Auteur : Teli
Titre : Cliché
Genre : humour, les pires meilleurs clichés que vous pouvez trouver dans une fanfic stargate
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Disclaimer : les personnages appartiennent à MGM et à Showtimes. Le but de cette histoire n’est pas de discréditer les fanfics que j’ai pu lire dans ce genre. C’est juste histoire de se marrer. Y’a même des trucs tiré de mes propres fanfics !
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Clichés
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Premièrement, nous avons les personnages, Jack O’Neill, Samantha Carter, Daniel Jackson et Teal’c.
Si vous aimez bien Jonas, il peut effectivement envisager penser faire partie de l’histoire. Sinon, au choix, soit il est repartit sur sa planète d’origine, soit il est relégué aux archives. (Ou on l’a promu ingénieur balai….)
Il est 8h00 le matin, base de Cheyenne Moutain (moi qui ai toujours cru que la base se trouvait cachée en Tasmanie), tout le monde est dans la salle de Briefing vacant à diverses occupations. Tout le monde ? Noooooooooon ! Car un irréductible colonel arrive encore et toujours en retard.
Le voilà qu’il entre dans la pièce, sous le regard exaspéré du général. Mais Sam lui fait le sourire « spécial Jack », qu’il lui renvoie.
Aujourd’hui : nouvelle mission.
Sam : La planète est pleine de sapins et d’humidité, conditions favorables (vous allez quand même pas envoyer vos héros dans un milieu hostile ?), des ruines pour Daniel, un petit peuple bien sympathique qui crèche à 3 kilomètres de la porte… Bref, tout est idéal !
Et le général, oubliant que ses hommes doivent quand même préparer tout leur matos…
Hammond : vous partez immédiatement !
N’oublions pas de sortir quelques blagues maid in Jack pendant la réunion, s’il vous plait.
8h10, le même jour, salle d’embarquement.
L’équipe passe la porte, et se retrouve dans un endroit ou le soleil chante et les oiseaux brillent. (Les sapins dansent la javanaise aussi !)
Ça crapahute sec dans la forêt, avec Jack et Sam en tête, se lançant des petits regards discrets, Daniel qui complote tout seul derrière se disant que ça fait longtemps que ces deux là devant s’aiment en secret (!) et Teal’c qui hausse son sourcil.
Les explorateurs arrivent enfin au village, où ils sont chaleureusement accueillis, sans méfiance, sans rien. On leur offre une baraque, des vêtements, et un grand festin le soir même.
Sam sera dans une robe resplendissante et Jack la trouvera resplendissante.
Jack : Major, vous êtes resplendissante !
Sam : merci mon colonel *rougit* *sourire spécial Jack*
Sur cette planète, ya pas une seule technologie de valable, mais qu’importe on fait la fête ! Et voilà qu’un jeune homme fort séduisant à la Georges Clooney se ramène et se met en tête de vouloir piquer Sam à Jack, le vilaaaaain !!! Le pire, c’est qu’elle n’y est pas indifférente, voyant là un moyen de rendre Jaloux son colonel pour le faire réagir.
Ce qui marche à la perfection : plus tard dans la soirée, il la rejoint, ils s’enguirlandent ferme avant que Sam le foute dehors prétextant qu’elle n’a aucun compte à lui rendre et qu’elle fait ce qu’elle veut de ses fesses. (Fort jolies d’ailleurs)
Alors chacun passe le nuit de son côté, se demandant à quoi ils vont bien pouvoir occuper la journée de demain.
Finalement, le soleil se lève sur cette planète ou les heures et les jours correspondent parfaitement à celles de la Terre. Pratique, pas de décalage horaire, ça évite aux équipes des longues récupérations.
Le lendemain matin donc, Jack se réveille avec une tronche de six pieds de long, Daniel avec la gueule de bois, Sam comblée, et Teal’c fidèle à lui-même. Ils se retrouvent tous sur la place du paisible village en se regardant dans le blanc des yeux. Puis dans un haussement d’épaule magistral, s’en retournent vers leur petite maison parce qu’il n’y a strictement rien à glander sur cette planète.
Ah si. Le Georges-Clooney-copain-de-Sam va taper la discute à Daniel et lui apprend les ruines d’un ancien temple oublié et qu’aucun des habitants n’a pensé à rénover pour en faire des apparts pas chers.
Mais c’est vrai qu’avant d’entreprendre quoique ce soit en maçonnerie de nos jours, il faut une expertise archéologique. Ce qui tombe pile dans les cordes de Danny. Il prend donc son p’tit plumeau et son p’tit marteau pour aller creuser dans un tas de cailloux difformes et usés par le temps. Mais le pire, c’est qu’il fait de sacrées découvertes !
Comme par le miracle de l’enchantement de la magie, ce temple était en fait un temple Goa’uld, et les habitants ont oublié leur servitude parce que les serpents s’en sont allés voir ailleurs si y’avais pas un autre filon de naquadah.
Et en plus, on y trouve de quoi faire une arme. Alors Jack, tout content, vient trifouiller le bazar, et pouf, il met en route sans trop savoir pourquoi, mais c’est beau, ya des petites lumières qui clignotent.
Ce qui est en fait un ultra communicateur Goa’uld douzième génération oublié par les extraterrestres en questions. C’était beau, mais ça leur servait à rien alors ils l’ont laissé là exprès pour que SG1 le trouve, et qu’ils puissent rappliquer par la suite, le tout en moins de deux heures.
Et là, c’est la panique générale.
Jack : courage, mes amis……… FUYONS !
Voilà que 36 vaisseaux plus une tripotée de chasseurs envahissent le ciel de la planète paisible. Tout le monde court dans tous les sens ce qui provoque quelques collisions et un ralentissement au niveau de la sortie n°31 sur l’autoroute A7. Ces automobilistes de nos jours !
