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 Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi)

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MessageSujet: Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi)   Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi) EmptyVen 4 Aoû 2006 - 11:22

Titre : A chaque Instant
Auteur : Katianna Ayialena
Genre : Romance, drame, songfic
Statut : site de plus je pense a toi
Saison et Spoilers : Hors saison
Note de l'auteur : Hum... Que dire? je ne sais pas vraiment, c'est la suite de plus je pense a toi qu'il aut avoir lu pour comprendre!!!
Dédicace : a tous ceux de d'habitude et plus particulièrement Julianna que je remercie pour son aide Isis que je suis contente d'avoir rencontrer!

Bonne lecture

********************************************************

Notice me,take my hand
Why are we, strangers when
Our love is strong
Why carry on without me and...

***********************************************************


Depuis combien de temps était-elle là? Elle n’aurait su le dire… Enfin si, car elle avait cette chose en elle, qui pouvait lui indiquer. Chose était-il vraiment le terme exact ? Sûrement pas.

Des images, lui revenaient, comme des souvenirs lointains. L’image d’un homme qu’elle aimait par dessus tout, l’image d’une petite fille qu’elle n’aimait pas moins. Cette alliance à son doigt, qui lui rappelait sa famille, sa vie d’avant… Sa vie qu’elle voulait retrouver.

Mais cela faisait des moins qu’elle était là. Pas un an… Non, ça elle le savait. Six, sept huit mois ? Elle ne savait pas vraiment… Elle n’était pas vraiment mal traîtée ici. Mais elle savait qu’ « ils » ne pouvaient pas la maltraîter, car ils avaient besoin de la maintenir en vie. Sans elle, tous leurs projets tombaient à l’eau… Elle n’était pas la seule femme à être enfermée ici. Mais elle avait sa cellule à elle. Elle avait souvent la visite d’un homme, un homme de ce peuple, pas celui de 677. Non, eux ils étaient leurs alliés… C’était des Oxans qu’elle était prisonnière…

Elle ne savait pas où, elle ne savait pas depuis combien de temps… Elle n’avait jamais essayé de s’enfuir, jamais. Pourtant… Ce n’était pas l’envie qui lui en manquait. Mais il y avait des gardes… Et elle avait besoin d’un plan.

Sa famille lui manquait. Megan, John… Elle n’était pas grand chose sans eux…
C’était sa vie d’avant, sa vie qu’elle voulait retrouver. Retrouver Atlantis, retrouver son mari, sa fille… Retrouver les siens, retrouver sa vie.
Elle ne savait pas depuis combien de temps elle était là, et pour combien de temps encore…

Elle se souvint, de cette mission. De pourquoi elle était là, de cette mission qui avait changé sa vie… Qui lui avait fait perdre sa vie…

Flash Back


La Porte se referma derrière Elizabeth et l’équipe de John. Ils venaient d’arriver sur M4G 677. Ils avaient déjà eu un premier contact avec ce peuple. Elizabeth était là, pour écrire et signer un traîté d’alliance avec les habitants de cette planète, nommés les Menarians. Ils avaient une technologie plus avancée que ceux des Atlantes. Enfin, bien sûr, les habitants d’Atlantis possédaient la technologie des Anciens. Mais il n’était que la moitié à pouvoir la contrôler, alors avoir des alliés qui avaient un niveau plus élevés que le leurs les aiderait sûrement.

Ils furent accueillis par un homme, qui devait être le chef du peuple Menarian. Elizabeth se souvenait que John lui avait dit qu’il s’agissait du Chancelier Edian Morin.

–(Edian, s’approchant d’eux) Docteur Sheppard, bienvenue sur la planète Menaria. Nous sommes ravis de vous recevoir, vous et vos compagnons pour signer cette alliance.
-(Elizabeth) : Nous sommes honorés que votre peuple accepte de partager avec nous ses connaissances et sa cultures Chancelier.
-(Edian) : Cela est tout à fait juste Docteur, nous avons une volonté commune de détruire les Wraiths, nous devons savoir partager certaines choses pour cela.

Elizabeth hocha la tête convaincue par le discours du Chancelier. Elle entendit John soupirer discrètement, elle sourit. Elle savait parfaitement que son mari n’était pas friant de tous ces discours de diplomate, et elle le comprenait parfaitement.

-(Edian) : Bien, je souhaiterai m’entretenir avec vous et le Colonel Sheppard pour les termes définitifs de notre accord. Les autres membres de votre équipe resterons avec Maliara et Alekian, comme la première fois.
-(Rodney) : Je pensais que l’on pourrait visiter votre ville non ?
-(Edian) : Nous y avons également pensé docteur McKay. Maliara et Alekian vous expliquerons toutes les subtilités de notre archtecture, de notre mode de vie et de notre culture.
-(Elizabeth) : Merci bien Chancelier.
-(Edian) : Mais je vous en prie Docteur. Nous devrions faire vite, nous avons organisé un abnquet en votre honneur ce soir.
-(Elizabeth) : C’est un grand honneur Chancelier.
-(Edian) : Ce dîner sera le moyen d’annoncer à tout notre peuple l’alliance avec les Atlantes.

