Couche tard et lêve tôt

Auteur : Melinda
Titre : Couche tard et lève tôt
Genre : Romance / Sonfic
Ship : Je le dis pas saison ça gâche tout ^^ (c’est pas du sheyla cette fois)
Chanson : “Couche tard et lève tôt » de Bénabar
Saison : Aucune
Résumé : Après la fin de la mission Atlantis, les membres de l’expéddition retournent sur Terre.. Et les rôles, ne sont pas ceux que l’on pourraient croire
Disclamer : Je ne vous apprends rien en disant que l’histoire et les personnages originaux ne m’appartiennent pas… Si ?
Note de l’auteur : Une fic que j’avais au départ commencé pour SG1… Et puis j’ai préféré la remttre sur Atlantis, en plus… Je préfère !

Bonne lecture

Mel.

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[Quand il rentre le soir tard toujours en retard
Le couche-tard fait des cauchemars les fantômes dans le placard
Il promet de ne plus jamais boire
Entre cafard et café noir
Le couche-tard

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Il est encore une heure pas possible,e t le soleil va bientôt se lever. Et elle, elle rentre chez elle, après une nuit passée dehors. Qui aurait pu croire que l’absence d’activité professionnelle, pouvait à ce point changer sa vie ?
Elle entre chez elle, claque la porte, jette son blouson en cuir noir sur le canapé, et se dirige vers la cuisine pour se préparer une tasse de café. Le micro-onde fait un bruit assourdissant.
Elle se précipite pour l’ouvrir, se brûle avec la tasse de caffé, et referme la porte du micro-onde dans un claquement.
Elle a encore une sacré gueule de bois… Il faut qu’elle arrête de faire ça, ce n’est pas une vie… Ce n’est pas sa vie… Mais elle n’a plus rien… Qui aurait pu croire, qu’elle : surtout elle : allait perdre son poste…. Après la fin de cette aventure qui avait cahngé sa vie.
S’en était fini d’Atlantis et des Wrraiths. A présent, elle devait tourner la page, mais elle n’y arriait pas…Elle n’arrivait pas à les oublier eux… Lui…
Elle laisse finalement son café refroidir, en boire l’empêchera de dormir. Et elle en a besoin. Ele va s’allonger, ne se déshabille même pas et s’asosupi. Mais elle dort d’un sommeil agité, par les cauchemars de sa vie passée et révolue.
Ataltnsi.

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Au galop le lève-tôt fonce au bureau l'oeil sur le chrono
A l'assaut de la semaine et des matins jumeaux rien rien de nouveau
Et pour mettre du vin dans son eau il attend ses jours de repos
Le moral à zéro

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Six heures trente, il va vraiment finir par être en retard. Qu’elle idée de commencer si tôt… Et pourquoi son supérieur a-t-il demandé à le voir à la première heure un lundi matin ? Il ne doit vraiment pas manquer se rendez vous… Il va prendre le métro, ça ira plus ite, il n’a pas le temps de ce soucier des embouteillages. Traverser Washington à cette heure est un vrai calvaire, et il n’a pas de tempsà perdre.
Voilà six mois qu’ils sont rentrés sur terre, lui avait espérer qu’il resterait en contact, mais il avait été le premier à partir. Alors, il ne pouvait pas en vouloir aux autres de ne pa sle conacter. Il ne savait pas ce qu’étaient devenus Elizabeth ? Carson, Rodney… Il se disait souvent qu’ils les appelèrait, mais il ne prenait jamais le temps, et s’en voulait parfois.
Il regarda atour de lui. Il avait tout ? Ses papiers, son blousons, ses clefs….Son badge, il l’a badge ouf ! Sans ça, il ne pourrait pas aller loin…
6H37… Le temps passe vite, il aut mieux qu’il se prrese. Il enfile son blouson. Il n’a pas le temps de se détendre ni de petit déjeuner, il prendra quelque chose dans la boulangerie en face de la station de métro. Il avale vite fait un café, met tout son bazard dans ses poches et sort de chez lui. Dehors, il fait encore nuit, mais l’aube a commencé à se lever. Il a froid. Il y a déjà pas mal de monde dans les rues. Son nouveau travail lui prend beaucoup de temps, mais son ancien poste lui manque beaucoup.
Atlantis…

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Le métro à ceci de joli
Qu’on y voit le jour comme en pleine nuit

