Atlantis Selon Oim

Auteur : Hannah
Titre : Atlantis Selon Oim
Genre : Humour et débilité profonde
Date : Il y a trés longtemps.. Un an presque et demi (alors si c'est désespérant, m'en veuillez pas)
Sais : 1
Spoiler : saison 1
Résumé : C'est ellement pitoyable que vaut mieux laisser tomber
Note de l'auteur : Bon je n'ai jamais finis cette histoire, si vous arrivez à me convaincre, la la finirait.... Attention CERTAINS SOUS ENTENDUS PEUVENT ETRE TRES DEPLACES ET CHOQUER LES PLUS JEUNES ce n'est pas du FC17 mais certains sous entendu sont... Déplacés mdr

Bonne lecture et ne m'achevez pas trop

Merci

Hannah

Nous étions dans la base de Cheyenne Mountain. Je me suis toujours demandée qui faisait la déco dans ces bases de l’armée. Je dois dire que le gris donnait un air de… prison, aucun autre mot ne me venait à l’esprit. J’étais avec ma meilleure amie, Nolwenn Lewis, Capitaine dans l’Air Force.
Si vous nous voyiez, Nolwenn et moi, vous vous diriez sûrement « et dire que ce sont ces gens qui protègent notre pays » ! Oui, je dois l’avouer, il y a de quoi faire peur. !
Cette expédition, Atlantis, je crois qu’on avait jamais fait pire depuis les 16 ans qu’on se connaissait.
Elle avait 27 ans, et moi 26. sa spécialité ? Pourquoi elle sur Atlantis plus qu’un(e) autre ? Sa capacité pour l’ATA sans doutes. Sans nul doute d’ailleurs. Oh, c’était un bon soldat, je ne le nie pas. Elle était une bonne tireuse – arrêtez vos pensées mal placées – et elle était assez douée sur le terrain – bon vous arrêtez oui !?!
Moi ? Bah j’étais aussi dans l’Air Force, - et aussi pour l’ATA - oh rien de très honorable, un diplôme en aéronautique, et Nolwenn avait mieux réussi le sien. Non moi c’était l’action, le terrain, rester dans un bureau pour le recrutement, demandez moi plutôt de traduire un texte en Goa’Uld. Quoi que je m’en sortirai peut être bien, vu les cours que Daniel m’a donné. Oui, c’est une longue histoire, moi je suis étudiante (enfin j’étais) en langues étrangères et anciennes.
Pour Nolwenn, mes études étaient « un truc de malade . » Elle n’avait jamais vraiment été copines avec les langues – enfin tout dépend dans le sens que vous prenez le mot « langue ». enfin bref, revenons en à nos moutons. Je peux vous assurer que, pouvoir rencontrer le Docteur Jackson – tout en sachant que je partais pour Atlantis, on était dans l’équipe de Weir moi pour mes connaissances et Nolwenn pour la sécurité – apprendre ces fameuses langues anciennes… Attendez, j’en étais où dans ma phrase moi ? Oui, donc le fait de rencontrer Daniel m’avait motivé pour mes études. Vous devez vous dire « Mais a quoi pense-t-elle à part les garçons ? » A pas grand chose je dois bien l’avouer. Mais bon, on a des yeux c’est pour s’en servir non ?
Passons, donc, nous étions dans la base de Cheyenne Mountain – grise – où nous avions déjà repéré quelques beaux gosses dans le personnel qui partait avec nous pour cette expédition de tarés.
Oh oui bien sur, découvrir des technologies, des peuples extraterrestres, ça m’avait toujours branché, mais quand je me voyais à cet instant, avec Nolwenn, ce magnifique uniforme kaki et ces valises à mes pieds, me préparant pour la plus grande expédition que la Terre est connue je me demandais « Mais enfin, qu’est-ce que je fous là » ? C’était alors la seule question qui me venait en tête. Cette expédition, c’était le rêve de n’importe qui. Et le fait de fuir mes amies pot de colle et mon ex Bryan – très encombrant et collant et qui plus est à tendances meurtrières et suicidaires – ne me déplaisait pas. Ma sœur, Laëtitia allait me manqué ? Non, elle était aussi de la partie, mais en tant que médecin, elle bossait avec Carson Becket, qui serait – a mon avis – le médecin en chef de la base.
Deux types passèrent devant nous. Des espagnols, enfin de ce coin là vu qu’ils en parlaient la langue.
Nolwenn s’approcha de moi et me demanda en chuchotant « Dis tu veux pas aborder le plus jeune pour moi ? il est assez canon ».
Je levai les yeux au ciel. Mes connaissances ne devaient donc servir qu’à récupérer des numéros de mecs pour ma meilleure amie ? Après tout, elles servaient à quelques choses.
Je m’approchais du type qui intéressait Nolwenn et lui dis :
« ¦ Buenos dias ! Pardon por hablar con vosotros de este manera, pero, mí amiga que está aquí dice que, es muy guapo usted, ¿ Quiere hablar con eilla ? El problemo es que no habla español. »
Comment pouvais-je aligner autant de mots en si peu de temps ? Surtout pour dire un truc comme ça.
