Dream Tean [Abandonnée]

[Atlantis]

-« Encore ? Mais ils en ramènent au moins vignt à chaque aller-retour du Dédalle ! »
-« John… Il s’agit d’une nouvelle forme de recrues, vous le savez parfaitement. »
-« Mais… On les a déjà choisi ? »
-« Oui. Ils sont quatre, ils font équipe depuis des années, ils n’auront donc pas beson d’apprendre à se connaître. »
-« Vous avez raison, ça sera plus facile. »
-« Nous allons les chercher, nous partons demain. »
-« Chouette ! La maison ! »

Un sourire…

*********

[Hôpittal St Joseph, Paris, France]

Les bruits des ambulances résonnaient dans les couloirs de l’hôpital St Joseph. Une arriva d’ailleurs. Deux ambulanciers en sortirent, traînant sur un brancard une jeune femme aux cheveux courts brun dont la chemise blanche était tâchée de sang. Prés d’elle et des ambulanciers se trouvait une femme aux cheveux châtains longs.

-« Vous allez la soigner ? » demanda-t-elle avec une voix paniquée.
-« Ne vous inquiétez pas Melle Vincent, votre sœur va s’en sortir ! » lui dit le médecin avec une voix rassurante.
-« Je suis sûre que ça la dérangerait pas que je meurs ! » s’exclama la blessée.
-« Oh, Edwige ne dis pas ça s’il te plaît ! » s’exclama sa sœur outrée.
-« Arrête Nadège ! Oh moins dis-toi que tu récupèrera smon mari ! Ca fait des années que tu veux lui mettre le grappin dessus ! » s’exclama Edwige.
-« Mme Courrot s’il vous plaît ! » lui dit le médecin. « Je vous l’ai déjà dit ! Calmez vous ou vous allez fair eun arrêt cardiaque ! »
-« C’est pas grave ça arrangera pas mal de gens, croyez-moi docteur ! » dit Edwige avec un sourire carnacier.

Le Dr Ranbert soupira. Des patiente sil en voyait tous les jours, mais celle là c’était un cas… ;
Ils passèrent prés de l’accueil, où un couple était devant le comptoir essayant d’accéder à une chambre. Mais l’hôtesse ne voulait pas les laisser passer.

-« Je suis désolée, elle ne vous connaît pas ! »
-« Comment ça ? » s’exclama la jeune femme. C’était une chinoise, qui avait des cheveux courts ébouriffés blonds et qui mâchait bruyammant un cheewing-gum. « Je vous assure, c’est ma sœur ! »
-« Chérie… » soupira son mari un grand brun. « Je t’ai déjà dit que tu n’avais pas de sœurs. »
-« Mais tu dis n’importe quoi ! » s’exclama sa femme.
-« Je suis désolée Madame. » dit le mari sincère. « Ma femme souffre de schizophrénie et d’un dédoublement et d’un trouble de la personnalité important. »
-« Dis que je suis malade pendant que tu y es ! Oh oui , je suis la folle folle folle !!!!! »

Le mari poussa un soupir. L’un des gardes de la sécurité arriva.

-« Excusez-moi madame, monsieur veillez nous suivre. »
-« Je suis sincèrement désolée, ma femme est malade… » dit le mari.
-« Cela ne prendra pas longtemps. » dit le second gardien.
-« Non lâchez moi !!!!! » s’écria la chinoise. « Aïe, mais vous me faîtes maleeeeeuh !!!!! »

Les deux gardes la traînèrent par les bras. Son mari lui disait de smots réconfortant dans une langue que les gardiens supposaient être du chinois.

Edwige entendit un bruit dans son oreille, une voix masculine qui parlait en chinois.

-« Blue Bird, ici Skyflyer nous sommes en position. »
-« Nous aussi Skyflyer. » répondit Edwige en chinois.
-« Qui y a-t-il Madame Courrot ? demanda le Dr Ranbert alors qu’ils n’étaient plus que tous les trois plus un infirmier.
-« Non rien. » dit Edwige avec un petit sourire sur le visage.

Sa sœur et elle échangèrent un regard. Nadège assoma l’infirmier et Edwige bondit de son chariot pour frapper le médecin, leurs deux ‘gardiens’ tombèrent au sol.

-« Brrr… Je vais enlever ce truc c’est dégoûtant ! »
-« Billie c’est pa s le moment ! » s’exclama Nadège à la dite Edwige.
-« Qu’est-ce que tu peux être rabt-joie ! » s’exclama Billie en anglais. « Bon on y va, Lin et Ron nous attendent. »

Et elles quittèrent le couloir.
Elles trouvèrent quelques secondes plus tard la chinoise et son mari qui eux avaient assomé les deux gardes.

