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 planète de légende[T]

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Teli
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Teli


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MessageSujet: planète de légende[T]   planète de légende[T] EmptyMar 19 Juil 2005 - 20:49

lut ! voici un Xover qui n'a jamais été terminé ! je vous le livre parce que j'amais beacoup l'idée que moi et ma très chère co-auteuse Kmi avions pas mal travaillé sur lécriture.

enfin de compte, on a manqué de temps elle et moi et cette fic est resté en plan.

je vous livre en exclu donc, "Planète de légende", un cross SG1/Lord of the rings, que vous ne lire part ailleurs.

si quelqu'un se sent inspirée par l'histoire et veux la continuer, je me ferai une joie de lui livrer les bases du scénar pour reprndre la chos !

N'joy !

---

Auteurs : Teli et Kmi, une collaboration qui déchire ! Éteignez vos ceintures et accrochez vos cigarettes…. Ça va déménager !!!


Disclaimer : stargate à mgm, sda à JRR tolkien, comme ça c’est court et concis et on en parle plus.

Résumé : dans les ruines d’Amon hen, ya des constructions, des bâtiments qui ressemblent à des temples, et il y a aussi un grand anneau de pierre que personne ne remarque… et alors que la bataille fait rage entre la communauté de l’anneau et les orques, l’anneau s’active.

Notes : cette fanfic est un alternate Universe des « deux tours ». L’histoire commence à la fin du premier Sda, sur l’Amon Hen, et on réécrit tout en faisant un cross over avec stargate. Vala.

Notes 2 : bon, bah voyons ce que donne la collaboration en Kmi et moi ! Réunissons deux de nos hobbies (et non pas hobbits) pour créer un chef-d’œuvre…. Du moins essayons d’en créer un.
Bonne lecture !

Notes 3 : Me criez po dessus, la Sandra elle me laisse même po de place pour mouah !!!! Je voulais juste vous dire que vous pouviez encore faire demi-tour avant de commencer à lire… Non parce que je préfère prévenir que guérir… Enfin moi ce que j’en pense… Oui bon ok, je me tais !!! Bonne lecture !!! ^^

Pairings : ça viendra au cours de l’histoire.

---

Première : Portail vers une terre nouvelle.

---

C’est là que l’Elfe le forgea
C’est là qu’il se réveillera.
La complainte d’antant
Retentira en ces nouveaux temps.
Je le voie dans l’air
Je le ressens dans la terre.
Cet anneau lui aussi isolé
Va bientôt se réveiller.


Les paroles de Dame Galadriel s’évanouirent dans le vent alors qu’elle détournait son regard du rivage d’Anduin où la Communauté était partie il y avait plusieurs jours de cela…

---

Aragorn contemplait le petit être devant lui avec pitié. Il avait réussi l’épreuve de l’anneau. Il avait eu la possibilité de le prendre des doigts de Frodon, mais il n’en avait rien fait.

Ainsi il avait résisté au fléau d’Isildur. Son regard glissa vers la ceinture du jeune hobbit. Il allait lui falloir affronter encore tant d’épreuves.

-Jusqu’au bout, j’aurais été à vos côtés.

Le hobbit ne comprenait pas, puis voyant la lame de son épée devenir bleue, ses yeux s’agrandirent : des orques.

-Partez maintenant. Courez !

Frodon ne se fit pas prier. Il tourna les talons et partit du plus vite qu’il pu vers le rivage de l’Emyn Muil. Aragorn était parti dans la direction opposée, se préparant à affronter la horde d’Orques et d’uruk-Hai qui arrivait, massée en haut d’Amon Hen.

Et la bataille s’engagea. Il était seul. Seul contre une multitude de monstres, dont la file s’étendait sur des mètres et des mètres. Ils arrivaient de toutes part, et attaquaient tous avec la même ardeur.
L’aide que Gimli et Legolas apportèrent ne fut pas de trop.

---

Bien loin d’ici, un cercle tournait, et une sirène retentissait. Au milieu d’une rampe qui donnait sur un énorme anneau, un homme aux cheveux grisonnants attendait. A sa droite un jeune femme, blonde, scrutait les alentours, les mains posées sur mon P90. Derrière eux, une grand noir, à l’air impassible.
Deux jeunes hommes passèrent la porte au fond de la salle en discutant joyeusement. L’homme sur la rampe se redressa à leur arrivée et se vissa une casquette sur la tête.

-Bon. On va enfin pouvoir y aller.

Les nouveaux arrivants cessèrent leurs bavardages.

-Chevron sept enclenché !

Un énorme tourbillon bleu jailli dans la pièce.

-En avant mauvaise troupe !

Puis une voix grésilla dans le haut parleur.

-Bonne chance Sg-1 !
-Chaque fois qu’il nous dit ça, ça tourne mal…

Les cinq personnes passèrent dans la flaque bleue que contenait l’anneau.