Couche tard et lève tôt
Se rencontrent dans le premier métro

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Il réussit à rattraper le métro. Il rentre dans la première rame qui vient, essoufflé, un bip et la porte se referme derrière lui. Il n’y a pas beaucoup de monde, mais il n’y fait pas vraiment attention ? il est heureux, il n’a pas loupé son métro, et il est en en avance qui plus est, il a tout de bénéfique se matin.
Il s’assoit, il y a une personne en face de lui, elle regarde derrière la vitre, les lumière du tunnel défiler, elle semble perdue dans le vague. Elle a des cheveux bruns mi longs, un regard bleus qui semble triste, elle porte une veste en cuir noir, avec un pantalon et un pull noir…
Il la reconnaît, mais il n’est pas sûr que ça soit elle, il ne la reconnaît pas. Elle est totalement différente de la dernière fois qu’il l’a vu. Mais il l’interpelle quand même…

***

Elle se laisse bercer au bruit du métro sur els rails. D’ordinaire, ce bruit lui fait plus mal à la tête, mais là, elle a moins bu… Elle a quand même bu, mais pas autant que les autres fois, peut être moins de chagrin à noyer… Elle regarde les lumières qui défilent au dehors… Si régulières… Pas comme sa vie.
Ils sont tous partis, et elle est restée là… Sans eux… Sans lui…
C’est alors qu’une voix la tire de sa rêverie.

-Elizabeth ?

Elle relève les yeux. Et elle le voit, il est là en face d’elle. Il a l’air étonné de la voir ici, elle l’est aussi, et à soudain honte de son état… Elle n’est pas présentable….

-John, bonjour, dit-elle en souriant faiblement.
-Que faîtes vous dans le métro si tôt ? demanda le militaire, heureux qu’il s’agisse bien d’elle.
-Je pourrais vous retourner la même question, répondit simplement Elizabeth.
-Et bien, je vais au travail, j’ai un rendez vous avec mon supérieur a sept heures et quart, j’ai du partir plus tôt… Et vous ?
-Je rentre chez moi.
-Vous… Rentrez chez vous ?
-Oui, répondit simplement Elizabeth.

Il à l’air soudain désolé pour elle. Elle s’en veut, elle ne veut pas qu’il sache ce qu’est sa vie sans eux, sans lui… maintenant que tout est fini.
Il la regarde, il sait.. Il lit en elle comme dans un lire ouvert, comme il l’a toujours fait… Elle ne peut rien lui cacher….

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Accroché au comptoir le couche-tard toujours sur le départ
Cherche un auditoire qu'il accapare et invente des histoires
Parfois une petite bagarre
Parfois au désespoir

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Elle entre dans ce bar, où elle maintenant l’habitude d’aller, c’est l’un des seuls ouverts. Il est presque trois heures du matin, elle en a déjà fait un avant celui là. Mais ici, elle connaît du monde, mais elle ne parle pas avec eux. Parfois, un homme aussi saoul qu’elle vient la voir, ils échangent quelques mots, et quand ils lui plaisent, d’un commun accord, ils rentrent chez lui.. Jamais chez elle, elle ne veut pas que cette partie malsaine de sa vie entre chez elle…
Elle est au bar, mais ce soir, elle n’est d’humeur pour rien, elle veut juste boire un verre, elle restera là une trentaine de minutes, et repartira. Elle a dîné au restaurant avec l’une de ses rares amies, qui lui a étalé son bonheur sous ses yeux, lui rappelant un peu plus sa solitude et son malheur.
Alors pour oublier elle boit, puisqu’on ne veut d’elle nulle part, puisqu’elle na que ça.

-Bonjour Jimmy, dit-elle au barman.
-Salut Betty.

Betty, c’est comme ça qu’elle se fait appeler ici.

-Je te sert quoi ?
-Comme d’habitude, répondit-elle.

IL lui sert un vers de whisky, et lui laisse finalement la bouteille. Elle ne la boit jamais en entier, même pas la moitié, c’est plus psychologique qu’autres choses.
A un moment, un type vient s’asseoir à côté d’elle.

-Bonsoir beauté.

Elle ne se retourne pas, elle n’est pas d’humeur. Elle ne veut parler à personne. Pas ce soir… Juste elle avec elle même…Et ses souvenirs, oui ce soir, elle veut se rappeler les bons moments sur Atlantis, alors elle ne veut de personne pour lui tenir compagnie. Mais le type insiste.

-Hey ma jolie, tu m’entends pas ? T’es trop saoule.

Elle finit par ce retourner vers lui. Une quarantaine d’années, mal rasé, habillée d’un jean et d’un pull aussi passé que ses chaussures. Non, ça lui donne encore moins enie. Et il la fixe avec ses yeux vitreux. Il est plus saoul qu’elle.