-« Alors, la voie est libre ? »é demanda la chinoise – Lin-Wey.
-« Oui. » répondit Billie. « Le laboratoire est à environ deux niveaux en dessus porte E12. »
-« Bien, Lin’ tu accompagnes Billie pour neutraliser le poste de sécurité, Ron tu viens avec moi. »
-« Bien Mary. » dit le dénommé Ron.

Les deux groupes se séparèrent. Billie et Lin se dirigeaient vers le poste de contrôle. Elles y arrièvrent et neutralisèrent les gardiens de sécurité. Lin sortit de son sac un ordinateur portable que Billie connecta à l’unité centrale.

Dans le laboratoire E12, Ron et Mary essayaient au laboratoire indiqué par Billie quelques minute splus tôt. Mais ils n’entrèrent pas tout de suite dans le couloir, voyant deux gardes devant l’entrée.

-« Bien gardé pour un labo qui est censé contenir des médicaments génériques. » dit irnoiquement Ron à Mary qui acquiesça d’un signe de la tête. Puis, Ron prit son oreillette et y anonça quelque chos eà Billie. « Bluebird ici Skyflyer, nous avons beosin de tes lumières. »
-« Ca me fait toujours marrer quand tu utilises ce nom de code. »
-« Lewis ! » s’exclama Mary. « On a pas le temps. »
-« Bien, puisque vous ne pouvez vous débrouiller seuls, je vais mettre mon cerveau génial en fonction ! »
-« Ouais.. » soupira Mary exaspéré par l’égo démusré de sa collègue et amie. Billie était brillante, certes, spécialisée en informatiques et autres technologies… Mais le pire c’est qu’elle le savait, et qu’elle ne le cachait pas.

XXX

Dans le poste de surveillance les doigts de Billie filaient sur le clavier. Lin la regardait, mais surtout fixait les écrans de surveillances pour couvrir l’arrière de leurs deux amis sur le terrain.

-« Tu y arrives ? » demanda la jeune asiatique à son amie.
-« Le code est plus compliqué à trouver que je ne le pensais. »
-« Bah tu ferais bein de le trouver ! » lui dit Mary dans l’oreillette.
-« Hey, j’ai dit que c’était dur pas impossible enifn ! » dit Billie mi-outrée mi-plaisantant.

Derrière elle Lin’ leva les yeux au ciel. Depuis des années qu’elle connaissait Billie, elle n’avait jamais changé.
Les yeux de jade de l’informaticienne était fixée sur l’écran de son ordinateur, où se suivaient interminablement des séries de ciffres qui pour les autres personnes ne signifiaient pas grand chose.
C’est alors qu’un bip se fit entendre.


XXXX

Dans le labo, Ron et Mary attendaient le code que devait leurs donner Billie. Ils avaient maîtrisé les deux gardes et étaient entrés dans le laboratoire. Ils étaient à présent devant un coffre où se cachait ce qu’il chercaient.

-« C’est bon je l’ai. » dit Billie dans l’oriellette de Mary. 3c’est 1 2 C 8 5 T 5 Z . »

Mary composa le code sur le clavier du coffre-fort et ce dernier s’ouvrit. La jeune femme poussa la lourde porte blindée. A l’intérieur, elle trouva une fiole. Elle la prit avec précaution ainsi qu’un dossier et les mit délicatement dans une mallette que lui tendait Ron.

C’est alors que des bruits se firent entendre derrière la porte.

-« On a de la visite. » dit Ron à Lin’ dans l’oreillette.
-« Bien, vous pourrez vous en sortir ? » demanda la jeune chinoise.
E »N’en doute pas. » dit Mary. « On se retrouve au point d’extraction dans cinq minutes. »

Mary acquiesça, elle jeta un dernier regard à Ron et ils foncèrent dans le tas.

A suivre....

Los Angeles

Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent dans un « cling » familier, et trois personnes en sortirent : une femme et deux hommes. Ils se dirigèrent vers un bureau au fond.

***********

Dans son bureau la directrice du service était en train de lire un rapport de mission, sur le quel le nom de code « Skyflyer » et les mots « Paris » « Hôpital St Joseph » ou « Antidote » étaient plusieurs fois mentionnés.
Elle passa une main dans ses longs cheveux roux blonds, puis saisit la tasse de café qui était à sa droite sur son bureau. Elle en but une longue gorgée et la reposa. C’est alors qu’on frappa à son bureau.

