staking rink [fic - Sheyla]

Auteur : Bevy
Genre : guimauve, et une pure Sheyla
Saison : HS
Résumé ! Trop cours pour en faire un, guimauve sheyla !
Disclaimers; les persos ne m’appartiennent pas, …. Comme d’hab. .
Dédicaces : A toutes les personnes qui liront cette fic, surtout à toutes les personnes qui me laissent des coms sympa (Clélia, Caramelle, Maira, Hestia, Mailang, Miss Shepp, Juju …) Surtout à Clélia dont la fic Fêtes foraines m’a inspirée.


John ne tint pas compte des protestations de son amie, assise à ses cotés à la place passager.
_Major, s’il vous plait, dites moi où nous allons ?
_C’est une surprise Teyla, je ne vous le dirai pas.
_Est que je peux au moins savoir pourquoi vous m ‘
avez forcée à prendre ses vêtements chauds alors qu’il fait prés de 35 degrés dehors ?
-ça fait partie de la surprise, elle est, très, … rafraîchissante, dit John en regardant la jeune femme du coin de l’œil.
A cause de la canicule, l’Athosienne était vêtue d’un débardeur blanc à bretelle fines, assortie à une jupe de la même couleur qui lui arrivait aux genoux, accompagné de sandalettes blanches. Ils étaient sur terre depuis 3 jours. En arrivant sur terre, ils avaient organisés une petite fête en petit comité , Rodney Elizabeth , Teyla et lui-même au cours de laquelle Rodney , légèrement saoul avait fait un karaoké sur En Apesanteur . Par la suite, le scientifique avait même failli embrasser Elizabeth, ce qui n’avait pas eu l’air de déplaire à la diplomate. Le lendemain, Elizabeth et Teyla avaient fait quelques boutiques. Rodney était partit voir sa sœur qui vivait en Californie, à Los Angeles, Elizabeth , elle était partie rendre visite à une amie d’enfance , dans l’Arizona. Il ne restait donc que Teyla et John, qui avait prévu tout un programme pour que son amie découvre la terre. La vieille , ils avaient été voir un film au cinéma. Le film était un navet. Le seul avantage avait été, pour John, que Teyla c’était endormie sur son épaule au bout de 10 minutes de film, devant l’ennuie que dégageait le film. Ce qui ne l’avait pas dérangeait bien au contraire. La douce sensation qu’avait dégagé ce contact l’avait plus captivé que ce qui se passait à l’écran. Il avait du mal à résister à la tentation de passer un bras protecteur autours de son épaule.
Ce souvenir le fit sourire, il jeta un rapide coup d’œil à son amie, qui lui rendit son sourire.
Ils étaient enfin arrivés à destination.
....

Un vaste bâtiment se tenait devant eux, Teyla la regarda attentivement, à la recherche d’un indice sur la surprise que voulait lui faire John. Elle vit alors l’écriteau sur lequel était marqué Patinoire.
_major, ne me dites pas que, … Je vous est déjà dit que je ne savais pas patinée quand vous me l’avez demandez sur atlantis.
_Il n’est jamais trop tard pour apprendre, n’est pas ? Demanda John attrapant le sac à l’arrière.
_Si vous le dites, Major, mais, ….
_J’avais promis que vous apprendrais à tenir sur des patins, je tiens ma promesse.
Teyla descendit à son tour de la voiture.
_C’est gentil à vous, répondit Teyla, je m’efforcerais d’être bonne élève, dite elle en lui adressant un sourire radieux.
Une fois les entrées payées, ils se séparèrent aux niveaux des vestiaires. John sortit rapidement et attendit Teyla une bonne minute. Elle sortie enfin, elle avait échangée sa jupe et son débardeur contre un pantalon beige et un pull blanc en laine avec un haut col roulé. Elle était tout simplement magnifique.
_Quelque chose ne vas pas major ? Demanda-t-elle en voyant son manque de réaction.
John réalisa enfin qu’il la contemplé depuis une bonne minutes, gobant presque les mouches.
_Tout va bien ! Dommage que le climat soit si doux sur atlantis, vous êtes vraiment ravissante.
Le compliment semblait touché Teyla. Elle mur murmura un faible « merci «, les joues soudainement empourprées.

guimauve, guimauve et encor guimauve [bave 2] , etre malade ne me réussit pas :lol!: .