En gros, pour ce qui n’ont rien capté à ce que j’ai dit, je lui ai dit que Nolwenn le trouvait canon.
« Si, quiero, me répondit le type. Hablo un poco ingles, puedo hablar con eilla ».
OK, sympa, il parlait anglais, ça m’arrangeais, je ne voulais pas faire la traductrice pour Nolwenn, elle n’avait qu’à se débrouiller.
Je laissais Nolwenn et sa nouvelle conquète – c’est pas le terme exact que je voulais employer – et me dirigeais vers la salle d’embarquement.
Alors que ma chère meilleure amie continuait à parler avec Speedy Gonzales, je me dirigeai vers ma sœur.
« Alors prête pour le grand départ ? me demanda-t-elle.
_ Je me demande comment tu fais pour pouvoir supporter tous ces gens qui te parlent dans des langues que tu ne comprends pas. Déjà que moi, les thermes de la médecine en anglais j’ai du mal, mais en langues étrangères…
_ On s’y fait, euh tu n’as pas répondu à ma question ?
_ Ouais, de toutes façons, Bryan sera à des années lumières de moi, plus questions de me faire du soucis pour moi ou mon chat.
_ D’ailleurs, que va devenir Mouloud ? ».
Mouloud c’est le nom de mon chat. Faut pas y voir un truc raciste. C’est pas mon genre. Non c’est un surnom que j’avais, et je l’ai refiler à mon chat. Mo me convenais peut être mieux.
Au fait, je ne vous ai même pas dit comment je m’appelais…
« Vous êtes le Capitaine Morgane Perry ? »
OK, il l’a fait pour vous.
Je me retournai et me retrouvai face à un militaire d’une cinquantaine d’années. Je peux vous assurer que ce type avait l’air aimable comme une porte de prison. Le stéréotype du militaire en fin de carrière bien content de son grade et de pouvoir martyriser ses subordonnées.
« Oui, c’est moi, répondis-je simplement (qu’est-ce que j’aurai pu lui dire d’autre.)
_ Je suis le Colonel Sumner, vous serez sous mes ordres au cours de cette expédition. » m’informa-t-il.
Mince ! Y avait le p’ti Major mignon ! Nolye et moi l’avions tout de suite repéré. Je croyais que c’était lui le plus gradé, pas cet espèce de… non faut pas penser des trucs méchants de son supérieur.
« Bien Monsieur ».
qu’est-ce que je pouvais être focue quand même !!! J’avais envie de lui balancer tout ce que je pensais à cet instant, mais ça aurait donné ça :
« OK, mais bon j’aurai préféré que le P’Ti Major nous dirige, sans dec’, il est vachement plus canon que vous, et sinon vous avez pas son numéro par hasard ? ».
mais j’ai préféré me taire. Il partit. Ouf ! C’est alors que Weir monta sur la rambarde qui menait à la Porte des Etoiles. Perso, je trouve ce truc trop stylé. Faut bien l’avouer, la lumière bleue et tout c’est tendance non ?
Bon, pour en revenir, Weir blablata pendant trois siècles sur le fait qu’on ne reviendrait pas, ça va merci Elisabeth d’enfoncer le clou !
C’est alors que P’ti Major arriva.
« Vous êtes américaine ? »
Apparemment, il avait l’air aussi pommé que moi, point positif. Mais il avait l’air aussi doué que Nolwenn avec les langues étrangères.
« Oui, lui répondis-je en souriant.
_ Air Force ?
_ Oui, et vous ?
_ Idem. Pourquoi ils vous ont prise ? Vous êtes un soldat hors paire ?
_ Non, je me le demande aussi, je dois dire, pour être honnête avec vous, que j’ai pas un dossier réglo.
_ Moi non plus, rassurant de voir que je ne suis pas le seul ».
Et là, méga sourire. Mon Dieu, ne me dîtes pas que j’étais en train de baver ! Je vous en prie.
Mais apparemment non, Sheppard ne faisait pas la tête dégoûtée du gros filet de bave qui vous sort de la bouche quand vous voyez un super canon tel que lui.
Je priai pour qu’il soit dans mon équipe, ou qu’on s’entende. Je me ressaisis, mais quand mon obsession de me trouver un mec arrêtera-t-il de me turlupiner la tête ? Je devais penser à ma mission. Atlantis, Atlantis, Cités des Anciens, E2PZ, les technologies… fesses du P’ti major… STOP !
Mais comment voulez vous que je pense à autre chose alors que je n’y pense pas alors qu’il se plantait devant moi !
Bon se concentrer sur autre chose, oh la Porte s’ouvre, c’est joli !
J’avais l’air d’une demeurée, et le pire c’est que c’était probablement ce que j’étais. Heureusement que personne n’entendais mes pensées… personne ne les entendait hein ?
La porte s’ouvrit, et la sonde fut envoyée.
Puis, se fut notre tour, je passai la porte, en compagnie de Ford, un lieutenant super sympa que j’avais connu à Quantico, qui avait un an de moins que moi, Nolwenn, Laëtitia et Sumner – du quel je me serai volontiers passé. Je quittai la Terre et mon fiancé suicidaire pour la plus grande expédition de tous les temps. My God !


