Souvenir[E]

Si je dois écrire une suite faite le moi savoir

Auteur: caramelle
Genre: drame
Spoiler: pas d'épisode précis.
Résumé: une personne se souvient de gens qui ont disparu depuis longtemps.



Six ans, cela faisait maintenant six ans qu'ils les avaient quittés.
Le 12 mai, était un jour assez particulier pour la cité. Afin de leur rendre hommage, toutes les personnes vivant sur Atlantis ne travaillaient pas ce jour-là. Depuis bien longtemps, la liaison avait été rétablie avec la Terre et les dirigeants avaient été surpris d'apprendre que ce jour avait été proclamé "férié" par les atlantes comme on les surnommait maintenant, mais ils avaient rapidement compris la raison et l'avaient même pour certains approuvé. C'était lui, Rodnay Mckay qui avait été à l'origine de cette idée, et tout le monde l'avait aussitôt adoptée. Il avait choisi cette date car c'était le jour de leur mariage et avant leur disparition. Ils avaient tellement contribué chacun d'eux a leur façon, à sauver la cité qu'ils pouvaient au moins se permettre un jour de repos en leur honneur.
Aujourd'hui on était un 12 mai, et il se dirigeait vers ses appartements, afin de se reposer un peu et d'y déposer ses affaires encombrantes, avant de rejoindre tout le monde à la cantine où était organisé un repas. En effet, une conférence sur la technologie des anciens avait eu lieu sur Terre et il avait été contraint d'y aller.
On l'avait prévenu que ça risquait de le retenir assez longtemps loin de la cité des anciens, mais il ne croyait pas que ça durerait trois long mois. En ayant assez d'attendre, il était finalement parti sans prévenir, ce qui le fit sourir en y repensant. Il y a dix ans de cela lorsqu'il était arrivé ici, il aurait tout donné pour pouvoir retourner très vite sur Terre, mais il avait beaucoup changer depuis.
Il s'était d'ailleurs rendu compte qu'il suportait de moins en moins ces scientifiques qui prétendaient savoir d'innombrables choses. Mais qui se crépaient le chignon dès qu'ils se retrouvaient à des conférences de ce type, seulement pour un siège attribué qui ne leur convenait pas du tout. Ce changement d'attitude était s'en doute dû au fait qu'il avait passé beaucoup trop de temps avec Lui et il avait commencé peu à peu à partager son point de vue.
Rodnay avait promis à quelqu'un qui comptait beaucoup à ses yeux, de revenir au plus tard à cette date. Et il avait tenu promesse, comme à son habitude qu'il s'agissait d'elle.
Elle savait, qu'il ferait tout pour lui faire plaisir, et c'est pourquoi elle en profitait un maximum. Mais il s'en moquait quelque peu, car ce qui contait énormément pour lui, c'était quand elle lui adressait un de ses splendides sourires, pour le remercier,ce qui le faisait littéralement fondre.
Il n'était heureusement pas le seul à se faire avoir de cette manière car Beckett et au moins la moitié des hommes de la cité de faisait avoir de cette facon, ce qui faisait bien rire les femmes, qui ne se laissait pas avoir de cette manière. Il en avait déjà parlé avec Carson et ils s'étaient demandé comment, un scientifique et un docteur pourtant d'âge mur pouvait bien se faire avoir de la sorte.
Il fallait dire aussi que lorsqu'elle souriait, tout son visage semblait s'illuminer, ses yeux pétiller de joie, et ses joues rosir légèrement. Ce qui la rendait encore plus craquante, c'était lorsqu'elle se mettait à rire, sa voix cristalline réconfortait les gens et les apaisait malgrè les nombreuses et douloureuses pertes à cause des wraiths en grande partie. A certain moment elle ressemblait presqu'à un ange.
Il repensai, à ces innombrables moments de joix en sa présence, malgrè la perte de deux amis qui était très cher à ses yeux. Lorsqu'il arriva devant la porte de ses appartements, le sentiment d'avoir enfin trouver sa place dans ce monde, au côté des gens avec lesquels il travaillait et qu'il considérait maintenant comme faisant parti de sa famille, même ce cher Zelenka (NA: Et oui, tout le monde peu changer enfin j'espère) le parcouru. Il sut alors qu'il n'avait plus aucun rapport avec ces scientifiques arrogants qu'il avait quitté et qu'il considérait pour certains comme des amis avant son départ.
Un sourire sur les lèvres, il ouvrit la porte et il l'aperçut allongée sur son lit. Un livre de physique posé devant elle et trop absorbée pas sa lecture, apparemment elle n'avait pas entendue la porte s'ouvrir . Il l'a contempla quelques secondes, et décida de lui indiquer sa présence.
- Alors Kate, comment trouves-tu le livre que Zelenka t'a offert.

Alors si vous souhaitez que je mette la suite, faites moi quelques petites propositions.
La suite si vous voulez le week end prochain suremement. :lol!:

Voilà une suite.

