Naissances multiples [E]

Edit modo (Syd en l'occurence) : J'avais dit que je crucifiais le premier qui ne venait pas me mettre ce fichu [E] en titre ! Diable, faut que je mette des pancartes partout pour qu'on comprenne ?!! lol


Auteur: Elisabeth
Genre : Guimauve, Shipp Shweir, un peu action...
résumer: Un enfant c'est bien! Deux, bonheur partager!! Cinq castastrophe en vue!!!
note de l'auteur: Voilà! Je me suis enfin lancer. J'espère que cela vous plaira.



Le soleil était levé depuis quelques heures, la cité était calme encore plongée dans un Le calme. Les rayons lumineux de l’astre jaune entraient dans la chambre. Il étendait sa douce chaleur sur le lit placer près de la fenêtre. Il venait inondé deux corps nus, enlacés. D’un point de vue extérieur, l’aménagement de la pièce laissait croire qu’une tornade était passé dans la nuit. Des vêtements, des feuilles étaient éparpillés un peu partout.
L’homme et la femme dormaient profondément, un sourire flottait sur leur visage serein.
Soudain, une voix sortant des haut-parleurs de la cité vint briser la quiétude de nos deux dormeurs.

« LE DOCTEUR WEIR EST ATTENDU EN SALLE DE REUNION »

L’intéressée et le jeune homme ouvrirent les yeux en grimaçant. Ils n’aimaient pas se faire réveiller de cette manière.
-Qu’est-ce qui passe ? demanda le jeune homme.
-Je ne sais pas John, répondit Elisabeth.
Cette dernière se releva doucement sur un coude. Son regard se posa sur la vue que l’on pouvait voir à travers la fenêtre et la lumière qui rentrait à flot dans la chambre. La jeune femme sursauta paniquer.
-Oh non, mince ! S’exclama la diplomate en se redressant précipitamment, quel heure-t-il ?
Le militaire tourna la tête vers le réveille et annonça :
-Il est 9h30 passé. Qu’est qu’il y a ?
-Oh mon dieu, j’ai oublié que j’avais un briefing se matin. Cherchant quelque chose du regard, elle finit par trouver se quel cherchait au pied de la table de chevet. Elle pris sa radio et l’alluma.

// Lieutenant Grodin, j’arrive dans quelques minutes//
// Bien madame, je vais prévenir l’équipe d’exploration. Terminer//

Liz sortit du lit et commença à récupérer ses affaires éparpillés sur le sol. Mais, l’homme sur le lit n’avait pas envi de la voir partir comme çà. Il se mit assis sur le lit et attrapa le bras de la jeune femme qui passait près de lui pour récupéré son t-shirt. Il la tira vers lui afin que cette dernière s’installa sur le bord du lit à côté de lui. Il la pris dans ses bras, l’embrassa tendrement et lui murmura à l’oreille.
-Bonjour ! Tu as bien dormis ?
-Bonjour ! répondit Liz un sourire sur les lèvres et le regard amusé. Oui, j’ai merveilleusement bien dormit, enfin pour le peux que j’ai réussi à dormir.
-Oh plein toi ! rigola John en la serrant un peu plus contre lui et en lui donnant un baiser dans le creux cou.
-John ! S’exclama-t-elle, je n’ai pas le temps. Je dois y aller j’ai une réunion et je suis déjà en retard.
-Je le sais mais je voudrais que tu reste avec moi, lui dit-il en l’embrassant une nouvelle fois.
-Moi aussi. Mais je ne peux pas, ils vont avoir des soupçons si je ne viens pas.
-Je comprends, abdiqua le militaire, mais il faudra pourtant leur dire un jour.
-Oui, mais cela peut attendre, un petit peu, je ne pense pas que cela soit le moment, expliqua la diplomate en lui rendant son baiser. Et pis, c’est un peu existant de devoir se cacher…

La jeune femme s’écarta des bras de son amant et se dirigea vers la porte de ses quartiers. L’homme était toujours dans le lit et la regardait se déplacer. Son regard était plein de tendresse, de joie et surtout d’amour. Elle sourit une dernière fois à celui-ci, ouvrit la porte et sortit rejoindre le centre de commandement de la cité.
John resta quant à lui plongé dans ses pensées. Il se remémorait la soirée d’hier soir et se qui avait suivi comme étant la plus belle nuit de sa vie.