A suivre... (la suite est écrite vous pouvez la demander enfin si quelqu'un lit cette horreur)

voilà un mois qu’on était sur Atlantis. On s’était fait pleins de potos. Les Wraiths, les Geniis… que des potes gentils et amicaux…
les Wraiths qui voulaient nous piquer nos vies –ils se nourrissaient de la force vitale. Sans dec’, leurs fringues (enfin non, surtout celles de la première Wraith qu’on avait vu) étaient très tendance. En fait tout chez notre première adversaire était clean. Hormis la tête de poisson dont je me serai volontiers passés.
On s’installait petit à petit, chacun ses quartiers. Comme on dit « Petit à petit l’oiseau fait son nid » Nous, on était les mouettes qui squattaient Atlantis.
Tout le monde s’était bien foutus de nous – Nolwenn et moi – parce qu’on avait apporté des films cultes pour elle, et des disques pour moi. Je peux pas vivre sans ma dose journalière de Maiden, j’y peux rien.
A cet instant précis, je me baladai dans les couloirs. Les Atosiens –les enfants – courraient partout. Leur chef m’était hostiles.
Oh non, elle était gentille, cool, assez sympa quoi.
Alors que pouvais-je lui reprocher ? Elle était trop proche du P’ti Major, voilà le problème.
Nolwenn était toujours branchée avec Speedy Gonzales, qui – semblait il – lui avait appris toutes les subtilités de sa langue.
Enfin bref. Je me dirigeai vers ce qui nous servait de cafétéria. Oui, il faut dire que le Mess n’était pas prévu dans le plan des Anciens. Ils auraient du y penser au lieu de vouloir s’élever, quels égoïstes, ils auraient pus penser aux affamés qui viendraient un jour squatter leur Cité – en locurence nous.
Donc, je retrouvais Ford. C’était un bon pote, sympa et drôle. Je m’entendais bien avec lui.
Je m’assis en face de lui.
« Alors, quoi de neuf ? me demanda-t-il.
_ Le McDo me manque. »
Jamais je n’aurais cru que je pouvais dire ça un jour. Les rations de l’armée c’est bons, mais pas pendant un mois à tous les repas.
« Oui, c’est vrai, me certifia Ford, les rations ça va un moment mais je ne cracherait pas sur un bon BigMac.
_ Nous sommes donc d’accord. Alors prêt pour la prochaine mission ?
_ Oui, enfin bon un peu crevé par la dernière.
_ Vous vous êtes fait toûcher par un rayon paralysant, c’est normal.
_ Ca y est, on leur à donner un nom ?
_ J’en sais rien, j’appelle ça comme ça.
_ Votre famille ne vous manque pas trop ?
_ Mon grand frère un peu, et ses gosses aussi, mais ma sœur est là.
_ Le Docteur Perry.
_ Ouais, c’est logique on a le même nom.
_ Vous avez l’air de bien vous entendre.
_ Avec quatorze mois de différences….
_ Vos parents n’ont pas chômer ! s’exclama Ford en souriant.
_ C’est sur. »
c’est alors qu’une voix derrière nous, dit :
« Je peux m’incruster ? ».
Dés que je reconnut la voix de Sheppard, je me dis « quand tu veux ». Mais encore une fois je me suis tut.
« Allez y Major, lui assura Ford.
_ Et vous, ça ne vous dérange pas Perry ?
_ Non, je vous en prie. ».
Il s’assit en face de l’homme invisible qui occupait la place à côté de moi.
« Alors, de quoi vous parliez ? nous demanda-t-il.
_ Rien de passionnant, répondis-je, la famille ce genre de trucs.
_ Vous avez votre sœur ici non ?
_ Ouais, c’est ça.
_ Et Lewis, c’est votre sœur aussi ?
_ Non ma meilleure amie.
_ Elle a l’air d’avoir… certains atomes crochus avec le Lieutenant Cortez.
_ Je ne vous le fait pas dire.
_ Pourtant, elle n’a pas l’air de parler espagnol.
_ C’est moi qui l’est branchée avec lui.
_ C’est vrai ?
_ Oh, je lui ai dit qu’elle voulait parler avec lui, et je les ai laissé se débrouiller.
_ Vous êtes douées avec les langues ? »
Ne pas rire, mais quand arrêterai-je avec mon esprit tordue moi ?
« J’ai fait une licence de langues étrangères réussis-je à articuler.
_ C’est cool ça, moi rien de très intello.
_ Je vais vous confier un truc, je n’ai jamais été une grosse bosseuse, je suis plus du genre à rester devant la télé…
_ … a regarder les films et les séries » termina John.
Non décidément, John je n’y arrivais pas. Sheppard ouais, y a pas de problèmes. Mais John… quand je disais John ça me faisait penser à Carter dans Urgences !
Ou John Fidgérald Kenedy, mais bon apparemment, John Carter était plus mignon. Et plus vivant aussi.
Enfin pour en revenir à nos brebis, on s’apprêtait, Sheppard et moi à partir en mission, mais juste pour faire joujou avec les Jumpers.
Nous finissions de manger, et rejoignions ensuite le hangard à Jumpers.