-« Entrez » dit-elle en relevant les yeux de son rapport.

La porte s’ouvrit, et un agent en costume noir et blanc entra.

-« Ca alors, Agent Spencer ! » s’exclama la directrice plus hypocritement qu’autre chose. « Dîtes-moi, quel beau costume ! Ils sont plus exigeants à la sécurité intérieure que chez nous ! »
-« Moi aussi je suis ravie de vous revoir Directrice Oward. » dit l’agent sans relevé la remarque de son interlocutrice. « Voici le Dr Elizabeth Weir et le Colonel John Sheppard, comme nous vous avons préveu il y a quelques jours. »
-« Oui, bien sûr. » la directrice tourna son regard vers les deux leaders d’Atlantis. Un sourire apparut sur son visage… L’homme était séduisant, elle nota que cela n’allait pas laisser Mary indifférente… Pauvre de lui, s’il savait ce qui l’attendait avec Mary Cooper, il aurait depuis longtemps fait demi-our ! Mais la directrice choisit de ne rien lui dire, regrettant de ne pouvoir suivre l’évolution de ses agents au sein de cette expédition. « Bonjour, je suis la Directrice Jenna Owrd, ravie de faire votre connaissane. »
-« Nous de même. » dirent John et Elizabeth d’une même voix.

Jenna hôcha la tête, et remercia gentiment – non sans un sous entendu de « Merci vous pouvez ‘enfin’ partir » et ce dernier sortit laissant les deux leaders d’Atlantis seuls avec la directrice Oward.

-« Bien, asseyez-vous. » leurs indiqua-t-elle en désignant deux chaises en face de son bureau. Après qu’ils se soient exécuter, elle prit place à son propre fauteil, et commença son explication. « Bien, je suppose que vous êtes là pour les quatre agents. »
-« C’est exact. » répondit Elizabeth. « Nous voulions les rencontrer avant de repartir pour notre base dans une semaine. »
-« Vous pouvez dire Atlantis Dr Weir, je sais tout. » répondit Jenna avec un sourire entendu sur le visage.
-« Oh. » dit Elizabeth étonnée. « Je ne le savais pas. »
-« Vous savez, en temps que directrice de ce service, et co-directrice de l’Agence, j’ai accés à des secrets dont vous n’imaginez même pas l’existance… Passons donc. Malheureusement, pour la rencontre avec notre Dream Tean comme nous les appelons ici, je crois que cela ne sera pas possible. Ils sont pour le moment en mission. »
-« Mais je croyais que… » commença Elizabeth.
-« Vous allez partir les rejoindre là bas. » dit Jenna.
-« Nous partons ? » demanda John. « Mais cela ne risque pas de… Faire tomber leur couverture ? »
-« Vous ne leurs direz pas qui vous êtes dés le premier contact. » dit Jenna. « Colonel, vous avez l’habitude de smissions de terrain, et vous savez mentir… »
-« Je.. ; » commença John.
-« Vous saurez vous débrouillez. Je vais vous donner une description de nos agents, et choisissez-en un. Je vous conseille l’agent Law…. L’agent Lewis est un peu explosive, quand aux agents Cooper et Ronalrd… Disons qu’ils forment un couple marié, cela serait mal vue, même si ce n’est qu’une couverture, d’aborder une femme mariée. »
-« Ca va de soit. » répondit John peu convaincu par l’idée.
-« Où partons-nous ? » demanda Elizabeth.

Jenna sourit, et se leva vers un écran mural au fond de la salle. Elle tapa quelque chose sur le clavier, et désigna un pays.

-« Je crois que ça va me plaire… » dit John en souriant.
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Portorico

Le Place Hotel était l’un des hôtel le plus réputé et le plus chic de Portorico,
L’homme derrière le comptoir n’avait rien de portoricain, et on pouvait voir sur son badge écrit « Bob Turner. »
Tout était calme dans le hall quand un couple fit une entrée fracassante.
Il était composé d’une femme aux longs cheveux bruns qui ondulaient sur ses épuales. Elle avait des yeux d’ambre. Elle portait une robe courte blanche. Son mari – ce qui Bob supposait du moins – était à son bras, vêtu d’un costume blanc et d’une chemise noir. Il formaient tous deux le couple riche et excentirque par excellance. La jeune femme parlait fort dans une langue qu le réceptionniste upposa ête de l’Italien. Son mari lui répondait parfois, il semblait un peu blasé.
La femme s’approcha alors du comptoir et dit à Bob dans un anglais teinté d’un fort accent Italien.

