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 Vacances à Trois

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Lizzie Weir
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Lizzie Weir


Capricorne
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MessageSujet: Vacances à Trois   Vacances à Trois EmptyJeu 10 Aoû 2006 - 18:28

Auteur : Lizzie
Titre: Vacances à Trois
Genre : Humour, Fantaisie
Personnages : Rodney McKay, Elizabeth Weir, John Sheppard et Roger PTDR!!
Disclaimers : Personnages pas à moi.
Résumé : Quand on décide de prendre des vacances.
Note : J'ai présenté cette fic à un concour dété sur un forum Stargate !
Note bis : ELle est inspirée de certains passage du Donjon De Naheulbeuk (et oui encore)
Note bis² : Je ne bois pas, je fume pas, je me drogue pas.




Le Jumper décrivit de grands cercles dans le ciel de cette planète sublime qu'était PX-990. A l'intérieur du vaisseau cependant, rien n'était plus sublime qu'une équipe atlante qui commençait mal ses vacances. John était aux commandes pourtant, lui, le meilleur pilote d'Atlantis n'arrivait pas à maîtriser sa trajectoire. Pourquoi ? Parce que quelque chose le déconcertait énormément…si, si…juste à côté de lui, sur le siège du copilote ! Gros plan voilà ! Elizabeth se tenait à la console de bord, ne comprenant pas pourquoi John mettait autant de temps à se poser. Il suffisait de couler son regard sur le magnifique décolleté qu’elle arborait et les jambes magnifiques totalement mises à nues qu’elle croisait.
Certains ne le voyaient pas de cet œil, à l’arrière du Jumper, Rodney avait énormément chaud. Il commença à grogner comme à son habitude.