Elizabeth et John se regardèrent. Lorsque les peuples d’autres planètes les appelaient les Atlantes, cela leurs faisaient toujours bizarre. Mai sil était vrai que depuis sept ans qu’ils vivaient sur Atlantis, ils ne voyianet pas leurs vies autrement.

-(Edian) : Bien, Colonel Docteur, veuillez me suivre.
-(Elizabeth) : Bien entendu. (elle se retourna vers Ronon, Rodney et Teyla) On se retrouve après la négociation.
-(Rodney) : D’accord.
-(Teyla) : Bonne chance à vous.
-(John) : Je crois qu’il va nous en falloir.
-(Elizabeth) : (souriant) – Si tu commences à te plaindre maintena,t ça te semblera encor eplus long !
-(John) : Okay, j’ai comrpis je me tais !

Elizabeth lui sourit. Puis, les deux dirigeants d’Atlantis salèrent les trois autres membres de leur équipe, et suivirent le Chancelier Morin…


C’était le soir même. Les négociations s’étaient achevées un peu plus tôt dans la soirée, ils avaient trouvés très vites des accords communs et qui allaient aux deux peuples. Bien sûr, les Atlantes partageraient avec eux leurs découvertes, et les aideraient en cas d’attaque des Wraiths, et vice-versa. Mais il nétait pas questions qu’ils luers donne la technologie des Anciens.

Ils étaient tous réunis dans une grande salle. Il y avait les plus importants membres du Conseil Ménarain. Toute l’équipe d’Atlantis était à la table du Chancelier.
Alors que tout le monde s’était assis, le Chancelier Morin demanda le silence, qui lui fut accordé presque automatiquement.

-(Edian) : Bievenue à tous ! Je vous ai tous réunis ici ce soir, vous membres du Conseil Melarian, pour vous informer d’une nouvelle alliance. En effet, dans l’après midi, nous avons signé une alliance avec le peuple Atlante. Nous avons parmi nous ce soir, les cinq membres les plus important de ce peuple ! Alors je vous prierai de faire un chaleureux acceuil à nos nouveaux alliés : Le Docteur Elizabeth Sheppard, qui dirige la Cité d’Atlantis, et ainsi qu eles quatre membres de leur équipe d’exploration, le Colonel John Sheppard, le Docteur Rodney McKay, et Ronon et Teyla Dex.

Tous les membres de l’assemblée applaudirent les cinq Atlantes. Puis, la soirée continua, bercée par les discussions diverses sur leur monde respectif. Elizabeth et les autres apprirent tout de l’histoire du peuple Menarian. Ils leurs racontèrent un peu la Terre, mais dans les accords qu’ils signaient, ils ne s’attardaient jamais sur leur planète d’origine. Bien sûr, ils avaient ocnifance en leurs nouveaux alliés. Mais on ne savait jamais, les Menarians ne pouvaient pas forcément être au courrant de la présence d’espoins dans leurs rangs.

Vers le milieu de la soirée, le Chancelier aborda un point sensible de l’histoire de leur planète. Ils parla à Elizabeth et osn équipe d’une organisation qui était contre le régime en place. LA planète Menaria était divisée en plusieurs nations, comme l’étaient la Terre. Et la naiton que dirigée le Chancelier Morin, se nommait Calandris. Calandris appartenait un un groupe de Nations qui formaient une union nmmée ‘’L’union des Etats du Nord’’. Et cette organisation terroriste, connue sous le nom de Oxana, voulaient que Calandris se détache de cette Union, pour devenir indpendante.
Mais malheureusement, leurs activités illégales ne s’arrêtaient pas là. Ils pratiquaient aussi des expériences illicites, pour essayer de créer des humains plus développés. Cela, ils le faisaient pour la lutte contre les Wriahts, mais contre l’avis du peuple Menarian.

John regarda Elizabeth. Elle avait pensé à la même chose que lui. Il ne fallait surtout pas que le peuple Menarian apprenne l’existance de l’enzyme wriath.

Alors, ils ne leurs parleraient pas de ce détails.

Après leurs avoir parlé des Oxans, les Menarians reprisent le récit de leur histoire. La discussion dura tard dans la nuit. A un moment, Elizabeth se sentit très fatigué. Elle s’excusa au prés du Chancelier, qui comprit. John s’éclipsa avec Elizabeth. Lui aussi se sentait fatigué, étrangement d’ailleurs.

Maliara les accompagna à la chambre qu’on leurs aait désigné.
Elle laissa John et Elizabeth se coucher. Les deux dirigeants d’Atlantis se couchèrent, sans se dire mots, et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre…

Fin du Flash Back
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MessageSujet: Re: Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi)   Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi) EmptyVen 4 Aoû 2006 - 11:25

Et après s’être endormie dans els bras de John, elle s’était réveillée dans cette cellule, où elle était dés lors.
Elle se souvint de ses premiers mois. De ses premiers mois où elle était ici… Ils avaient procédé à de nombreux examens. Elle ne savait pas exactement ce qu’ils voulaient.