---

Aragorn courait parmi les ruines d’Amon Hen pour reculer devant les Huruk-Hais qui se faisaient de plus en plus nombreux. L’arc de Legolas décochait ses flèches à un rythme infernal, tandis que la hache de Gimli découpait menu l’ennemi autour du nain.
Il y avait un certain temps que Frodon les avait quitté pour rejoindre la rive de l’Anduin… Le hobbit courait, courait à en perdre haleine. En chemin, il avait vu Merry et Pippin, ses deux cousins, qui avaient décidé de créer une diversion pour attirer les Orques loin du Porteur, pour qu’il puisse s’enfuir.
Et Frodon avait reprit sa course, dévalant la colline à toute vitesse, ne se souciant même pas de ce qui l’entourait. Il aurait peut-être du, car une lumière s’alluma sur une vielle construction de pierres abandonnée sur l’Amon Hen. Une petite loupiote rouge.
Certains Orques qui n’avaient pas suivit Merry et Pippin tentaient de suivre la trace de Frodon, ils passèrent eux aussi devant la construction circulaire, qui avait maintenant six lumières sur son pourtour. Quelques créatures s’arrêtèrent, intriguées par ces choses, et s’approchèrent de l’anneau, jusqu'à se retrouver en son centre. Soudain, une septième lumière s’alluma, et des jets bleus jaillirent de chacune des lanternes, pour se rejoindre et former une grande flaque.
Les Huruks debouts au milieu du cercle disparurent instantanément. Les autres monstres prostrés derrière reculèrent de surprise, poussant des grognements effarés. Quelle était cette magie qui produisait de la lumière sur une surface verticale ? Jamais les Orques n’avait vue telle chose se produire dans le domaine de Samroumane. Ils en avaient totalement oublié la capture du Hobbit. Les Huruks ne connaissaient pas la peur. Mais l’étonnement pouvait parfois les surprendre. Alors qu’un des Huruks-Hai poussa un grognement sourd, une personne franchit la barrière d’eau… puis une deuxième et ce fut bientôt cinq humains qui se tenaient devant les créations du magicien blanc. Surpris par leur aspect, les humains se figèrent avec ce qui semblaient être des armes pointés sur eux. Les Huruks chargèrent alors en une seule masse. Saroumane leur avait ordonné de ramener les semi-hommes vivants… Et de tuer les autres.
Un des humains leva les sourcils sous la surprise, mais avant que l’arme du premier Huruk n’ait pu l’atteindre, une décharge retentit, et le monstre tomba à terre, un trou au milieu de la tête.La réaction des autres créatures ne se fit pas attendre, ils accélérent en direction des humains qui se tenaient toujours devant le cercle, mais dont la flaque bleue avait disparut.
L’homme releva son arme, et d’autres décharges retentirent, ses compagnons en faisaient autant.

-Carter !!! Réactivez la porte ! On s’en va !

La jeune femme dénommée Carter se décala vers sa droite pour aller vers un engin aux formes arrondies, recouvert de mousse, posé non loin de l’anneau. Elle abattit encore trois monstres, et baissa son arme, laissant toutes les autres créatures qui arrivaient en masse à la charge de ses amis.
Mais alors qu’elle allait poser les mains sur une touche de l’engin, un Huruk Hai arriva par derrière avec la ferme intention de lui planter son arme dans le dos. La jeune femme se retourna à temps, et se jeta sur le côté. L’arme de l’huruk vint se ficher en plein centre de l’engin, dans la sphère rouge. L’appareil émit un sournois grésillement, et plusieurs éclairs en jaillirent, remontant le long du bout de ferraille de l’huruk, jusqu'à son possesseur, lui valant ainsi, la plus belle électrocution de toute la Terre du milieu.

Carter se releva, l’air un peu bête, mais repartit vite à l’assaut avec son arme, puis elle se tourna vers son coéquipier.

-Le DHD est mort ! Il faut filer d’ici !!

L’homme prit un air contrarié, puis tout en continuant de tirer, ordonna à ses troupes de se disperser. Chacun partit de son côté.

Plus loin Aragorn, Legolas et Gimli achevaient les quelques ennemis qui restaient en haut de l’Amon Hen, et se préparaient à se mettre en chasse contre ceux qui étaient partis vers l’Anduin, quand une détonation avait rugit dans les bois. L’elfe s’était arrêté quelques secondes, se demandant quel pouvait être cet étrange bruit. Mais il eu pas le temps de trouver une réponse à sa question : le cor du Gondor résonnait. Boromir appelait à l’aide.
Aragorn partit le premier et dévala les flans de la colline. La jeune femme nommée Carter ne passait pas loin. Elle aperçu l’homme, mais elle eu beau crier, il n’entendit pas. Elle se lança à sa poursuite.
L’homme qui était passé par l’anneau lui aussi courait, dans le seul but d’échapper à ses agresseurs. Lui aussi avait entendu un cor, et lui aussi se dirigeait vers lui.

---

Boromir se battait comme un beau diable face à des ennemis bien trop nombreux pour lui. Son épée fusait, et il cherchait à faire reculer les monstres pour protéger Merry et Pippin. Abandonnant deux secondes le combat, il porta son cor à ses lèvres, et fit retentir l’appel du Gondor. Mais les monstres, eux, n’avaient pas de répit, et il du repartir à la charge. Au milieu de toutes ces créatures, il n’avait pas vu l’huruk hai armé d’un arc, il ne l’avait pas vu préparer une flèche empennée de noir, et il ne l’avait pas vu tirer le mince bâton de bois. Tout ce qu’il comprit, c’est que quelque chose était venu se ficher dans son épaule gauche, déchirant le vêtement et la chair, répandant douleur dans son bras.
Sous le coup, il failli tomber. Puis il concentra son esprit sur la plaie pour en anhiler la douleur, et après avoir soufflé quelques instants, il reprit le combat. Mais trop tard, les deux Hobbits s’étaient fait enlevés.
Etouffant un cri de rage, Boromir se jura de tuer le plus d’orques et d’huruk Hai avant sa mort. Ces maudites bestioles n’allaient pas s’en sortir comme ça. Il souhaitait juste qu’Aragorn partent à la recherche des semi hommes, une fois qu’il aurait rendu l’âme. Car il était sûr de ne pas s’en sortir. L’impression que son destin était scellé flottait dans son esprit…. Cela lui paraîtrait juste punition après avoir voulu prendre l’anneau à Frodon. Ce serait un beau repentir.
Malgré la flèche dans son épaule, L’homme continuait de faire virevolter son épée, et il oublia l’Huruk hai qui lui avait tiré dessus. Le monstre d’ailleurs préparait une deuxième fois son arme, afin de terrasser l’humain qui était plus résistant que prévu.
Le serviteur de Sarumane se concentra sur sa cible, et oublia trois secondes le monde qui l’entourait. Fatale erreur. Une rafale de détonations retentit, et il s’écroula à terre. Mort.
Boromir se retourna vers le bruit, surpris. Un homme habillé de vert se tenait là, et manipulait un engin noir entre ses mains. Donnant une claque de la main droite sur la chose pour encliqueter un rectangle noir dedans, l’homme releva ce qui semblait lui servir d’arme, et la braqua sur les Huruk. D’autres détonations rapprochées éclatèrent, et l’homme du Gondor vit ses ennemis tomber les uns après les autres, se vidant de leur sang.
Sans comprendre, Boromir contempla tous les monstres morts, puis la douleur de son épaule revînt, et il s’écroula de fatigue sur le sol mousseux de la colline d’Amon Hen.
L’homme en vert courut et s’agenouilla à ses côtés. Boromir ouvrit les yeux, et essaya de parler, mais l’homme l’en empêcha.