Une fois leurs patins mis, Teyla hésita à avancer sur la glace, elle se tenait à la rambarde, comme si elle n’était pas sur de tenir debout sans appuie. John la devança et l’attrapa par le poignet, la forçant à lâcher son appuie.
_Vous voyez, ce n’est pas si difficile que ça, je ne comprends pas pourquoi vous aviez peur.
_Je n’ai jamais dit que j’avais peur, protesta Teyla, c’est juste que je garde un mauvais souvenir de ma dernière expérience sue la glace.
_Vous ne vous débrouillez pas si mal que ça, c’est mieux que Banbie .
_Qui est Banbie, demanda Teyla.
Ils étaient arrivées vers le milieu de la piste. Il n’y avait pas beaucoup de monde, juste quelques couples, une bande d’ados et une ou deux familles.
_Un personnage d’un dessin animé, je pense que les petits enfants Athosiens l’auraient adorés.
Il lui lâcha la main.
_Je suis sur que vous y allez arriver toute seule, lui dit il en reculant sans la quitter des yeux.
Teyla revint à sa hauteur , désormais plus à l’aise :
_Vous aviez raison, c’est vraiment , comment dire, très …. C’est un sport très sympathique.
_Je vous l’avez bien dit.
Ils étaient sur la piste de patinage ( ça se dit? ) depuis une bonne heure, Teyla avait fait des progrès remarquables et ne c’était pas étalée par terre comme elle l’avait craint. Elle avis même commencé a essayer des figures plus ou moins artistiques au rythmes des musique sui passait dans les hauts parleurs quand un groupe d’enfant agités et bruyants rompit le calme . L’un deux percuta Teyla de plein fouet, le jeune femme se serait étalé par terre si John ne l’avait pas rattrapé par la taille.
_ça va ? Demanda-t-il à son amie en la tenant toujours sur ces bras.
Le gamin qui avait percuté la jeune femme ne se retourna pas .
_On verrait peut-être mieux d’y aller , suggéra Teyla, sans pour autant se dégager de John.
...

A présent, ils étaient dans la cafétéria de la patinoire. Après la fraîcheur de la glace, ils c’étaient mis d’accord pour boire un café ou un cappuccino. John c’était commandé un hamburger débordant de sauce, il prétendait avoir faim. Teyla c’était contenté d’un café d’une gaufre au chocolat. De la cafétéria, il pouvait voir la piste, visiblement, les gamins c’était décidé à être le plus bruyants possibles. John se demanda vaguement ou ces mômes avaient appris la politesse, il ne remarqua la sauce qui débordé de son hamburger, tachant la table. Il ne fit pas non plus qu’il fût à deux doigts de tremper de coude dedans. Teyla attrapa son poignet, évitant la catastrophe.
...

Vous devriez faire attention, major.
Bizarrement, elle n’arrivait pas à lâchez son poignet, et John ne faisait guère d’effort non plus.
_Merçi Teyla.
_Comment pouvez vous mangez une chose pareil, lui demandant Teyla faussement sérieuse, ça à un goût de plastique visqueux et…
_Et comment vous faites pour manger, demanda John en désignant sa gaufre.
_C’est très bon, le chocolat , se justifia Teyla, mordant à nouveau dans sa gaufre.
_Vous avez déteint sur Rodney! Je mettais jurer d’éviter ça.
A l’évocation de Rodney, Teyla faillit s’étouffer de rire. Elle aussi se souvenait bien de la petite soirée.

...

Je peux savoir ce qui vous fait rire ? Demanda John, lui-même n’arrivant pas à se retenir lui aussi.
_Il a massacrée la chanson, l’alarme d’Atlantis est plus agréable à entendre que lui.
_Vous exagéré un peu là ! Quoi que il faudrait vérifier en visionnant la cassette.
_Vous l’avez filmé, s’exclama Teyla, ce qui ne calma son fou rire. Il va vous tuer.
_Cest toujours utile en cas de revanche personnelle !
...

Ce qui menaçait d’arriver arriva, le malheureux hamburger de John se scratcha sur la table.
John regarda Teyla, faussement mécontent :
_Regardez ce que vous m’avez fait faire !
_Paix à son âme, répondit Teyla e, s’efforçant de retrouver son sérieux.
Elle croisa le regard de John et tout les partit dans un nouveau fou rire.
_On parlé de quoi déjà, demanda John, une fois que tout les deux aient retrouvés un semblant de sérieux.
_De Rodney et de son don pour le chant. On devrait peut-être parler d’autre chose, non ? Suggéra Teyla en jetant un coup d’œil dans la salle, les quelques personnes présentes les regardaient d’un air bizarre et exaspéré.
...