Tout ce qu’Elizabeth savait, c’est que les Oxans dirigeait une organisation qu’ils appelaient la LICAW. Tyron, l’homme qui s’occupait personnelement d’elle, lui avait dit la signification de ce cigle. La Ligue pour l’Indépendance de Calandris et l’Anéantissement des Wriahts. On voyait tout de suite leurs deux principaux objectifs dans le nom de leur groupe. Mais ils se faisaient plus couramment appelés Oxan. Oxana était une région au Sud de Calandrise, une toute petite parcelle de terre, avant la mer, ce qui leurs permettaientun replis stratégique marin.

Cette organisation rappelait à Elizabeth de nombreuses organisations terriennes. Elle savait comme elles fonctionnnaient, ce qui l’aidait un peu à savoir ce qui l’attendait.

Elle savait parce que lui avait dit le Chancelier Morin après son enlèvement, qu’elle était ici, parce que les Oxans pratiquaient des expériences sur des être humains. Et ils s’étaient dit qu’un être humain venant d’une autre galaxie, pouvait peut être présenter des caractéristiques morphologiques ou génétiques différentes. Malheureusement pour eux, cela n’avait pas été le cas. Mais ils avaient choisi Elizabeth parce que c’était une femme. Et que si, comme ils l’avaient prévu, elle ne présentait pas de caractéristiques différentes des leurs, elle servirait toujours pour la phase 2 de leur plan.

Elle se demandait souvent si John croyait encore qu’elle était en vie. S’il espérait toujours, s’il n’avait pas perdu espoir de la voir revenir. Elle priait pour cela, car elle ne voulait pas penser que son mari puisse l’oublier. Il restait toujours Megg. Elizabeth savait que John s’occuperait de leur fille, du mieux qu’il pourrait, elle ne s’inquiétait pas pour ça. Mais sa fille lui manquait. Elle avait toujours été très protectrice avec Megan. C’était son unique enfant… Son bébé lui manquait. C’était peut être ridicule à dire car Megg avait cinq ans, bientôt, et qu’elle avait grandi si vite qu’Elizabeth ne l’avait même pas réalisé avant sa disparition. Mais depuis tout ce temps elle avait eu le temps d’y penser.
Elle ne faisait rien de ses journées. Il y avait les examens journaliers que lui faisaient les Oxans, mais sinon, il y avait les repas avec les autres, mais c’était rare, deux as trois fois par semiane.

Et il y avait cette chose en elle, qu’il lui avait implantée… Elle se souvint, de la première fois, ou Tyron lui avait parlé de cela…

Slah Back

Elizabeth était dans sa cellule. Si son compte était exact, cela faisait un mois et demi qu’elle était là.
Elle était restée inconsciente une semaine. C’est ce que lui avait dit Tyron. Elle ne savait pas ce qu’ils avaient pu lui faire pendant ces sept jours. Elle savait qu’ils lui avaient implanté un émetteur, pour la localisée, même à une distance éloignée, au cas où elle s’échapperait. L’engin était sous la peau de son épaule droite. En passant les doigts dessus, elle pouvait le sentir.
Depuis quelques jours, elle se sentait étrange. Et elle avait peur. Elle avait un retard dans son cylce, cela ne pouvait signifier qu’une chose : elle était enceinte.
Et cela ne pouvait être que de John. A moins que… Non, cela était impossible.

C’est à cet instant que Tyron entra dans sa cellule, avec deux médecins. Elizabeth le savait, ils venaient la chercher pour ses examens journaliers.

-(Tyron) : Bonjour Mayra, comment vous sentez vous aujourd’hui ?

Mayra était le nom que les Oxans avaient donné à Elizabeth. Elle savait que c’était le cas pour tous les pensionnaires du centre. Qu’ils essayaient de leurs fair eoublier leur vie d’avant. Pour Elizabeth, c’était peine perdue, Megg et John resteraient toujours dans son cœur et dans ses souvenirs.

-(Elizabeth) : Je suppose que vous venez me faire des examens.
-(Tyron) : C’est exact ! Allez, venez, nous y allons.

Elizabeth ne se débattit pas. Elle l’avait fait au début, mais elle savait à présent que c’était peine perdue.

Ils l’emmenèrent dans la salle d’examen où elle avait l’habitude d’aller depuis les quarante cinq jours qu’elle était ici.
Comme tous les jours, ils procédèrent à tous les examens. Puis, dés qu’ils eurent les résultats, ils les communiquèrent à Tyron.
Ce dernier était resté avec Elizabeth. Chaque jour, il l’interrogeait sur les moyens que pourrait avoir son peuple de la retrouver. Mais Elizabeth n’était pas bête au point de tomber dans le piège.

Un médecin apporta les résultats des examens à Tyron. Celui-ci les lu, un sourire apparut sur son visage.

-(Elizabeth) : Que se passe-t-il ?
-(Tyron) : Ma chère Mayra, j’ai l’immense privilège de vous annoncer que vous êtes enceinte.

Elizabeth le regarda. Elle était bien enceinte, ses soupçons étaient désormais confirms. Si elle était enceinte, cela voulait dire que c’était de John, et qu’il y avait un espoir pour qu’elle arrive à les convaincre de la laisser repartir sur Atlantis.