- Rodnay, s'écria-t-elle. Elle se releva et elle lui sauta dans les bras. Heureusement, il avait eu la bonne idée de poser ses sacs quelques secondes auparavant. Tu m'avais promis de me donner de tes nouvelles tous les jours, pendant ton absence, mais je n'en ai pas reçu très souvent, lui reprocha-t-elle.
- Je sais ma puce, je ne l'avais pas oublié, mais les conférences, duraient toute la journée et même pour certaines c'est allé jusqu'à plusieurs jours. Lorsque j'avais enfin un moment à moi, et bien je ne pensais qu'à une chose dormir. Je suis désolé, pour essayer de me faire pardonner je t'ai acheté quelque chose. Je pense que cela te plaira.
- Et tu l'as mis où, lui demanda Kate tout à coup intéressée.
- C'est dans mon sac mais, avant je veux un bisou, lui réclama-t-il en tournant sa joue vers la petite, sinon je ne te lâche pas.
- Euhhh, dit-elle en faisant mine de réfléchir, c'est d'accord, lui répondit-elle en lui faisant un énorme bisou sur la joue.

Kate descendit alors de ses bras. McKay fouilla dans son sac et finit par tendre son cadeau emballé avec soin, à la petite. Elle s'empressa de l'ouvrir, et son visage s'illumina quand elle le vit. Il lui avait acheté le nounours, qu'elle souhaitait avoir pour son anniversaire, et qui n'était que dans deux mois.

- Oh, merci Rodnay, lui dit-elle. Mais la prochaine fois avant de revenir, pourrais-tu te raser, parce que tu piques, rajouta-t-elle moqueuse.
- Non, mais dis donc toi, est-ce que ce sont des manières de me parler jeune fille, la questionna-t-il.

Pour toute réponse il pu voir une langue assez grande et bien rose. Kate se mit à courir dans la pièce poursuivit par le scientifique, mais celle-ci habituée à se faufiler à peu près partout pour lui échapper, réussit à sortir de la chambre, et se dirigea immédiatement vers l'infirmerie. La fillette courait déjà vite, malgré son jeune âge, et son parrain qui ne rajeunissait pas, avait de plus en plus de mal à la rattraper. Surtout qu'il ne participait presque plus aux missions, depuis la disparition de ses deux amis. Ils avaient souhaité, qu'il devienne le tuteur de leur fille, s'il leur arrivait malheur. Et si cela devait arriver, ils avaient souhaités que leur ami ne participe plus aux missions, souhaitant éviter quelle le perde lui aussi.

Certains militaires ou scientifiques durent s'écarter afin d'éviter de se faire percuter, par l'astrophysicien, ou la fillette. Cela ne les dérangeait pas vraiment car il étaient maintenant habitués à les voir courir dans les couloirs. Kate arriva à l'infirmerie avat que son parrain ne puisse la rattraper. Elle aperçut Beckett seul, assis devant son bureau, feuilletant tranquillement un livre. Elle s'approcha le plus discrétement possible, et lui sauta sur les genoux, pour lui annoncer éssouflée. Mais Carson fut plus rapide qu'elle.

- Ne me dit rien Rodnay est revenu, tu l'as embêté, et maintenant, il veut t'attraper, lui demanda-t-il.
- Je ne l'ai pas embêté, lui répondit-elle. Je lui ai juste tiré la langue.
- Très bien tu peux rester ici, si tu veux. As-tu réussi à le semer j'espère?
- Mais bien sur, tu ne m'en crois pas capable, lui reprocha-t-elle en tournant la tête vers lui.
- Bien sur que si.
- Oh pas mal le rattrapage.
- Non, mais petite mal élevé, est-ce une façon de me parler.

A ce moment, une lueur espiègle, apparue dans les yeux de la petite ce qui fit sourir le médecin. Ils restèrent quelques secondes ainsi, puis Kate aperçut un livre de médecine quelle n'avait pas encore eu l'occasion de lire. Elle descendit alors de ses genoux, l'attrapa, s'installa confortablement sur un lit et débuta sa lecture. Le médecin, eu alors tout l'occasion de contempler la première enfant née sur Atlantis. Il avait assisté à sa naissance.

#Flash Back#

Sa mère avait ressentit les premières contractions, quelques heures plus tôt, et elle se trouvait maintenant sur la table d'accouchement. Seulement son époux, était parti en mission ce jour-là et la jeune femme le traitait de tous les noms d'oiseaux qui lui passaient par la tête, pour ce qu'elle était obligée de subir. En effet, il avait découvert qu'un accouchement sous péridurale se révélerait dangereux pour la mère et l'enfant. John arriva en courant dans l'infirmerie, il était tellement stressé qu'il faillit renverser une infirmière, mais il ne prit pas la peine de s'excuser et patit rejoindre sa femme, alors qu'il allait entrer dans la pièce, il entendit distinctement, parvenir de derrière son dos : tous les mêmes.

En apercevant sa femme qui s'était un peu calmé comm ses contractions, il se dirigea vers elle, seulement lorsqu'elle l'aperçut, elle lui cria.

- Ne t'approches plus jamais de moi!

Sheppard eu alors la mauvaise idée de lui demander.

- Mais pourquoi chérie?
- Tu oses me poser cette question, et bien je vais te répondre. C'est à cause de toi que je me retrouve ici, s'écria-t-elle mais elle ne put finir sa phrase car une nouvelle contraction se fit de nouveau sentir. Elle suivit les conseils de la sage femme et inspira et expira bruyamment, à plusieurs reprises. Toi tu as juste pris du plaisir lors de sa création mais tu n'as pas réfléchit, à ce que j'aurai à endurer, n'est ce pas?