Pour l'avenir du monde [E]

Auteur : Melinda
Titre : Pour l'avenir du monde
Catégorie : Web série
Genre : général mais plus centré romance
Saison : Toutes les saison dui moins jusqu'à au milieu de la 2
Spoilers pleins de zodes
Disclamer : les personnages et l'histoire origniale ne m'appartiennent pas mias le scénario et certains persos de cette histoire si !
Note : Autre websérie !

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Personnages :





Guest Star



Episode 1 : A la recherche d’une vie


La pluie tombait, mais pourtant cela ne les empêchaient pas de se promener, dans ce parc où elles étaient venus tant d e fois. Elles en profitaient, elles s’étaient un peu éloignées de la ville.
Kindom Park était à l’extérieur de la ville, c’était le parc où tous les habitants de la balnileue pavillonnaire se rendaient, avec leurs enfants.
Il y avait peu d emon aujourd’hui, car il faisait froid, et qu’une légère pluie avait commencé à tomber dés le début de l’après midi.

-« Tu sais, mon travail commence un peu à m’ennuyer. » dit l’une d’elle, une blonde aux yeux bleus.
-« Ah oui ? » demanda son amie. « Déjà ? Mais ça fait à peine un mois ! »
-« C’est vrai, mais j’ai l’impression d’avoir explorer tout ce que l’on m’avait demandé, voir un peu plus. »
-« En même temps. » dit son amie. « En Antarctique à part les pingouins… »

La blonde sourit. C’est alors que la pluie se mit à tomber plus fort. Les deux amies se précipitèrent sous un grand pin parasol, qui leurs ferait office d’abri.
Elles firent un commentaire sur le temps qu’il faisait, puis la brunette demanda à son amie :

-« Tu rêves encore de lui ? »
-« Oui. » répondit son amie tristement.

La brune lui posa la main susr une épaule pour la rassurer.
C’est alors qu’elle leva les yeux et dit :

-« Tu as vu ? »

La blonde leva son regard bleu vers la direction que lui indiquait son amie et sourit.
On pouvait voir une branche totalement remplie de feuilles jaunes et oranges, alors que toutes les autres étaient vertes.

-« L’automne arrive… » murmura la blonde.

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Cher Inconnu,

Cette nuit, nous étions je ne sais trop où, en fait je crois que ça n’avait pas vraiment d’importance. Tout ce que je peux te dire sur cet endroit, c’est qu’il était fort charmant cher inconnu ! Je me souviens aussi qu’il y avait l’océan, à perte de vue, nous étions sur une plage, qui sait peut être au nord de New York, mais cela aurait été l’été, car il faisait chaud…. Il n’y avait rien d’exceptionnel cette nuit, juste toi et moi, et ça suffisait emplement !
Tu sais, je me pose de plus en plus de questions. Suis-je folle ? Cela ne fait que trois mois que Tom est mort, et tu es arrivé juste après, est-ce un signe du destin ? Je ne sais pas, je ne sais rien à vrai dire. Tout ce que je sais, c’est que tu es là toutes les nuits. Mais après, je ne sais pas grand chose d’autre sur toi. Pas même ton nom. Et ton visage n’est apparut que récemment… Qui es tu ? Existes-tu où n’es tu qu’un produit de mon imagination ? C’est là toute la question en fin de compte. Mais à qui pourrai-je en parler ?

Le stylo retomba sur la table. Elle se elle se pass eune main dans les cheveux. Mais pourquoi fait-elle ça ? A quoi bon écrire ces lettres à une personne qu’elle ne connaît même pas ? Est-ce vraiment utile ? Pourtant, ses lettres sont la seule chose qui l’occupe vraiment, et qu’elle prend plaisir à écrire… Depuis q’il est…
Son cœur se pinça. Ne pas penser au passé, elle s’était jré de ne plus penser au passé, à quoi bon ? Il était parti, elle ne pouvait que souffrir maintenant, mais à quoi bon se gâche rla vie ? Cela n’a durer qu’un mois, qu’un seul mois. Pourquoi se torturer autant ?
Parce qu’elle avait toujours été comme ça, que rien n’avait jamais vraiment changé…
Elle releva les yeux, et regarda autour d’elle. C’était un petit trois pièces du centre ville de New York. Elle l’avait acheté quand elle avait… 23 ans.
Au début, elles étaient deux à vivre dedans. Mais sa sœur était partie vivre à Chicago, cela lui importait peu, de savoir sa sœur seule à New York. Elle disait toujours « Tu te débrouilleras toujours, mais je serai là pour toi. »
Plus maintenant, maintenant, elle était mariée, et elle, la petite dernière d’une famille de cinq enfants, restait seule. Sa meilleure amie était ensuite venue emménager ici, mais maintenant, elle était partie à l’autre bout du monde, pour une cause à la quelle elle n’adhérait même pas.
Et elle, restait là. Elle était partie, pendant trois ans, mais était finalement revenue, là où elle était née, là où elle avait grandi, dans cette ville de New York qu’elle aimait tant.
C’est alors que le téléphone sonna. Elle ne voulait pas décrocher, alors, elle le laissa sonner et la messaerie s’enclancha.

« Bonjour vous êtes bien chez Liliann Scofield, je suis absente, mais vous pouvez me laisser un message. »


Puis, un ‘bip’ sonore retentit. Une voix féminine parla après le son.

-« Lily ? Liliann je sais que tu es là décroche ce téléphone ! Lili ne joue pas à ça avec moi, je vois de la lumière ! Je suis juste en bas de ton immeuble ! »

Liliann se redressa et se précipita vers la fenêtre. En bas, elle vit une voiture avec une jeune femme brune qui téléphonait.

-« Oui, c’est moi ! » dit la voix dans le répondeur. « Alors tu as intérêt à descendre, tu mets un joli haut tu me recoiffe ta magnifique crinière blonde, et tu descends ! Je t’emmène danser ma belle ! »

Lili soupira.

-« Et ne soupire pas ! Je t’attends. »

Puis, elle raccrocha. Lili fit signe à son amie par la fenêtre, lui disant qu’elle arrivait. Puis, elle enfila quelque chose de métable, et se dirigea vers l’extérieur, en laissant la lettre inachevée sur son bureau…

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Bagdad, le 13 Avril

Lili ma petite souris,

Alors, comme tu te doutes par la phrase d’entrée, ça ne peut être que moi ! Alors, je viens de recevoir ta lettre. C’est quoi cette histoire ? Laureen qui s’est trompée et t’a amené dans un bar gay ? Ah oui et bien notre chère mère célibataire n’a pas encore trouvé les bonnes techniques pour te trouver l’âme sœur… Enfin, passons sur tes aventures avec Laury ! Comment vas tu ? Je sais, ce n’est pas vraiment la question à poser, mais ça fait quatre mois alors… Je sais, je ne suis pas toi, je ne sais pas ce que tu ressens… Et toi si c’était moi qui souffrais tu le saurais ! Tu saais, c’est assez exaspérant !
Ici, les jours se suivent et se ressemblent, j’ai vraiment hâte de pouvoir rentrer, j’en peux plus ! NY ne m’a jamais autant manqué de toute ma vie, au moins, en Afghanistan, tu étai slà ! Bon, tu étais mon supérieur mais bon…
Enfin voilà, sinon, je ne sai spas vraiment quoi dire ! Je dois bien avouer, que toute relation extra-professionnelle avec mes collègues de chambrée, et leur inculture en matière de série télé étant présente, je me réfugie dans la lecture ! Oui oui tu as bien lu !

Bon je te laisse, l’appel du soir à sonenr.

Ne m’oublie pas je ne t’oublie pas !!

Noemy.


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--Cheryl Crow : I Shall Believe—


Elles étaient toutes les deux dans un restaurant, en train de discuter... Toutes les trois étaient plutôt le mot juste.

-« Non, Megan, tu n’auras pas de mousse au chocolat en plus de ta tarte ! »
-« Mais yeuh maman ! »
-« Non Meg ! »
-« Vais pleurer ! »
-« Comédienne va ! »

Megan éclata de rire. Liliann regardait Laureen et sa fille en pleine conversation. Elles étaient vraiment pareil toutes les deux ! Elles étaient toutes les trois allé déjeuner en ville, Laury avait une pose à son travail. Lili elle, n’en avait pas de travail…
Voilà pourquoi elle avait un journal avec les annonces devant elle.

-« Alors, qu’offre cette chère ville en emploi ? » demanda Laureen.
-« Rien de tentant… » répondit Lili. « Des trucs de serveuses ou de baby-sitters »
-« Il faut bien commencer par quelque chose »
-« J’ai besoin… D’un truc qui me passionne ! Un truc qui me remonte, pas un truc que j’ai djéà fait… »
-« Tu as tout fait ! »
-« Non ! » s’exclama Liliann.
-« Tata Lili c’est la meilleure ! » dit Meg.
-« Elle est très lucide ! » s’exclama Lili. Laureen lui sourit. « Bon. » reprit sérieusement la blondinette. « Horlogerie, mais je m’y connais pas en horlogerie ! »
-« T’as qu’à lire un bouqin sur le sujet ! »

Lili tira la langue à Laureen. Puis la jeune brunette dit :

-« Tu devrais venir pour l’anniversaire de Megan Samedi, ça te changera les idées ! »
-« Oui, sûrement. »

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Le 18 Mai,

Cher Inconnu

Je crois que j’ai un gros problème. Ce n’est pas censé arriver… Ca fait cinq mois, que tu es là toutes les nuits… et voilà que je t’aime !
Ce n’est pas possible, je ne peux pas aimer un rêve ! Je ne sais même pas si tu es là quelque part… Je ne sais même pas si je te rencontrerai un jour… Ils se sont toujours réalisé ses rêves là… Mais jamais je n’en ai fait autant qui se suivaient, et qui étaient aussi présents dans ma vie…
J’aime un rêve.. Que dois-je fais ?
Je ne sais plus…

Partie 2
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Ils étaient tous les deux dans une salle grise. Des tas de dossiers étaient étendus sur la table.

-« Bien. » dit-elle à l’homme qui lui faisait face. « Il nous faut… Un expert en physique ? »
-« Encore ? »
-« On en a jamais assez… »
-« Il y a cet article que j’ai lu, un docteur de renommé qui exposait une théorie fort proche de celles de nos petits amis hommes gris sur les vortex. »
-« Ah oui ? » demanda-t-elle. « Cela pourrait être intéressant. »
-« Vous croyez vraiment que tous ces gens seraient prés à quitter leurs vies ? »
-« Je ne sais pas, mais nous devons le leurs demander, c’est le but non ? »
-« Sans doute… »




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Noemy,

Aujourd’hui, j’ai essayé de trouver un boulot. Malheureusement, il n’y a pas grand chose pour moi. Pourtant, il y a le choix, mais rien qui me tente vraiment. Tu sais, je crois que j’ai besoin de quelques chose de plus… Stimulant. Je pense reprendre ma place dans l’armée, ça ne coûte rien d’essayer, mais malheureusement je ne pourrais pas venir où tu es, tu en connais les raisons. Et puis je suis sûre que tu adores te faire appeler : « Mon Capitaine ». ! Alots désolée, mais je ne viendrais pas bouleverser ton ordre hiérarchique cette fois !
Et bien sinon, rien de très neuf ! Nous êtons l’anniversaire de Meg samedi, dommage que tu ne puisses pas être là ! J’espère que tout va bien et que tu tiens le coup !
Sinon j’ai revu Martin, tu te souviens, quand j’ai bossé il y a trois ans au FBI ! Il est avec Samantha maintenant surprise ?!

Amitiés.