« Flash back »

La suite comme promis.

« Flash back »
Son équipe et lui étaient parti en mission, il y a de cela une semaine, sur une planète du nom de P6X… Il ne savait plus. Il n’a jamais eu la mémoire des codes des planètes.

Le début avait pourtant bien commencé. Bon d’accord Rodney s’était plaint de la chaleur, du vent… au bout de seulement dix minutes mais à part ce petit détail tout avait apparu calme.
Une forêt entourait la porte des étoiles, elle s’étendait sur plusieurs kilomètres. Le malp n’avait repéré aucun signe de vie dans les alentours immédiats. C’est pourquoi leur petit groupe avait été envoyé par Elisabeth afin de découvrir si cette planète ferait un bon site Alfa et si cette planète était dangereuse.

Cela faisait maintenant presque deux heures qu’ils marchaient en direction du nord, quand ils étaient arrivés à l’orée du bois, dans une clairière. Ils s’étaient avancés prudemment : d’abord lui, puis Ronon, ensuite Mc Kay et Teyla qui avait fermé la marche. Ils étaient arrivés au milieu de la clairière lorsque soudain, ils avaient vu surgir un groupe d’autochtone hurlant des paroles incompréhensibles courrant vers eux en les menaçants d’arcs et de lances.
-Oh là ! Je croix que l’on n’est pas les bienvenus, s’était-il exclamé.
-Oui, ils ont plutôt l’air furax, avait rajouté le Satédien.
-Ils vont nous tuer, avait commencé à paniquer le scientifique. On va tous mourir ! Je ne veux pas mourir !
-Calmez-vous Rodney, avait alors ordonné John.
-Peut-être que l’on pourrait parler avec eu, histoire de les raisonner, proposa Teyla.
-Je ne suis pas sur que cela serai bien utile, avait contrecarré le militaire en faisant quelques pas en arrière. Ils ont plutôt l’air primitive et ils ne parlent pas la même langue que nous.
Teyla s’était avancée de quelques mètres et avait tenté de parler assez fort pour être entendu des indigènes:
-Nous ne vous voulons aucun mal. Nous sommes des explorateurs pacifiques…
Sa phrase avait été interrompue par le tir d’une flèche qui s’était s’encochée dans la terre à un mètre d’elle.
-Bon okay ! Avait finalement décidé John, changement de plan. On dégage !

Sans réfléchir ni une ni deux, ils étaient partis en courant dans le sens inverse afin de rejoindre Atlantis. De tout évidence cette planète était habitée et leur occupant n’était pas ravi de les voir fouler leur territoire. Notre petit groupe courait en prenant le même chemin que l’aller la différence près que là, ils étaient poursuivi et qu’une nuée de flèche et de lance leur frôlait la tête dans l’espoir de les arrêter.