_Je crois bien que oui, je disais donc, comment faisiez vous pour mangez un truc pareil, c’est bourré de sucre, de chocolat, fit remarquer John en désignant la gaufre de Teyla.
_Mais c’est très bon, se justifia Teyla.
_Il n’y a que Rodney qui puisse manger une horreur pareille ! Je n’ai pas envie que vous deveniez aussi accro que lui à cette chose, il est tellement gamin quand il n’ pas sa dose de chocolat.
_Vous devriez, goûter avant de critiquer, et je suis sur que vous m’empêcherez de devenir accro à ça!
_si vous êtes en manque , vous pouvez toujours faire du chantage avec la cassette vidéo!
_mais c’est déloyal!! Même si j’avais une envie pressante de chocolat , je n’en arriverais pas là.
_C’est pas grave, je le ferrai pour vous .
Teyla lui adressa un sourire rayonnant .
...

Quand la serveuse qui s’occupait des commandes amena l’adition, elle jeta un regard noir à John en voyant l’étendue des dégâts. Quand ils furent dehors. John demanda :
_Vous voulez faire quoi maintenant ? Ça vous dit d’aller faire un tour prés de la plage.
C’est une bonne idée !
Ils passèrent le reste de l’après midi à déambuler prés de la plage, parmi les vendeurs de glace et de souvenirs divers. Vers les 19 h, John proposa de faire une pause le temps de finir leur glace. Il avait finalement cédé à Teyla en prenant un magnum au chocolat et du avouer qu’il aimait beaucoup. Teyla c’était contenté d’une glace à l’italienne. Assis sur un banc, ils profitaient de l’air frais de la mer. John ne se souvenait pas d’avoir passé une aussi agréable journées depuis bien longtemps tandis que Teyla se demandait avec envie, si sans la menace des Wraiths , le vie ne serait pas aussi douce tout les jours. Perdu dans ses pensées, Teyla ne sentit pas la glace dégoulinait sur sa main, ce fut le contact de la main de John qui la ramena à la réalité.

aprés une bonne dose de guimauve, je mettrai la fameuse cassette

Vous aussi vous devriez faire attention.
Teyla leva les yeux vers lui en souriant.
_Merçi.
Teyla n’arrivait pas détacher son regard de John, il avait cependant essuyer sa main sans la quitter des yeux.
_On parlait de quoi déjà, demanda Teyla en finissant sa glace.
_A vrai dire, je ne sais plus, avoua John, hypnotisé par le regard de son amie.
Il avait avancé sa main de son visage et lui caressait les cheveux.
Teyla ne répondit et se contenta de poser sa main sur son poignet, comme pour accompagner son geste.
_Je …
John ne put finir sa phrase car Teyla avaient posée ses lèvres sur les siennes. John attira Teyla vers lui, approfondissant le baiser. La jeune femme ne protesta pas. Une sonnerie de portable interrompit leur baiser, Tout en passant un bras autours des épaules de Teyla, John répondit au portable.
_Oui, … ha c’est vous Rodney, ….ce soir, avec plaisir … à quelle adresse ?
...

Une fois qu’il eut coupé la communication, Teyla demanda :
_Qu’est qu’il voulait ?
_Nous inviter à dînez dans un resto.
_Tu veux vraiment y allez ? Demanda-t-elle, on aurait pu passez un peu de temps ensembles, non ?
_Je ne pouvais pas refuser, et puis, on a encore un peu de temps, il nous reste deux heures.
Teyla lui sourit, tout en lui caressant la joue, elle murmura :
_Tu sais que je t’aime.
_je sais, et moi aussi.
Après un autre baiser, ils se décidèrent à regagner la voiture.
Ils repassèrent rapidement à l’appartement afin de se changer. Pendant que Teyla prenait une douche, John glissa dans son sac la cassette, il avait envie de jouer un peu avec les nerfs de McKay, celui-ci, au téléphone c’était bien rendue compte que John n’avait pas l’air enchanté de l’entendre. Teyla le rejoignit peu auprès, elle avait échangée son ensemble Jupe débardeur contre une longue jupe blanche fendue jusqu’au genoux, accompagnée d’un haut noir légèrement décolletée qui lui laissait les bras nus.
_Tu est vraiment ravissante.
_Merçi, lui souffla-t-elle à l’oreille avant de déposer un baiser rapide sur ses lèvres.