-Surtout ne bougez pas. Vous aggraveriez votre blessure.

Il examina rapidement la plaie, et en conclu qu’il lui faudrait quelqu’un de plus expérimenté en la matière. Il tourna la tête à sa gauche. D’autres rafales résonnaient encore, mais elles se faisaient plus espacées. L’homme porta sa main à son torse, sur une petite poche.

-Sg1 ! Au rapport !

Aucune réponse ne lui vînt. Mais quelques instants après, il entendit des pas derrière lui. Deux personnes approchaient à grande vitesse. Il se retourna vivement. Aragorn courait vers lui, épée en main. L’autre humain derrière n’était autre que Carter, qui essayait visiblement de rattraper l’homme.
Lorsque qu’Aragorn arriva dans la clairière, il ne vit d’abord que Boromir, allongé à terre, puis cet homme à côté de lui, cet homme qui le regardait. Etait-ce de sa faute si Boromir était tombé ?
Le colonel ouvrit la bouche, il allait lui parler.

-Carter !

Ce n’était pas à lui qu’il s’adressait, mais à quelqu’un derrière… Aragorn se retourna vivement, en brandissant son épée. La pointe de son arme s’arrêta juste sous la gorge d’une jeune femme blonde, qui avait freiné subitement pour ne pas se prendre la lame dans la carotide.
Elle tînt ses deux mains légèrement en hauteur, pour montrer à Aragorn qu’elle n’avait pas d’intentions hostiles. Mais Grand Pas ne baissait pas la garde.

-Posez cette arme !! Rugit le colonel. On ne vous veut aucun mal.

Aragorn resta méfiant, jusqu'à ce que Legolas et Gimli arrivent eux aussi, suivi d’un homme noir. Un symbole doré ornait son front.
Gimli parla de son habituel ton bourru.

-Eh ! Je ne sais pas qui sont ces étrangers, mais leurs armes sont rudement efficaces !

L’elfe lança un regard calme à Grand Pas. Les étrangers n’avaient pas d’hostiles intentions. Il baissa alors son arme, et Carter pu s’approcher de Boromir.

-Est-il mort ? demanda Gimli, toujours avec autant de tact.
-Non. Seulement blessé.

Carter fit légèrement courir ses doigts autour de la plaie.

-Bon, alors….. Vous en pensez quoi ? demanda O’Neill.
-Ce n’est pas trop grave. Je ne peut pas enlever la flèche, mais il faudrait au moins casser le bois qui dépasse, et désinfecter autour…

La voix d’Aragorn la coupa.

-Qui êtes vous ?
-Oh ! Suis-je bête. On en oublie les bonnes manières. Colonel Jack O’Neill de l’US Air Force. La madame qui tente de soigner votre ami, c’est le Major Samantha Carter. Le grand qui ne parle pas, Teal’c, et….

Il fit un tour sur lui-même, puis portât encore sa main à sa poche.

-Daniel, Jonas. Vous êtes où ?
-Ben… là.-Vous ne m’aidez pas.
-Vous pensez peut être qu’il y a des panneaux directionnels ? On est sous des ruines. Et croyez moi, dans le coin, il n’y a que ça.-Vous avez bonne ouïe Daniel ?
-Pourquoi ?

Le colonel leva son arme, et tira une fois. Sous le coup, Legolas, Gimli et Aragon firent une grimace et courbèrent légèrement le dos.

-Allez dans la direction du tir. Vous finirez bien par nous rencontrer.


Dernière édition par le Mar 19 Juil 2005 - 20:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: planète de légende[T]   planète de légende[T] EmptyMar 19 Juil 2005 - 20:49

O’Neill se retourna vers les autres avec un sourire bête. Carter était toujours penchée sur Boromir. Celui-ci remua un peu, et tenta de parler.

-Aragorn…

Le concerné s’approcha de son compagnon.

-Les petits…. Ils ont enlevé les petits. Je n’ai rien pu faire. J’ai échoué Aragorn.
-Non ! répliqua Grands Pas. Vous avez vaincu. Peu d’hommes ont remporté pareille victoire. Nombre des nos ennemis sont tombés par votre épée. Ne dîtes pas cela.

Carter s’était relevée pour laisser un peu d’intimité au deux hommes. Boromir reprit son souffle et parla à voix plus basse.

-Vous ne comprenez pas. J’ai essayé…. J’ai essayé de le lui prendre…. L’anneau ! Je regrette et je paye.

Boromir grimaça de douleur. La flèche était profondément enfoncée dans sa chair. Mais il lui semblait qu’elle répandait un autre mal en lui. Son épaule était complètement tétanisée.
Sa respiration était saccadée. Carter revînt vers lui.