- Pourquoi faut-il que John fasse des siennes ! je lui en donnerai moi des cours de pilotage ! On met pas dix ans pour se poser !
- Ca va McKay, arrêtez un peu ! lui répondit Elizabeth en se levant du siège pour le rejoindre. McKay tourna la tête vers elle, il déglutit fortement, la petite jupe qu’elle portait voltigeait autour de ses cuisses. Il se posa brusquement des questions, lui à l’arrière d’un jumper avec Elizabeth ? Sheppard essaya un maximum de ne pas tourna la tête pour admirer le derrière de sa collègue. Maintenant qu’elle avait disparu de son champ de vision, il put atterrir normalement – non sans un soupir de soulagement. Rodney se releva d’un bond. La porte arrière s’ouvrit et il put sortir, cependant il trouva encore le moyen de grogner à cause des magnifiques rayons de soleil qui osaient lui caresser la peau. Il fouilla dans une petite mallette et sortit de la crème. Il commença à se tartiner avec, Elizabeth fit une grimace :
- Non ! Rodney commencez pas ! ça pue !
- Elizabeth, un Rodney qui pue vaut mieux qu’un Rodney grillé !
John sourit avant de sortir plusieurs affaires dehors, il se sentit une nouvelle fois excité en voyant le dos nu d’Elizabeth mais se força à être serein. Elizabeth prit les affaires et les mit un peu plus loin avant de se retourner vers John.
- John ! Récupérez l’autre voyons !
Une fois que tout eut été sorti du Jumper grâce à John, le trio put admirer l’endroit où ils avaient décidé de passer leur vacances. Elizabeth regrettait que Teyla ne les eût pas accompagné, mais elle était autre part…avec Ronon. Elle regarda la plage de sable blanc avec une mer bleue claire. La brochure athosienne disait que plus loin, il y avait un village touristique sublime à visiter. Ils voulurent le visiter donc. John portait l’équipement de base de même que Rodney, seule Weir était plus légère.
McKay se tartina encore de crème et ils se mirent en route. Quelques minutes plus tard… Rodney avait les yeux rivés sur le MALP. Signe désespérant, car John croyait très fort qui ne savait pas le lire. McKay compta dans sa tête : cinq, quatre, trois, deux, un.
- McKay ? Vous êtes sur que vous tenez pas votre engin à l’envers ? demanda Sheppard, agacé.
-Non ! Je sais ce que je fais……simplement… répondit Rodney à peine présent.
- Avouez que nous sommes perdus. soupira Weir, en se grattant la cuisse.
- Mais lâchez-moi ! Comment puis-je me concentrer avec un tel raffut ? répliqua le canadien.
-Mais y’a pas à se concentrer ! Juste à dire que nous sommes perdus ! s’exclama Elizabeth.
Agacée, elle alla s’asseoir sur un gros rocher. Ils étaient perdus dans cette foutue campagne. La forêt était sombre et pas rassurante. Dire qu’ils cherchaient juste de l’eau... Il n’y avait qu’un chemin pour passer, le reste n’était qu’arbre sombre John eut tout à coup une brillante idée.
- Rodney va passer devant pour détecter les pièges.
- Euh vous êtes sûr ? demanda Rodney
- C’est capital !
- Mais il y a peut-être des Wraiths ! s’exclama McKay.
- Je peux vous couvrir avec votre neuf millimètres alors que John surveillera nos arrières, proposa Elizabeth
- D’accord j’y vais , céda McKay en tendant le pistolet à Elizabeth qui le prit.
- Un mètre…deux mètres…trois mètres…compta Rodney, peu sûr de lui.
- Il s’en sort bien pour l’instant, lança Weir à Sheppard.
- Hey il y a quelque chose là ! s’exclama Rodney.
Elizabeth ne perdit pas de temps, elle visa n’importe où et tira plusieurs fois. Une balle perdue traversa le bras de Rodney. Ce dernier s’écroula en se tenant le membre, il se roula par terre :
- Haaaa j’ai mal ! J’ai maaaaaal !
- Mer** je l’ai touché ! s’exclama Liz en se précipitant vers lui.
- Mais c’est pas vrai ! Quelle idiote ! s’écria John.
- Je sais pas ce qui se passe, mais ça fait très mal ! se plaignit Rodney.
- Elizabeth vous a tiré dessus, expliqua John en regardant le bras de son collègue.
- J’ai plus envie de détecter les pièges ! Soignez-moi ! craqua McKay en larme.
Après quelques minutes passées à bander le bras de Rodney, Elizabeth redressa la tête pour voir John qui s’approchait. Il tenait quelque chose à la main, il le jeta par terre :
- Voilà ce que j’ai trouvé plus loin.
- C’est mangeable? demanda Rodney plein d’espoir.
- Non pas vraiment ce sont des sacs de sables, répondit Sheppard.
- Alors y’avait pas de danger, dit Liz.
- Bien sûr que non ! soupira John.
- J’ai essayé de vous le dire mais j’ai pas eu le temps, geignit Rodney avant de se relever.
- Oh ca va je l’ai pas fait exprès, se défendit Lizzie.
Ils se remirent tous en route pour sortir de cette forêt tropicale était aussi un magnifique cadre de voyage pour passer des vacances. Ils passèrent la nuit dans la forêt, John avait monter un abri avec l‘aide d’Elizabeth alors que Rodney se tartinait encore avec sa crème contre les moustiques. Elizabeth avait fait remarquer à John qu’à la place de passer des vacances sur la plage ils feraient du camping. Sheppard lui avait souri camping ou pas, ils passaient de super vacances avec ses amis et même la belle nuit étoilée lui donnait envie d'en ^profiter, demain, ils visiteraient le village de cette planète paradisiaque. Elizabeth qui n’avait pas de couverture, emprunta celle de John qui dormit contre un arbre.
Le Lendemain on retrouvait notre trio en train de plier bagages. Après quelques jérémiades de Rodney il se remirent en route. John ouvrait la marche avec Rodney, Elizabeth se tenait derrière les deux hommes. Soudain John s’arrêta :
- Là une créature nous barre la route !