...

Rodney les attendait devant un restaurant chinois, les Perles de Jade, il avait réservé une table sur le balcon. Plusieurs lanternes chinoises éclairaient la terrasse. Quand il vit arriver ses amis main dans la main, il ne pu s’empêcher de dire, après les avoir salués :
_On dirait que j’ai manqué un épisode, non ?
_ça fait plaisir de vous revoir, Rodney, vous allez mieux depuis la petite soirée d’y l’y a deux jours ?
_Très bien ! On dirai que les choses vont très bien pour vous deux ! Vous aimez les spécialités chinoises j’espère ?

...

John n’avait toujours pas parlé de la cassette, il attendait un « dérapage « de la part de Rodney pour sortit cette argument. Le serveur venait de leur emmener le plat de résistance, pendant que John montrait à Teyla comment se servir des baguettes, Rodney lança, un petit sourire au coin des lèvres.
_Vous êtes métamorphosé John, Teyla serait’elle magicienne ?
John eut un sourire mi-moqueur, mi-contrarié :
_si j’étais, vous, je ne dirais pas ça !
_Mais c’est la vérité, s’exclama Rodney.
_N’en soyez pas si sur, Rodney .
Teyla suivait le discours des deux hommes, un sourire aux lèvres Elle comprit vite de quoi John parlait.
_Tu ne l’as quand même pas prise ?
_Si, elle est dans le sac !
_quoi est dans le sac ? Demanda Rodney soudain inquiet, De quoi vous parlez ?
_La cassette, murmura John à l’adresse de Rodney.
_La cassette de votre karaoké, très distrayante !!

mon Karaoké… murmura Rodney en laissant tomber sa baguette, John, vous être vraiment …. Je veux cette casette !
_On pourra la regardez chez vous, après le dîner. Je crois même qu’il y a le baiser
_Quel baiser ? Demanda Rodney, se demandant si il ne rêvait pas.
_Demandez à Elizabeth, répondit Teyla avec un petit sourire.
_je suis un homme meurt, murmura Rodney pour lui-même.
_N’’exagérez pas Rodney, ce n’est pas un drame, et ne faites pas cette tête d’enterrement ! Je ne suis pas sadique au point de vous ridiculisez devant tout Atlantis ! C’est juste une petite revanche.
Rodney ne parut pas soulagée pour autant, il essaya bien de persuader ses amis d’en dire plus, mais ni Teyla, ni John, ne cédèrent. Le dîner se détermina dans une entente amicale, malgré les questions de Rodney sur cette fameuse cassette, et cette revanche de son ami.
Après avoir payé l’addition, John rappela qu’ils avaient prévue une séance télé chez Rodney. L’appartement de ce dernier était petit, le salon ne contenait que deux fauteuils. Pendant que Teyla mettait la cassette dans le magnétoscope, John s’installa, imiter par Rodney qui prit son chat sur les genoux. Teyla s’installa finalement sur les genoux de John, n’ayant pas de fauteuils à sa disposition.
...

Quand le film passa à l’écran, Rodney reconnut immédiatement le jardin du docteur Jackson, ce dernier étant en mission, il leur avait prêté sa maison. Il se reconnut aussi, debout sur la table, en train de massacrer une chanson de Calogero , il reconnut aussi sa voix, un vrai massacre du aux 3 vers de vodka qu’il avait bu en plus de sa bière Il essaya de mettre un nom sur l’horreur qu’il chantait :
Elle arrange ses cheveux
J’ai le cœur juste au bords des yeux
Et sans la regarder je sens la chaleur
D’un autre langage
…
Il avait tout simplement massacrée la chanson favorite de sa sœur. John avait fait un gros plan sur son visage. Rodney se demanda si il devait tuer son ami sur le champ ou attendre un peu. En tout cas, il était sur que aucune des deux solutions ne plairaient à Teyla.
Quand il eut enfin finit de chanter, il vit l’Elizabeth de la cassette lui arrachait le micro des mains , elle semblait mis amusée, mi sérieuse. Mais ce qui fit un sacré coup au scientifique , ce fut quand il se pencha et qu’il essaya de l’embrasser . Chose surprenante, Elizabeth n’ pas l’air en colère, elle c’était contentée de détourner la tête au dernier moment ;
...