A suivre... (ecrite aussi)

Quelques minutes plus tard, nous étions dans le Jumper 1, celui « qui est au Ptimajor » oui enfin bon, moi c’est le Jumper 4 et Nolye le 6… on manque un peu de pilotes possédant le gène des Anciens…
Le toit du hangar s’ouvrit, et Sheppard fit décoller le vaisseau. Nous montions, jusqu’à arriver en orbite autour de la planète. Nous ne lui avions pas encore trouver de noms. Ford avait proposer Atlantica, mais on accrochait pas trop avec ce nom….
Sheppard me dit alors :
« Allez y, prenez les commandes. »
quand tu veux !! Enfin non les commandes du vaisseau ? Ah désolée, j’avais pas compris ça.
Nous échangeâmes (verbe très moche) nos places, et je pris les commande du vaisseau. Vous ne pouvez même pas imaginer à quel point j’aimais conduire ce truc, c’était vraiment top.
Au bout de quelques minutes, Sheppard me dit :
« Vous êtes un excellant pilote. »
« Merci » lui répondis-je en souriant.
Hey ! J’ai pas dit un sourire carnassier non plus !!!
« Comment vous le trouver, a piloter je veux dire ? me demanda-t-il.
_ Super, j’adore piloter, mais avec ce truc c’est le pied.
_ Oui, je suis bien d’accord avec vous. »
et là, il me fit un méga sourire. Niaha !! Enfin bref, j’avais depuis le temps, réussi a contrôler, mes pensées, pas toutes, mais je bavais moins devant Sheppard, tout ce que j’espérais, c’est qu’il me saute dessus.
Enfin non, il est vrai que depuis un certain temps, j’avais l’âme romantique, mais si il me sortait un truc du genre « je t’aime pour toujours veux tu devenir ma femme ? » je lui ferais avaler sa bague et tout ce qui me passerait par la main. Moi, les grands mots et les grandes effusions ça me saoulait. Même si j’aimais bien le romantisme, fallait pas partir dans un truc méga cucul.
« Que pensez vous du Sergent Sandeurs ? » me demanda alors John (ouah je l’ai appelé John !!!)
Quoi ?? Attends, c’est quoi cette embrouille, il me demandais ce que je pensais d’une autre fille – qui soit dit en passant je ne pouvais pas blairer – alors que tout ce que j’attends, c’est qu’il me saute dessus ? C’est tout simplement de l’abus de bien sociaux.
« Pourquoi vous me demandez ça ? »
« Parce que je voulais savoir si mon avis sur elle était générale où si j’étais le seul à penser ça. »
« Mais c’est un homme qu’il faut demander ce genre de choses »
« C’est déjà fait c’est pour ça qu je vous le demande à vous maintenant. »
OK d’accord, mais bon ça m’arrangeais pas je devais être honnête ?
« Honnêtement vous voulez dire ? »
« Oui, en toute franchise. »
« Je ne l’aime pas. »
« Ah et pourquoi ? »
« Elle est trop… superficielle. »
Ca m’allait bien de dire ça.
« Et elle pense trop à autre chose qu’à son travail. »
oui alors ma vieille, je serai toi j’aurais fermer ma gueule sur ce point là.
« Vous aussi n’est-ce pas ? »
QUOI ??? Comment il pouvait savoir ça lui ?
« Vous avez tout le temps l’air ailleurs, c’est ça que j’aime bien chez vous. »
Ouf sauvée… Mais attendez, c’était un compliment ou je rêve ?
Notre mission continua, et nous parlions de tout et n’importe quoi, avant de rentrer sur Atlantis.


A suivre....