- C’est pas une créature ! C’est un poulet ! s’exclama Elizabeth.
- C’est l’enfoiré qui nous a réveillé ce matin ! reprit Sheppard.
- A moooooort ! cria Rodney en pointant son neuf millimètres sur le coq.
John et Rodney commencèrent à essayer d’attraper le poulet, Elizabeth se retenait de rire entre les « Piou, piou, poulet viens par ici » et les « Allez-y chopez le ! » parsemés des cris effrayés de la pauvre bête. Finalement les deux hommes en vinrent à bout. Après avoir massacré le poulet, ils reprirent la route, avant de tomber sur un panneau, Elizabeth s’approcha de ce dernier et lit :
- Chnafon !
- A vos souhaits ! s’exclamèrent John et Rodney.
- Mais non ! C’est le nom du village que nous sommes en train d’approcher ! répondit Elizabeth, totalement hilare.
- Le village s’appelle Chnafon…répéta John.
- Oui, mais il n’est pas écrit sur la carte, compléta Liz.
- C'est sûrement pour éviter de se couvrir de honte ! ricana McKay.
Déduisant qu’il s’agissait du village touristique, ils décidèrent de continuer dans cette direction, après quelques minutes de marche, ils tombèrent sur la fin de la forêt qui commençait sur une immense plaine où siégeait un village entouré d’un mur. Pour y pénétrer, une grande porte. Ils s’approchèrent donc de la porte mais cette dernière était gardée. Weir privilégiant toujours la diplomatie, s’approcha des gardes :
- Hum... bonsoir, messieurs les gardes, nous voudrions passer la journée dans cette sympathique bourgade.
Les soldats s’esclaffèrent de rire. Le premier se retourna vers l’autre :
- T’as entendu ça Roger ? Ils trouvent notre bourgade sympathique !
- Euuuuh oui…souffla Liz.
- Ca vous pose un problème ? demanda John, méfiant.
- Eh ben, c'est qu'on vous connaît bien vous autres... les explorateurs-vacanciers...hein Roger ?
- Mais…commença McKay.
- Ouais, vous venez dans le village pour foutre le merdier dans la taverne, le coupa le garde.
- Puis vous essayer de revendre vos armes pourries et vos médocs…continua le second.
- Mais non pas du tout ! se défendit Liz.
- Ho l’autre…soupira John, énervé.
- Bon alors on peut entrer ? demanda McKay.
- Je veux bien vous laisser passer, mais ça fera 4 pièces d'or, répondit le garde.
- Hein ? Quoi ? lâchèrent les trois atlantes en vacances.
- Et depuis quand on doit payer pour entrer dans un village pourri ? demanda de nouveau Rodney.
- Depuis que Roger et moi on garde la porte, ricana le garde.
- On veut pas payer ! s’exclama John.
- On aimerait bien voir où il est inscrit qu'on doit payer l'entrée ! s’exclama Weir, outrée.
- Et nous on aimerait bien voir vos 4 pièces d'or, réfuta Roger.
- C'est grotesque ! cria-t-elle.
- Vous avez pas le droit ! renchérit McKay.
- Qu’un Wraith vous broie la tête ! hurla Sheppard.
- Ca fait quand même 4 pièces d’or, insista le garde.
- Je peux vous plomber avec ça ! répondit John en pointant son P-90 sur les hommes.
- Ouais ! s’exclama le canadien tout joyeux.
- Hey le petit débile, on a 30 copains dans la caserne juste derrière cette porte!
- Rangez votre arme ! intima Weir. Messieurs les gardes... heu...
- Protozoaires à la graisse d'ours ! murmura Rodney.
- On pourrait peut-être négocier un prix d'entrée plus honnête ? continua Elizabeth.
- ha ouais ? rit le garde.
- Ouais c'est vrai... un prix plus honnête...le suivit Roger
- Je suis sûre qu'on peut s'arranger ! insista Weir.
- Alors disons... 4 pièces d'or ! ricana le garde.
- D’accord ! Voilà ma montre elle est en or ! Prenez là ! dit Rodney.
- Mais…mais…commença Elizabeth.
- Okay ça ira vous pouvez rentrer, concéda le garde.
- Et ne faîtes pas les malins, prévint Roger.
Ils entrèrent alors dans le village, où l’ambiance était festive et où les gens vaquaient à leurs occupations. Rodney broyait du noir dans son coin à cause de la montre. John et Elizabeth se baladaient presque main dans la main jusqu’à ce que la diplomate découvrît une fontaine d’eau potable. Ils s’y dirigèrent et remplirent gourdes et bouteilles. John s’assit sur le rebord de la fontaine :
- On s'est fait arnaquer ! murmura-t-il
- Mais non pas du tout, j’ai négocié, le contredit sa collègue.
- Tu parle ! réfuta Rodney, pensant à sa montre.
- Je ne vais pas me laisser faire par des gardes corrompus ! s’indigna Weir alors que McKay se moquait d’elle. John se releva :
- Bon alors qu’est-ce qu’on fait ?
- On peut faire le tour des commerces, et ensuite on ira dormir à l'auberge, proposa Elizabeth.
- Alors il faut décider de…commença John.
- Là-bas, j'ai vu passer un gros coffre avec des dizaines de jambes ! le coupa Rodney, surexcité. John et Elizabeth se regardèrent avec d’exploser de rire.
- Un coffre avec des jambes... n'importe quoi ! s’exclama Sheppard.
- Je vous jure ! ajouta McKay.
- Et pourquoi pas la mort qui pêche à la mouche ! s’écria Elizabeth, tordue de rire.
- Bah…lâcha McKay, vexé.
- Bon, alors je disais donc qu'il faut décider dans quel ordre on va visiter les échoppes, reprit Sheppard, plus sérieusement.
- J’ai pas d’argent ! réfuta McKay.
- J’aimerai m’acheter des bijoux fantaisies en souvenir de cette planète ! allégua également Weir.
- Pas tous en même temps ! dit John.
- Bah moi je vous ai assez vu pour aujourd’hui ! je vais faire un tour, décida Rodney en s’éloignant.
- Hey mais ! commença John, outragé.
- On se retrouve à l’auberge !
- Quel caractère, s’indigna Elizabeth.
- Tu parle d’une équipe ! la suivit John.
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MessageSujet: Re: Vacances à Trois   Vacances à Trois EmptyJeu 10 Aoû 2006 - 18:29