Liliann


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[Désert Irakien, 5 Juillet]

-« Lewis, Stevens et Harper, vous partez par là, il faut que l’on protège se convoi américain, de toute urgence, vous mavez compris ? »
-« Oui Colonel. »
-« Bien, contact par radio toutes les cinq minutes ! »
-« Oui Colonel ! »

Puis, les trois officiers partirent vers leurs postes. Ils avaient l’habitude de cela c’était leurs vives de tous les jours.

-« Alors Lewis, t’as une blague féministe à nous raconter ? » demanda Harper.
-« Dis moi, tu as un sens de l’uhmour très évolué Harper ! »
-« Vous ne devriez pas vous en prendre à lui mon Capitaine ! » dit Stevens.
-« Pourquoi Sergent ? » demanda Noemy.
-« Parce qu’il ne ferez qu’une bouchée de vous au poker ! »
-« Ca je n’y crois pas ! » dit Noemy en souriant.
-« Ah oui ? » demanda Harper. « Tu veux qu’on tienne le pari ? »
-« Mais oui ! »
-« Au tournoi de samedi alors. »
-« C’est l’occasion rêvée ! » s’exclama Noemy en souriant. « Une bonne occasion de t’umilier en public devant tout le personnel militaire de la base ! »
-« C’est toi qui ne fera pas longtemps Lewis ! »
-« Ca c’est ce que tu dis. »

Noemy et Harper échangèrent un regard, c’est à cet instant qu’ils entendirent une explosion prés d’eux…

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Partie 2


Cher Inconnu,

J’ai peur. J’ai entendu que la journée avait été meurtrière là bas, et que des soldats américains avaient été tués, tu sais que je prie à chaque fois pour que Noemy ne soit pas dedans, mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir peur.
Si elle part, il ne me restera personne. Bien sûr, je suis amie avec Laureen, mais tu savais bien qu’avec Noemy, c’est différent…
Pour en revenir à nous, il n’y a pas grand chose de nouveau… La situation est toujour sla même : et j’aimerai bien qu’elle évolue ! Tu es dans mes rêves dans mes visions, tu es là chaque nuit, mais je ne te connais pas…
Aimer un rève, aimer une illusion.. Ce n’est pas une vie…

Je ne sais pas, je ne sais plus, aide moi cher inconnu…

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Colonel Higgan attendait le rapport de l’équipe du capitaine Lewis. . Il prit sa radio.

-« Lewis… Stevens.. Harper vous me recevez ? »

-« Oui mon colonel. » dit la voix de Noemy. « Ici le capitaine Lewis, rien à signaler, tout semble… »

c’est alors que des grésillements remplacèrent la voix de Lewis.

-« Lewis ? » Silence. « Lewis vous êtes là ? »

Mais personne ne lui répondit…

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Major Scofield


Nous avons retenu votre dossier, parmi un certains nombres d’autres, pour vous offrir la possibilité de prendre un poste sur une base de recherche internationale en Antarctique. Pour des causes que vous comprendrez sûrement, et par la nature top secrète du projet, nous ne pouvons vous en parler par courrier.
Nous aimerions que vous répondiez à cette lettre, le plus vite possible, nous vous donnerons ainsi une date et un lieu de rendez vous.



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[New York, le 8 Juillet]

Le téléphone sonna alors. Lili se précipita vers ce dernier.

-« Allô ? »
-« Major Liliann Scofield ? »
-« C’est moi même. »
-« Je suis le Colonel Higgan, le commendant de la base où travaillait Noemy Lewis. »

Lili se figea. Travaillait ? Il avait dit « Travaillait » ? Son cœur s’emballa, elle devait se calmer.

-« Oui… Que se passe-t-il ? »
-« Le Capitaine Lewis a été blessée au combat. » répondit Higgan. « Comme vous êtes la personne à prévenir en cas durgence… »
-« Qu’a-t-elle ? » demanda Lili.
-« Elle est gravement blessée, elle est dans le coma. » répondit Higgan. « Mais le docteur ne craint pas pour ses jours. Elle s’en sortira, mais il faudra sans doute du temps. »
-« Peut-elle être rapatriée ? »
-« Pas pour le moment. » répondit Higgan.
-« Oh je vois… Merci de m’avoir prévenu. » dit Liliann.
-« C’est normal, au revoir Major. »
-« Au revoir. »

--Message edité par Melinda le 2006-11-22 01:19:34--

Partie 1 :

Note de l’auteur : Pour le nom de Liliann Scofield, il n’y a pas de rapport avec Prison Break bien que Michael soit fort charmant !

2. GranDécouvertes


/Antarctique, le 2 Novembre/

-« Dr Scofield ? Dr Scofield ! »
-“Hein? Ah, désolée Docteur.”
-“Le Dr Weir vous attend, vous avez un rapport à lui rendre sur la traduction d’un artéfact je crois.”
-« C’est exact ! Merci Docteur. »
-« Je vous en prie. »

Elle se dirigea vers le bureau du Dr Weir. Cela faisait deux mois et demis qu’elle travaillait à l’avant poste des Anciens. Elle avait réalisé en arrivant ici, qu’elle travaillait avec les meilleurs scientifiques de la planètes… Enfin ils faisaient partie des meilleurs ! Et elle, elle n’était qu’une petite scientifique, qui avait vite fait publié deux ou trois études comme ça. Elle se demandait ce qu’elle faisait là… Enfin elle, elle le savait elle se demandait surtout pourquoi on l’avait appelé elle… Sur le papier, son dossier n’avait rien de vraiment exceptionnel… C’était peut être le double doctorat….
Elle faisait partie de nombreux chercheurs de cette base. Son domaine relevait de la traduction, car le Dr Weir avait remarqué sa facilité à apprendre et manier la langue des Anciens. Ce qui donnait un plus à Melinda, qui n’était pas contre un petit coup de main. Mais elle se penchait sur les recherches du Dr Beckett. Et pourtant, on ne l’avait pas fait monter sur le fauteuil. Cela faisait deux mois qu’elle était là. Et apparemment, cela nécessité elle ne savait torp quel caractéristique qu’elle n’avait visiblement pas. Dommage, avoir ce gêne lui aurait fait quelque chose en plus…
Elle entra dans le bureau du Dr Weir après que cette denrière l’y ait autorisé.

-« Dr Scofield, bonjour ! »
-“Bonjour Dr Weir. J’ai le rapport que vous m’avez demandé.”
-« Alors, que nous apprend-il ? » demanda Elizabeth.
-« Malheureusement, pas grand chose j’en ai peur…. Enfin, rien que nous ne savons déjà. »
-« C’est tris à entendre, mais bon… Et bien merci Docteur, oh et avant que je n’oublie, le Dr Beckett voudrait vous voir, sur le fauteuil de contrôle. »
-« Mais je.. Croyais que je ne possèdais pas le gêne spécifique »
-« Il semblerait… Que vos dernières analyses révèlent une grande présence de ce gêne dans votre code génétique, mais vous devriez aller voir le Dr Beckett, il vous en dira plus que moi. »
-« Bien, merci Docteur. »

Lili sortit du bureau d’Elizabeth, et se dirigea vers le Dr Beckett, accompagné du Docteur McKay qui le torturait une nouvelle fois sur le fauteuil. Liliann sourit devant Rodney et Carson qui n’arrêtaient pas de se disputer. Puis, elle s’approcha.

-« Dr Beckett, vous m’avez faite demander ? »
-« Dr Scofield ! » s’exclama Carson en se redressant, heureuse de la voir. « Oui, je vous ai fait appeler, pour tester le fauteuil de contrôle avec vous. »
-« Juste une question Docteur. » dit Lili. « Comment le gêne est-il arrivé dans mon code génétique en deux semaines ? »
-« C’est un mystère aussi complet pour vous que pour moi Docteur ! » dit Carson. « Peut être qu’en testant avec le fauteuil, nous trouverons la réponse. »

Liliann hocha la tête, puis, elle prit la place de Carson sur le fauteuil. A peine y avait elle touché que le fauteuil s’activa, et se mit en position allongée. Il s’était illuminée. Lili regarda Carson et Rodney appeurée.

-« Qu’est-ce que j’ai mal fait ? »
-« Rien… Vous vous êtes juste assise. »
-« Euh… » commença Rodney. « Essayez de visualiser notre position dans le système solaire. »

Lili réfléchit brièvement à ce que lui demandait le Dr McKay, sans vraiment comprendre pourquoi. Mais c’est alors qu’une carte stellaire holographique apparut au dessus de leurs têtes.

-« C’est impressionnant… » s’étonna Carson les yeux au ciel.
-« Je n’aurai pas trouvé d’autres mots. » dit Rodney.

Les deux homme sbaissèrent les yeux sur Lili, qui leurs sourit, ne sachant pas trop quoi faire….

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Cher Inconnu,

Cette nuit, tu m’as demandé en mariage. Tu aurais vu ça, c’était assez impressionnant. Nous étions en plein milieu d’un match de foot, dont je t’avais offert les billets pour ton anniversaire. Et tu m’as regardé et tu m’as demandé de t’épouser. Je me suis toujours dit, que la prochaine fois, ça serait plus romantique, mais finalement, je les préfère comme ça les demande, sous le coup de l’action !
Alors j’ai dit oui cher inconnu… Jusqu’où cette histoire ira-t-elle ? Peux tu me le dire ?

Je crois que personne ne le sait vraiment…


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[Quartiers du Major Scofield, le 19 Novembre]

--Ivy : Worry about you—

Lili était dans ses quartiers. Rodney était devenu son nouveau meilleur ami. Où était-ce peut être l’iverse. Mais elle s’entendait très bien avec Rodney, Elizabeth et Carson, mais avait plus d’aités avec le premier, à l’incompréhension du personnel de la base qui ne le supportait pas. Mais c’était justement ce que Melinda aimait chez lui, il ne faisait pas attention aux autres, il disait ce qu’isait et il était vrai, il avait un sale caractère.
Elle était dans ses quartiers, c’était le soir, mais certains membres travaillaient encore. Pas elle.


[Antarctique, le 3 Décembre]

Le drône venait d’être arrêté par le Dr Beckett. Lili avait proposé son aide, mais Rodney avait préféré ne pas changer de « contrôleur » du fauteuil pendant le vol d’un drône. Lili avait compris, il ne vallait mieux pas courir ce risque…
Et maintenant, le lieutenant Ford venait de leurs annoncer que l’hélicoptère du général O’Neill était intact. Tout le monde fut soulagé. Puis, Daniel demanda à Rodney et Elizabeth de venir. Avant de partir, Elizabeth se retourna vers Liliann :

-« Dr Scofield, vous venez ? »
-« Oh euh… Je suis convoquée ? » demanda Lili étonnée.
-« Ne vous inquiétez pas le Dr Jackson ne mord pas ! » dit Elizabeth en souriant. « Et puis vous êtes un m membre important de cette équipe de recherches. »
-« Merci Dr Weir. »

Puis, Liliann suivit Elizabeth dans la salle de réunion. Daniel eleurs expliqua alors qu’is avaient trouvé Atlantis.
Puis, le Général O’Neill arriva, alors Daniel alla l’accueillir. Alors qu’il sortait du bureau, Liliann fut prise d’un vertige. Elle essaya de se rattrapper à la table, mais elle tomba à la renverse, prise d’un affaiblissement important.

-« Dr Scofield ! » s’exclama Elizabeth. « Rodney appelez le Dr Beckett. »

Rodney acquiesça, puis Elizabeth se pencha vers Lili qui était dans les vappes.

-« Dr Baldwin, vous m’entendez ? »
-« Oui.. Je .. Que s’est-il passé ? » demanda Lili.
-« Vous avez eu un vertige. » répondit Elizabeth.

Liliann ne rémondit pas. Elle était dans ses pensées, elle avait l’impression d’avoir perdue quelque chose en elle…
Le Dr Beckett arriva.

