Je me suis essayé au poème... Je ne sais pas trop ce que ça donne mais après quelques modfis, je crois que ça peut marcher. Il ne faut pas y chercher une trame, mais le voir simplement comme une démonstration de sentiments et d'un questionnement intérieur réfléchi (désolé, c'est la philo qui me hante !). Enfin, s'il n'y a pas de marque réelle de personnes, c'est pour que chacun y voit le couple qu'il veut. Comme ça, tout le monde sera content (enfin, faut quand même John, au minimum :mrgreen:)
FEELINGSÇa commence toujours sans qu’on s’en aperçoive
Par un mot, un geste, un regard, une voix suave
Quelque chose d’inexplicable
Et de si peu remarquable
Qui prend soudain une importance
Et qui devient mon évidence.
Ce petit « je ne sais quoi » qui te qualifie
Et qui te fait briller au milieu de ma vie
Tu es celui auquel je pense
Et par qui tout prendra un sens
Celui qui fera naître l’espoir
Que ma vie n’est pas un cauchemar
Je dois chercher en moi la force pour te parler
Si je veux pouvoir un beau jour t’apprivoiser
Mais je tremble et je recule
Quand dans ma vie tout bascule
Si je te cache la vérité
C’est que je ne peux l’affronter
J’ai beau tenté de me raisonner et de te fuir
Tu troubles mon présent, perturbes mon avenir
Et je suis là à t’attendre
Sans jamais pouvoir me rendre
Si seulement tu pouvais savoir
Ce que je nie par désespoir
Ça commence sans que l’on sache pourquoi
Et dans mon esprit, il n’y a plus que toi
Alors j’imagine, je rêve que tu viennes
Et que dans tes bras, tu me prennes
Qu’ensemble on trace notre chemin
Et qu’on parte main dans la main
Mais si j’avouais mes sentiments
Te dire « je t’aime » tout simplement
Comment réagirais-tu ?
Comment le prendrais-tu ?
Dis-moi ce que je dois faire
Pour t’approcher, pour te plaire
Mets à terme à ma souffrance
À mon exil, à mon errance
Car tant que je ne suis qu’une amie
Tu provoques ma longue agonie
Je voudrais te parler
Je voudrais tant t’aimer
Mais pourrais-je tout t’avouer ?
Un jour, j’ose l’espérer.
Et je suis là, plongée dans ma solitude
A renverser toutes mes certitudes
Mais je t’aime, et je ne me pardonne
De ne rien pouvoir te dire. John.
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