Des que la cassette fut terminer, Rodney s’exclama :
_John je vous interdit de donner cette cassette à qui que ce soit !
_vous voulez que je la garde, vous n’avez pas peur que j’en fasse un mauvais usage ?
_Je veux dire, donnez moi cette cassette! C’est un véritable massacre!
_Au moins, on est d’accord dur un point , gardez là Rodney, mais faites attention, j’en ai une copie.


je ne me suis jamais autant amusée en écrivant une fic . pauvre Rodney!! je crois qu'il av éviter les verres de vodka maintenant , du moins, en précense de John.

Le téléphone sonna, interrompant le sommeil de John. Teyla était endormie à ses cotés et commençai à s’agiter elle aussi. John jeta un rapide coup d’œil au réveil, 5 h du matin. Qui donc aurait l’idée de les appeler à, une telle heure. Avant qu’il n’ait pu faire le moindre geste, Teyla avait saisi le portable qui continuait de sonner, répétant inlassablement le refrain de All about us.
_c’est vous Docteur McKay, qu’est que vous voulez ? demanda la jeune femme en retenant un bâillement. Vous n’avez pas vu l’heure qu’il est ?
Elle resta quelques instant silencieuse visiblement incrédule devant la demanda de Rodney.
_Et vous nous avez réveillé à l’aube rien que pour ça! C’est si important que ça! Je n’en sais rien moi! Demandez le directement au Docteur Weir!
...
Petite fin spécialement pour les WcWeir( et les autres aussi, mais on peut considérez le paragraphe précédant comme la fin)
des hypothéses sur la question de Rodney?

_Et vous nous avez réveillé à l’aube rien que pour ça! C’est si important que ça! Je n’en sais rien moi! Demandez le directement au Docteur Weir! Ce n’est par ce que nous sommes amies que je sais tout de vie privée. Je …
John enleva le portable des mains de Teyla, curieux de savoir pourquoi Rodney avait cru bon de les appelez à une heure pareille.
Quand il eut entendue sa demande , il s’exclama:
_Sérieusement Rodney, vous nous avez appelé pour ça! Ce n’étais qu’un baiser après tout, et encore, vous ne l’avez pas vraiment embrassée, inutile d’en faire tout un plat, je ne savais pas que vous y attachiez autant d’importance.
Un sourire moqueur était aparu sur ces lèvres. Teyla lui donna un coup de coude et dit:
_ce n’est pas gentil de se moquer!
Elle reprit le téléphone et annonça:
_ Vous savez ce que m’a toujours dit Halling, qui ne tente rien n’a rien! Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire!

Des hypothéses pour la suite?? j'espére que vous ave aimé, c'est mon premier McWeir

_ Vous savez ce que m’a toujours dit Halling, qui ne tente rien n’a rien ! Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire !
Avant que Rodney n’ai eut le temps de répondre quoi que se soit, elle lui raccrocha au nez.

Rodney se leva à nouveau, n’arrivant pas à dormir. John et Teyla était partie aux alantours de deux heure du matin. Après trois heures de vaines tentatives pour trouver le sommeil, il composa le numéro de ses amis sans ce soucier de l’heure. Après une attente interminable , il entendit la voix de Teyla, encore ensomeillée.
_C’est vous Teyla, je …
_c’est vous Docteur McKay, qu’est que vous voulez ?
Sur un ton de reproche, elle ajouta:
_Vous n’avez pas vu l’heure qu’il est ?
_Vraiment désolé, je voulais vous demandez si Elizabeth m’en voulez pour l’autre jour.
Quand son amie lui répondit, il remarqua qu’elle paraisait surprise:
_Et vous nous avez réveillé à l’aube rien que pour ça ! C’est si important que ça ! Je n’en sais rien moi ! Demandez le directement au Docteur Weir ! Ce n’est par ce que nous sommes amies que je sais tout de vie privée. Je …
Il entendit quelques murmures de protestations et entendit presque aussitôt la voix de John:
_Qu’est qui se passe de si important Rodney?
_Je voulais demander quelque chose à Teyla?
Il n’ aucune envie d’avouer à son ami qu’une certaine diplomate occupée ces pensées depuis plus de trois heures. Cependant, sachant que Teyla finirait par le lui dire , il lâcha:
_Je souhaitais demandez à Teyla , si à son avis, le Docteur Weir m’en voulait pour l’autre jour.
Il avait dit cela le plus rapidement possible .
_Sérieusement Rodney, vous nous avez appelé pour ça ! Ce n’était qu’un baiser après tout, et encore, vous ne l’avez pas vraiment embrassée, inutile d’en faire tout un plat, je ne savais pas que vous y attachiez autant d’importance.
Rodney s’imaginait très bien l’air triomphant et moqueur de son ami, comme pour mettre fin à son supplice, il entendit de nouveau la voix de Teyla:
_ _ Vous savez ce que m’a toujours dit Halling, qui ne tente rien n’a rien ! Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire !
Et sans lui laisser le temps de répliquer, elle lui raccrocha au nez.