-“Liliann, vous allez mieux? » demanda Carson.
-« Oui, j’ai eu un vertige, mais ça va Carson. » répondit Liliann pour le rassurer.
-« Vous avez mangé ce matin ? » demanda Carson.
-« Oui. » répondit Lili. « Ce n’était pas une hypoglicémie. »
-« C’était quoi alors ? » demanda Rodney.
-« Un petit étourdissement, c’es t tout ! » leurs assura Lili.
-« Oui.. Bien, le généal O’Neill va arrivé. Dit Weir. «
-« Je vais y aller alorss. » dit Carson. « Alors à plus tard. »

Puis, ils sortit. Daniel arriva alors avec Jack.

-« Bonjour Général. » dit Elizabeth. « Vous vous souvenez sans doutes du Dr McKay. »
-« Bien sûr, comment l’oblier ! » dit Jack.
-« Et voici le Major Liliann Scofield, ou plus souvent appelée ici Dr Scofield. »
-« Mon général. »
-« Major… Vous ête sune petite nouvelle ? »
-« Je suis là depuis cinq mois mon Général. » répondit Liliann.
-« Quelle est votre spécialité ? » demanda Jack.
-« Euh… La médecine et les sciences politiques. » répondit Lili.
-« Mais elle sait aussi manier l’Asgard et l’Anvien. » dit Daniel.
-« Et les théories de la physique. » répondit McKay.
-« Et bien Major, vous êtes ambivalante dîtes moi. »

Lili hocha la tête, ne sachant pas trop quoi répondre. Puis la réunion coemmnça, ils parlèrent d’Atlantis et de l’E2PZ.
Au milieu de la réunion, ils furent intteerompus par Carson :
- Dr Weir?
- Carson, que se passe-t-il?
- Vous devriez venir voir...

Puis, il sortit de la pièce, sna siren dire d'autre. Tous les membres présents se regardèrent, puis, ils suivirent Carson.
Ils virent un homme sur le fauteuil.

- Qui est-ce ? demanda Elizabeth.
- Je vous avez dit, ne touchez à rien !
- Je me suis juste assis mon général !

Lili ne pouvait rien dire. Elle était là, et elle le regardait... Elle restait figée, ne pouvant pas bouger...

Partie 2 :



Cher Inconnu

Je crois maintena,t que je peux t'appeler par ton nom. Car je le connais. C'est étrange, quand tu es arrivé, j'ai ressenti un grand vide au fond de moi, comme si tu n'étais plus là, puis je t'ai vu et tout est revenu. Tout ce que j'ai vu, tout ce dont j'ai r^évé depuis ces derniers mois est revenu tout d'un coup.. Mais tu ne me connais pas. Comment ai-je pu croire que tout serait différent? Comment ai-je pu croire que tu allais m'aimé comme j t'aime, aussi vite?

Je ne sai spas je ne sai splus...
Je te connais Cher Inconnu...

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Partie 2

[SGC, le 10 Décembre]

--Good Charlotte : Today--

Carson, Elizabeth, Rodney et le Colonel Sumner étaient en train de finir le recrutement. Ils étaient là depuis des heures à chercher qui serait prés à sacrifier sa vie, pour partir dans une autre galaxie sans certittude de retour....
Dit comme ça, cela ne donnait pas vraiment envie.Mais eux, le prenez comme une immense aventure, un nouveau champ d'exploration pour l'humanité.

- Que nous manque-t-il ?
- Il nous faudrait encore quelque smilitaires, répondit Smuner.
- Et des médecins, répondit Carson.

C'est à cet instant que des bruits de pas se firent entendre dans l'escalier. Tous le monde tourna la tête, et vit le Major Baldwkin apparaître.

- Liliann ! s'exclama Rodney en souriant. Que se passe-t-il ?
- Je suis venue voir si vous n'aviez pas besoin d'aide, répondit Lili.
- Oh, et bien si vous connaissez des militaires et de smédecins... lâcha Sumner.

Liliann tourna son regard vers lui, et sourit... Oui, elle en connaissait.

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[Genral Hospital – New York le 10 Décembre]


Liliann gara sa voiture devant le Genral Hospital de Noew York ce matin là. Elle arrêta le contact, mit son manteau et son écharpe. Pour se diriger vers l’entrée de l’hôpital. Elle traversa le parc de l’hôpital sous la neige, à travers les arbres démunis de feuille. Elle arriva à l’entrée, et instantanément, reçèt de la buée sur se slunettes. Elle les retira, et arriva devant la secrétair eà l’accueil. Elle ne la connassait pas c’était sûrement une nouvelle.

-« Bonjour Madame, que puis-je faire pour vous ? »
-« Je suis Liliann Scofield, j’aimerai voir Noemy Lewis. »
-« Désolée Madame, mais vous ne pouvez pas voir Mademoiselle Lewis. »
-« Pourquoi ? »
-« Elle est en scéance de rééducation. »
-« Elle m’a donné les horaires ! » s’exclama Lili. « Elle devrait avoir fini… »
-« Je suis désolée Madame mais… »
-« Ca alors ! » s’exclama une vox derrière Lili. « C’est bien toit Scofield ? »

Lili se retourna pour voir devant elle un homme d’environ 40 ans. Elle lui sourit, c’était son titulaire, lorsqu’elle était interne en chirurgie.

-« Mayers ! » s’exclama-telle.
-Que fais-tu là Lili ? » demanda le Dr Mayers.
-« Je suis venue voir Noemy. »
-« Ah oui pourquoi ? »
-« J’aurai un boulot à lui proposer. »
-« Oh je vois, et… Molly ne veut pas te laisser entrée ? »
-« C’est exact. »
-« Molly, le Dr Scofield a travaillé ici, on lui fait un traitement de faveur. » dit Mayers.
-« Bien Docteur. »

Puis, Mayers conduisit Lili à la chambre de Noemy, qui sortait de sa dernière scéance de rééducation.

-« Alors Melle Lewis, comment allez-vous ? » demanda Mayers.
-« Bien, heureuse d’avoir enfin fini ! »
-« Bien ! Le Dr Scofield est venue vous rendre visite, je vais vous laisser, d’accord ? »
-« Oui, merci Stephen » dit Liliann en lui souriant.

Puis, le titulaire sortit, laissant les deux jeunes femmes seules.

-« Alors, comment va ta jambe ? » demanda Lili.
-« Tiens, c’est original tiens ! D’habitude on demande « Comment vas-tu ? » Mais « Comment va ta jambe » on ne me l’avait jamais fait. »
-« Noemy ! » s’exclama Lili.
-« Elle va très bien ma jambe merci ! Et pourquoi es tu la ? » demanda Noemy. « Les visites ne sotn pas autorisés, tu as du forcer ! »
-« J’ai accepté un poste pour une mission internationale ! »
-« C’est vrai ! Oui tu m’en avais déjà parlé ! »
-« Oui, mais nous avons découvert ce que nous chercions et je vais devoir quitter définitivement New York. »
-« Oh, c’est une grosse nouvelle ça. » soupira Noemy.
-« Mais je pourrais t’emmener. »
-« Ah oui ? » interrogea Noemy.

Lili sourit, et expliqua tout le projet à Noemy. Cette dernière écouta, assimilant toutes le sinformations. Puis, elle répondit à Lili.

-« J’accepte bien volontiers ! » dit Noemy. « Mais à une seule condition. »
-« La quelle ? » deamanda Lili.
-« Que tu ne sois plus blonde ! »

Lili fit les gros yeux à Noemy. Et regarda ses cheveux. Puis elle hocha la tête en souriant.

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Epilogue

La porte des étoiles était en train de s’ouvrir quand Lili et Noemy arrivèrent dans la salle d’embarquement. Le Dr Weir venait de faire le discours, au quel elles avaient assistés depuis la salle de commande.
Noemy regarda Lili en souriant. La jeune médecin abordait une toute nouvelle couleur de cheveux, certes ce n’était pas brun brun, mais elle était auburn, et cela lui allait à ravir.
Lili remarqua le sourire béa de sa mielleure amie. Elle regarda autour d’elle, vit Rodney, Carson… Et John…
Leur regards se croisèrent. Lili se souvint alors de leur première vraie rencontre…

FLASH BALCK

Liliann avait été appelée par Elizabeth dans la salle de briefing du SGC. Elle monta alors les escaliers et vit Sheppard et Elizabeth. Son cœur se serra, mais elle ne laissa rien paraître.

-« Dr Weir, Major Sheppard. » dit Lili.
-“Major Scofield.” La saluèrent John et Elizabeth.
-« Asseyez-vous. » dit Elizabeth.
-« Bien madame. » dit Lili en prenant place en face d’Elizabeth et à côté de John.
-« Bien nous sommes ici pour parler de vos places respectives au sein de la cité » dit Elizabeth. « Vous Major, vous êtes le deuxième militaire le plus haut gradé de la Cité, je pense que nous verrons une fois sur place, quel poste vous attribuera le Colonel Sumner. Mais vous Major Scofield… Vous êtes médecin et militaire, je crois que vous devriez rester militaire. »
-« Vous croyez ? » demanda Liliann.
-« Oui, vos compétences ne seront pas de trop. »
-« Bon, et bien je crois que je vais restée militaire alors… » soupira Lili.

« Le Dr Elizabeth Weir est demandée en labo 3 par le Dr McKay. »

-« Désolée. » dit Elizabeth. « Je dois y aller, nous en reparlerons demain, si le vortex fonctionne. »

Puis, Liz partit, laissant Lili et John tous les deux.

-« Alors, comme ça vous êtes major aussi ? » demanda John.
-« C’est exact. » répondit Liliann.
-« Pardonnez-moi ce commentaire sans doute déplacé et matcho mais… Vous n’êtes pa sun peu jeune ? »
-« Si. » répondit Liliann en souriant à la remarque du jeune homme. « Je devrais être Sergent, ou maximum Capitaine. Mais… Disons que j’ai de grande faculté qui m’ont permis d’évoluer très vite. »
-« Oh, je vois ! » dit John.

Lili lui sourit et ils disposèrent tous els deux.

FIN SU FLASH BACK


Ils étaient donc tous les deux Majors, tous les deux parmi les officiers le splus hauts gradés… Elle et son Cher Inconnu….
Le premier homme traversa le vortex pour la galaxie de Pégase…

A Suivre…

Nouveau personnage :



Guest Star :




Partie 1 :



[Atlantis, le 4 Août]


Cela faisait environ trois mois qu’ils étaient sur Atlantis. Et depuis la mort du Colonel Sumner dés la première mission, John et Lili dirigeaient la partie militaire de la cité.
L’équipe d’exploration principale, était donc formée des Majors Scofield et Sheppard, de Teyla Emagan et du Dr Rodney McKay. La deuixème équipe était dirigée par le Capitaine Lewis, avec le Lieutenant Aidne Ford qui s’était éprit pour le Dr Joanna Miles, qui était physicienne, et le Dr Robert Jenkins archéolologue.
Lili, John et Teyla étaient à présent dans la salle d’entraînement. John et Teyla étaient en train de se battre, alors que Lili méditait. C’était une chose que lui avait arrpis Teyla. Et elle avait remarqué qu’avec cet exercice son pouvoir d’empathie était agrandi… Car ils savaient tous, enfin du moins le smembres le splus importants de l’expédition, pour son pouvoir. Beckett pensait que c’était lié à son gêne ATA, mais il ne l’expliquait pas vraiment encore.
Elle entendait les bruits des bâtons de John et Teyla qui s’entrechoquaient. La situation avec John avait trouvé son équilibre, mais cela avait mis du temps. Elle savait parfaitement, qu’il ne se passerait sans doute jamais rien… Enfin pas tout de suite. Ils étaient du même grade, ce qui facilitait peut être leurs rapports, mais Liliann ne faisait rien pour qu’il se passe quelque chose… Noemy ne comprenait pas la situation, elle se demandait comme sa meilleure maie pouvait gérer le tout.
Avec elle, Liliann avait aussi amenée sa grande sœur, Elina Hewitt, qui était médecin dans l’équipe du Dr Beckett. Du coup, elle avait les deux personnes qui comptait le plus poour elle. Bien sûr, il y avait ses autres frères et sœurs, mais elle les voyait si rarement – et le fait de vivre dans une autre galaxie n’arrangeait pas la chose.
Noemy elle s’était parfaitement adaptée, elle s’entendait bien avec tout le monde, et tout le monde s’entendait bien avec elle… Sauf le Dr McKay, elle n’arrêtait pas de le charrier. Elle passait son temps à l’embêter et Rodney n’en pouvait plus.