On dit merci a la pub... vous verrez^^

Voilà maintenant trois mois que nous étions sur Atlantis… Les missions défilaient, les virus et les Geniis aussi. Plusieurs fois on avait failli mourir, mais on s’en sortais toujours.
Cette expédition m’avait beaucoup fait mûrir. Oh, je restais la même gamine, je ne changerais pas de ce point de vue je crois. Mais je ne regardais plus tous les mecs qui passaient, restant uniquement fixée sur Sheppard.
Pour Nolwenn, cela aussi avait changé. Elle n’était plus avec Speeky Gonzales. Il semblait que son « guapo hombre » ce soit fait la malle avec une russe… la pauvre Nolwenn a été a ramassé à la petite cuillère. Et maintenant, elle hésitait entre McKay et Ford… McKay n’était pas canon, mais il y avait pire. Par contre, il nous faisait torp tripper…
Nous étions dans la salle de la Porte des Etoiles. Vêtus chaudement, car il s’agissait d’une planète polaire sur la quelle nous avions (enfin surtout le MALP) repéré des signes de civilisations, se qui nous intéressait particulièrement.
Exceptionnellement, Nolwenn partait avec nous en mission, allez savoir pourquoi.
Nous étions tous vêtus de manteaux et de pantalons chauds.
« Vite ouvrez le vortex ! dit John. On va finir par mourir de chaud ! »
et a cet instant la porte s’ouvrit. Nous remercions Weir du regard, et alors Sheppard pris la tête de notre groupe et nous passâmes la porte des étoiles.
Quelques millième de secondes plus tard, nous arrivions sur une planète où le blanc reignait partout. Le soleil brillait, le ciel était bleu et la glace brillait à la lumière pâle du soleil. Un vrai paysage d’Antarctique.
« Rappelez-moi pourquoi on est là ? demanda Ptimajor.
« Parce que c’était dans les coordonnées que le docteur Weir nous a donner, on risque de trouver un E2PZ qui pourrait nous permettre d’établir un vortex avec la Terre et donc de demander des renforts contre les Wraiths, répondit Ford.
_ Merci Lieutenant.
_Mais je vous en prie Major.
_ Regardez ! » s’écria alors McKay.
Nous regardâmes dans la direction qu’il désignait. Trois grosses bêtes poilue blanches s’approchèrent de nous.
C’était des espèces de Yeti. Je vous assure, ils étaient trop forts.
« D’après vous, on doit courrir ? demanda Sheppard en brandissant son P90.
_ Ils sont mimis ! lâcha Nolwenn.
_ Quand ils vous auront bouffer la tête Lewis, à mon avis ils seront moins mimis ! »
les Yetti s’approchèrent.
Je sentis un étourdissements s’emparer de moi. La tête me tourna une seconde, mais tout stoppa aussi vite que ça était venu.
Je vis que Nolwenn aussi avait eu cet étourdissement mais pas les autres.
Puis, ils arrivèrent à notre hauteur.
« Salut » leur dit Nolwenn tout un coup moins fier.
« Hello, ça va ? » demanda le Yeti du milieu.
Ouah, il avait l’air chouette.
« Qui êtes vous ? demanda le deuxième Yetti.
_ Euh, dîtes, lâcha McKay. C’est normal qu’ils grognent comme des tarés ?
_ Mais non, ils parlent ! s’exclama Nolwenn.
_ Il n’y a que vous et votre copine qui nous compreniez, dit le Yetti de droite.
_ Quoi ?? je demandai à l’unisson avec Nolye.
_ Oui, répondit celui du milieu. On ne peut balancer que ce sort à deux personnes, et vous aviez l’air open plus que les autres. »
Nolwenn et moi nous regardâmes en souriant.
« Lewis ? Perry ? demanda Sheppard qui ne comprenait rien.
_ Monsieur, ils nous disent qu’il n’y a que Lewis et moi qui ne pouvons les comprendre, je lui expliquai.
_ Comment ça mon Capitaine ? nous demanda Ford.
_ Et bien texto, ils nous ont dit qu’ils ne pouvaient jeter ce sort qu’à deux personnes.
_ Ils auraient dus nous demandé, c’est moi qui dirigent cette mission !
_ Désolée Major, répondit Nolwenn.
_ Bon et bien vous nous traduirez tout ce qu’ils diront.
_ A vos ordres » dit Nolwenn en souriant.
Nous nous retournâmes vers nos hôtes.
« Je m’appelle Nolwenn Lewis, voici le Capitaine Morgane Perry, le Major John Sheppard, le Lieutenant Ford, le Docteur McKay et Teyla Emagan, leurs déclara Nolwenn.
_ Moi, dit le Yetti du milieu, C’est Georges, et voici mes frangins, Bob et Boris.
_ Ravi de vous connaître.
_ Qu’est-ce qu’ils disent ? demanda McKay.
_ Celui du milieu s’appelle Georges, celui de gauche Bob et celui de droite Boris.
_ Enchantés, dirent Ford et Shep en même temps.
_ Suivez nous, on va vous conduire à Tic City, dit Georges.
_ Oui, parce que Tac City, c’est torp loin, nous expliqua Boris.
_ Ils disent qu’ils vont nous conduire à une ville nommée Tic City, déclara Nolwenn aux autres.
_ OK, on les suit » déclara John.
Nous suivirent Georges Bob et Boris.