-(Elizabeth) : Alors vous devez me laisser partir. Je suis enceinte de mon mari, et je dois rentrer parmi les miens pour élever mon en…
-(Tyron, la coupant) : Vous ne comprenez pas Mayra.
-(Elizabeth) : Que suis-je censée comprendre ?
(‘Tyron) : Cet enfant n’est pas celui de votre mari.
-(Elizabeth, dont le cœur s’arrêta de battre un instant) : Je vous demande pardon ?
-(Tyron) : Il s’agit d’une création de laboratoire. Cet enfant est le votre, mais c’est avec l’ADN d’un de nos habitants que nous l’avons créé.

Elizabeth resta bouche bée, ne pouvait en croire ses oreilles.


Fin du Flash Back


Depuis ces huit derniers mois, Elizabeth portait un enfant en elle.
Un enfant qui n’était pas celui de h’omme qu’elle aimait.
Un enfant qui n’était pas de John…
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MessageSujet: Re: Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi)   Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi) EmptyVen 4 Aoû 2006 - 11:26

************************************************************


Everytime I try to fly, I fall
Without my wings, I feel some small
I guess I need you baby

And everytime I see
Your face in my dreams, I see
Your face, it’s haunting me
I guess I need you baby

************************************************************

Elizabeth se réveilla en plein milieu de la nuit. La première chose qu’elle sentit, se fut le bébé qui bougeait en elle. Son fils, lui avaient-ils dit ? C’était cela son fils.

Elle avait encore rêvé de John et Megan. Encore un rêve où elle les retrouvait, encore un rêve qui c’était envolé.
A chaque fois s’était la même chose, ils avaient l’air si proches d’elle, si accessibles. Qu’elle n’avait qu’à tendre la main pour les toucher. Mais lorsqu’elle le faisait, son rêve disparaissait, et elle se réveillait sur la planète Oxanne.
A nouveau, elle sentit un sanglot s’emparer de son cœur…
Ils lui manquaient tellement. Jamais elle n’avait cru que ça aurait pu être aussi douloureux.
Et à nouveau, ce souvenir revint à sa mémoire… La première fois qu’il lui avait dit je t’aime…
Elle savait que pour John, leur amour était une chose bien plus vieille que le sien. Elle n’avait pas ressenti aussi tôt ce qu’il avait éprouvé pour elle.
Elle était même amoureuse d’une autre personne, avant que ses sentiments pourJohn ne lui sautent à la figure…


Flash Back

Elizabeth se trouvait dans le Mess de la Cité. Elle était en train de se servir un plateau. Puis, elle se dirigea vers les tables, pour chercher des yeux celui avait qui elle voulait déjeuner.
Depuis quelques temps, elle entretenait une relation avec le Major Lorne. Ils faisaient tout pour que personne ne l’apprenne. Surtout pas Rodney. Car tout le monde saviat que Rodney McKay était la plus grande comère de tout Atlantis.
Elle les vit tous à une table. John, Teyla, Ronon et Rodney. Elle ne voulait pas écouter leur conversation, pourtant, c’est ce qu’elle fit.

-(Rodney) : J’ai une grande nouvelle à vous annoncer.
-(John) : Voyons ce que la comère a à nous raconter ! Alors Rodney, quelles sont les nouvelels de la Cité aujourd’hui ? Qui couche avec qui, qui complote contre qui..
-(Rodney) : la ferme John.
-(John) : Bon allez y, on vous écoute !
-(Rodney) : Hier soir, j’ai surpris Elizabeth avec le Major Lorne devant la porte de ses quartiers, et je peux vous dire qu’ils étaient assez proches.

Le cœur d’Elizabeth s’arrêta.
John s’étouffa avec sa bouchée de frites.

-(John) : Quoi ?!?!?
-(Rodney) : Et bien John, quelle vive réaction de votre part !
-(John) : La ferme McKay. Vous êtes sûr de ce que vous dîtes ?
-(Rodney) : Aussi sûr que je m’appelle Rodney McKay.
-(John) : Il faut… Que j’y aille…

Elizabeth vit John prendre son plateau, et sortir du mess. Elle se demanda pourquoi il avait réagi si violemment. Elle entendit Radek dire à Rodney :

-(Zelenka) : J’espère pour vous que c’est un pseudonyme McKay parce que sinon il va y avoir de la bagarre.
-(Rodney) : Vous croyez ?

Elizabeth aperçut Lorne. Elle décida de l’éviter, elle ne voulait pas confirmer les soupçons de Rodney en allant déjeuner avec lui.
Elle posa son plateau et se dirigea vers son bureau.

Quand elle y arriva Joh, s’y trouvait déjà ;

-(John) : Elizabeth ! Comment allez vous aujourd’hui ?
-(Elizabeth, un peu nerveuse) : Bien, et vous John ?
-(John) : Bien merci, vous auriez du déjeuner avec nous, vous auriez assister un une bonne scéance de comérage à la Rodney McKay !!!

Elizabeth frissonna. Il jouait avec ses nerfs… Prouquoi faisait-il ça ?

-(Elizabeth) Ah oui, dommage. Que me vaut le plaisir de votre visite John ?
-(John) : Oh et bien rien de particulier. C’est juste que ça fait longtemps que nous n’avons pas parlé vous et moi.
-(Elizabeth) : C’est vrai.
-(John) : Aors, rien de nouveau dans votre vie ?
-(Elizabeth, essayant de cacher son malaise) : Non, pas que je sache…
-(John) : Oh je vois… Bon et bien je vais vous laisser alors.
-(Elizabeth) : Vous ne voulez pas rester ?
-(John) : Non, je ne voudrai spas vous déranger.