*********

[Infirmerie au même moment]


Elina était en train de faire l’inventaire des médicaments, quand elle entendit un bruit derrière elle. Elle releva les yeux, et vit le Dr Caitlin Morris entrer. Elles travaillaient ensemble depuis trois mois, et étaient devenue amies. Cela rrivait osuvent que Caitlin se joignent à Elina, Liliann et Noemy pour le repas. Les quatre femmes étaient donc devenues inséparables.

-Bonjour Caitlin, comment vas tu ?
-Bien merci Elina ! dit Caitlinen hochant la tête. Alors cet inventaire ?
-Je déteste ça ! s’exclama Elina. Mais il faut bien le faire…
-C’est vrai ! Bon, je dois aller rejoindre le Dr Beckett en salle d’opération, l’équipe du Sergent Slainer est rentrée avec de sblessés…

C’est alors que Carson arriva.

-Ah, Dr Morrison, je vous cherchez… Dr Hewitt, vous pouvez faire appeler le Dr Scofield ? Nous avons besoin de paires de bras supplémentaires… Surtout en chirurgie.
-Bien, je le fais Dr Beckett, lui assura Elina.

Carson hocha la tête. Caitlin le suitit, et Elina alla appeler sa sœur.


***********

[Même moment, salle d’entraînement]

Teyla salua John, ils venaient d’achever le combat. John se retourna vers Liliann, qui était en train de méditer, assise en tailleur, les mains sur les genoux. Ses longs cheveux auburn cascadaient sur ses épaules, entourant son visage aux yeux fermés. Il la voyait telle qu’il l’avait toujours vu. Calme, seraine… Il y avait juste quelque chose qui clochait, le fait qu’elle lévitait à environ soixante centimètres du sol.
John regarda Teyla, pour voir si elle l’avait remarqué. Et oui, elle regardait la chirurgien avec un air étrange.

-« Scofield ? » l’interrogea John.
-“Oui?” dit Lili en levant les yeux.
-« Vous avez remarqué que… » dit John en la désignant.

Lili le regarda étonnée, ne comprenant pas.

« Le Major Scofield est demandée au bloc opératoire. »

Lili retomba alors de son point perché et se fit un mal au dos pas possible en retombant sur le dos. John et Teyla se dirigea vers elle pour l’aider à se lever.

**********



Elle était là depuis douze jours. Allongée, les traits presque tranquilles. Mais pourtant elle avait l’air si vulnérable.
Sur les fauteuils prés du lit de Lili étaient assis John, Elina et Noemy.
La sœur de la jeune femme était assise, les yeux rougis par les larmes encore versées ces derniers vous. Voir sa sœur ainsi, entre la vie et la mort, maintenue en vie par toutes ces machines, et se sentir si impuissante… Cela lui faisait mal au plus profond de son être Mais elle savait très bien qu’elle ne pouvait rien faire à part espérer.
Alors c’est ce qu’elle faisait, nuit et jours… Mais pour l’instant, cela ne faisait rien. Elle se réjouissait malgré tout par le fait que sa sœur ait survécu car vu la gravité de ses blessure, cela relevait du miracle.
La regarder lui faisait presque mal… mais elle ne pouvait s’empêcher de le faire, pour s’assurer de Lili était toujours là.
Elle ferma les yeux juste un instant…

**********

Le soleil l’éblouit alors. Elle ouvrit les yeux malgré cette lueur aveuglante. Elle regarda autour d’elle. Elle était dans une chambre d’infirmerie de la Cité. Elle regarda son poignet elle avait un bracelet de plastique blanc relié par un catétère à sa poche de perfusion.
Elle était vêtue d’une de ces blouses blanches mais ne savaient pas pourquoi elle était là.. Elle ressentait le même sentiment que lors de ses visions… Mais normalement elle n’avait pas le contrôle sur ces dernières, c’était des images qui défilaient dans ses yeus, elle était juste témoin de ces scènes.
Mais cette fois, cela semblait différent, c’était comme si elle la vivait.. La dernière chose dont elle se rappelait, c’était les tirs des Darts l’atteignant en pleine poitrine.
Mais c’était tout. Voilà pourquoi elle était ici, parce qu’elle avait été blessée.
C’est alors que quelqu’un entra, elle reconnut John il lui dit en souriant :

-« Tu t’es enfin réveillée ! »

« Tu ? »
il l’avait tutoyé.. C’était un rêve alors…
elle le regarda, il s’assit sur une chaise prés de son lit et prit une de ses mains.
Elle le regardait, surprise, était habituée à tant de mos passés sans ses visions, sans ces gestes… Juste des « major » « ou ce genre de choses.. alors il était normal que cela lui paraisse bizarre.
John lui dit alors :

-« Il va bien, ne t’inquiète pas, c’est vrai qu’il y a eu des complications, mais vous êtes tous les deux en bonne santé et c’est cela qui compte. »
-« Mais de quoi parlez-.. parles tu ? » demanda Lili ayant du mal avec le soudain tutoiement envers celui qui quelques instants plus tôt était encore son supérieur.
-« De toi et James ! » dit John comme si cela avait été évident.
-« James ? »
-« Notre fils… Peut être que tu as une légère amnésie due au coma. Tu te souviens, tu as eu des difficulté à ton accouchement. Je peux t’assurer que Anna a eu peur pour toi, mais elle était contente de rencontrer enfin son petit frère. »

Ils avaient des enfants ? James et Anna ? La surprise sous le coup de la nouvelle la plomba tout à coup…
elle ne comprenait pas vraiment ce qui se passait…

-« Je vais te l’amener. » lui dit John en se levant.

Il se dirigea vers un petit berceau en verre, comme ceux dans les cliniques où un bébé dormait. Il le prit dans ses bras. L’enfant se réveilla mais ne pleura pas.
Il se dirigea vers Lili, qui le regardait avec des yeux abasourdis par la vue de cet enfant.
John lui déposa dans les bras, elle le regardait, le bébé. Elle le fixait, alors que le petit enfant avait plongé ses yeux encore sans couleur définie, mêlant bleu vert et noir sur sa mère.
Il prit son doigt et le serra très fort. Des larmes montèrent aux yeux de la jeune femme..
Elle était mère.

-« Mes félicitation Madame Sheppard.. » murmura John a son oreille en souriant.

**********


La lumière était tamisée, les bips des machines étaient réguliers, faisant parti du fond sonore.
Noemy était assise devant le lit de Lili. Elina venait de partir, elle était fatiguée et avait préféré aller se coucher.
Il ne restait plus qu’elle et le major dans la chambre de l’infirmerie.
Caitlin entra et regarda les constantes de Liliann. Elle jeta un coup d’œil et un sourire compatissant aux deux visiteurs de sa nouvelle amie et sortit pour aller retrouver Carson.
Noemy regarda une dernière fois Lili et salua John avant de sortir de l’infirmerie.

*******


Elle était sur un des balcon de la Cité. Le soleil brillait et la chaleur régnait en ce mois de Juillet – comme lui avait préciser Rodney. Son amnésie soudaine en inquiétait plus d’un et en premier John – qui était d’après ce qu’elle avait compris son mari.
Elle, tout ce dont elle se rappelait, c’était leur dernière mission et sa blessure. Mais John lui avait révélé que cela faisait déjà cinq ans… pourquoi ne se souvenait-elle de rien ? Pourquoi avait-elle oublié les cinq dernières années qui étaient apparemment les plus belles de toutes sa vie ?
Elle avait James dans les bras, elle ne le quittait jamais, ne sachant pas pourquoi…
Elle releva les yeux vers la mer…
Cinq ans de sa vie avaient disparus.

************

Lewis partit, il se retrouva seul, avec elle et toutes ces machines qui la menaient un combat contre la mort qui voulait emporter son subordonné. Son amie… Peut être plus..
Il la regarda. Juste une lumière éclairait son visage presque paisible mais sans l’ombre d’une vie pourtant.
Il se leva et s’avança. Ses cheveux auburn encadraient ce visage à la paisibilité paradoxale.
Il espérait tellement qu’elle s’en remette… Elle était une amie très chère, une personne des plus importantes dans sa vie…
Etait-elle seulement une amie ? Il ne savait, pas. La situation ne lui permettait pas de faire le point, ses sentiments étaient flous à cause de son coma…
Il la regarda une dernière fois hésita à lui prendre la main, mais il se détourna et alla dans ses quartiers pour essayer de trouver le sommeil. Bien qu’il s’avait cette quête perdue d’avance.

**********

Atlantis – 29 Octobre

Il bloqua son attaque et en relança une autre. Teyla le bloqua, mais alors qu’elle ne s’y attendait pas il lui mit un coup dans les genoux la faisant vaciller et lui prit le bras pour la faire passer par dessus son épaule.
La jeune femme fut surprise de la rapidité des gestes de John. Il semblait mettre toutes ses forces dans ce combat.

-« Tout va bien Major ? » demanda Teyla.
-« Oui pourquoi, parce que j’ai gagné ? »
-« Non, je remarque jusque que vous êtes.. Un peu énervé. Cela est à cause du Major Scofield ? »
-« Ecoutez Teyla, je n’ai pas envie de vous en parler, je suis désolé, je sais que vous voulais m’aider, mais je ne pense pas que vous pourriez comprendre. »

Puis, il prit sa serviette et sortit, la laissant la bouche bée après cette réponse.

********

-« Il ne s’est rien passer avec Teyla ! » s’écria John. « Pourquoi penses-tu cela ? »
-« Oh rien, vous vous êtes juste enlacés hier soir ! Et j’ai perdu cinq années, qui sait ce qui à pu se passer ! » s’exclama Lili.
C’était la première vraie dispute quils avaient et cela inquiètait une peu la jeune femme.
-« Ecoute, comment aurai-je pu faire ça alors que nous sommes mariés et que tu es mère de mes enfants ! » s’exclama John.

Lili ferma les yeux. Mais que lui prenait-il d’accuser John ! Elle ne comprenait toujours pas pourquoi elle l’avais vu enlacé avec Teyla. Elle le lui demanda d’ailleurs.