Plus loin, Rodney se promenait dans le marché, il passa près d’une bande jeune racaille qui rigolaient bruyamment. Vu que McKay était totalement paumé, il se risqua à demander sa route :
- Excusez-moi... je cherche une boutique d’artéfact !
- Woa tu sors d’où toi ? demanda méchamment la première racaille.
- Va mourir ! renchérit la deuxième.
- Mais...je…commença Mckay en reculant.
- Tu pue le coyote ! s’esclaffa la première racaille.
- Va mourir, répéta la seconde.
- Bon et bien c’est pas grave, je vais trouver tout seul (plus bas) c’est à croire que les gens de ce village sont crétins.
Il continua son chemin tout content d’être enfin seul et libre pour pouvoir se reposer dans ce village touristique de Pégase. Il huma l’air et dit pour lui-même :
- Et ben... c'est pas trop tôt... ça faisait un moment que j'en avais marre de John. Cette ville est à peu près aussi accueillante qu'une kermesse Wraith !
- Hep ! heuu... excusez-moi... monsieur senteur de coyote ! s’exclama un dénommé Gary, un enfant d’à peu près 11 ans.
- Quoi ? Allez dégage, du vent ! répliqua Mckay qui n’aimait pas les gosses.
- Heuu.. est-ce que je peux vous poser une question ? continua le gosse en le suivant.
- J’ai pas d’argent, avança Rodney.
- Mais nooon... en fait je cherche mon ami Bargid ! s’écria le môme.
- Je m'en tamponne l'oreille avec une babouche ! grogna le canadien.
- Ben, vous l'avez peut-être vu passer, c'est un géant avec une barbe et un grand manteau, insista l’enfant.
- Non je l'ai pas vu ! Fiche-moi la paix ! s’exclama Rodney, à bout…il aurait voulu passer ses vacances sur Atlantis, finalement.
- Mais vous sentez vraiment bizarre !
- Dis donc, le mioche, tu commences à m'agacer !
- Je ne suis pas un mioche ! Je suis Gary Topper ! s’écria Gary.
- Et alors ?
- Je suis en troisième année à l'école de sorcellerie et je peux vous pétrifier ! ajouta l’adolescent en brandissant une baguette.
- Avec cette baguette ? rit McKay.
- Oui ! Et mon professeur dit que... hey ! hey !! se plaignit Gary en essayant de reprendre la baguette que Rodney lui avait dérobé.
- Voilà ce que j’en fait de ta brindille, expliqua McKay en cassant la baguette en deux.
- Nooon ! Ma baguette heuu ! pleurnicha l’enfant.
- Tiens, tu pourras faire du feu avec les miettes, ricana Rodney en lui balançant les restes.
- Mais heuu !!! Ma baguette !!! Je vais être viré de l'école ! sanglota Gary.
- Hahaha ! faut pas me faire chier moi ! rajouta le scientifique en s’éloignant.