-Ce n’est pas normal. Une simple flèche ne pourrait pas le rendre malade.
-Les pointes des orques sont parfois empoisonnées, commenta Legolas

La jeune femme tourna la tête vers ses compagnons.

-Alors il faut le soigner le plus rapidement possible. Mais on ne peut pas le ramener sur terre. La porte des étoiles est inutilisable.

Entre temps, Jonas et Daniel les avaient rejoints. Teal’c les mit rapidement au courant de la situation.
O’Neill reprit la parole.

-Il faudrait nous mener à quelque chose qui vous sert de chef, ou de dirigeant.

Aragorn le regarda sans comprendre. Qui étaient ces étrangers ? Un dirigeant ! Ils en avaient de bonnes. D’autres préoccupations habitaient son esprit. Boromir…. Merry et Pippin emmenés par les Orques…. Et le porteur. Frodon devait être loin à l’heure qu’il était.

-Legolas ! Pouvez vous user de votre magie Elfique pour ralentir le poison ? Les Orques ne fabriquent pas des mélanges trop compliqués à contrer…

Ravi d’avoir eu une réponse à sa question, O’Neill se retourna en bougonnant. Daniel se dit qu’il était peut-être temps qu’il prenne les relations diplomatiques en main.

-Ecoutez. Nous ne sommes pas d’ici. Nous sommes arrivés par un engin appelé « porte des étoiles »…

Il s’arrêta trois secondes pour observer leur réaction. Aragorn affichait un air sceptique. Legolas était insondable et Gimli ne les croyait tout simplement pas.

-… de toute évidence, Vous n’êtes pas au courant de son existence. Vous n’aviez jamais remarqué un gigantesque anneau de pierre au milieu des ruines là bas ?
-Il y a longtemps que personne ne parcourt l’Amon Hen. Lui répondit Aragorn.

Le silence s’installa.

Aragorn revînt vers Legolas, et lui parla en Elfique.

-Que faisons nous ? On ne peut abandonner Merry et Pippin.
-Si on se dépêche, on pourra rattraper Frodon.
-Sa quête ne nous concerne plus. Il lui faut voyager seul.

Il marqua une pause et jeta un discret coup d’œil vers les étrangers.

-Je n’ai confiance en eux. Ils pourraient être des espions.
-Je ne crois pas. Sinon, pourquoi nous auraient-t-il aidé ? De plus, ils semblent vraiment venir de loin.

Aragorn réfléchit quelques instants.

-Ils ne doivent rien savoir au sujet de l’anneau. Pas un mot.

Estel de releva et se tourna vers Sg1.

-Il faudrait transporter cet homme en Lothlorien. En remontant l’Anduin, nous y arriverions rapidement. Mais d’un autre côté, nous avons deux Hobbits à secourir. Il est hors de question de les abandonner.

Daniel se retourna vers Jack.

-On pourrait peut-être les aider ?
-Stop, Daniel, Stop ! On ne sait même pas ce qui se passe ici.

Il fit face à Aragorn.

-D’ailleurs, qu’est ce qui se passe ici ?

Le rôdeur réfléchit aux mots qu’il allait employer. Il allait leur donner une information… pas très informante.

-Nous sommes chargés d’éviter une guerre. Il nous faut détruire notre ennemi avant qu’il nous frappe.

Grand Pas n’avait pas menti… il avait juste arrangé la réalité. Mais impossible de dire la vérité à ces étrangers. Trop de choses en dépendaient.

-Ca me paraît juste. Conclua Jackson.
-Daniel ! Je dois vous rappeler qu’en aucun cas, on ne se mêle des affaires intérieures d’une planète. S’ils se font la guerre, on est pas censé prendre parti. Vous vous rappelez ce qui c’est passé la dernière fois ?

Ce fut Legolas qui réagit le premier.

-Prendre parti ? De quel parti parlez vous ? Êtes vous pour les peuples libres de la Terre du Milieu, ou des espions du Demi dieu Sauron ? À moins que vous soyez ignorants à ce point. Ne savez vous rien de l’histoire du peuple des Hommes ! Vous êtes pourtant des Hommes !

Sg1 se concerta du regard. A L’évidence, ils n’avaient pas accepté qu’ils puissent venir d’un autre monde.

-On va quand même pas vous le répéter cinquante fois ! On vient d’une autre planète ! Un autre monde, très très loin d’ici ! Insista O’Neill.
-Messieurs, ce n’est pas la peine de s’énerver... Les coupa Jonas. Nos accoutrements devraient pourtant suffire à vous convaincre. Nos armes sont différentes, nos habits également. Nous luttons contre des « faux dieux » appelés Goa’ulds. Nous nous battons contre tous ce qui réduit les populations en esclavage…
-C’est bon Jonas. Vous n’allez pas leur faire les rapports de mission aussi !

Le Kelownian se tut, et attendit la réaction de Jack.

-Bon, d’accord. On les aide. Mais il faut que quelqu’un ne reste pas loin de la porte. Hammond nous contactera dans trois jours. Carter, en tant que seul officier qualifié, vous resterez avec Jonas et vous vous chargerez de ramener cet homme à Loth-chose. Daniel, Teal’c et moi, on partira à la recherche des deux kidnappés. Vu ?
-A vos ordres mon colonel.

Les trois derniers membres de la communauté encore en état se concertèrent du regard. Une aide n’était pas de refus.
Aragorn les mena à Pareth Galen où ils avaient établi leur campement. Carter prendrait une barque pour remonter L’Anduin jusqu'à la forêt de la Dame Galadriel. Lui-même partirait à pied avec les étrangers suivre les traces de la bande d’orques. Il fallait se hâter, avant qu’ils n’aient prit trop de distance sur eux.
Ils voyageraient léger, abandonnant de ce fait, tout équipement superflu. Seulement des armes, et de l’eau.