-« Ronan et elle s’était disputé et elle a éclaté en sanglots devant moi, qu’aurais-tu fais à ma place ? »
-« Je suis désolée… Toute cette histoire d’amnésie… j’ai l’impression d’avoir louper les meilleures années de ma vie John… »
-« Je t’aime tellement… » lui dit John en s’approchant d’elle et en la prenant dans ses bras.
-« Moi aussi, … »

******


Atlantis – le 12 Février

Cela faisait maintenant 4 mois que Lili était tombée dans le coma suite à leur mission. Et aucun changement n’était à déplorer. Elle ne reprenait pas conscience, mais ne mourrait pas pour autant. Ses blessures étaient guéries mais pourtant elle restait dans le même état d’inconscience perpétuel. Ils ne savaient pas combien de temps cela allait durer, il n’y avait aucune raison pour qu’elle reste dans le coma.
Ses blessures étaient guéries et elle n’avait subit aucun traumatis. C’était comme si elle voulait elle même rester ainsi, comme si elle était bien. Carson n’avait pas d’explications. Mais a présent une tempête se dirigeait vers la Cité et ils devaient évacuer tout le monde pour être le moins possible.
Elina, Noemy, Rodney, John et Elizabeth étaient dans la salle des commandes essayant de trouver un moyen plus rapide d’évacuer tout le monnde. C’est à cet instant qur Noemy dit :

-« Mais pour Lili, comment va-t(on faire ? »
-« On ne sait pas justement. » répondit Elina. « Nous devons la déplacer avec son lit et toutes les machines qui la maintiennent en vie, ainsi que sa perfusion. Si on lui enlève le respirateur.. on ne sait pas quelles conséquences cela pourrait avoir. »
-‘C’est en effet un problème. » dit John. « Mais on ne peut pas la laisser là ! »
-« Il faudrait l’amener ici en salle de contrôle, mais cela poserait le même problème. » dit Elizabeth.
-« Nous finirons bien par trouver un moyen. » assura Rodney dont l’optimisme étonna tout le monde.

*******

C’était comme si elle s’endormait. Elle glissait lentement vers un lieu parfaitement inconnu et qui ne l’attitait guère. Mais elle savait qu’elle n’avait plus la force de résister. Le coup était arrivé sans qu’elle puisse faire quoi que ce soit pour l’éviter. Pourtant, tout avait été parfait en ce début de jounée.
Elle avait amené Anna à l’école puis, elle était allée se balader avec James en poussette. C’était une journée de printemps, il faisait beau et rien ne laisser que cette journée allait lui être fatale.
La balle l’avait atteinte en plein milieu du dos, touchant la colonne vertébrale et avec elle sa moelle épinière, la paralysant sur le coup.
Elle était tombée à genoux une main sur le ventre où la balle avait traversé de l’autre côté. Elle sentait une douleur sourde s’emparait de tout son être. Elle releva les yeux vers James qui était dans sa poussette, qui la regardait ne comprenant pas qu’un inconnu venait de lui enlever sa maman.
A cet instant, les lumière du plafond des urgences défilaient. Elle entendait que très peu ce que disaient les personnes autour d’elle. Elle ne savait même pas comment elle était arrivée là. Tout ce qu’elle savait à présent c’est qu’elle souffrait et que partir était la seule solution pour ne plus avoir mal.
Elle pensa à la famille qu’elle laissait derrière elle.. Mais la douleur était à présent tue par la morphine.. elle se sentait partir vers la mort, rien ne pourrait plus ‘arrêter.
Sur l’écran de l’électro-encéfalogramme de Lili Scofield, un trait continu et plat se dessina et un bip se fit entendre.

Elle allait vers la mort, et rien ne ouvait plus y remédier. Elle ne savait pas si elle était encore morte, elle ne savait même pas ce qu’il y avait après la mort.
Elle vit une lumière aveuglante et alors, ses yeux s’ouvrirent. La première chose qu’elle vit fut un plafond gris-bleu puis elle fut prise d’un spasme et son corps se cambra.
Elle entendit alors des bips s’accélérer et ressentit une violente sensation de vie s’emparer d’elle. Puis, tout ce calma. Elle regarda autour d’elle. Elle reconnut l’infirmerie d’Atlantis. Mais que faisait-elle ici ? Il y a quelques secondes à peine elle était sur Terre une balle dans le thorax sur le point de mourir.
Où alors était-elle dans les limbes o autres choses de ce genre ?
Elle se rendit alors compte qu’elle était branchée à un respirateur. Elle étouffa lorsqu’elle sentit le tube dans sa gorge.
C’est alors que quelqu’un se précipita vers elle..

Caitlin avait entendu le bruit de l’ECG de Lili s’accélérer et elle s’était précipitée pour voir ce qu’il se passait. Elle la vit dans son lit s’étouffant. Elle avait repris conscience et le tube dans sa gorge l’empêchait de respirer. Elle se précipita et retira le masque du respirateur. Puis ell elui dit :

-« Je vais enlever le tube, ne vous inquiétez pas, a trois vous allez tousser un deux.. trois. »

Lili toussa et le tube s’enleva sans problèmes. La jeune femme toussa avant de réussir à mieux respirer. Elle était complètement perdue ne comprenait pas où elle était, ce qui c’était passé, ce qui lui arrivait. On lui avait tiré dessus. Elle ressentait encore la violence de la douleur en elle. Elle revoyait encore les néons des urgences défiler devant ces yeux.
Elle regarda Caitlin. La jeune femme semblait avoir perdu presque six ans sur son visage. Et elle avait les cheveux longs, ce qui n’était pas le cas de la dernière fois qu’elle l’avait vu… Son amie la regarda :

-« Lili, tout va bien ? »
-« Que.. que s’est-il passé ? »

Elle ne comprenait pas. Entendre le son de sa voix sortir de sa bouche ne collait pas… Pourquoi pouvait elle parler aussi facilement ?
elle regarda autour d’elle et sentit alors une grande différence avec l’avant : il n’y avait plus ce sentiment de sécurité. Plus cette chaleur au fond d’elle même.. Et John, qu’était-il devenu ?
Elle savait qu’elle était morte suite à son « assassinat ». personne ne pouvait survivre à une blessure pareille. Même quelqu’un de très résistant. Elle avait perdu beaucoup de sang, et était paralysée par l’impact de la balle sur sa moelle épinière.

-« De quoi vous rappelez vous ? » demanda Caitlin.
-« Je… J’étais dans le parc, avec James et Anna.. » commença Lili. « Et on m’a tiré dessus, ensuite, je suis allée aux urgences, mais je suis morte là bas, j’en suis sûre… Nous sommes bien le 15 Mai 2010 ? »

Caitlin la regarda ne comprenant pas ce qui se passé et lui répondit :

-« Non, nous sommes le 12 Février 2004. Cela fait quatre mois que vous êtes dans le coma après votre mission avec votre équipe sur M1C236. »

Lili la regarda. M1C236 ? Cette planète où elle était avant d’être propulsée mystérieusement dans l’avenir avec prés de cinq ans de sa vie en moins ? Cette mission dont étaient extraits ces derniers souvenirs avant son réveil à l’infirmerie après son accouchement de James ?
C’est alors que Caitlin fut appelée dans les haut-parleurs. La généticienne laissa une radio à Lili et se dirigea vers la salle de contrôle. Une fois là bas, elle retrouva les Docteurs Weir, Hewitt et MxKay ainsi que le Capitaine Lewis.
-« J’aurai quelque chose à vous dire. » commença Caitlin.
-« Nous sommes désolés, mais vous devez évacuer, l’orage se rapproche et le dernier groupe est prés à partir. »
-« Mais je… »
-« Allez-y. » lui dit Elina, on se parlera une fois sur la planète des Malarians, je pars avec vous. »
puis, le médecin la prit par le bras et elles partirent sans laisser le temps à Caitlin de leurs dire que Lili c’était réveillée.

********


Il n’y avait plus personne dans l’infirmerie. Quelqu’un allait-il se préoccuper d’elle ? Elle était perdue, elle ne savait pas ce qui se passait, où elle était, quand elle était… Elle était totalement désorientée. Quatre mois dans le coma ? Elle ne savait pas ce qu’elle pouvait croire ou non. Elle prit alors la radio sur la table prés de son lit et alors, elle entendit la voix de John dire :

-« Il semblerait qu’une unité d’assaut des Geniis ait franchit la porte, ils retiennent McKay et Weir en otage. »
-« Des Geniis, ce qui voulaient qu’on leurs fabrique une bombe nucléaire ? »

Elle avait reconnu la voix de Ford. Les Geniis ? Qui étaient-ils ? Apparemment, les ennemis des Terriens d’après ce qu’elle avait pu entendre.
Elle essaya de bouger ses jambes. Elle sentit un engourdissement dans ses membres inférieurs mais réussit à les bouger.
C’était impossible, si ce que Caitlin lui avait dit était vrai..
Elle sortit de son lit. Elle était vêtue d’une chemise d’hôpital blanche. Elle regarda autour d’elle, chercha dans les placard… Elle ne trouva rien de très concluant à part une blouse qui serait déjà plus vêtue.
Elle sortit de l’infirmerie. Elle parvint alors à une fenêtre et regarda à travers cette dernière. Le ciel au dessus de la Cité était emplis de gros nuages gris semblant gorgés d’eau. Apparemment le vent soufflait très fort car la mer était déchaînée. Elle parcourut les couloirs de la Cité pendant plusieurs minutes mais au tournant d’un couloir deux hommes armés lui barrèrent le chemin.
Elle ne les reconnaissaient pas des militaires de l’expédition et ils ne portaient pas les uniformes d’Atlantis.
L’un d’eux lui dit d’une voix autoritaire :

-« Les mains en l’air et mettez vous contre le mur ! »

Lili le regarda elle ne comprenait pas tout. Elle fit un pas, les deux hommes se crispèrent encore plus sur ce qui semblait être des mitraillettes. Elle n’avait pas d’armes, n’avait aucune chance. Mais elle devait tenter. Alors elle lança son pied en avant et désarma le premier soldat. Puis le deuxième de la même façon. Ses deux adversaires se regardèrent un peu surpris par cette femme ainsi vêtue et paraissait aussi désorientée. Puis Lili prit le premier par le bras et le jeta au sol il tomba inconscient. Le deuxième essaya de la frapper elle le bloqua mais il lui donna un coup de pied qui la fit vaciller et tomber quelques mètres plus loin.
Alors son adversaire ressaisit son arme et la pointa sur Lili qui s’était redressée. Puis, il tira. La jeune femme leva la main bien que ce réflexe n’aurait pas vraiment été utile dans ce contexte. Mais pourtant la ballle ne m’atteint pas. Elle releva les yeux et vit la balle heurter un mur et faire sortir une gerbe d’étincelles.
La balle avait été détournée de sa trajectoire par une force invisible qui semblait parvenir d’elle.
Elle ne savait pas quoi penser de cet acte mais elle en profita pour neutraliser son adversaire qui tomba prés de son voisin sur le sol.
Puis, elle prit une arme et continua sa route pour essayer de trouver l’un des siens.

********

John essayait de fuir les Geniis qui étaient à sa poursuite. Il arriva à un tournant d’un couloir, personne. Il continua, son P90 toujours devant lui. Il ne savait pas où ils étaient et il avait peur pour Elizabeth et Rodney prisonniers de leurs ennemis.
C’est alors qu’il vit deux Geniis. Ils étaient devant lui armés, leurs mitraillettes pointées sur John. Mais le jeune homme n’eut pas le temps de réagir. Trois tirs se firent entendre et les trois ennemis tombèrent sur le sol laissant apparaître une jeune femme. Elle était vêtue d’une blouse blanche de médecin fermée lui arrivant au niveau des genoux, les jambes et les pieds nus. Ses longs cheveux châtains cascadaient sur ses épaules. Elle tenait une mitraillette Geniis inutilement pointée vers John.
Il reconnut aussitôt Lili. Quand était-elle sortie du coma ? Il ne savait pas quoi penser de cette apparition.
Elle lâcha son arme et se précipita vers lui pour lui sauter dans les bras et lui dire d’une voix tremblante :

-« Dieu merci tu es là. »

John fut surpris par ce geste et ce tutoiement. Elle se mit à pleurer dans ses bras. Il n’arriva pas à la repousser. Mais elle se calma et elle se dégagea de ces bras.