Ils couraient à perdre haleine afin de sauver leur vie. Ils étaient maintenant à moins de 500 mètres de la porte. Leur respiration était rapide, ils sentaient la fatigue faire son effet sur leurs membres inférieurs ralentissant leur course, malgré cela il devait tenir, tenir car leur salut était à leur porter.
Lorsque brusquement, on entendit un cri de douleur suivi d’un corps qui tombe. Les explorateurs s’étaient retournés pour découvrir que le colonel Sheppard s’était étalé de tout son long derrière eux. On pouvait voir une flèche planter dans sa cuisse droite. Le sang commençait déjà a formé une petit flaque de couleur rouge qui se mélangeait à la terre
-Est-ce que ça va ? Avait demandé Ronon en revenant sur ses pas suivi des autres.
Le visage de John était pale. Il avait serré les dents, la douleur était difficile à supporter.
-Ca à l’air d’aller ? Avait ironisé John faiblement.
-Tenez bon, colonel Sheppard ! L’avait encouragé Teyla en s’agenouillant à côté de lui pour voir sa blessure. Nous allons vous aider à marcher.
-Qu’est que vous faite ? s’exclama-t-il. Ne restez pas là. Ils arrivent, ils sont justes derrière moi. Allez vous en !! Je vais trop vous ralentir.
-Non Sheppard ! On vous ramène ! Lui avais dit Rodney.
-Ne soyez pas idiot, sauvez vous ! S’était-t-il mis en colère. Traversez la porte et revenez avec une expédition de secours. Allez ne perdez pas de temps.
Sur ces dernières paroles il avait tenté de repoussé Teyla afin qu’elle obéisse à ses ordres.
On pouvait entendre au loin les cris et des menaces venant de sous les bois. Les propriétaires de tout se remue-ménage avançaient rapidement et n’allaient pas tarder à arriver. Les flèches et les lancer continuaient à tomber autour d’eux. Le terrain devenait vraiment dangereux, ils savaient qu’ils ne pouvaient pas rester là.
Teyla, le scientifique et le runner s’étaient relevés. Ils avaient une dernière fois encourager leur supérieur avant de repartir en courant vers la citée.

De son côté John avait essayé de se remettre sur le dos malgré le projectile encore dans sa cuisse. Il avait voulu faire face à ses ennemis. Là, allonger sur le ventre, ce n’était vraiment pas la meilleur position pour combattre. Mais, ses forces avaient diminué tandis que la douleur avait augmenté. Désormais, il ne sentait plus sa jambe, ça respiration était courte. Même si devant son équipe il avait voulu joué les forts, là il n’avait pas du tout envie de plaisanter. Il devait essayer de se retourner.
Dans une ultime tentative, il avait rassemblé un maximum de force, serrer les dents et avait tenté de pousser sur ses avants bras. Néanmoins cela ne lui servis à rien, il avait réussi qu’à s’épuiser encore plus. Maintenant, il pouvait voir des points noirs flotter devant ses yeux. Ses oreilles s’étaient bouché et les bruits de pas arrivant dans son dos lui parvenait difficilement jusqu’au cerveau. Il avait essayé de ne pas perdre connaissance mais sans réussite. Seul le souvenir d’une dizaine de scandale et de pied mat était resté ancré dans sa conscience après cet épisode.

voilà, voilà! J'espère que cela vous à plu. Lachez vos coms!

John n’écoutait déjà plus ce que disait le scientifique, son regard s’était posé sur Elisabeth qui se tenait un peu en retrait dans l’infirmerie. Elle avait le regard dans le vague. John pouvait voir à travers ceux-ci plusieurs sentiments s’y refléter. Comme de… l’inquiétude et de la tristesse. Le militaire avait le cœur qui se serait à la vue de ces sentiments. Il n’aimait pas voir sa supérieure dans cet état. Il préférait quand son magnifique sourire ornait son visage. Il se demandait se qui pouvait bien faire du tord à la femme. Il devait lui parler. Tenter de découvrir ce qui se passait. Quand ? Mmm… Ce soir… Sais ça…Il devait y aller ce soir là voir et tenter de lui parler. Il devait la réconforter et peut-être osera-t-il lui avouer les sentiments cachés qu’il avait pour elle.

Le monologue de Rodney et les pensées de John furent coupés par l’intervention de Carson tenant ses résultats dans ses mains.
-Bon Colonel vos analyses sont bonnes. Vous pourrez sortir dans une semaine si tout se passe bien.
-Quoi une semaine ? Mais ça ne va pas ! Il est or de question que je reste coucher à rien faire dans cette prison blanche.
-Allons Sheppard, vous pourrez faire votre activité préférer : c'est-à-dire glander toute la journée, l’agaça McKay
-Je ne glande pas !
-Si vous ne faite rien de la journée quand vous n’êtes pas en mission.
-Non
-Si
-Non
-McKay !
-Colonel, docteur McKay, calmez vous ! Intervint Elisabeth en s’avançant près du blesser. John (dit-elle en le regardant) écoutez Becket. Si vous devez rester ici une semaine, alors vous y resterez, ok ? Je veux que vous soyer en forme.
-D’accord ! Finit par accepter le jeune homme. « Mais ça ne m’empêchera pas de venir vous parlez ce soir pour s’avoir se qui se passe » pensa-t-il, les yeux malicieux.
-Bien à la bonne heure, vous êtes enfin raisonnable, se réjouit le médecin, bon allez tout le monde dehors le colonel à besoin de se reposer, ordonna-il en voyant le militaire bailler en fermant les yeux.