Vous savez ce que m’a toujours dit Halling, qui ne tente rien n’a rien ! Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire ! . Le conseil de son amie ne cessait de lui revenir en tête. Qu’entendait’ elle exactement par là ? Que lui conseillait ‘elle de faire? Lui-même ne savait pas trop quoi pensez du docteur Weir, il l’a considérée comme son amie et pourtant, il la voyait parfois différemment. Tout étais confus dans son esprit. Il était à présent 7 h, assis devant un café, il suivait d’un d’œil discret à la télé, un dessin animé passait à l’écran, Rodney reconnut Bob L’éponge, la vieille, il en avait regardé un épisode avec sa nièce de 5 ans. Si il s’en souvenait bien, Elizabeth était partie dans l’Arizona voir une certaine Katy Wells, dans la ville de Phoenix plus exactement. Phoenix, ce n’est pas si loin que ça, je peux toujours passer lui faire un petit coucou comme pou John et Teyla. Ma sœur n’est pas là aujourd’hui, par conséquence, je ne suis personne à aller voir. John et Teyla voudront peut-être passer un peu de temps seuls et, … j’ai besoin de la voir. Ou même d’entendre sa voix. Je ne sais pas pourquoi, elle … elle me manque.
Il se décida enfin à composer le numéro de son amie.
_Bonjour, vous êtes bien sur le portable D’Elizabeth Weir, je ne suis pas là pour le moment, mais laissé un message et …
Rodney avait raccroché avant d’avoir entendu la fin du message. Passablement déprimé, il s’affala sur le canapé et suivit sans grand intérêt le dessin animé débile qui passait à ‘écran. Quand il zappa, il tomba sur les Feux de l’Amour ou une série de ce genre. Dégoûté, il s’apprêtait à éteinte la télé quand une sonnerie rompit le silence.
_Bonjour Rodney, c’est Elizabeth, comment vous allez ? C’est vous qui m’avait appelez tout à l’heure?


vous aimez ? N'hésitez pas à laissez des coms !! C'est ma premiére fic McWeir, j'espère que ce n'est aps trop nul.Des hypothéses pour la suite?

_C’est vous Elizabeth, je … je voulais avoir de vos nouvelles, savoir si tout allait bien bref, ce que demande les amis.
_Pourquoi n’avez-vous pas laissé de message ?
_J’ai toujours eu horreur des répondeurs ?
_je vois, répondit Elizabeth, il fait quel temps à Los Angeles ?
_Très beau soleil, répondit Rodney, hier, j’ai dîné dehors avec John et Teyla. Une grosse chaleur aussi.
_Vous avez vu Teyla et John, comment vont’ ils ?
_Très bien, ils forment un très joli couple.
_Ils forment quoi ? demanda Elizabeth comme si elle avait entendue.
_Un très joli couple, répondit Rodney.
_C’est pas trop tôt, s’exclama Elizabeth, je m’y attendais plus ou moins. Tout va bien pour vous Rodney ?
_Très bien, j’ai vu ma sœur et ma nièce hier.
_ça c’est bien passé ? Demanda la jeune femme avec curiosité.
_Très bien, Gabrielle est vraiment adorable ! Tout le portrait de sa maman.
_Pour ma part, il fait un temps vraiment pourri à Phoenix, pas un rayon de soleil depuis que je suis arrivée. A vrai dire, je m’ennui un peu, Katy est partie pour la journée chez ces beaux parents, je serais bien venus, mais, ils ne m’ont jamais beaucoup appréciés. Et je leur rends bien.
_Qu’est que ces gens peuvent vous reprochez, vous êtes quelque un de très bien ! S’indigna Rodney.
_Disons que qu’ils n’ont pas beaucoup d’estime pour les diplomates, mais ça na me dérange pas .C’est gentil de prendre ma défense Rodney.
_Mais c’est normal Elizabeth, je vous…. J’ai beaucoup d’estime pour vous.
Pourquoi fallait’ il qu’il s’embrouille dans ces propos !
_Merçi Rodney, répondit Elizabeth, touché par le compliment.
_je me disais, commença Rodney, je n’ai rien à faire de ma journée et vous non plus, alors je pensais qu’on pourrait … faire une petite sortie entre amis. Vous en pensez quoi ?
Il y eut un silence, puis Rodney, entendit, à son grand soulagement :
_C’est une bonne idée Rodney ! En plus, Phoenix n’est qu’à trois heures de Los Angeles. Il y a une exposition d’art Contemporain à San Diego, ils en ont parlé hier au infos, on pourrait toujours aller y jeté un coup d’œil? Si je prend le train, je peux y être en une demis heure.
...