Puis, il partit. Laissant une Elizabeth qui ne comprenait vraiment rien à sa réaction.


C’était un peu plus tard, Elizabeth se promenait dans la cité, quand elle vit la comère.

-(Elizabeth) : Rodney, comment allez vous ?
-(Rodney, levant le syeux de son ordinateur) : Elizabeth, bien merci, et vous ?
-(Elizabeth) : Bien aussi.
-(Rodney) : Dîtes…

Il se leva et prit Elizabeth pour la traîner à l’écart des autres.

-(Rodney) : Vous avez vu le Colonel Sheppard cet après midi ?
-(Elizabeth) : Pourquoi ma demandez-vous ça ?
-(Rodney, hésitant) : Euh… Il a apprit, pour vous et le Major Lorne.
-(Elizabeth) : Oh. Et… Comment a-t-il su ?
-(Rodney) : Euh… Par moi.
-(Elizabeth) : Vous ne savez vraiment pas tenir votre langue McKay !
-(Rodney) : Désolé Elizabeth mais… Je ne pouvais pas garder ça pour moi… En tout cas… Quand vous croiserez John… Allez-y en douceur ave clui, le pauvre est tout secoué par la nouvelle.
-(Elizabeth) : Et en quoi ma vie amoureuse regarde le Colonel Sheppard ?
-(Rodney, hésitant) : Euh… Ecoutez, s’il apprend que je vous ai dit ça, je vai sme faire tuer mais… Il est amoureux de vous.

Elizabeth regarda Rodney. Totalement surprise par l’annonce de Rodney. Johnn était amoureux d’elle ? Quand elle y réfléchissait, il était vrai qu’elle, de son côté, s’était déjà posé la question…. Mais jamais elle n’aurai imaginé que cela puisse être réciproque.

-(Elizabeth) : Je dois y aller Rodney.
-(Rodney) : Ne lui dîtes rien je vous en prie…
-(Elizabeth) : Je… D’accord.

Puis, elle partit en direction des quartiers de John. Elle l’y trouva.

-(John) : Elizabeth, que me vaut le paisir de votre visite ?
-(Elizabeth) : Je.. Repensais à la discussion que nous avons eu tout à l’heure… Je vous ai menti. Il y a bien quelque chose de nouveau dans ma vie (c’est spécial K mdr)
-(John) : Ah oui, en rapport avec le Major Lorne ?
-(Elizabeth) : Ecoutez John, je ne vois pas en quoi ma relation avec le Major Lorne vous regarde.
-(John) : En rien Elizabeth, vous avez tout à fait raison c’est juste que…
-(Elizabeth) : Que quoi ?
-(John) : Rien, laissez tomber.
-(Elizabeth) : Dîtes moi John.
-(John) : C’est juste que… Ca ne me plaît pas cette histoire..
-(Elizabet) : Et de quel droit jugez vous ma vie amoureuse ? Sans vouloir vous vexer John, je pense que vous ne devirez pas vous venter de ce côté là.
-(John) : De quoi vous parlez ?
-(Elizabeth) : Je ne suis pas aveugle John, il y a eu Chaya, et cette fille dans la Tour de M3S403 (me rappelle plus lenom de la planète).
-(John) : Oh je vois !
-(Elizabeth) : Je peux avoir une relation avec qui je l’entends !
-(John, agacé) : Allez y, faîtes ce que vous voulez, ce n’est pas ma vie !
-(Elizabeth) : Exactement !
-(John) : C’est juste que je…

Il s’interrompit. Non il ne pouvai tpa slui dire ça… Pourtant, il savait que s’il voulait la récupérer, c’était peut être la seule solution…

-(Elizabeth) : Vous quoi ?
-(John) : Je… (Il ne pouvait plus reculer) Je… Vous aime Elizabeth.

Elizabeth réalisa alors une chose. Elle ne pouvait pas ne pas prendre en compte ce que John venait d elui dire. Et quelque part… Elle aimait beaucoup Lorne mais John… Leur relation avait toujours été privilégiée.

-(Elizabeth) : John, je…
-(John) : Ne dîtes rien, je suis désolé d’avoir dit ça.
-(Elizabeth) : Ne le soyez pas je.. Moi aussi.

John la regarda, étonné.

-(John) : Pardon ?
-(Elizabeth) : Oui moi aussi je… Vous aime.
-(John) : Ah… c’est… Et Lorne ?
-(Elizabeth) : Je… Pense que vous êtes plus important que lui…