Il faisait nuit, peu de monde se promenait encore dans le couloir. John se dirigeait discrètement vers les quartiers du Dr Weir. Son cœur battait la chamade. Il avait en peu de male à tenir sur ses jambes à cause de sa blessure à la cuisse. Il était habillé d’un pyjama rouge de l’infirmerie. Malgré ce léger handicap, il était déterminé à lui parler. Comprendre pourquoi elle était inquiète et triste. Arrivé devant l’entrée, il actionna le mécanisme et entra.

Elle était accoudé au balcon, elle ne l’avais pas entendu entrée. Elle semblait soucieuse, ses yeux étaient dans le vague.
-Deux sous pour vos penses belle dame. Interrompit John en se plaçant à ses côtés.
-John ! s’exclama Liz surprise, que faite vous là ? Vous devriez être à l’infirmerie en train de dormir. Vous êtes fou !
-Oui, je suis fou. Mais, un fou qui se préoccupe de vous.
Elisabeth souri et se senti fondre devant cette remarque.
-Comment çà ? S’étonna le Dr Weir agréablement surprise.
-J’ai bien vu à l’infirmerie que vos aviez des soucis. Je n’aime pas vous voir ainsi. Je préfère quand vous avez le sourire et que vous êtes heureuse. Expliqua John avec sincérité.
Le leader fut touché par les paroles de son second. Elle décida d’avouer se qui la préoccupait depuis tout à l’heure.
-J’ai eu peur pour vous, avoua-t-elle… Peur de ne plus vous revoir…
John sentait son cœur battre la chamade. « Elle s’inquiète pour moi…elle a eu peur pour moi…tiendrait-elle à moi par hasard ? »
-La fin de sa phrase s’était perdue dans un murmure. La jeune femme avait maintenant les larmes aux yeux.
John n’écoutant que son cœur, il prit tendrement la femme qui l’aimait en secret dans ses bras, collant son torse contre son dos.
-Shhhhtt ! Je suis là maintenant ! Tenta-t-il de la rassurer en lui déposant un tendre baiser sur la tempe.
Un sourire appréciateur apparu sur les lèvres de la dirigeante. La tristesse de son regard avait laissé place à une petite étincelle de chaleur dans qui demandait qu’à grandir.
La jeune femme se retourna afin de plonger dans le regard brûlant du militaire. Doucement, ses mains glissèrent pour aller s’attacher autour du cou du jeune homme. Alors répondant à son invitation implicite, il se rapprocha et déposa ses lèvres sur celle de la jeune femme. Cette dernière ne mit pas longtemps à répondre à se baiser passant du tendre au passion et resserra son étreinte.
-Wouahhh ! S’exclama-t-il en se détachant de cette bouche chaude.
Un adorable sourire s’étendit sur tout son visage. Il était heureux, elle était heureuse, front contre front.
-Je dois vous avouez Elisabeth que je tiens, moi aussi, à vous beaucoup plus que je ne le devrais.
-Moi aussi ! Mon cœur bat pour vous. Je tiens à vous et je ne sais pas comment je réagirais si je vous perdais. Vous êtes ce qui m’est arrivé de mieux, John.
-Moi ! Dit-il abasourdi.
-Oui Vous ! Vous avez bien entendu ! Je vous aime colonel John Sheppard.
John était aux anges. Elle l’aimait ! Elle l’aimait ! Au contraire de lui, elle attendait anxieuse la réponse de l’homme silencieux en face de lui. Pour tout réponse, il l’embrassa à pleine bouche resserrant son étreinte afin de passer tous ses sentiments par ce baiser.
Se détachant quelques secondes, il lui murmura :
-Je vous aime Docteur Elisabeth Weir.
La jeune femme avait un énorme sourire. Le bonheur brillait dans leurs yeux pour eux s’était un moment merveilleux.

