Auteuse : Il était une fois, dans un royaume fort, fort lointain...
Titre : Il faut sauver le soldat Lorne
Saison : Saison 3
Genre : Humour, aventure...Non mais j’essaie au moins...Oh et puis c’est raconté du point de vue du principal intéressé ^^ (ça aussi j’essaie)
Résumé : Rien que le titre vous fait sûrement penser que le
pire est à venir. Alors vous êtes
sûres de vouloir un résumé qui vous confortera dans vos impressions angoissées ? :DD
Disclaimer : Atlantis à la MGM
Nota : Pitiiié ! Ne me lynchez pas parce que je publie une autre ‘Lorne-fic’...J’y peux rien moi si je suis méga inspirée...
Pitite dédicace à toutes les Lorne-addict folles furieuses qui passeront dans le coin ! :DD
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1) Duo de chic, mais surtout de choc
Les Dimanche sur Atlantis sont souvent synonymes de repos – souvent parce qu’on ne prend pas de vacances lorsque des vampires suceurs de vie ou des humanoïdes psychopathes tentent de s’emparer ou même de détruire cette chère Atlantis. Donc, les Atlantes profitent de leur petite journée hebdomadaire pour vaquer à leurs occupations, aussi intelligentes ou farfelues qu’elles puisent être. En général, les Dimanche sont accueillis avec soulagement et bonheur.
En général, parce qu’aujourd’hui, c’est Vendredi, il est dix heures, et moi, je m’ennuie déjà.
Trois fois que je fais le tour de la Cité dans le vain espoir de tomber sur une activité susceptible de combler ma matinée – et accessoirement toute ma journée. Il y a toujours un truc à faire ici mais quand j’arrive à avoir
trois jours de congés
d’affilé, tout semble contre moi ! Plus de toiles pour peindre, les équipiers qui font
encore une journée marathon des pires navets qu’on a obtenu du Dédale, et il fait un temps pire que pourri à l’extérieur ! Pas vraiment l’idéal pour...
- Hey ! Major !
Une fois la crise cardiaque passée, je me retourne pour voir qui vient de m’interpeler de la façon la plus joviale que j’ai entendue de la semaine. Et à peine ai-je eu le temps d’identifier mon interlocuteur – le Colonel Sheppard – qu’il me prend par le bras et m’entraîne dans ses quartiers. J’étais jamais rentré dans les quartiers de mon boss jusque là...Mouais, c’est pas
si extraordinaire que ça...Même murs ternes, même carrelage super froid pour les pieds au réveil et même baie vitrée – notons tout de même la vue sur l’océan.
- Regarde qui nous rend visite Rod !
Là, il y a un truc qui cloche. Mais un
gros truc. Sheppard tutoie McKay, l’appelle même par un diminutif, un McKay allégrement vautré dans le lit, un sourire niais méconnu jusqu’alors fichait sur le visage.
- Major Lorne ! Quel plaisir que de vous voir !
- Il traînait dans le couloir, le pauvre, soupira Sheppard en hochant la tête
- Euh...Oui. Je m’ennuie un peu alors...je me balade
- On devrait jamais s’ennuyer en vacances !
- Vous aussi vous avez votre journée Monsieur ?
- Ouais. Ma journée jusqu’à Dimanche soir ! Je vais pouvoir faire
pleiiin de truc !, déclara-t-il avec un regard explicite vers son co-équipier, qui ne fut pas enclin à lui rendre
- Mais tais-toi John ! Tu veux pas que toute la Cité soit au courant quand même ?, râla McKay en envoyant un oreiller en plein dans le ventre du Colonel
- Mais c’est pas grave, le Major il est digne de confiance, il dira rien à personne. Hein Lorne ?, demanda-t-il en me donnant des coups de coude dans les côtes
- Euh...Ouais. Je dirais rien à personne
Pour sûr, je vais pas aller crier sur tous les toits que mon boss profite de ses journées de congé pour se saouler avec son collègue. Je suis pas un cafardeur moi ! Merde, faut sérieusement que j’arrête d’intégrer les expressions de Chuck et Estelle.
- Ben tu vois ! Tiens pour la peine, on vous offre un coup Major !
- Je ne crois pas non. Je...Je vais continuer mon tour de la Cité, hein ? Et allez-y doucement quand même
- Comptez sur nous Major !
Après un petit salut militaire, il titube jusqu’à son lit où il s’affale
gracieusement en faisant pouffer de rire McKay. Et avant que j’ai pu faire un pas vers la sortie, il roula sur le ventre, écrasant sans ménagement McKay, et commença à...à l’embrasser, à pleine bouche, en grognant comme un ours ! L’effet de surprise passée, je ferme la bouche et je pars précipitamment. Non mais franchement...Ils sont vraiment
si bourrés que ça ou ils sont simplement désinhibés à cause de leur consommation abusive d’alcool ?
Ouais je sais, niveau action, on repassera. Mais ça va venir d’ici quelque chapitres