John la regarda et lui sourit…

Fin du Flash Back


Et c’était là que tout a commencé. Que leur bonheur avait commencé, sept mois plus tard ils se mariaient, et un an plus tard, Megan naissait.
Et maintenant, tout cela lui semble loin… Elle ne savait pas si elle reverrait sa famille un jour… Elle l’espérait à chaque instant….
Mais pour le moment, elle essayait de trouver un plan pour s’échapper. Elle savait qu’elle n’échapperait pas aux Oxans, tant qu’elle aurait cette puce sous la peau. Elle devait essayer de l’enlevait… Elle la sentait elle était juste sur sa peau.
Mais que devait-elle faire ? Elle ne pouvait pas courir. L’enfant qu’elle portait en elle naîtrait bientôt. Elle pouvait accoucher à tout moment…
Elle pensa à John. Que pouvait-il faire ? Être en mission ? Charrier Rodney ? Elle ne savait pas. Elle ne savait qu’une chose, c’est que John s’occuperait bien de leur fille. Elle avait confiance en lui….
Elle se demanda alors, si elle revenait un jour sur Atlantis, comment réagirait-il en vue du fils de Liz ? De ce fils qu’elle n’avait pas voulu, et qui n’était pas le sien… Mais pourtant, s’était étrange. Elle ne faisait rien pour nuire à cet enfant. Elle aurait pu provoquer une fausse couche dés les premiers mois, mais elle n’avait rien fait. Comme lui avait un jour dit Rodney : « Un jour Elizabeth, votre bon cœur bous perdras. » Et c’était peut être ce qui allait arriver. Mais elle ne pouvait pas faire de mal à cet enfant. Elle en était incapable… Et puis…En fin de compte, il avait grandi en elle, durant ces huit, ou neuf derniers mois. C’était son enfant…..
Pourtant, elle ne pouvait s’empêcher de se dire, que quand son fils naîtrait, ils lui prendraient, et qu’elle ne le reverrait sans doute jamaias. Elle avait essayé de ne pas s’attacher à lui…. Mais quand elle l’avait senti bouger dans son ventre, quand elle avait subi sa première échographie, qu’elle avait entendu les battements de son cœur, elle n’avait pu faire comme s’il n’avait jamais existé. Comme s’il n’avait jamais grandi en elle… elle ne le pouvait plus. Cet enfant était le sien. Sa chair, son sang… Malgré le fait qu’il ne soit pas l’enfant de John.

Et c’était peut être ça le problème. Ce n’était pas l’enfant de l’homme qu’elle aimait….
Comme réagirait John, si un jour, elle revenait sur Atlantis, avec cet enfant ? Elle savait qu’elle ne pourrait pa slui cacher, parce qu’un, elle ne pourrait pas lui mentir longtemps, et que deux, Carson ferait des analyses ADN, et qu’il saurait que John n’est pas le père de ce bébé.

Elizabeth soupira. Elle ne savait même pas si elle pourrait rentrer sur Atlantis… Alors ses questions n’avaient pas lieu d’être….
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MessageSujet: Re: Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi)   Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi) EmptyVen 4 Aoû 2006 - 11:27

********************************************

I make believe, that you are here
It’s the only way, I see clear
What have I done
You seen to moove on esay

************************************************************

Une violente lumière dans ses yeux. Elle les ferma vivement, et se mit une main sur le visage. C’est alors qu’elle entendit une voix. Sa voix. Celle de l’homme qui venait la voir depuis son premier jour ici.

-(Tyron) : Mayra ! Comment allez-vous ?

Elizabeth ne répondit pas. Elle ne pouvait pas, elle était encore à moitié endormie, et sonnée par le réveil violent auqeul elle avait eu le droit.

-(Tyron) : Je sais que le réveil est un peu brutal, pardonnez-nous !
-(Elizabeth, grommelant) : Ya ma de mal… Que se passe-t-il ?
-(Tyron) : Et bien vous savez très bien, vos examens journaliers.
-(Elizabeth) : Si tôt ?
-(Tyron) : Oui… Vous avez mal dormi ? C’est mauvais un manque de sommeil, pour vous et le bébé. (Se tournant vers un médecin) Il faudrait lui donner quelque chose, pour qu’elle dorme, ou notre projet risque fort de tomber à l’eau.
-(Médecin) : Vous savez très bien Monsieur que nous ne pouvons rien lui donner… Cela nuirait à l’enfant profondément.
-(Tyron) : Et le fait qu’elle ne dorme pas ne pourrait pas lui nuire ?
-(Médecin) : Moins que la prise de médicaments. Nous lui donnons déjà quelque chose pour la calmer, et l’implan que vous lui avait mis il y a 6 mois, interagirait aec les médicaments d’une façon que nous ne pourrions pas contrôler.

Elizabeth fit la grimace, elle se souvint de l’implan d’il y a six mois, voir plus.
Car il n’était pas tout à fait vrai qu’elle n’avait jamais essayer de nuire à l’enfant….

Flash Back


La faim lui tiraillait l’estomac, mais elle savait qu’elle devait le faire.
Depuis qu’ils lui avaient annoncé qu’elle était enceinte…
Cet enfant nétait même pas le sien. Bien sûr, l’ovule qu’il avait pris lui appartenait. Mais il n’était pas voulu, il n’était pas naturel, il n’était pas de John…
Elle ne pouvait accepter ce qu’il avait implanté en elle, cela ne pouvait pas durer… Il fallait qu’elle y mette fin… Cet enfant n’était pas le sien, elle n’était pour lui qu’un incubateur ! Voilà tout ce qu’elle était, un endroit le temps qu’il soit apte à vivre dans le monde extérieur… Elle n’était – et ne serait – jamais rien d’autres pour lui.
Et elle ne voulait pas. Elle ne voulait pas porter cet enfant à terme. Car il serait amené en laboratoire…
La faim lui tiraillait l’estomac, tout son être lui réclamait de la nourriture, mais elle ne mangerait pas, tant qu’ils ne lui auraient pas dit qu’il était mort.
Des bruits… Des pas, des voix dans le couloir…Devant sa porte !! Tyron, des hommes…Sans doute des médecins…Que voulaient-ils ? Ne pouvaient-ils pas la laisser en paix, après tout ce qu’ils lui avaient fait ?