O’Neill donna ses dernières directives à Carter.

-Quand Hammond nous recontactera, dîtes lui qu’il nous faudra un générateur à Naquadah pour rentrer, et que je suis parti avec deux de nos coéquipier en mission de sauvetage en vue de futures relations diplomatiques.

La jeune femme ne put s’empêcher de sourire.

-Vous lui donnerez nos positions. Contact radio toutes les six heures pour faire le point.
-Bien mon colonel.
-Bon canoë, Major.
-Merci.

Ce fut au tour d’Aragorn de lui donner quelques conseils.

-Les rives sont maintenant dégagées des Huruks-Haï. Mais il n’est pas prudent de s’y arrêter. Aussi, ramez le plus vite possible vers le nord. Vous apercevrez un bras de rivière donnant sur l’ouest. Remontez le, et les construction elfiques finiront par apparaître. Dîtes que vous venez de la part de Grand pas et vous serez bien accueillits.

Carter acquiesa d’un mouvement de tête. Jonas venait d’installer Boromir à bord avec l’aide de Legolas. Ils avaient ajouté quelques provisions, ainsi qu’une deuxième rame.

-Il faut y aller Major.
-J’arrive Jonas.

Elle monta dans le canot, et laissa son coéquipier pousser l’embarcation dans l’eau, puis il prit place à l’arrière, et ils commencèrent à ramer dans le sens inverse du courant. Jack les regarda partir, puis se retrouna vers les autres. Aaragorn venait de ranger un couteau dans l’étui à sa hanche.

-Etes vous sûrs de vouloir venir avec nous ? leur demanda-t-il alors qu’il remmettait des flèches dans son carquois.
-C’est ça où rester là à s’ennuyer. Et je sais que Daniel aime jouer les héros. Il n’aurait pas supporté d’être resté sans rien faire. Bien que je sois sûr qu’il ne sait pas exactement de quoi il retourne…. Ajouta le colonel en lançant un regard suspicieux à l’archéologue.
-Je vous expliquerai toute en route, fit Aragorn en commençant à gravir la colline pour se mettre en chasse.

Il fut suivit par tous les autres. La traque commençait.
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MessageSujet: Re: planète de légende[T]   planète de légende[T] EmptyMar 19 Juil 2005 - 20:51

***

Seconde : traque jusqu’au Rohan.

***

Depuis trois jours, Grand Pas menait la troupe à bonne allure. Il avait parcouru la forêt de l’Amon Hen tels des cerfs virevoltant à travers les arbres. Puis ils avaient abandonné les bois pour parcourir de longues pentes, derniers territoires avant les plaines du Rohan.
Ils ne s’accordaient que peu de repos, au grand desespoir de Daniel qui essayait d’en savoir plus sur le peuple de cette planète.
Enfin, à l’heure silencieuse et froide qui précédait l’aube du quatrième jour, ils purent dormir un peu plus longtemps. Chacun déplia son paquetage et s’installa pour un moment de répit.
Aragorn, fumant une bonne herbe de la comté, considera sa troupe hétéroclite.
Un Elfe des royaumes Sylvestres du Nord.
Un Nain du peuple de Durïn.
Trois hommes venant d’un endroit inconnu : le Colonel O’Neill étant leur chef, Daniel Jackson leur historien, Teal’c, le plus etrange, leur guerrier.
Le regard du Rôdeur s’attrada sur les trois Terriens. Ils n’avait toujours pas eu l’occasion de discuter su leurs origines. Il avait cru au début, qu’ils étaient des espions du Magicien Blanc, mais ces étrangers les avaient aidé sans rien demander en retour, se contentant d’apporter des armes efficaces. Un avantage tactique considérable. Aragorn espérait juste ne pas se tromper dans son jugement, car s’il s’avérait que les hommes étaient pour le compte de l’ennemi, ils pourraient mourir en moins de temps qu’il fallait à la fumée pour s’envoler.
Il inspira une bouffée de sa pipe. Legolas surveillait les alentours. Gimli était tombé comme une masse et les ronflements menaçaient de sortir. L’historien dormait paisiblement. Il avait enlevé les cercles de verres qu’il gardait sur le nez jusque là. Teal’c ne dormait pas, lui aussi semblait regarder des alentours, à la manière de Legolas. Et O’Neill… le regardait lui. Leur regard se croisèrent.

-On est si surprenants à voir ?
-Je m’interroge.. D’où venez vous réellement ?
-De loin.
-Plus loin de Valinor ? Personne ne peut venir de plus loin.
-Oh, si…. Je vous assure.

Le rôdeur marqua une pause. Attandant qu’O’Neill reprenne ses phrases. Mais elles ne vînrent pas. Il relança la conversation.

-Alors ?
-Il y a une construction dans les ruines où nous nous sommes rencontrés. Un gigantesque anneau de pierre qui permet de voyager entre plusieurs étoiles.
-Vous viendirez des étoiles ?
-D’une autre planète oui.

La voix qui venait de prononçer cette phrase n’était pas celle du colonel O’Neill, mais celle de Daniel. La conversation des deux autres hommes l’avait réveillé.

-Désolé de vous avoir sortit du sommeil Daniel Jackson.
-Ne m’appelez pas comme ça… chuchota-il…. On dirait Teal’c.
-Comment dois-je vous nommer ?
-Daniel, ça suffira.

L’archéologue se retourna sur son lit d’herbe, pour faire face à Aragorn.

-comment se nomme cet endroit ?
-La Terre du Milieu.

Aragorn leva la tête vers le ciel. Les étoiles disparaîssaient peut à peu. Le ciel devenait mauve à l’est. Dans deux heures, ils repartiraient.