Après avoir promis à Elizabeth qu’il passerait la prendre à 10 h à la gare de San Diego, Rodney réfléchit à l’effet que lui avait l’appel de la jeune diplomate. Pendant un cours instant, il n’avait pas su trop quoi dire. Et elle avait accepté de le voir, pour autre chose que pour le travail. Bien sûr, ce n’était qu’une sortie entre amis.
Elizabeth raccrocha heureuse de savoir qu’elle ne passerait pas la journée à se morfondre devant une sérié débile. L’appel du scientifique lui avait fait plaisir, et l’avait surprise, surtout compte tenue du fait qu’il avait failli l’embrasser quelques jours plus tôt. En y repensant, elle n’était pas en colère contre lui, une part d’elle-même voulait se laissait un peu aller mais une autre lui disait qu’il n’était pas dans son état normale et que ce baiser n’aurait rien représentait pour lui. Elle-même n’arrivait pas trop à définir ce qu’il aurait pu représenter pour elle.

Quand le train arriva à San Diégo, Elizabeth se précipita hors du wagon, soulagée d’échapper à la famille nombreuse qui lui avait tenue compagnie pendant le voyage. Un supplice d’une demie heure a essayé de ne pas prêter attention à la fille aînée qui boudait sa mère et au petit dernier qui tirait sur les cheveux de la cadette pendant que leur mère racontait sa vie au téléphone. Arrivé sur le quai, elle chercha des yeux Rodney pendant que la foule des voyageurs circulait de toute part. Quelqu’un tapota son épaule :
_Vous cherchez quelque un ?
...

Surprise, Elizabeth se retourna et se retrouva face à Rodney.
_Vous m’avez fait peur ! S’exclama-t-elle.
_J’en suis désolé ! Le voyage a été agréable ? Demanda le scientifique pour se faire pardonner.
_J’ai tenue compagnie à une charmante famille, ironisa Elizabeth.
_Ils étaient si horrible que ça ?
_Pas horrible, juste, … insupportables.
_je vois, et si on allait voir cette exposition ?
...

Le bâtiment n’ouvrant qu’à 14 h, ils décidèrent de s’arrêter dans une cafétéria. Rodney prétendait qu’il mourait de fin et dévora son hamburger en un temps record, sous le regard compatissant d’Elizabeth quand la sauce de son hamburger coula sur la table. Il y avait déjà du monde quand ils arrivèrent devant la salle d’exposition, après avoir payées les tickets d’entrées, ils purent enfin rentrés. Elizabeth ? Qui s’y connaisait mieux que Rodney en art Contemporain expliquait le sens caché des tableaux à ce dernier , en plus des petites anecdotes sur les différents peintres dont-ils croisaient les œuvres . Ils sortirent vers 18 h , un sac de souvenirs et babioles à la main. Malgré ses protestations, Rodney n’avait pas pu résisté au regard suppliant que lui avait lancé la jeune femme . A présent , Rodney attendait en compagnie d’Elizabeth le train qui la ramènerait chez elle . Tour deux discutait de tout et de rien, bavardant plus librement que sur atlantis . Alors que le train en direction de Phoenix arrivait sur le quai , Elizabeth se pencha cers Rodney et déposa un baiser sur sa joue :
_Merçi pour cette agréable journée , Rodney! A bientôt!
Avant que le train ne prenne de la vitesse, Rodney vit clairement la jeune femme lui adressé un signe de la main. Il répondit à son geste et ne la quitta pas des yeux tant qu’il put la voir .
...

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