-« Bonjour Monsiur, mon mari et moi avons réservé une chambre. »
-« Quel est votre nom ? » demanda Bob.
-«Quoi ? vous ne le savez pas ? » demanda la jeune femme outrée. « Chéri il ne connaît pas mon nom. »
-« Tu n’es peut être pas connue à Portorico. » hasarda son mari ignorant sa remarque.
-« Pas connue ? Enfin j’ai obtenu deux concerts, je suis forcément connue ! »

Alors que l’italienne s’énervait contre Bob et que son mari essayait de la calmer, une jeune femme plus petite et plus discrète avec des yeux émeraudes se dirigea vers Bob qui était un peu effrayé devant l’attitude de – ce qu’il savait à présent – la Diva Italienne Lucina Linicci.

-« Excusez-moi Monsieur. Dit la jeune fmme aux yeux de jade. « Je voulais… »
-« Excusez moi madame ! » l’interropmit la diva en pointant un index réprobateur devant elle. « Vous ne comprenez pas, on ne me coupe pas la parole. »

La jeune femme aux yeux de jades jeta un regard appeuré au réceptioniste, qui dit d’une voix calme.

-« Excusez-moi Madame Liccini, votre chambre est prête, notre hôtesse Kiu va vous y accompagner. »

Bob fit signe à une hôtesse asiatique, qui s’approcha du couple d’italiens, et ils partirent. La jeune femme aux cheveux acajoux regarda une nouvelle fois le réceptionist.

-« Je suis désolée Melle Onoway. » dit-il poliment à la jeune femme aux yeux émeraudes. « Nous avons parfois des clients à fort caractère… Que puis-je faire pour vous ? »
-« Je voudrais réserver une nouvelle chambre pour ce soir. » dit la jeune femme en faisant teinter deux bracelets d’argent à son poignet en passant une main dans ses cheveux. « Une amie doit me rejoindre de Chine, il lui faudrait une chambre, elle arrive à seize heures à l’aéroport. »
-« Bien sûr, quel est son nom ? »
-« Yang. » répondit la jeune femme avec un sourire que le jeune homme ne comprit pas. « Christina Yang. »
-« Bien, sa réservation est notée, voulez-vous que nous envoyons un taxi la chercher à l’aéroport ? »
-« Oui, s’il vous plaît. » répondit Melle Onoway. « Prévenez-moi quand elle sera arriver, je serai… Sûrement en train de travailler dans ma chambre. »
-« Bien, Melle Onoway. »

Lisa Onoway sourit, et remercia une dernière fois les escaliers avant de monter dans sa chambre.

**********

Aéroport de Portorico

John inspira une grande bouffée d’air tiède portoricain quand il sortit de l’avion. A côté d elui, le Dr Rodney McKay en fit de même, mais en proie à ses allegies au polène, il éternua un grand coup, avant d’essuyer ses yeux qui pleuraient.

-« Ah… Portorico !” s’exclama John joyeux, avec un certain ton enfantin qui exaspéra une nouvelle fois McKay. « Le soleil, la mer.. ; »
-« Les saletés d’allergies ! » le coupa vivement McKay.
-« Ne commencez pas à me gâcher ce séjour McKay ! » s’exclama John. « Non franchement, vous ne trouvez pas ce pays magnifique ? »
-« Dîtes plutôt que ce sont les portoricaines que vous trouvez à votre goût ! »
-« Je me demande pourquoi Elizabeth a tenu à ce que vous veniez avec moi franchement. »
-« Parce que vous n’êtes pas capables de vous infiltrer dans le réseau de surveillance du Place Hotel pour savoir s’ils font bien leur travail. »
-« Oui, c’est sans doute ça. » dit John en commençant à avancer vers le hall avec les autres passagers.
-« Alors, comment est le Directeur Oward ? »
-« Je ne peux vous dire qu’une chose, il faut mieux avoir Elizabeth comme supérieure. » répondit simplement John.
-« Pourquoi cela ? » demanda le scientifique en levant un sourcil interrogateur.
-« Je dirais qu’elle est très lunatique…. Mais je la trouve assez drôle parfois. »
-« Elle vous a tapé dans l’œil ! »
-« Rodney elle doit avoir au moins dix ans de plus que moi ! » s’exclama John.
-« Et alors, quand elles ont dix ans de moins ça ne vous dérange pas ! »

John lui jeta un regard noir et un coup de coude. Le scineifique feigna la douleur, et tous deux se dirigèrent vers lePlace Hotel…


A suivre....