-j’ai du mal à croire que des hommes puissent venir de là haut.
-On se l’est tous dit avant que la porte des étoiles fut découverte sur Terre... comenta Daniel.
-Votre monde est-il si différent du notre ?
-Plus évolué technologiquement. Votre développement est pareil à celui que nous connaissions il y a à peu près un millénaire.

Daniel poussa un baillement. Il n’était pas habitué aux longues courses. O’Neill avait un entrainement militaire, et il avait mieux supporté le trajet, mais il s’était tout de même endormi, sa casquette lui tombant sur le nez. Teal’c était le seul qui ne tombait pas de sommeil. Le Tretonine augmentant ses capacités. L’archéologue rgarda la créature sui se tenait debout comme le jaffa. Un elfe.
Il sourit en pensant au fait que sur Terre, ce n’était que des légendes. À croire que tous ces mythes étaient alors vrais, comme les dieux égyptiens. Alors que tout le monde pensait que les dieux n’existaient pas, ils étaient bel et bien réels, mais avaient fuit la terre depuis longtemps. Peut-être les elfes avaient-ils eux aussi vécu sur Terre pour faire tous ces contes ?
Legolas tourna la tête vers Daniel quand il se sentit observé. Il lui lança un petit regard interrogateur. Le Terrien lui répondit par un sourire et se roula en boule dans l’herbe. Il s’endormi peu de temps plus tard.
Non loin d’eux, Gimli faisait profiter la plaine de ses ronflements sonnores. Aragorn avait étein sa pipe et se préparait lui aussi à sommeiller un peu. L’elfe se retrouvait donc avec cette étrange créature qui ne semblait pas fatiguée.
D’un accord silencieux, ils monteraient la garde pendant ces deux heures.

***

Carter ne comptait plus les coups de rames qu’elle avait donné dans l’eau. Remonter le courant s’était avéré plus ardu qu’ils ne le pensaient.
Mais le paysage autour était si magnifique qu’elle aurait put oublier sa mission. Ces gorges avaient quelques chose de mystérieux…. Beau et effrayant à la fois.
Ils s’étaient très peu arrêtés, suivant les conseils d’Aragorn… Boromir restait éveillé du mieux qu’il pouvait. Jonas derrière lui le faisait palabrer de temps à autre. Ils cherchèrent aisin à en apprendre un peu plus l’un sur l’autre. Le jeune essayait de ne pas trop emmêler le Godoréen avec des explication trop ardues sur l’univers et les merveilles reliées entre elles par la porte des étoiles.
Boromir avait du mal à croire tout ce qu’il entendait. Il se sentait passablement dépassé par les évenements. D’abord, la mort à laquelle il avait réchappé. Juste avant que O’Neill débarque miraculeseument, il était persuadé d’y rester. Par la suite, ces gens si différents de lui, totalements étrangers, avec un mode de vie plus qu’éloigné de lui. Samantha Carter lui avait répété qu’ils venaient d’une autre planète, qu’ils venaient des étoiles. Mais cette théorie était trop absurde pour un esprit aussi terre à terre que le sien. Peut-être son frêre aurait-il été interrêssé par ce fabulations…. Mais pour Boromir, cela paraîssait inconcevable.
Ses réflexions furent coupées par la douleur dans son épaule. Elle se faisait plus insistante. Malgré les incantations elfiques de Legolas, et le « médicament » que lui avait donné cette femme blonde devant elle, il savait que s’ils n’arrivaient pas rapidement en Lothlorien, il allait effectivement passer l’arme à gauche, comme il aurait du le faire sur la colline de l’Amon Hen. Il n’avait gagné qu’un sursis.
Il était épuisé, aussi, suivant les conseils de ses deux nurses, il décida de fermer les yeux et de dormir un peu, espérant ne pas mourir dans son sommeil.
Lorsqu’il ouvrit les yeux, il n’était plus dans la barque. Se demandant un moment si’l était finalement passé dans l’autre monde, il chercha à rassembler ses esprits. Le paysage autour lui redevînt clair. Il vit Samantha à sa gauche, en train de parler au petit rectangle accroché à sa poitrine. La chose lui répondait d’un voix nazillarde…. Voix qui ressemblait à celle du colonel O’Neill.

-c’est une radio. Ça permet de communiquer à distance.

Jonas avait éclairé sa lanterne sans qu’il le demande. C’est vrai qu’il regardait ces « radio » avec une curiosité énorme. Le jeune homme avait du le remarquer. Ce dernier était lui, assis à sa droite, et machonnait un bout de pain d’un air distrait.
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MessageSujet: Re: planète de légende[T]   planète de légende[T] EmptyMar 19 Juil 2005 - 20:54

-dans combien de temps arriverons-nous ? demanda difficilement le Gondoréen
-j’en sais fichtrement rien ! on a pas encore vu de bras de rivière remontant vers l’ouest… je suis pas de la région vous savez.