On dénombre d’ailleurs cinq morts légers et huit blessées sur le coup. (A qui elle est cette blague ? j’me souviens plus dans quelle fic je l’ai lu…)
C’est alors qu’une bataille sans merci s’engage, SG1 cours de toutes leurs jambes pour arriver jusqu'à la porte, laissant lâchement tout le peuple pacifique et gorges clooney derrière eux
Hey, ho, c’est pas la SPA non plus Cheyenne Moutain !
Sauf que 12 chasseurs et demi (c’est effectivement l’époque de la chasse), arrivent dans le ciel pile au dessus de SG1, et pile au moment où ils allaient passer la porte.
O’Neill, pas courageux pour deux sous, délègue Daniel pour aller ouvrir la porte sous le feu de l’ennemi, pendant que les autres sont tout à fait à l’abri sous les buissons. Ils font style de tirer un peu sur les planeurs pour que le préposé à la pyrotechnique ait du boulot (sinon, le pauvre, va falloir qu’il retourne à l’ANPE).
La porte est enfin ouverte, et toute l’équipe tente de ramper jusqu'à la plate-forme. Daniel à quatre patte les fesses en l’air, passe le premier, suivit de Teal’c qui tire à l’aveuglette avec sa lance serpent (jvous raconte pas l’arrivée au SGC.)
Pendant ce temps, O’Neill, en chevalier servant qu’il est, hurle à Sam de passer la porte en premier, mais elle refuse, mais il refuse, mais elle refuse, mais il…. Bref, on ne s’en sort pas !
Ils décident donc de tirer à la Courtepaille (qui n’ont pas inventé le bonheur mais les grillades qui vont avec !) et c’est Jack qui ira en premier.
Alors le v’la qui court sous le feu ennemi, et s’arrête au pied de la porte pour faire signe à Sam de venir et qu’il la couvre. Manque de pot, un chasseur semble s’acharner sur la jeune femme et Jack décide carrément de lancer un pain de C4 dans les airs avec une chance sur 1000 pour qu’il s’accroche au planeur.
Faut croire qu’il avait une veine de cocu (c’est dla faute à Georges Clooney) parce que le chasseur s’en prit plein la tronche et commença à se crasher.
« Mayday, Mayday. Roger ! J’ai l’aile droite en feu, besoin d’assistance »
« Laisse tomber vieux (quelle ironie !), tu va te crasher ! »
« Roger, j’aurai une belle mort ! Foi d’Appeau (pour la chasse) – fils !
Et le dit planeur se cracha effectivement….
…
Sur la porte des étoiles.
Au SGC.
Daniel était toujours à quatre pattes sur la rampe, tel qu’il était arrivé, et Teal’c derrière lui, affichait un sourcil confus.
Rappelez vous que le Jaffa tirait dans tous les sens en faisant virevolter sa lance.
Et Daniel se trouvait maintenant avec une lance là où il ne fait pas bon d’avoir une lance….
Le Général Hammond (ne suffit pas) ordonna un débriefing dans la minute…
Daniel : mais j’ai mal
Hammond : m’en fout ! Ça urge !
… ce qu’ils s’empressèrent de faire. Il fallait savoir pourquoi deux membres manquaient à l’appel et pourquoi la porte s’était déconnectée.
Une bande de techniciens incompétents se mit alors au travail, et je ne sais même pas ce qu’ils foutent là, parce qu’on sait qu’ils ne trouvent jamais rien et qu’ils n’ont même pas appris leur texte de toute façons.
Après un (douloureux) passage à l’infirmerie pour un check-up complet et avec prise de sang, prise de scanner et prise de courant, Daniel et Teal’c retournent en salle de briefing pour raconter absolument tout ce qu’il sont vécu sur cette nouvelle planète, de George Clonney au communicateur, en passant par les apparts pas chers où il ferait bon d’investir.
Le tout dans un grand flash back hollywoodien au ralenti, montrant des détails poignants entre Sam et Jack (que Daniel n’a jamais vu. Comprenez le, il fabule à cause de la lance.)
Advient ce qui devait advenir, on forme une équipe de secours avec les trois unités encore en réserve dans la baraque. Celle du Major Pierce, et celle de Kowalski, ressuscité pour l’occasion.
Sur la planète charmant sans porte des étoiles.
Jack avait récupéré Sam de justesse pour la planquer dans les buissons, avec comme excuse « il faut se planquer dans les buissons…. ‘Cause des chasseurs quoiiiiii ! »
Comme les buissons sont petits, ils se montent l’un sur l’autre, et Sam pique une grosse crise de rougissement qui manque les faire repérer. Sur ce, devant l’embarras de mademoiselle, Jack s’empresse de se rejustifier.
« Tout ce que vous sentirez de dur et de long, c’est ma lampe torche ».
« Monsieur, on a qu’une lampe torche par package. J’en sens deux. »
« C’est la votre alors ? »
« Non je l’ai troqué au village. »
Au SGC.
Hammond débarqua le pas lourd dans la salle d’embarquement (parce que c’est là qu’on…. Embarque !) Affublé de son acolyte de sergent qui a délaissé ses chevrons quelques minutes pour se dégourdir les pattes.
« Mais pourquoi vous êtes encore là »
« Figurez vous qu’on arrive pas à se connecter à la porte »
« Vous avez essayé de l’ouvrir au moins ? »
« Ben non le préposé au chevron vous suit depuis deux heures. Alors depuis deux heures on attend ».
Le monsieur haut gradé décida qu’il se pendrait aujourd’hui.
Sujet: Clichés.[A]