-« Scofield, vous allez bien ? »

Lili le regarda, un air surpris sur le visage. Elle ne semblait pas comprendre l’emploi de son grade. Elle s’éloigna de lui. Non, cela ne pouvait pas arriver… Elle se prit la tête dans les mains, elle avait tout compris par ces quatre mots prononcés par son supérieur. C’était comme s’il avait répondu à toutes ses questions . il l’avait éclairé tout simplement. Tout ce qu’elle avait vécu ces quatre derniers mois, tous ces jours et ces semaines de bonheur n’étaient qu’un rêve, qu’une illusion, qu’une vision… Le choc était plus dur à endurer que les autres fois, car cela avait été plus long, plus intense et plus beau. Elle avait vécu tant de chose avec John et ses enfants.. Et leurs enfants…
Une larme coula sur sa joue mais elle l’essuya pour ne rien laisser paraître..
John dit alors d’une voix rassurante, voyant qu’elle n’allait pas bien :

-« Ne vous inquiétez pas Scofield, ce n’est pas grave, vous sortez d’un coma de quatre mois, tout est normal, ne vous inquiétez pas. »
-« Vous avez raison. » dit Lili en se reprenant alors.
-« Nous devrions y aller avant que les autres Geniis n’arrivent. Mais d’abord, nous allons essayer de vous trouver autre chose pour vous vêtir. »
-« Ca ne vous plaît pas ? » plaisanta Lili avec difficulté.
-« Mmmhh… Ce n’est pas ça mais pour vous battre, ça ne sera pas pratique. » répondit à John voyant bien que cela était dur pour elle…

Il la regarda, il sentait qu’elle n’allait pas bien, il ne savait pas pourquoi mais… Il aurait voulu la consoler.. Mais il ns n’avaient pas de temps. Les Geniis arrivaient et risquaient de leurs tomber dessus à tous moments.

Partie 2 :


[Atlantis / Salle d’entraînement / 26 Février]




Elle était assise devant John et Teyla qui étaient en train de se battre.
Elle ne faisait rien de spécial, elle s’était entraînée pendant une heure et attendait désormais John car ils devaient aller vérifier des choses sur les Jumpers.
Les coups, les attaques, les défenses, tout cela s’enchaînaient dans des bruits de choc des bâtons qu’ils avaient dans les mains.
Mais alors que Teyla allait attaquer John ce dernier leva son bras pour essayer de bloquer l’attaque, la jeune femme fut propulsée plusieurs mètres plus loin par une force invisible.
Lili se leva d’un bond et John lâcha ses bâtons surpris de ce phénomène.
Teyla se releva tant bien que mal.

-« Teyla, ça va ? » demanda John.
-« Que c’est il passé ? » demanda Teyla.
-« Je crois que je vous ai.. jeté à plusieurs mètres par une sorte de.. »
-« Télékinésie. » dit Lili.
-« Oui mais… comment le savez vous ? »
-« C’est la même chose pour moi. »
-« Je crois que nous ferions mieux d’aller voir le docteur Beckett. » leurs dit Teyla.
Ils se regardèrent puis se dirigèrent vers l’infirmerie..

Carson avait fait des examens à Lili et John. Voilà plusieurs heures qu’il était dessus, puis ils revint avec les résultats dans la chambre où se trouvait John et Lili.

-« Alors Carson ? » demanda John.
-« Et bien.. J’ai remarqué que votre code génétique avait changé. Surtout en ce qui concerne le gène ATA. »
-« Comment ça ? » demanda Lili.
-« Et bien il semble que le fait que vous vous serviez régulièrement de votre gène ATA ait développé d’autres caractéristiques, d’autres gènes. Vous acquérez donc d’autre facultés. Chez vous capitaine, cela se manifeste par vos capacités intellectuelles et psychiques ainsi que vos « pouvoirs. » Vous avez désormais plus de caractéristiques des Anciens. Chez vous Major, cela est manifesté par le contrôle de la technologie des Anciens, que vous avez aussi Capitaine. »
-« Mais pourquoi a-t-elle plus de capacité que moi ? » demanda John.
-« Peut être que quand elle était jeune son gène ATA a été activé par une technologie des Anciens, comme le Général O’Neill avec la pierre de visions. Et que vous il n’a été activé que bien plus tard, sur Terre avec le fauteuil de contrôle. »
-« Alors je vais me mettre à avoir des visions ? » demanda John.
-« Non, enfin c’est possible, mais les évolutions de vos gènes sont différents, donc vous pourriez posséder d’autres capacités. »
-« Et pourquoi cela n’arrive qu’à nous ? » demanda John.
-« Parce que nous sommes les seuls sur cette base à avoir le géne ATA inné, présent depuis toujours dans notre code génétique. Alors qu’il a été implanté a Carson et Rodney. » répondit Lili à la place de Carson.
-« C’est exact » lui dit le médecin.

John et Lili se regardèrent….

*********

Atlantis, Gymnase – le 17 Avril

**Nightwish – Sleeping Sun**

-« Vous êtes le centre. Oubliez tout ce qu’il y a autour de vous. Plus de bruits, blus d’images, plus d’odeurs, plus rien. Oubliez toutes les présences de ce lieu.. »

La voix de Teyla résonnait dans le gymnase alors que Lili était penchée,, les deux mains appuyées sur un plot de bois dressée devant elle. Elle avait les yeux fermés et se concentrait pour fair ele vide dans son esprit. Puis, elle ouvrit les yeux et s’appuya sur ses jambes.
Elle se retrouva sur les mains, droites comme un piquet en équilibre, la tête en bas. Elle resta concentrée, ne faiblit pas, ne sourcille pas.
John la regardait, abassourdi par le seuil de concentration qu’elle avait du atteindre pour arriver à cela. Lui aussi y était arrivé quelques minutes plus tôt.. Mais elle avait beaucoup plus travaillé sur elle.
Alors, elle commença doucement à lever un bras, ne se retrouvant plus que sur une main. Doucement, ce bras arriva à l’horizontal.
Pouis, elle se mit à éloigner ses jambes l’une de l’autre, et ces deux dernières se retrouvèrent aussi à l’horizontal. Puis, au bout de quelques minutes, alors que l’effort devenait de plus en plus difficile, elle remonta ses jambes, ramena son bras vers l’autre puis elle s’appuya sur ses jambes, se lança en arrière et retomba debout sur ses jambes.
Teyla la regarda, étonnée par ce qu’elle venait d’accomplir, et John se leva pour se diriger vers elle.

-« Ca va ? »
-« Oui, merci. » répondit la jeune femme.
-« C’était impressionnant Lili-Ann. » lui dit Teyla. « Vous avez beaucoup travaillé. Et vous aussi John, nous continuerons demain, je dois aller sur le Continent pour une réunion avec Aling. »
-« Bien, alors à plus tard. » lui dit John.

Puis, Teyla s’en alla, les laissant seuls tous les deux…
Les mois étaient passé, cela faisait maintenant deux mois que Lili était revenu. Et tout ce qu’elle faisait s’était s’entraîner avec John. Bien que ce entraînement. avait quelque chose d’apaisant, elle avait toujours cette angoisse sourde au fond d’elle même. Cette douleur profondément indescrïptible. Ce manque de l’autre qu’elle ne pouvait combler. Ce besoin de lui. Tout son être l’appelait silencieusement à elle. Qu’il vienne vers elle, qu’il la saauve…
John partit prendre une douche, elle resta seule dans le gymnase, silencieux.
Vraiment pesant ce silence..
Le silence de son appel à John.
Son silence.
Leur silence.

******


Une des salles de la Cité – le 18 mai

Lili était assise devant une caméra avec le Lieutenant Ford qui se trouvait derrière l’objet.
Ils devaient faire des messages pour les gens qu’ils aimaient. C’était pour elle une sorte de mesure désespérée alors que trois vaisseaux ruches Wraiths se dirigeaient vers Atlantis et seraient là dans une semaine.
-« Pour qui est ce message Madame? » demanda Ford.
-« Pour mes amis. » répondit Lili. « Je peux ? »
-« Oui… allez-y. »

Lili remit une mèche de cheveux châtains derrière son oreille et commença.
-« Laureen, Sam et Martin… Que vous dire ? Je suis loin de New York dans un endroit dont je ne peux malheureusement pas vous parler, et j’espère que vous comprendrez. Ici, j’ai rencontré des gens fabuleux, dont SI. »

A l’annonce de ce mot, Ford fronça les sourcils mais laissa continuer sa supérieure.

-« Je crois que Megan doit être grande maintenant. Bientôt un an et demi, comme le temps passe… Laureen, embrasse là pour moi d’accord ? J’aimerai vraiment vous parler de ce que je fais ici, mais je ne le peux pas, je sais que vous comprenez. Noemy et Ely vous embrasse. Sinon… Et bien tout le monde est génial ici. Bon parfois, je ne comprends pas tout ce qu’ils disent parce qu’ils ne parlent pas tous anglais. Mais sinon, tout va bien, j’adore ce que je fais et j’ai… Appris pleins de choses sur moi même. Je vous promets de revenir, mais sachez que je pense à vous, toujours tout le temps. Alors je vous dis à bientôt et embrassez mes parents. Merci pour tout les filles, et Martin, veille sur Sam bon courage et ne donnez pas trop de fil à retordre à Jack. »

puis, elle fit signe à Ford qui coupa la caméra.
-« Merci Lieutenant. » lui dit Lili en se levant. « Désolée, j’ai de la lecture. »
-« Bien Major. »
Lili lisait la base de données des Anciens, ce qu’ils avaient pu apprendre. Elle essayait ensuite s’appliquer pour voir si elle avait toujours ces capacité.s.
La bataille approchait et chaque information comportait autant que de l’or…

********


Atlantis – salle d’embarquement – le 26 Mai

-« Major Sheppard vous formerez les pilotes des Jumpers. Et vous Major Scofield, vous irez au fauteuil de contrôle. »
le colonel Hevrett était arrivé par la Porte des Etoiles avec un grand nombre d’hommes.
-« Sauf votre respect. » intervint McKay. « Nous avons besoin des compétences du Capitaine et du Major sur le terrain. »
-« Vous y connaissez vous en stratégies militaires docteur McKay ? » demanda Hevrett.
-« Non, mais je sais de quoi ils sont capables. »
-« Pas moi. Alors nous allons nous contenter de ce que nous savons. »
-« Nous pouvons vous montrer. » dit John.
-« Pardon. ? »
-« Venez voir ce que nous savons fairet Et vous verrez après. »
-« Bien mais quelques minutes seulement nous n’avons plus beaucoup de temps avant que les Darts arrivent au dessus d’Atlantis. » répondit Hevrett.


Gymnase – quelques minutes plus tard

John et Lili était face à face. Ils devaient se battre l’un contre l’autre, sachant très bien qu’ils étaient aussi fort que l’autre.
John passa à l’attaque. Lili le bloqua ils échangèrent un sourire complice. Puis ils commencèrent à échanger une série de coups. Chacun évitait les attaque de l’autre. Leurs gestes, les coups étaient d’une précision et d’une rapidité fulgurante. Puis d’un commun accord, John laissa Lili gagner pour mettre fin au combat.
Hevrett avait tout suivi impressionné par cette rapidité au corps à corps. Jamais il n’avait vu cela.
-« Contente que cela vous impressionne mon colonel. » lui dit respectueusement Lili.
-« Comment pouvez vous savoir que cela m’a impressionné ? » demanda le colonel dont le visage était resté vide d’expression.
-« L’empathie. »
-« Pardon ? »
-« Nous possédons aussi le don d’empathie mon colonel. » répondit John.
-« Et quelles autres facultés ? »
-« Un pouvoir de télékinésie. »
-« Je ne savais pas que cela était aussi développé. » avoua le militaire surpris.
-« L’entraînement paye. » lâcha John.
-« Bien, vous serez donc postés dans les secteurs infiltrés par les Wraiths. » leurs dit Hevrett. « Mais je tiens quand même à ce que vous formiez les pilotes Major. » lui dit Hevrett. « Nous vous attendons dans deux minutes aux angars à Jumper. »
Puis il partit suivit de tout cces hommes en laissant John et Lili seuls. Ils se regardèrent ils savaient qu’ils devait se préparer pour la bataille qui dans quelques heures feraient rage.