L’aube n’allait pas tarder à se lever. Carter avait des nouvelles de l’autre groupe. Il venaient d’arriver sur les plaines du Rohan et prenaîent quelques heures de repos. Alors que eux allaient repartir sur le fleuve Anduin pour le remonter encore et encore. Le retour semblait dix fois plus long que l’aller, mais c’était un tantinet compréhensible quand on savait qu’il fallait remonter le fleuve, et non le déscendre. Mais s’il calculait bien, ils ne devraient tout de même pas tarder à aperçevoir le bras de Rivière qui remontait vers le domaine de la magnifique Dame Galadriel.
Le affaires qui avaient été sorties du cannot furent vite remises dedans. Et Boromir fut tranporté loin du feu qu’on avait allumé pour le bivouac, pour être lui aussi mit dans la barque.
Le remous monotone des vaguelettes se fit de nouveau entendre le long de l’embarquation. Les deux terriens ramèrent encore et encore, et ce pendant près d’un jour et demi, avant d’aperçevoir une trouée sur le rive ouest du fleuve. Ils en poussèrent tout trois un soupir de contentement, et les forces qui menaçaient de les abandonner se firent soudaint plus présentes. Armés d’un nouveau courage, il voguèrent vers l’affluent.
L’eau y était un peu plus calme. Il y avait moins de courant. Pourant, la difficultée pour le remonter n’était pas amoindrie. La fatigue pesait sur leurs membres. Cette dernière remontée dura encore une matinée, avant qu’il ne puissent percevoir les premières constructions elfiques au loin. Mais il leur fallait encore continuer pour atteindre le havre de Caras Galadhron, la cité Elfique de Lothlorien. Les prémices des bois d’or étaient enchanteurs, et les yeux ne manquèrent pas de s’émerveiller. De verts chemins s’apercevaient depuis la rivière, bordés de grands arbres, des Mallornes, leur avait appris Boromir. C’était comme si ces arbres chantaient une douce chanson dans l’air. Ici, tout était d’une pureté et d’un calme à couper le souffle. Rein à voir avec les brutes ruines de l’Amon Hen.
Ils poursuivèrent leur remontée du cours d’argent pour arriver à un appontement blanc en pierre et en bois. Nombreuses barques et autres embarcations y étaient ammarées, resplendissant d’or, et d’argent.
Quelques elfes s’activaient sur le quai, ayant apreçu les voyageurs depuis bien longtemps déjà. Ils les regardaient s’approcher, le calme de leur visage à peine troublé par la curiosité.
Carter donna un dernier coup de pagaie avec un soulagement apparent, et laissa le petit bateau venir se loger entre deux énormes racines d’un arbre, qui servaient de point d’attache. Elle sortit la première, saisissant la corde que lui tendait son partenaire pour la nouer autour de la racine.

Le dernier anneau s’est enfin éveillé.

Elle redressa la tête, surpise par la légère voix qu’elle avait perçu. Jonas lui lança un regard interrogateur. Elle chassa tous les doutes d’un simple mouvement de tête et finit d’accomplir sa tâche. Le kelownian jeta sac et vivres sur la berge, afin de pouvoir prendre à pleine mains les poignée du bracard qui soutenait Boromir. Puis le Godoréen fut sortit de la barque et posé sur le quai à son tour.
Jonas regarda tout autour de lui. Quelques mumures s’élevaient ça et là, dans une langue qui lui était inconnue.

-Bon, Aragorn à dit qu’on devait de présenter de la part de Grand-pas.
-Grand pas ?

Une douce voix s’était manifestée derrière eux, les poussant à se retourner. Un elfe d’une haute stature, tout de gris vêtu les observait. De multiples tresses ornaient sa chevelure d’argent.

-Êtes vous des amis de Grand-pas ?

Il parlait lentement, comme si cette langue n’était pas sa langue maternelle.

-Nous connaissont Aragorn. Il nous envoie ici pour soigné un de ses amis blessé, répondit Carter en désignant Boromir sur sa civière.

L’elfe agrandit un peu les yeux de surprise, et avança vers l’homme.

-Boromir du Gondor… mais que c’est il passé ?
-Ils se sont fait attaquer sur l’Amon Hen. Mon supérieur lui à sauvé la vie en tirant sur le monstre. Puis Aragorn nous à dit de venir ici, en se présentant comme « venant de la part de Grand-pas ».
-Grand pas, est l’un des nombreux surnoms d’Aragorn. Il est bien connu de notre Dame. Je vais vous menez à Caras Galadhron.

L’efle héla deux de ses compagnions pour porter la civière, puis il se retourna vers les deux étranges êtres qu’il venait de rencontrer.

-Comment vous nommez vous ?
-Samantha Carter, et Jonas Quinn.
-Et de quelle région êtes vous ? du nord ?
-En réalité, c’est beaucoup plus compliqué que ça. Nous venons d’un autre monde. De la Terre.

Haldir ne parut pas saisir le sens de ces phrases. Aussi n’insita-t-il pas et tout deux furent menés à travers les bois d’Or afain de rencontrer la Dame de ces lieux.

***
les deux heures qu’ils avaient dormi les avaient à pein reposés. La course avait reprit, Aragorn en tête, suivit de peu par les deux plus résistants, Legolas et Teal’c. Jack se tenait en bout de file, tentant de motiver Daniel et Gimli qui râlaient constament sur cette expedition totalement inhumaine. Les pauses étaient très rares, et ils avanançaient sous un ciel partagé entre le soleil et les nuages passagers.
Les traces de leurs ennemis les menaient vers le sud ouest, des traces sand interruption, ni tournant. La horde filait bon train, droit sur L’isengard. À meusure qu’ils progressaient dans le vatse royaume du Rohan, Aragorn s’étonnait de voir les plaines vides, qu’il avait autrefois connues pleines de bétail et de chevaux. Mais aujourd’hui, ces lieux étaient déserts, et le silence ne reflétait pas la tranquilité et la paix.
Ils avaient parcouru douze lieues depuis leur entrée en Rohan, et le mur de l’Emyn Muil se perdait dans les ombres de l’est

-les orques courent comme poursuivits par les fouets de Sauron. Nous devons nous hâter.

Les rares paroles de Legolas disaient vrai. S’ils ne se dépéchaient pas, il risquait d’être trop tard pour les Hobbits.