« Alors Mo… je peux vous appeler Mo ? me demanda Bob.
_ Oui bien sur.
_ Qu’est-ce que vous aimez dans la vie ? demanda le Yetti.
_ Euh… voler, répondis-je.
_ Cool, moi j’adore le patin à glace, mais bon, en ce moment la patinoire est en travaux. Et vous Nolwenn ? Vous avez un p’ti surnom ?
_ Nolye, répondit mon amie.
_ OK, alors même question ? demanda Bob.
_ Euh… j’adore les soirées télé.
_ Ah ouais ça c’est de la balle, s’exclama Georges en souriant. Vous aimez quoi comme programmes ?
_ Je doute que vous ayez les mêmes programmes que nous.
_ De quelle planètes venez vous ?
_ Notre planètes d’origine, ou celle d’où nous sommes arrivés ? demanda Nolwenn alors que nous arrivions dans une grandes ville peuplée de Yetti.
_ Les deux, dit Bob en hochant la tête.
_ Nous venons de la Cité d’Atlantis, indiquai-je.
_ C’est aussi stylé qu’on le dit ? demanda Boris fort intéressé.
_ Vous rigolez ! C’est torp tendance !
_ Cool !!
_ Perry, Lewis ? intervint John.
_ Ils nous adorent Monsieur, répondit Nolye en souriant.
_ OK… »


Quelques minutes plus tard, nous arrivâmes devant un grand bâtiment blanc. Nous suivions nos trois guides, montâmes les marches qui menaient à une grande porte… bleu turquoise. Les vollets aussi l’était, et le toits était rose bonbons, très tendance… si on aime cette couleur.
« Nous allons vous emmenez voir Big Boss, nous indiqua Georges, c’est lui qui dirige cette ville.
_ Monsieur, ils nous emmène voir leur chef, il s’appelle Big Boss, indiquai-je à John.
_ Bien, alors allons-y. »
Nous entrâmes dans le bâtiment et arrivâmes devant un long couloir.
« Ce couloir s’appelle le couloir des mille portes. indiqua Bob.
_ Y a vraiment mille portes ? demanda Nolye.
_ Non 400
_ Faudra nous expliquer les mille portes alors…. »
nous nous arrêtâmes soudain devant une porte orange où l’on pouvait lire : « Ici chez Big Boss. »
Boris frappa à la porte.
Une voix – pour les autres un grognement – nous dit d’entrer, se que nous fîmes alors.
Nous pénétrâmes dans une pièce aux murs jaunes canaris, aux canapés verts, aux coussins rouge rose et oranges et aux rideaux violet.
« C’est très… coloré, lâcha McKay peu convaincu.
_ Ca flash en tout cas, » dit John.
Nous vîmes alors un Yetti avec une petite (enfin comme il était énorme elle semblait petite) rouge à poids jaunes. Tendances les poids…
« Hello Big Boss, voici des invités qui sont arrivés par le Truc Rond qui fait de la lumière.
_ Les quels comprennent notre langues ? demanda Big Boss.
_ Elle et elle, dirent Boris et Bob en même temps.
_ Bien je vais arranger ça.
_ Comment ça ? demandai-je.
_ Big Boss est le plus grand Balanceurs de Sorts de toute la ville, nous expliqua Georges. Ainsi tous vos pottos comprendront ce qu’on dit.
_ Cool, dit Nolye.
_ Qu’est-ce qui est cool Lewis ? demanda McKay.
_ Big Boss va vous jeter un sort pour que vous compreniez ce qu’ils disent, leur annonçai-je.
Big Boss se leva et se mit devant eux. Il écarta les bras et leva la tête vers le plafond. Puis, il blablata un truc incompréhensible, du style « youguala hiaia » et puis je vis mes amis prendre la tête dans leurs mains et eurent un évanouissement. C’est alors que Mc Kay releva la tête et se mit à chanter « I sing in the rain ». Il fut rejoint par John, Ford, et Teyla qui elle se mit a danser.
Je regardai Nolwenn d’un œil à la fois, étonné, rieur et terrifié.
« Oups, dit Big Boss, j’ai du me gourrer de sort, pardonnez-moi.
_ Vous pouvez rétablir ça ? demanda ma meilleure amie au chef Yetti.
_ Oui tout de suite ».
Puis, encore une fois, il fit le même geste et redis une formule incompréhensible. Et nos coéquipiers se calmèrent.
« Que c’est il passé ? demanda John, qui semblait ne se rappeler de rien.
_ Ils ne se souviennent pas, dit Big Boss.
_ Ah… dis-je en hochant la tête. »
Big biss lança un nouveau sort, et cet fois, mes amis comprenaient parfaitement