Sans plus attendre, John repris la bouche de sa partenaire avec tendresse, les mains sur ses hanches afin de la rapprocher de lui. Leur baiser devint plus fougueux, leurs mains partir explorer le corps de l’autre. Leur deux corps devint brûlant, leur souffle anarchiques. John pris son amante dans ses bras, la douleur de sa jambe avait laissé place désir, et la ramena dans sa chambre à couchée. Les baisers et caresses échangés avaient été les prémices d’une nuit remplis d’amour et pleine de passion.

Fin du flash back.

J'espère que cette suite vous aura plus! Lachez des coms!

Je m'excuse de ne pas avoir mit une suite depuis plus de 6 mois ( vraiment désoler ) Mais, il ya eu beaucoup de changement ces derniers temps et je n'ai pas pu me concentrer pour continuer mon histoire. J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop.
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John sourit à se souvenir si merveilleux. Cette nuit restera graver dans sa mémoire.

Il se leva et parti prendre une douche. Une fois dans la salle de bain, il pris conscience que le bandage qui entourait sa cuisse était rouge de sang. La douleur qui auparavant s’était faite oublié, se faisait à présent bien sentir. Ses cotes étaient elles aussi sensibles et en se regardant dans le miroir, il vit que son visage était toujours tuméfié.
-Oups ! Beckett va me tuer. Bon je croix que je suis bon pour un savon.
Il pris une douche rapidement en faisant attention à ne pas mouiller sa blessure. De retour dans la chambre, il repris le bas de pyjama avec lequel il est venus et le remis tant bien que mal.

En chemin, il demanda l’aide à deux nouvelles recrues qui passaient par là pour qu’elles le conduisent à l’infirmerie, la douleur était devenus insupportable et l’empêchait de faire un pas de plus.
Le voyage jusqu’à l’antre de notre médecin en chef ne dura à peine 5 minutes. Les soldats installèrent leur supérieur sur un des lits et repartirent vaquer à leur occupation après avoir alerter Carson de son nouveau patient. Celui-ci arriva quelques secondes ensuite, son visage reflétait la colère et l’exaspération.

« Colonel, vous êtes le patient le plus inconscient qu’un médecin puisse avoir. A peine ai-je le dos tourné que vous désobéissez. Vous êtes fou !
-Oui, je sais ! On me la déjà dit, répondit le militaire, les dents serrées. La douleur à la jambe lui donnait mal à la tête et le fait d’avoir passé une nuit magnifique sans dormir vraiment avec Elisabeth n’arrangeait pas son état.
-Je suis désolé de vous avoir fait faux bon, murmura-t-il les yeux fermés.
-Bah ! S’exclama le médecin, en commençant à l’examiner, ça ne sera sûrement pas la dernière fois que vous me faites le coup. Seulement, la prochaine fois, je vous attache ! Finit-il avec un sourire sadique sur le visage.
Un silence lui répondit. John n’avait pas réagit à sa demi menace. Celui-ci était devenue très pale.
-Colonel ? Appela son ami en mettant son stéthoscope sur son torse. »
Mais, il compris bien vite que ce dernier s’était endormi sûrement dû au manque de sommeil.
Seul des légers gémissements s’échappaient de ses lèvres de temps en temps. Carson sourit, il allait profiter de son sommeil pour lui faire subir toute une batterie de test sans entendre ses plaintes. Il remarqua vite la tache de sang qui ce formait sur le pantalon de pyjama du colonel.
« En fin, de compte, il va devoir rester ici plus longtemps »pensa le médecin en rigolant déjà de la tête que fera ce dernier lorsqu’il lui énoncera que sa petite expédition nocturne va lui valoir un prolongement de ses vacances à l’infirmerie.