Plus loin, John tenait compagnie à Une Elizabeth fortement attirée par des bijoux souvenirs de cette merveilleuse planète où il faisait un climat tropical. Une femme s’approcha de lui en souriant, elle était légèrement vêtue. Sheppard fut mal à l’aise et dit à Elizabeth :
- Tiens, tiens, qu’est-ce qu’elle nous veut celle là.
Mais Weir était trop absorbée par les merveilles de l’étalage. La femme sourit à John et l’aborda d’une voix suave :
- J'ai fait un bon feu !
- Ah ouais ? un bon feu ? Vous préparez un genre de barbecue ?? demanda Sheppard.
- Tu ne veux pas venir te réchauffer ? continua la femme, Près de mon feu....
- Oh mais... qu'est-ce que c'est que ces propositions là ?? s’indigna Sheppard en regardant la femme s’éloigner. Il se pencha vers Liz :
- On peut même plus se balader tranquille !
Il prit Elizabeth par la main et l’entraîna à sa suite. Ils marchèrent plusieurs minutes, voulant rejoindre l’auberge, mais durent bien reconnaître qu’ils étaient perdus.
- Bon, alors comment on retourne à l'entrée maintenant ?
- Oh ce collier est tellement beau ! s’exclama Elizabeth.
- Oui c’est pas vraiment à vous que je posais la question ! J'ai l'impression qu'on est perdu dans le quartier la plus nase de la ville ! Et ben, tenez, regardez la tête de ce type ! On dirait Zelenka !
- 2.21 Gigowatts s’exclama le pauvre gars en blouse blanche.
- Quoi ? demandèrent en cœur Liz et John.
- 2.21 Gigowatts !!! cria le charlatan.
- Mais qu’est-ce qu’il dit ? s’insurgea Weir, perplexe.
- Qu'est-ce ce que c'est que ces vêtements bizarres ? demanda John, en regardant le vieil homme aux cheveux blancs.
- Mais enfin, c'est quoi un Gigowatts ?? demanda un jeune dénommé Marty qui était près du scientifique fou.
- C’est bien ce que je me demande aussi, approuva John.
- Je devais être complètement dans les nuages....dit le savant fou en s’éloignant avec Marty.
- Venez Elizabeth, on s’arrache on doit être dans le quartier des fous ! Pourtant la brochure athosienne disait que c’était un village de rêve !
- J’ai faim, réfuta Liz.
- Si on s’attarde ici, on sera pas affamés mais débiles !