Atlantis – Le 16 Juillet

Beaucoup de mois s’étaient écoulé. Et ils avaient gagnés la bataille contre les Wraith. Ils avaient fait croire à la disparition d’Atlantis grâce à un plan élaboré par McKay. Ils avaient réussi et continuaient l’exploration de la galaxie. Tout était redevenu comme avant.. enifn presque.

-« Comment ça toi et Carson ? »
Lili était avec Cailin au mess. Elles parlaient de tout et n’importe quoi jusqu’à ce que Caitlin lui annonce la nouvelle.

-« Cela t’étonne ? » demanda Caitlin.
-« Non, bien sûr que non ! Je suis heureuse pour vous ! » la félicita Lili,.
-« Et toi ? » demanda l’infirmière.

A cette question Lili baissa les yeux. Plus le temps passait et plus son absence d’histoire avec John devenait douloureuse. Les mois passaient et voilà plus d’un an qu’ils se connaissaient, mais il ne s’était encore rien passé. Elle souffrait de cette situation plus qu’elle ne l’aurait cru. Mais très peu de gens le savait.
-« Non pas encore. » répondit Lili en souriant faussement. « Mais je suis sûre que ça viendra un de ses jours. »
Caitlin hôcha la tête. Elle savait que son amie ne croyait pas vraiment ce qu’elle venait de dire mais elle n’insista pas, car elle savait qu’elle souffrait par le simple fait d’y pensr.
Lili soupira. La vie sur Atlantis était ce dont elle avait toujours rêvé. Elle avait des amis, une sorte de famille, un homme à aimer.. Mais lui, l’aimait-elle ?
C’est alors que Caldwell arriva et dit à Lili:

-« Major, je vous attends en salle de réunion dans cinq minutes. »
-« Bien mon colonel. »

le colonel Stepeh Caldwell était le commendant de l’équipe du Dedallus. Et lorsqu’il était sur Atlantis, c’est lui qui commandait l’équipe militaire à la place de John. Ce dernier avait été promu au rang de Lieutenant Colonel, .
Elle dit à Caitlin qu’elle la verrait plus tard, puis elle se dirigea vers la salle de briefing .
La bas, elle trouva John, Elizabeth, Rodney, Teyla, Ronan, Carson et Noemy. Ils étaient tous assis autour de la table. Elle prit place et Caldwell commença :
-« Le Dedallus à reçut un message sub-spatial du SGC. Il semble qu’un ordre vous concernant ait été donné au plus au point. »
-« Le quel ? » demanda Liz.
-« Il est écrit dans le courrier officiel que vous êtes rappelés pour retourner sur Terre. Une organisation se faisait appelé BWF est montée durant votre absence sur Terre. Elle monte un projet, avec de nombreuses personnes venant de tous les secteurs, de tout âge, pour former ce qu’ils appeleraient un nouveau monde. Toutes ces personnes ont des capacités, ou un savoir qui pourrait les aider à cela. Je n’ai pas tout les détails sur ce projet, mais c’est un ordre direct que vous ne pouvez pas détourner. »
-« C’est quoi cette histoire ? » demanda John.
-« Que fait cette organisation ? » demanda Lili.
-« Elle occupe plusieurs fillières. Commerce, communication, pétrole… » explica Caldwell. « Mais c’est avant tout une organisation humanitaire, qui ai aidé pas mal de personnes durant des catastrophes naturelles au cours des derniers mois. »
-« Mais nous sommes les personnes les plus importantes de l’expédition ! » s’exclama Elizabeth.
-« C’est pour cela que chacun de vous choisiras son remplaçant. Vous partez dans une semaine. »

tout le monde se regarda. Ils n’en revenaient pas, ils étaient les dirigeants d’Atlantis, où les personnes les plus importantes. Pourquoi n’enboyait on pas quelqu’un d’autre ?
Lili fut à cet instant la seule à se die pendant un court instant à penser à toutes ces personnes qu’elles allaient sûrement connaître dans les mois à venir… Elles aussi cela avait du modifier leurs vies…
Mais elle pensa alors que c’était ici chez elle. Sur Terr eil est vrai qu’elle avait ses amis, mais c’était différent. Elle avait une famille ici. Une vie dont elle avait toujours rêvé, qu’elle n’aurait voulut changer pour rien au monde.
Mais seulement, ils n’avaient pas le choix. Elle se demanda alors qui allait-elle choisir comme remplaçant ?

**********

[New York, le 2 Aout]

((Bethany Joy Lenz – Elsewhere))


New York.
Sa ville.
Chez elle.
Plus maintenant...
Bien sûr, elle s’y sentirai toujours chez elle. Elle y étai tnée et y avait toujours vécu mais… c’était Atlantis maintenant.
Atlantis, si lointaine à présent.
Elle marche dans la rue, et se dit qu’elle n’a rien à faite ici. Mais elle doit être ici, parce qu’on lui a demandé. Le projet ne commence que dans un mois et demi. Un mois et dmei sans les voir… Il y a Noemy et Elina mais… ce n’est pas pareil.
Elle marche, il y a du monde, c’est l’été, il fait chaud….
C’est alors qu’une voix la tire de ses pensées :

-« Lili ? Lilianne, c’est bien toi ? »

Elle relève les yeux et sourit.

-« Martin ! »
-« Quand es-tu rentrée ? »
-« Il y a trois jours. » répondit Lili.
-« Je usi sheureux de te revoir, ça fait une éternité ! »
-« Deux ans. Comment va Sam ? »

Il baisse le syeux. Aïe.. Mauvaise question. Pourquoi ne l’a-t-elle pas senti ? Elle aurait du le sentir ! En même temps lire dans les amis qu’elle n’a pas vu depuis des années n’est pas vraiment son fort…

-« Désolée. »
-« N ele soit pas, il n’y a rien à dire. » dit Martin.
-« Jack ? »

Il hôcha la tête.

-« Allez viens, on va boire un café. » lui dit Lili.

Et tout à coup, sa douleur lui sembla loin….

A suivre…

Nouveaux Personnages :









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Saison 1

Episode 4 : Départs


[Sunnydale, Californie, Dimanche 14 Septembre]

((Nada Surf : Always Love))

Buffy regardait ses amis danser sur la piste. Chacun profitait une dernière fois, avant leur départ du lendemain. Car c’était pour le plus grand projet de leurs vies, qu’ils partaient demain pour San Francisco. La Tueuse, se souvenait encore, de la fois où, des militaires avaient débarqués chez elle, pour leurs parler du projet de la BWF.
Ilsen avaient parlé, elle se souvenait encore, des longues soirées d’été du mois d’Août dans le jardin, à parler des enjeux de ce projet. De ce que cela allait changer dans leurs vies. Maintenant que Dawn avait son diplôme, ils étaient libres de pouvoir aller où ils voulaient.
Et, Dawn apprendrait avec les meilleurs spécialistes, car généralement, quand la BWF engageait des personnes, elle choisissait les mielleurs.
Elle connaissait peu de choses à propos de ce proujet…T out ce qu’elle savait, c’est que son aboutissement, donnerait quelque chose, qui pourrait changer le monde.
Mais changer le monde… Elle l’avait déjà fait tant de fois… C’était pour Alex, Willow et Dawn qu’elle faisait ça. Parce qu’eux aussi avaient le droit à leur heure de gloire, et d’être reconnu, pour ce qu’ils valaient vraiment.
Chacun apprendrait de l’autre… C’était la devise du projet, du courrier que leurs avait donné les militaires de la BWF ;
Elle, elle y allait pour ses amies, pas pour grande chose d’autre… Qu’allait-elle apprendre ? Peut être le combat… Elle ne savait pas.

-« Buffy ? »

Elle releva les yeux, et vit devant elle son Observateur.

-« Bonsoir Giles, que faîtes vous ici ? Ce n’est pas votre lieu de fréquentation habituel. »
-« Non. » répondit Giles. « Mais vous partez demain, alors je voulais venir vous voir une dernière fois. »
-« Vous pourrez nous rendre visite ! » dit Buffy. « Après tout, San Francisco n’est qu’à trois heures de route ! »
-« Oui, mais tu sais que je ne prends que rarement ma voiture ! »
-« Oui je sais. »
-« Tu as l’air pensive. » dit son Observateur. « Que se passe-t-il ? »
-« Je ne suis pas vraiment convaincue. » répondit la Tueuse. « J’ai tellement sauvé le monde, que maintenant, j’aurai plus envie de prendre des vacances. »
-« Surtout depuis qu’il y a les autres Tueuses ? » demanda Giles.
-« Oui… Pourquoi ils nous on prit nous ? Il y en a plein maintenant ! »
-« Vous êtes ceux, qui ont vécu le plus d’apocalypse. » dit simplement Giles.
-« Super, quelle réputation ! » s’exclama la jeune femme en levant les yeux au ciel. « ‘’Bonjour je suis Buffy, spécialiste en apocalypse’’ Franchement, il y a plus glorieux comme étiquette ! »
-« Dis toi que ce projet te permettra de rencontrer des nouvelles personnes ! »
-« Oui, c’est comme ça qu eje le prends. » dit la Tueuse. « Parce que franchement.. Je ne sais pas vraiment quoi faire d’autre. C’est surtout pour Willow, Alex et Dawn que j’y vais, car eux aussi méritent leur heure de gloire. »
-« Tu as raison, mais ne te renferme pas non plus sur toi même, essaie de rencontrer de nouvelles personnes. »
-« Je vais essayer. »

Puis, l’Observateur et sa Tueuse se retournèrent vers les trois jeunes gens qui dansaient.


**********

[Limerick Irlande, le 14 Septembre]

((The Corrs : The Dimming of the day))

L’allumette craqua, et elle la bâton d’encens. Une odeur de cèdre embauma alors toute la pièce. Elle reposa la boîte d’allumette, et sortit. Il faisait un peu froid, elle avait revêtu par dessus sa robe noire, un châle crème. Ses longs cheveux burns, valsaient au rythme de ses pas, caressant la peau dénudée de ses épaules. Sa peau était couleur d’albâtre, et elle avait un regard sombre.
Elle arriva sur le perorn de sa maison, et devant elle s’étendait les paysages de ce pays qu’elle aimait tant, son pays natal…Son Irlande.
Elle inspira l’air, parfumé de sauge et de laurier. Puis, elle posa son regard sur la table en bois sous le perron. Quelques bougies traînaient encor elà. Elle fit un geste de la main et les bougies s’allumèrent toutes d’un coup. Elle ferait sa méditation avant de se soucher, là, elle regardait le crépuscule, et les dernières lueurs du jour qui s’éteignait.
Demain, elle partait pour ce que ses ancêtres avaient appelé : le Nouveau Monde. L’Amérique… La Californie… San Francisco.
Cette ville si mystérieuse dont la source d’énergie mystique était l’une des plus puissante connue.
Elle allait transmettre à d’autres personnes son savoir… Son histoire… Mais elle ne leur apprendrait pas ses croyances. Non elle leurs apprendrait, ce qu’elle savait officiellement faire de mieux : l’histoire, les langues anciennes.
Car elle ne pouvait pas communiquer son savoir à tant de personne. Une suele personne avait le droit de connaître son héritage… Une seule, et elle devrait bien la choisir.
Le vent se leva alors, de longues traînées sombres formées par des nuages, étaient venus de l’océan et recouvraient la terre. Bientôt, la pluie commencerait à tomber… Et elle dvrait rentrer.
Elle sourit… Son pays… Sa Terre…

-« Daloé, tu viens ? »

Elle se retourna et vit une ombre dans le salon.