La porte s’ouvrit. Elizabeth releva les yeux vers eux.
C’était Tyron, accompagné de trois gardes et d’un médecin.

-(Tyron) : Alors Mayra, que se passe-t-il ? (il désigna son assiette qu’elle n’avait pas touché) Vous ne mangez pas ce qu’on vous donne ? Vous savez, votre bébé à besoin de se nourrir.
-(Elizabeth, faible) : Ce n’est pas mon enfant ! Il n’est même pas humain !
-(Tyron) : Bien sûr que si, vous êtes la mère de cet enfant Mayra… Si vous lui faîtes du mal, nous allons devoir prendre des mesures contre cela. (se tournant vers les gardes) Emparez vous d’elle.

Deux des gardes se dirigèrent vers Elizabeth, pour la prendre chacun par un bras.

-(Elizabeth, se débattant) : Non, laissez-moi !!!
-(Tyron) : Ne vous débattez pas Mayra, ça ne sert à rien !
-(Elizabeth, que les deux gardes traîinaient dans le couloir) Lâchez moi !!!

Ils la mirent sur un brancard et l’attachèrent.

-(Tyron) : Amenez là en salle 5.
-(Elizabeth essayant de se libérer) : Mais lâchez moi !!! Qu’est-ce que vous allez me faire !!!!
-(Tyron, calmement, la regardant) : Ne vous inquiétez pas, tout ira bien.

Elizabeth sentit une chose dans son bras, l’un des médecin lui avait injecté quelque chose… elle se sentit partir.
Elle tourna de l’œil, et tomba dans l’inconscience.

********

La première chose qu’elle sentit en se révélant, fut une sensation étrange au niveau de son bras droit. Elle ouvrit les yeux, au début, elle voyait flou. Puis, elle revint à elle. Elle était dans une des salles de réveil du Centre Médical Oxan. Elle regarda autour d’elle, il y avait des médecins. Ils étaient occupés à autre chose. Ses yeux se posèrent alors sur son avant-bras droit. Elle avait un pansement. Elle voulut voir, mais alors qu’elle approchait à peine sa main, elle entendit :

-( ?) : Je serai vous Mayra, je ne ferai pas ça.

Elle tourna la tête vers la droite et vit Tyron et un médecin s’approcher d’elle.

-(Elizabeth) : Qu’est-ce que vous m’avez encore fait ?
-(Tyron) : Vous faisiez du mal à votre enfant, il fallait que l’on y remédie. Nous vons avons implanté une puce sous la peau. Si vous essayez de faire quoi que ce soit, nous pourrions à distance pour envoyer une décharge électrique.
-(Elizabeth, restant impassible) : Vous blesseriez l’enfant, et ça, je sais que vous ne pouvez pas vous le permettre.
-(Tyron) : Mais nous le savons Mayra. Heureusement pour nous, l’enfant que vous portez a été fabriqué par nos soins, il présente donc des caractéristiques très spéciales. Notamment celle de s’auto-protéger contre toute agressions venues de l’extérieur. Le choc électrique ne lui fera donc rien. Et nous avons mis votre cellule sous surveillance vidéo permanante.

Elizabeth baissa les yeux… Elle ne pouvait plus rien faire…

*********

Neran était devant les écrans de contrôle. On lui avait ordonné d’installer un système vidéo dans la cellule 32 celle de Mayra. Il ne l’avait jamais vu autrement qu’en vidéo. Cette femme avait essayer de faire du mal à l’enfant qu’elle portait.
Pourquoi faisaient-elles toutes ça ? Elles ne pouvaient pas comprendre, qu’en participant à ce programme elles aidaient pour l’avancée dans la recherche d’un moyens pour anéantir les Wriahts.
Neran soupira, il ne comprendrait décidément jamais les femmes. Il regarda l’écran de contrôle de Mayra. Elle fut raccompagnée dans sa cellule par Tyron. Puis, la porte se referma.
Elle attendit quelques secondes et s’effondra littéralement contre un mur.
Elle pleurait….

Fin du Flash Back

-(Tyron) : Bien, alors nous verrons avec le temps. Bien, nous allons faire les examens journaliers…

***********

Elizabeth était dans un lit. Ils étaient en train de lui faire une échographie. Elle pouvait entendre les battements du cœur du bébé, de son bébé… Elle ferma les yeux, son cœur se pinça…
Elle avait tout fait pour ne pas s’y attacher…Mais elle était sans doute – comme lui avait souvent fait remarquer John – trop sentimentale.
Et une nouvelle fois, elle pouvait le voir. Tout allait bien, c’est ce que lui avait dit Tyron. Quelque part, elle était rassurée, mais ne savait jamais vraiment comment réagir.
Il ne fallait pas qu’elle leurs montre qu’elle s’était attacher à son enfant. Parce que sinon.. Ca serait jouer leur jeu, et ça, elle ne voulait pas…
C’est alors que s’imposa à sa mémoire, un souvenir bien plus heureux… Une autre échographie, un autre enfant…Une petite fille…Avec de grandes boucles brunes, et des yeux verts, comme ceux de son père….

