tu ne vois pas d’inconvénients à rester là ?
-Je ne t’écrase pas ?
-Pour une fois ce sera toi qui sera sur moi, et pas le contraire.

La dernière partie pour vous faire plaisir

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John sourit.
-C’est agréable d’être sous toi, j’avoue que c’est un de mes lieux préférés sur Atlantis.
La jeune femme pouffa. Faisant bouger son amant dont la tête était resté sur sa poitrine. Elle tourna la tête vers la fenêtre, le soleil s’était couché et la lune éclairait maintenant l’intérieur de la salle.
-Il se fait tard, dit Teyla.
-Hm…
Elle le regarda, il avait les yeux fermés.
-Tu dors ?
Il sourit mais ne dit rien.
-Tu veux qu’on passe la nuit ici, sur ce tapis humide, alors que nous avons chacun un lit ?
Il ouvrit brusquement les yeux, inquiet.
-Chacun un lit ? Tu veux finir ta nuit seule ?
Teyla sourit, l’air innocent.
-J’ai dis ça moi ?
Il soupira puis relevant la tête. Il regarda les yeux noirs de la jeune femme.
-Alors comme ça, Mademoiselle Emmagan, vous jouez avec mes nerfs ?
Teyla plongea dans les iris verts de l’homme qui était désormais son amant.
-C’est possible.
Elle frissonna.
-Tu as froid ? demanda John.
-Un peu c’est vrai.
John se redressa alors, sortant de la jeune femme. Elle grogna mais le laissa partir, se jurant qu’il ne sortirait pas aussi vite la prochaine fois. John se leva et regarda. Elle était tellement désirable dans la lumière pâle de la lune. Cette clarté argentée sculptait sa silhouette comme dans un grand drap de satin blanc. John se sentit reprit part le désir. Il se détourna alors et ramassa rapidement ses vêtements et se rhabilla. Il se tourna alors vers la jeune femme. Toujours nue, elle s’était levée et s’approchait doucement de son amant.
-Alors comme ça on se rhabille, demanda-t-elle sensuellement
John tenta de se calmer et releva les yeux vers la jeune femme.
-Je me disais qu’il était possible de continuer notre passionnante activité là ou il fait chaud !!!
Une lueur coquine s’alluma dans les yeux de la jeune femme.
-Une chambre par exemple ?
John grogna, il ne se contrôlait déjà pas beaucoup mais si elle continuait à lui parler comme ça, il l’a prendrait sur le champ.
Elle se retourna et d’une démarche chaloupée, elle alla chercher ses vêtements. John ne put détacher ses yeux de la silhouette de sa compagne. Une fois habillée, elle s’avança vers lui et lui dit :
-La tienne est plus proche.
Souriant il la prit dans ses bras comme une jeune mariée.
-Ce que femme demande….
Et il sortit son précieux fardeau dans les bras vers un lieu plus approprié pour leurs ébats.

FIN

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Voilà vous m'avez forcé à mettre cette horreur alors maintenant vous assumez !!!!