-Mais comment fait-il pour voir tout ça ? souffla Daniel tout en courant.
-Quand on est rôdeur il faut savoir suivre une piste aussi bien qu’un animal lui-même. Regardez par terre. L’herbe est courte, mais elle est foulée. Ils sont passés par là.
-Je suis plus branché chasse que pêche… Donc j’y voit strictement rien ! Répliqua Jack en regardant le sol avec de grands yeux.
-contentez vous de nous suivre.
Aragorn ne s’était même pas arrêté pour lancer ses brèves explications. Son étrange compagnie la suivait dans le froid de la fin de l’hiver.
Quelques miles de plus furent parcourus, puis ils décidèrent d’une nouvelle pause pour se nourrir un peu, et aussi dormir.
Aragorn, Legolas et Gimli n’avaient que peu de vivres sur eux, préférant voyager léger pour rattraper les Huruks-Hai. Mais les Terriens les faisaient profiter de leur nourriteure peu encombrante. Un court repas fut alors prit. Un fois qu’il fut achevé, Daniel se laissa tomber comme une masse sur l’herbe humide, ignorant le givre qui s’y formait. Il tenta de rassembler ses idées.

-quel jour on est ?
-le 29 février. Répondirent les voix d’Aragorn et de Jack en même temps.

Le colonel regarda Estel d’un air incrédule.

-Votre calendrier est le même que le notre ?
-Que voulez vous dire ?
-Qu’il y a janvier, Février….
-Oui, et alors ?
-Avec les année bisextiles ?
-Pardon ?
-Tous les quatre ans, vous avez un 29 février ?
-Nous avons un 29 février tous les ans, et même un 30 février.
-Alors, il n’est pas tout à fait le même.

Cette remarque fit sourire Daniel.

-Il est quand même surprenant de voir que les civilisation on un dévellopement variable d’une planète à l’autre…. Et pourtant si semblables….

Puis l’Archéologue reprit sa réflxion originelle.

-29 février. Trois jours de poursuite donc.

Il y avait eu trois jours de poursuite. Hammond avait du les recontacter. Malheureusement, ils étaient hors de portée radio depuis plusieurs heures déjà. Carter devait donc mettre un plan en place pour réactiver la porte des étoiles depuis l’Amon Hen.
Il fallait aussi espérer qu’elle ait put sauver cet homme des griffes de la mort. Ces monstres d’Huruk Hai étaient vraiment sans pitié, et leurs armes, bien que rudimentaires, n’en était pas moins meurtrièrent. Dans quoi s’étaient ils embarqués ? peut-être auraient-il du rester neutres…

-Votre ami ne parle pas beaucoup… remarqua Gimli en désignat Teal’c.
-c’est pas dans sa nature d’être bavard. Il parle rarement pour rien dire.
-comme les elfes.

Legolas se retourna à ce mot, et lança un faux regard courrouçé au nain.

-mais c’est un exellent guerrier.
-comme les elfes.

Cette fois, c’était Aragorn. Et la redondance de la phrase arracha un sourire à tout le monde.

-Il n’a pas l’air de venir du même endroit que vous.
-Nous visitons de nombreuses planètes. Il a choisit de se battre contre ses faux dieux, pour libérer la population humaine esclave dans toute la galaxie.
-il y a des esclaves ?
-oui, et vous semblez avoir été épargnés. J’en ignore la raison. Tous les être humains sont sensé venir de la Terre, sans vouloir jouer les nombrilistes. Et les Goa’uld les ont amenés sur leur planètes pour en faire leur esclave. La question est donc, pourquoi n’y a-til aucun Goa’uld sur cette planète ? pourquoi ignorez vous tout de la porte des étoiles ?
-Ce n’est pas la première planète où on rencontre ça, Daniel Jackson.
-Ils n’avaient pas un tel retard technologique.

***

Si le port était d’un beauté époustoufflante, la forêt éblouissait encore plus par sa splendeur. Les arbres semblaient chuchoter de douces paroles sur leur chemin. Les elfes autour d’eux ne marchaient pas mais glissaient sur le sol. Tout était silencieux et légèrement bruyant em même temps. C’était magique.
Aucun mot n’était échangé sur le trajet. Les deux terriens étaient trop émerveillés par l’environnement pour pouvoir le gacher par des paroles, même si un flot de question leur traversait l’esprit.
Cette planète était de loin bien différente des autres mondes visités, et ses habitants encore plus surprenants.
Tout ici refletait le calme et la plenitude, faisant oublier au terriens l’objectif premier de leurs mission : trouver de quoi s’armer pour défendre la planète.

Ils perdirenet vite la notion du temps sur le trajet, ainsi que celle de la distance. Mais ils finirent par arriver dans un coin plus sombre des bois, mais pourant illuminé de millers de lampions qui diffusaient une lueur éthérée. Les constructions s’enroulaient autour des grands arbres blancs, logant ainsi leur occupants en hauteur.

Sam s’arrêta quelques instants devant la gigantesque construction qui était au centre de tout. On leur annoça que c’était la maison royale, où vivaient les maîtres de ces lieux. Bouche ouverte, elle ne put sortir aucun mot devant la splendeur de la demeure. Mais le grésillement de sa radio la ramena bien vite à la réalité.

-colonel O’Neill. Ici Hammond ! répondez !
elle porta sa main à sa poitrine et entreprit de répondre.

-Samantha Carter au rapport. Le colonel O’Neill est hors de porté radio mon général.
-quelle est votre situation ?
-le DHD a grillé et ils nous est impossible de revnenir sur terre sans un générateur à Naquadah. Toutefois, la situation de la planète étant assez préocupante, nous avons du venir en aide au peuples présents mon général.
-un Goa’uld ?
-on n’en sait encore rien, mais quelqu’un tente de les asservir. Nous avaons du nous éloigner de la porte pour soigner un autochtone bléssé. Nous nous trouvons à environ deux jours de barque, soit… un quarantaines de kilomêtres.


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hélas, c'est ici que ça s'est terminé, sur une panne d'inspiration ! à ceux qui veulent la quite, qu'ils la prenne !
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