*
* *

De son côté, la réunion d’Elisabeth avait durée une heure, maintenant elle retournait à ses quartiers pour prendre une bonne douche et demander à John s’il voulait venir manger au mess. Son estomac n’avait encore rien avalé et commençait à crier famine.
Elle découvrit que John n’était pas là. Ses vêtements non plus. Elle pris rapidement une douche puis revint dans sa chambre. C’est là quel vit les tâches brunes sur son lit et par terre. Inquiète, elle souleva la couette pour voir du sang frais dans ses draps.
« Je me demande d’où ce sang peut-il bien venir ? pensa-t-elle surprise. Ce n’est pas moi, je ne suis pas blessé ou autres…blesser, blesser… BLESSURE… JOHN !! Sa blessure ! » Ils avaient complètement oubliés. Avec les évènements de cette nuit, ils avaient oublié que John était blessé assez durement. Il devait être à l’infirmerie vue les tâches de sang dans la pièce, sa blessure due se rouvrir. En se souvenant de la nuit agitée, un sourire apparu sur son visage. Elle sortit de ses quartiers après avoir enfiler des vêtements propres. (Bah oui ! Que voulez-vous, elle n’allait pas se promener dans la cité en serviette de bain )

Elisabeth se rendit, donc dans l’antre de Carson. Celui-ci était occupé à remplir des dossiers médicales, assis sur un lit de patient, les dossiers étaient devant lui sur une table roulante. A côté de lui, John dormait dans un lit, une perfusion dans le bras. La couverture laissait apparaître un bout de jambe entourer de bandage tout propre.
« -Bonjour Carson ! Tous ce passe comme vous voulez, avec le colonel ?
-Bonjour Doc Weir. Tous se passe bien pour l’instant. J’ai retrouvé mon patient.
-Ah ? Parce que vous l’aviez perdu ? S’étonna innocemment la jeune femme, sachant très bien qu’elle était l’origine de l’expédition nocturne de Sheppard.
-Effectivement, figurez-vous que notre colonel n’a pas respect mes consigne de rester sagement là. Au lieu de cela, il est parti se promener.
Elisabeth s’approchât de son amant afin de mieux voir son joli visage endormi. Carson vint se placer à ses côtés.
-Figurez-vous que notre cher ami à gagner un séjour prolongé à l’infirmerie.
-Comment çà ?
-A cause de sa « petite promenade » les points de soutturre que je lui avait fait on cédé et j’ai du les lui refaire. Ce qui fait que maintenant, il va devoir garder le lit au moins un bon moment afin que celle-ci se cicatrise et pour que ses côtes reprennent leur place habituel.
-Il est si mal en point que ça ?
-A son retour de mission, ça pouvait aller. Mais après sa fugue de cette nuit, je ne sais pas se qu’il a bien pu faire pour revenir dans cette état, qui est pire que la vieille, expliqua l’écossais en la regardant.
La dirigeante tenta de garder un visage neutre. Elle ne voulait pas que Carson voit son trouble et découvre qu’elle savait comment le colonel avait aggravé ses blessures.
-Vous disiez qu’il devra rester plus longtemps ?
-Oui, au début, on avait convenu : un semaine. Mais, désormais, il devra peut-être rester deux semaines.
-Où là, Je croix qu’il ne va pas être content, plaisanta la leader en pensant à la tête que fera la militaire en apprenant la nouvelle.
-Oh mais, il n’a pas le choix, il restera. Qu’il le veuille ou non. Je suis prêt à lui administrer un sédatif où je l’attacherai. Lui dit il avec une lueur dans le regard.
La jeune femme ne put retenir un rire devant la tête du médecin en chef devant la situation qui promettait d’être plutôt comique.
-Oh fait ! Pourquoi est-ce qu’il dort ?
-Il s’est endormit pendant que je l’examinais.
-Ah d’accord ! Bon je vous laisse, je retourne travailler.
Sur ces paroles, elle reparti dans son bureau sans oubliés de passer à la cafétéria pour prendre un café.