Quelques heures plus tard, nous étions dans l’équivalent d’un fast food, nous mangions des choses aux formes bizarres mais assez bonnes je dois bien l’avouer. Nous étions sur deux tables collées, J’étais dans le coin, sur la banquette, tout prés de la fenêtre. Ford était à côté de moi, et John en face de moi.
Nous parlions de tout et n’importe quoi avec nos trois nouveaux amis Yetti.
« la chanteuse la plus populaire en ce moment s’appelle Brendy Sprott. Elle fait un carton chez les ados Yetti, surtout les filles, nous expliquait Bob.
_ Chez nous quand nous sommes partis, il y a plus de six mois, indiquai-je, c’était… oh, et bien il y en avait plein. Britney Spears, Avril Lavigne…
_ Ce n’est pas le genre de musique que j’ai trouvé dans vos disques mon Capitaine, plaisanta Ford.
_Non, pas vraiment, il est vrai que j’aime d’autres genr… »
Je m’interrompis. Je sentis quelque chose frôler ma jambe sous la table. Et voilà que ça recommençait ! Oh non !!! Ne me dîtes pas que….
Je jetai un regard à John. Un sourire apparut sur son visage. Non mais je rêve ou quoi ????


Nous leurs avions ensuite parler de leur E2PZ.
« Ca ressemble à quoi ? » demanda Goerges.
McKay, qui était le plus spécialiste leurs décrivit ce que nous cherchions.
« C’est un générateur d’énergie ultra puissant capable de générer une masse d’énergie colossale. Pour nous il nous permettrait d’alimenter la Porte des Etoiles de notre Cité pour ouvrir un vortex vers la Terre. Et puis il pourrait aussi alimenter les principaux fonctionnements de la cité, les secondaire, qui comme nos réacteurs à naquadah ne libèrent pas assez d’énergie pour les alimenter son restés en sommeil. »
les Yetti se regardèrent et firent une tête du genre « Mais de quoi il parle ? »
« C’est un machin haut comme ça, orange qui brille rond. expliqua Nolwenn en faisant des gestes.
_ Ca me dit quelque chose, déclara Borris.
_ Rendez vous ce soir au Macoumba Club, nous dit Georges.
_ Très original comme nom, plaisanta John.
_ C’est la plus grande boîte de la région lui certifia Bob.
_ Oh mais je veux bien vous croire » lui dit John.
Je souris, et nos amis Yetti nous laissèrent tous les six.
« Ca va être la fête ce soir » dit Nolye en souriant.

A suivre...

Des néons de toutes les couleurs, de la lumière tanisée, de la musique à fond… Leurs boîtes en fin de compte n’étaient pas si différentes des notres. Nous étions au bar en trian de boire un cocktails d’une couleur suspecte mais qui avait un super goût.
Pour entrer dans cette boîte, nous avions dus changer nos uniformes. Apparemment les treillis ils n’aimaient pas trop ça. Ils nous avaient indiqués une boutiques réservées aux humains, car nous avions appris qu’ils faisaient du commerce aec d’autres mondes.
En gros, leur monde était rétro années disco/Hippi, très stylé.
McKay portait un pantalon patte d’eph noir avec des paillettes aregntées sur les côté. Je me souviens que lorsqu’il était sortit de sa cabine avec ce pantalon, John et Ford étaient morts de rire, et nous pas loin derrière. En haut une chemise a col immonde jaune avec une chaîne à énormes maillons en or et des bagouses énormes aux doigts.
Ford la même chose, mais il chemise bleu et un pantlon bleu ciel et un gros ceinturon noir et un bandeaux assorti a tout cela dans les cheveux.
John portait un jean patte d’eph, une chemise hawaïenne et un bandeau dans les cheveux. Apparemment, il avait opté pour le Hippy n’était pas porté sur le disco, ce que je comprenais très bien.
Teyla elle, portait dans ses cheveux un bandeau a fleurs et des plumes colorées, elle était vêtue d’une tunique à fleurs et une ceinture noire. Un pantalon patte d’eph aussi, je crois que tout le monde en portait un en fait.
Nolwenn elle avait optée pour le disco à l’état pur. Elle portait des chaussures compensées un pantalon patte d’eph blanc et des paillettes un peu partout. Un dos nu blanc avec des paillettes qui formaient des fleurs. Et une veste courte en cuir marron et une ceinture de la même couleur avec une grosse boucle en forme de fleur. Elle avait avait dans les cheveux ne paire de lunette en forme de leurs blanche et une chaîne avec un pendentif en forme de fleurs.
Moi j’étais resté assez soft en fait, quand je voyais ma meilleure amie. Je portais un jean avec des perles un peu autour de la ceinture, et un débardeur blanc à bretelles épaisses. J’avais surtout jouer sur les bijoux en perles style bracelets, colliers etc… et dans les cheveux un bandeaux à fleurs quand même.
Nous avions vraiment le style, je peux vous assurer.
La musique c’était là qu’était là le problème. Elle ne collait pas avec les fringues que portaient les gens. Oh on avait eu le droit a quelques musiques discos, mais vraiment très peu.
En gros, imaginez des people des années 80 qui dansent sur Usher.
Sa le fait pas
Surtout que j’aime pas Usher.
Là, nous étions assis autour de deux tables, pour boire un coup donc.
« Et si on allait chercher ce E2PZ ? demanda Teyla.
_ Qu’est-ce qu’il ya Teyla ? demanda John. Vous n’aimez pas faire la fête ?
_ Nous n’avons pas la même définition de ce mot apparemment, rpéondit l’Atosienne.
_ Moi je trouve ça cool ici, remarqua Ford.
E Oui, moi aussi, renchérit John.
Après avoir finit de boire cette tournée, indiqua Georges, nous irons voir ce que vous appelez le E2… truc.
_ E2PZ, rectifia McKay.
_Oui, voilà, continua le Yetti, et bien nous irons le voir, mais nous devons commencer à parler de ce que vous nous donnerez en échange.
_ Et bien, commença John, nous avons des médicament très efficaces…
_ Non, le coupa Borris, ça on s’en fiche, on a de quoi, merci pour la proposition. Nous, on en a parler avec Big Boss, ils nous a dit que nous étions en manque de recettes pour de la nourriture. Nos jeunes grossissent et mangent d eplus en plus mal.
_ Les trucs que l’on pourraient vous proposer seraient sûrement aussi caloriques que les votres, les informaii-je.