Quelques minutes plus tard, ils retrouvèrent McKay près de la fontaine. Ce dernier se précipita vers eux :
- Vous voilà, vous deux!
- Ca alors, je ne m'attendais pas à vous trouver à l'heure ! sourit Elizabeth.
- Cette ville est pourrie, se plaignit Rodney.
- Vous l’avez dit ! Une vraie misère ! l’approuva Liz.
- Les gens sont malpolis, ou alors à moitié fous, ça sent mauvais et c'est moche ! s’exclama McKay.
- Ca pourrait être la cité des scientifiques ! se moqua Sheppard.
- Allez mourir ! répliqua McKay, touché au vif.
- Les commerçants sont des escrocs ! se plaignit Weir.
- Quand je vous le disais ! réfuta le canadien.
- Bon sortons de ce village et retrouvons notre plage paradisiaque !

Ils arrivèrent sur la plage paradisiaque, après deux heures de marche à travers des champs et une colline donc par un chemin différent de celui qu’il avait emprunté pour venir. Car la forêt tropicale était loin de l’autre côté.. Il y avait un petite cabane en plein milieu du sable. Il s’arrêtèrent pour l’observer :
- Je me demande à quoi sert cette cabane...
- Et qui pourrait être assez con pour construire une maison ici, compléta John.
- Holà, voyageurs ! les salua un vieillard.
- Bonsoir, noble vieillard ! dit simplement Elizabeth.
- Que venez-vous faire sur le territoire du vieux Gildas ? demanda le vieux.
- Heu... je... je sais pas, c'est qui ? répondit McKay.
- Il est en face de vous en ce moment même ! rit l’homme.
- mais alors, c'est vous ? sourit Weir.
- Cette jeune femme est très habile ! se moqua le vieil homme.
- Nous pensions que cette cabane était abandonnée...réfuta Rodney.
- Ha... mais non, mais non... c'est la maison du vieux Gildas !
- Je suppose que vous n’allez pas nous offrir l’hospitalité ? dit John.
- C'est vrai ! je suis un vieil ermite, et je ne cherche pas la compagnie des humains.
- Bon ben c’est pas grave, on montera notre campement près du Jumper ! dit simplement Elizabeth avant de continuer sa route.

Plus tard, ils montèrent leur bivouac à la belle étoile près du Jumper. L’intérieur du Jumper était trop petit pour qu’ils y dormissent à trois et puis de toute façon, tout le monde voulait profiter de cette belle nuit de vacances.

- Bon, et bien je vais m'installer sur ces serviettes, dit Rodney, en s’asseyant sur des serviettes de plage..
- Moi je vais retirer mes rangers, annonça Sheppard.
- Vous ne sentez pas quelque chose ? demanda Rodney.
- Oui votre crème ! dit John.
- Non c’est autre chose ! Ca pue ! s’exclama Elizabeth.
- Mais non, c'est mes pieds ! finit par céder John, agacé.
- Mais c’est dégueulasse, lâcha McKay.
- Dans l’armée, c'est normal.
- Raison de plus pour aimer l’armée ! s’écria Rodney avant de se prendre une tape de John.
- Oh non, j'ai oublié ma couverture chauffante ! annonça Liz.
-Dommage ! la nargua McKay.
- Vous allez avoir froid avec cette petite jupe, remarqua avidement John.
- Je ne peux pas dormir dans ces conditions ! se plaignit Weir.
- Voilà ce que c'est que d'avoir la tête vide ! ricana McKay.
-: Je suis sûre que je vais mourir de froid! Sanglota Liz.
- Mais non, vous pouvez partager ma couverture si vous voulez, proposa John.
- C’est vrai ?
- Evidemment que c'est vrai. !
- Oh, vous êtes vraiment trop chou ! s’exclama Liz en se jetant sur John pour le couvrir de baiser.
- Et voilà...Les histoires de cul qui commencent ! soupira Rodney.
- Mais non, qu'est-ce que vous allez imaginer...sourit John.
- Bonne nuit ! acheva Elizabeth en se blottissant contre le militaire.
- Bonne nuit ! répondit Sheppard, tout heureux.
- Y'a une chose froide dans ma culotte ! s’écria tout à coup Weir.
- Euh... c'est ma main, avoua John.
- Vous feriez mieux de la retirer avant de prendre la mienne dans la figure !
- J'avais froid et je me suis dit… se défendit John.
- Enlevez votre main.
- Elle est nue sous sa chemise la petite cochonne, chuchota le Colonel.
- Qu’est-ce que vous avez dit ? demanda Elizabeth.
- "J'irai bien à l'église pour jouer du trombone".
- N’importe quoi ! j’ai sommeil ! cria Rodney.
- Hum... c'est pas facile de dormir a côté d'une allumeuse, soupira John.
- Qu’est-ce que vous dites, demanda Weir.
- J'ai dit "Faudra que je dise à Boromir de ramener ma décolleuse".
- On s'en fout ! hurla McKay.

Le calme revint enfin et ils purent finir leur nuit paisiblement avant de rentrer le lendemain sur Atlantis pour de nouvelles aventures.
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