-« Oui Kaede, j’arrive. »

Puis, elle rentra et ferma la baie vitrée, alors qu ele vent souffla fort.

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[Bureau du FBI de New York, le même soir]

((Bethany Joy Lenz : Honestly))

Il éteignit son bureau, prit sa veste et ses clés, et sortit de la pièce aprés avoir refermé la porte de verre. Dny, Martin et Sam étaient encore là. Son regard se posa sur la jeune femme blonde. Son regard bleu se releva vers lui et elle lui sourit.
Puis, son regad se posa sur Martin. Son sourire se brisa. Il ne pouvait s’empêcher de se sentir responsable. Après tout, c’était de sa faute… Quelque part. Mais pourtant, il ne faisait rien pour changé l’affaire. Parce qu’il était heureux comme cela, car son histoire avec Sam avait toujours été compliquée. Jamais ils n’avaient pu être ensemble sans que que cela ne fasse pas souffrir quelquun… Il y avait d’abord eu sa femme, puis Martin maintenant… Mais ils étaient ensemble, et c’est tout ce qui comptait pour lui.

E »Jack ? »

Il se retourna et vit en face de lui, le directeur de leur service.

-« Bonjour Monsieur. » dit Jack. « Que puis-je faire pour vous ? »
-« Je suis venu vous voir, avant que vous ne partiez pour San Francisco demain. »
-« Oh, oui, quinze mois, c’est long. »
-« Je dois bien dire, que vos agents et vous allaient nous manquer, mais ne vou sinquiétez pas, votre service sera entre de bonnes mains. »
-« Merci Monsieur. » dit Jack.
-« Bien, alors je vais vous souaiter un bon voyage. »
-« Merci. »

Le directeur le salua, puis il partit. Sam se leva, et Jack se dirigea vers elle.

Martin les vit partir. Il baissa les yeux sur son dossier. Son travail, il n’y avait plus que cela dans sa vie maintenant. Parce qu’il n’y avait plus Sam… Plus depuis deux mois…
La situation était toujours aussi compliquée, et aussi tendue. Il espérait que ce projet à San Francisco, allait lui faire rencontrer de nouvelles personnes. Lui, allait enseigner tout ce qui concerner les investigations et la communication. Danny lui enseignerait le droit.
Il finit son dossier, et éteignit son ordinateur. Puis, il mit sa veste, se leva, pris ses clés, sa plaque et son téléphone. Puis, il salua Danny et sortit.
Dehors, la température était douce. La ville appartenait désormais au « peuple de la nuit ». Les bars étaient ouverts, les boîtes de nuit, et certains muée nocturnes.
Il parcourait les rues, il ne voulait pas prendre le métro. Il se mêlait à la foule, et il aait l’impresison de ne plus être personne. C’était étrange, mais cela lui permettait d’oublier sa peine, et sa souffrance.
Demain il partirait, et il verrait bien…


Le parc était fermé la nuit, mais elle voulait y aller. Elle adorait s’y balader… avant.
Elle regarda autour d’elle. Pas de surveillance ici. Elle leva la main vers le verrou de la grille qui trembla, mais rien y fit. Elle fit un violent geste de la main et la grille s’ouvrit. Elle sourit, elle entra dans le parc, et la grille se referma derrière elle.
Elle avança dans le parc désert. C’est alors qu’elle arriva ce pourquoi elle était venue.
Lorsqu’elle s’assit sur le banc en bois de la balançoire, les chaînes grincèrent. Elle s’y assit, et se balança d’avant en arrière.
La nuit l’entourait… La nuit avait été en fin de compte toujours été sa seule alliée.
Ces derniers temps, elle avait beaucoup réfléchit… Noemy lui avait dit, que depuis qu’elle était sortie du coma, elle avait beaucoup changé… C’était vrai. Elle le savait. Le choc qu’elle avait subi, cette redescente sur terre, dans la réalité, l’avait fait se refermer sur elle. Comme si elle avait perdu John pour toujous. Car avec ce John là, il n’y aurait jamais rien… Il ne ressentait rien pour elle… C’était évident.
Et qui avait-elle vraiment comme amis ? Noemy ? Elle était tout le temps avec Rodney… Elle ne faisait que le charrier, et elle passait aussi beaucoup de temps avec Caitlin…
Laureen ? Elle ne l’avait pas vu depuis deux ans.
Elizabeth ?Teyla ? Ronon ? Carson? Des collègues de travail... Peut être plus, mais elle ne se voyait pas se confier à eux.
Celui dont elle était le plus proche c’était paradoxalement Rodney. Il l’écoutait, ne la jugeait pas, ne la conseillait pas non plus. Mais au moins, il l’écoutait, et c’était une chose que n’avait pas tout le monde.
Mais qui avait-elle vraiment comme amis ? Elle était seule…En fin de comnte.. Ses sœurs étaient dispersées à travers le pays…
Et Atlantis lui manquait. Voilà deux moi qu’ils en étaient partis, et elle lui manquait. Là bas, il y avait Elina, et elle avait toujours quelque chose à faire. Toujours quelque chose à traduire, analyser, expérimenter, découvrir… Ici, elle connaissait la ville par cœur, elle y avait vécu ces 25 dernières années… En enlevant les deux dernières sur Atlantis.
Elle se lablançait d’avant en arrière. Ses longs cheveux au burn se balançaient avec elle et le vent.
Non personne…

**********

[Ouston, Texas : le 14 Septembre 19H]


((Atomic Kitten : Someone like me))

La grille du cimetière se referma derrière lui. Il parcourut quelques rangées de pierres tombales, et vit des personnes venues visiter celles ou ceux qu’ils avaient perdus. Lui aussi était là pour ça.
Il arriva enfin, dans la rangée où il s’était rendu tant de fois depuis maintenant cinq ans. Il s’arrêta devant une pierre tombale où l’on pouvait lire :

« Suzanna Johnson Anders
1976-2001 »

Il venait de moins en moins la voir, car les années passaient et que, la douleur, bien que toujours là était moins présente. Et qu’il pensait à refaire sa vie. Car la sienne, ne faisait que commencer.
Et sa vie, il était sur le point de la refaire, des le lendemain, il commencerait un nouveau projet.
C’est alors qu’il entendit des pas derrière lui.

-« Bonjour Lucas. »

Le jeune homme releva les yeux, et vit une jeune femme blonde à côté d elui.

-« Bonjour Rachel. » dit Lucas.
-« Tu es venu voir Sue avant de partir ? »
-« Oui. »
-« Tu sais… Je crois qu’elle aurait voulu que tu fasses ce projet. »
-« C’est pour ça que je le fais. » dit Lucas.
-« Tu pars demain pour San Francisco ? » demanda Rachel.
-« Oui. »
-« Alors bonne chance. »
-« Merci. »

Puis, ils restèrent à regarder la tombe, et à se recueillir pour leur femme…. Ou leur sœur…

*********************************************

[Washington : Le même soir]

((Bob Dulan : Mr Tanbourinman))


Il était dans sa chambre d’hôtel, devant un match de foot, une bière à la main. Il devait partir le lendemain pour San Francisco,
Atlantis lui manquait aussi. Les courses en jumpers avec Liliann ou Noemy, les missions… Tout ce qui faisait son quotidien depuis plus de deux ans…
Il n’avait pas vraiment de chez lui, son dernier logement en date était dans un appartement de la base de McMurdo en Antarctique.
Ses amis lui manquait, même Ronon… Même Rodney.. Ca devenait grave, un mois et demi sans les voir… Il avait été passé deux semaines dans le Nevada pour tester le nouveau modèle du F302. Là bas, il avait revu Liliann, qui était elle aussi pilote d’essai.
Mais sinon, il n’avait revu aucun e ses amis.
Il ne savait pas vraiment de quoi était fait le projet dans le quel il allait se lancer. Il savait qu’il allait apprendre de nouvelles choses, et qu’il allait enseigner des techiques de défence et d’utilisation d’armes… lui enseigner… on aura tout vou…

C’est alors que son téléphone sonna. Il le saisit et le décorcha :

-« Sheppard. »
-« Bonsoir mon colonel, c’est Scofield. »
-« Bonsoir Major, comment allez-vous ? »
-« Bien merci. Et vous ? » demand ala voix de Lili.
« Bien merci. Que me vaut votre appel ? »
-« Je voulais juste savoir comment vous alliez à la veille de ce grand départ. »

John sourit… C’était vraiment une amie extraordinaire. C’était étrange, car ils semblaient tout savoir de l’autre, sans vraiment le connaître. C’était l’une des rares amis qu’il avait.

-« Je dois dire que je suis assez septique. » répondit le militaire à son subordonné.
-« Et moi… Je vais enseigner la physique, franchement, qui peut s’intéresser à mes cours ? »
-« Je suis sûr que vous me ferez aimer la physique. » dit John.

Elle rit à l’autre bout du fil.

-« Oui, j’espère bien ! Nos semaines seront chargés à mon avis. »
-« Franchement, j’ai l’impressiond e retourner à la fac. » dit John.
-« Vous avez été à la ac ? » demanda Lili.
-« Ca à l’air de vous étonné. »
-« Non bien sûr que non, c’était juste une question. »
-« Oui, j’ai fait une fac de maths. »
-« Ah oui ? J’avais remarqué que vous étiez fort en calcul mental ! »
-« Et oui ! Mais j’ai abandonné, j’ai préféré l’armée. »
-« Dommage… Vous devriez vous y remettre, vous Rodney et moi on pourrait faire un trio de choc ! »
-« Rodney ? Il ne connaît pas le travail d’équipe… » soupira John.
-« Je suis sûre que si ! »
-« Vous êtes bien obtimiste Scofield. »
-« C’est vous d’habitude. » dit Lili.

Il y eut un silence. Puis elle dit.

-« Bon, je ne vais pas vous déranger plus. »
-« Vou sne me dérangez pas Scofield. »
-« C’est gentil mon colonel… Bien, alors je vous dit à demain. »
-« Oui, à demain. »

Puis, il raccrocha le téléphone.

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[Sur la route entre Denver et San Francisco : Lundi 15 Septembre 6H]

((Angela Amonds : Always Getting Over You))

Une décapotable grise, filait à toute allure sur la départementale qui traversait l’état de la Californie. Le soeil se levait juste, et la fraicheur de la nuit était encore présente.
Deux jeunes femmes se trouvaient à bord de la voiture. La conductrice était une brune, et la passagère une blonde. Cette dernière regardait le paysage défiler, et avait un grand sentiment d eliberté.
Elle portait de lsunettes de soleil, un haut rouge et un jean délavé bleu clair. La radio diffusait une chanson d’Angela Ammonds qu’elle fredonnait.
Elle et Celia filait vers San Francisco. Elles étaient parties alors que les étoiles commençaient just eà disparaître…

-« Meredith, regard ! » s’exclama Celia.

La blonde suivit la direction quu’indiquait Celia. A gauche, on pouvait voir l’Océan Pacifique, s’étendre à perte de vue, les vagues qui venaient s’écraser sur les rochers et l’écume blanche coloré d’or par les rayons du soleil levant.

-« C’est magnifique. » murmura Meredith.
-« Oui, je toruve aussi ! » dit Celia.

Les deux amies se sourirent, puis Meredith reporta son attention sur la route qui défilai devant elles.
Elles passèrent devant un panneau « San Francisco 98 KM ».
San Francisco.
La ville d eleur avenir, où pendant quinze mois, ils foremeraient l’organisation qui changerait et protègerait le monde de demian.
Changer le monde, changer leur vie…

Pour l’avenir du monde…

A suivre…