_ Je me demande comment, lâcha Bob un peu pour lui même. Mais au moins, leurs menus seraient plus variés.
_ Et nous aimerions aussi que vous et vos amis veniez environ une fois par mois pour nous voir, parce qu’on vous aime bien, et que ça nous ferez des amis à inviter. Termina Georges.
_ C’est tout ? demanda McKay. Alors que vous nous donner un générateur surpuissant vous n’exiger que de la nourriture et une visite mensuelle ?
_ Pour nous, répondit Borris, les amis, être entourée et l’hygiène et la diversité des modes de vvies et plus important que nos emplacement militaires ou scientifiques.
_ C’est de très bons principe, remarquai-je. Mais chacun pense comme il veut.
_ Entièrement d’accord avec vous, assura Ford. »

A suivre

Nous les voyons beaucoup depuis cette mission. Et nous sommes devenues très amies, Nolye et moi avec nos trois amis Yetti.
Nous sommes le 14 Février, et cela fait sept mois que nous sommes sur Atlantis.
Et sur Terre, a environ 33 millions d’années lumière, a travers le monde, ils fêtent la St Valentin.
Et Weir a décidé qu’il n’y avait pas de raisons pour que nous ne la fêtions pas non plus.
Alors, pour les couples qui étaient formés, elle avait demander de chaproner la soirée des célibataires.
Vous imaginez ça vous : le Docteur Elizabeth Weir organiser des soirées Speed Dating dans la Cité mythique d’Atlantis ?
Moi, non.
Il était 15h00. et nous nous préparions, toutes autant que nous étions, avec le peu d’habits potables que nous avions pu emmener.
Bien que le treillis allait à pas mal de gens.
Et je pensais plus particulièrement à John.
Il est vrai que la scéance de « je te fais du pied sous la table » de l’autre jour n’avait été que la première d’une longue série. Ce qui n’étais pas pour me déplaire
Mais rien ne se passait de plus entre nous. Et j’espère que cette soirée allait changer ça.
Le problème ? C’est que la moitié des femmes de la base voulaient, en cette soirée conclure avec lui. Et moi, j’avais de la concurrence. Faut dire, j’étais pas un top model non plus.. Quand on voyait je sais pas moi… le Docteur Lisa Tempton, elle s’était une fille assez… abh oui quoi plus belle que la moyenne. Mais elle friamit trop et la moiti des personnes ne pouvaient pas l’encadrer, mais elle avait quand même ses chances.
Pour le moment, j’étais dans l’espace détente avec Laëtitia et Nolye, on parlait de tout et n’importe quoi, vous connaissez les discussion entre filles…
« Alors comme ça tu sors avec McKay ? demanda Laeti à Nolwenn.
_ Oui, pourquoi ?
_ Non comme ça, mais vous avez combien de différence d’âge ?
_ Mais il est pas si vuex que ça. Il n’a que deux ans de plus que moi.
_ L’important, ce que tu trippes biens avec lui, remarquai-je.
_ Oui, tout à fait d’accord. Et le Major et toi ?
_ Quoi le major et moi ? demandai-je innocemment.
_ Et bah vous en êtes ou ?
_ Nulle part, la moitié des filles de la base veut lui sauter dessus je te rappelle, alors qu’est-ce qui te fais dire que j’ai une chance ? demandai-je à Nolwenn.
_ Peut être que la soirée règlera les choses, harsarda Laetitia.
_ Espérons le » termina Nolwenn.