-Laissez moi, dit elle simplement.
-Hey, bah quoi tu veux pas causer ?
-Non.
-T’es pas drôle, je suis sûr que toi et moi on pourrait s’entendre.
-Sans doute, mais j’ai pas enie, dit-elle.
-Tu devrais me laisser ma chance, qu’est-ce qui y a, t’es pas d’humeur ? T’as tes règles ou quoi ?
-Fichez moi la paix !! s’écria-t-elle.

Il y a un silence soudian dans le bar. Jimmy arrive, tout le monde reprend sa conversation.

-Y a un problème Betty ?
-Oui, ce mec ne veut pas me lâcher.
-Toi, tu la laisses Ok ? dit Jimmy au type.
-Bon, je te la laisse ta nana !

Elle a envie de lui lancer son verre à la figure, mais ne fait rien pourtant, ce n’est pas l’envie qui lui manquent.
Elle finit son verre et paie Jimmy.
Elle va errer dans les rues pendant plusieurs longues minutes.
Puis rentrer chez elle.
Encore une nuit de passée….

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Quand il rentre plus tôt du boulot le lève tôt
Il tire les rideaux et s'installe au chaud le dîner en plateau
Il se préoccupe de la météo
Est-ce que demain il fera beau?
Le lève-tôt

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[i]Il ferme la porte derrière lui. Enfin il est chez lui. Encore une journée de passée, une journée qui ressemble à toutes les autres. Son travail au Home World Security lui plaît. mais Atlantis lnque beaucoup
Il se dirige vers la cuisine, fiat chauffer un reste de pizza qui traîne dans le four, puis se prend une bière dans le frigo, et se met devant la télé.
Même ça, il n’y prend plus de plaisir… atlantis lui manque vraiment… Pourquoi les remplacer tous ? Après prés de huit ans de bon et loyaux services, on les remerciait en les mettant à la porte ?..
Le smissions, les découvertes dans la Cité… même les wraiths lui manquent ! Ils continuent à lir eles rapports à son travail… Mais de là à ce que ça soit pareil… C’est autre chose.
Il devrait les appeler, mais il ne le fait jamais, pourquoi là il ne prendrait pas son téléphone, pour appeler Rodney ou Elizabeth. Mais pour leurs dire quoi ? Que sa vie est mortellement ennuyeuse ? Alors q’Elizabeth doit travaille rà L’Onu, et Rodney sur lepoint de faire une grande découverte scientifique ?
Non il ne voulait pas entendre ça, surtout pas d’eux…
Il zappe encore et encore, tombe sur la météo. Regarde le temps pour le week end, peut être qu’il ira voir sa famille danns le Main, ou alors, comme tous les week ends, il restera là, devant un film ou un match de foot.
Comme toujours.|/i]

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Le métro à ceci de joli
Qu’on y voit le jour comme en pleine nuit

Couche tard et lève tôt
Se rencontrent dans le pemier métro

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Ils ne disent rien, il a regarde, mais elle non. Il semble qu’elle a honte d’elle, sa lui fait mal au cœur… Elle ne devrait pas… Lui qui croyait sa vie horrible, celle d’Elizabeth semble dix fois pire. Elle relève alors les yeux, elle atellement souffert à cause de lui…Elle le haie parce qu’il l’a abandonné alors qu’elle l’aimait… Mais elle sait qu’elle ne peut s’en prendr equ’à lui. Elle se toute qu’il travail au HWS, alors dans deux stations, il reprendra sa vie, et elle retournera se coucher, comme si rien n’avait jamais eu lui… Mais elle ne voulait pa sça…
Elle le regarde.. Elle ne peut pas le haïr, il ne peut pas savoir qu’elle l’aime, si elle ne lui dit pas.
Elle le regarde, les yeux pleins de larmes. Il hésite, puis se lève, et vient s’asseoir à côté d’elle. Elle détourne les yeux, il la regarde, cherchant à savoir s’il peut l’aider. Elle se met alor sà pleurer. Il hésite, puis passe un bras autour de ses épuales, elle appuie sa tête contre sn épaule à lui, et y pleure ses larmes. Le temps passe, plus rien n’a d’importance.
Elle pleure toute la soufrance accumulée ces six derniers mois. Puis elle se calme enfin et relève les yeux vers lui. Il remet une mèches de cheveux bruns derrière son oreille. Elle sourit tristement et détourne les yeux.

-Vous devriez partir.
-J’ai manqué mon arrêt.
-Vous alelz être en retard.
-On ne m’attend nulle part… Sauf ici..

Elle le regarde, il lui sourit, et l’embrasse.
Elle est heureuse…

FIN