Flash Back


-( ?) : Allez, debout la marmotte, c’est le grand jour !!!

Elizabeth sursauta. Quoi ? Que se passait-il ?? Où était-elle ??
Elle ouvrit les yeux, mais fut éblouie par la lumière du soleil…. Elle mit une main sur ses yeux et se mit dos à la personne prés d’elle.

-( ?) : Allez Liz, c’est le grand jour, on a rendez-vous dans trente minutes avec le Doc, je t’ai laissé dormir ! Réveille-toi allez !!!

Liz baissa ses mains et soupira. Quel gamin ! Elle se tourna vers lui. Elle vit un John, tout sourire, prés d’elle dans le lit.

-(John, souriant) : Je savais que tu ne dormais plus !
-(Elizabeth) : C’était une raison pour me secouer comme un prunier ?
-(John, innocemment) : Hey ! C’est pas ma faute, t’as qu’à dormir la nuit !
-(Elizabeth, plus pour elle même) : Si tu me laissais dormir aussi…
-(John) : Quoi ?
-(Elizabeth) : Hein ? Non rien. Oui, tu as raison, il faut y aller.
-(John) : Ah, enfin !!

Il aida Elizabeth à se lever. Cette dière abordait déjà une petite rondeur à son ventre…

***********

Des battements de cœur, voilà ce qu’elle entendait. Ce qu’ils entendaient. Dans la chambre de l’infirmerie, il y avait John, Elizabeth et Carson. Elizabeth était allongée dans un lit, Carson était en train de lui faire une échographie.
Oui, car Elizabeth était enceinte depuis quatre mois et demis. Et ce que John avait appelé « Le grand jour » c’était car ils allaient apprendre le sexe du bébé.

-(Carson) : Alors, vous voulez savoir ?
-(John) : Oui… Enfin Elizabeth ?
-(Elizabeth) : Euh…
-(John, fronçant les sourcils) : Euh ???
-(Elizabeth) : Je ne sais pas… Je n’ai pas vraiment envie de savoir.
-(John) : Oh… Et bien si la mère a dit alors…la mère a dit.
-(Elizabeth) : Tu ne m’en veux pas ?
-(John) : Non, et puis le suspence de quatre mois c’est bien !!
-(Elizabeth) : Donc nous sommes d’accord.
-(Carson) : Bien !

Il referma le dossier. John et Elizabeth se regardèrent en souriant…

Fin du Flash Back


Et quelques mois plus tard, Megan était née. Et c’était un immense bonheur…

Megg et John… Les deux amours de sa vie…
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MessageSujet: Re: Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi)   Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi) EmptyVen 4 Aoû 2006 - 11:30

***************************************************************

everytime I try to fly a fall
without my wings, I feel some small
I guess I need you baby

And everytime I see,
You in my dreams, I see
You hauting me
I guess I need you baby

*************************************************************

Etait-ce elle, où elle entendait des pleurs? Des pleurs, oui c’était ça ! Ceux de Megg ? Megg !!! Elizabeth se leva… Mais non, elle était toujours dans sa cellule...Et ces pleurs qui continuaient. D’où venaient-ils ? C’est alors qu’elle identifia la source du bruit, dans le coin gauche de sa chambre, en face de son lit. Elle se leva. Approchant doucement…Qui était-ce ? Il y avait un berceau…C’est alors qu’elle vit l’enfant. Ce n’était pas Megg….C’était un petit garçon…
Son fils !
Elizabeth se pencha au dessus du berceau, il continuait à pleurer. Elle le prit dans ses bras, et elle se mit à le bercer doucement.

-(Elizabeth) : Chut mon ange…Chut….

Le bébé se calma petit à petit…Elizabeth le regarda. Il avait cessé de pleurer, et la regardait, de ses grands yeux bleus…Bleus comme ceux de la jeune femme. Elizabeth lui sourit et essuya ses larmes.

-(Elizabeth) : Là, ça va mieux.

L’enfant lui sourit. Décidément, il était vraiment bipolaire ! Elizabeth marcha à travers sa cellule, en le berçant.
C’est alors que la porte s’ouvrit. Une grande quantité de lumière dans l’obscurité de sa chambre.
Elle vit, après s’être habituée à la lumière, Tyron et deux médecins.

-(Tyron) : Bonsoir Mayra.
-(Elizabeth, serrant un peu plus son fils) : Que voulez-vous ?
-(Tyron) : Ne résistez pas Mayra, il faut nous donner l’enfant maintenant.
-(Elizabeth) : Non, vous ne me prendrez pas mon fils ! (Tyron fit un sivne de tête aux médecins, qui s’approchèrent d’Elizabeth et du bébé) Non, je ne vous laisserez pas le prendre.

L’enfant pleurait à pleins poumons. Les deux médecins prirent l’enfant des mains d’Elizabeth.

-(Elizabeth, alors qu’ils sortaient de la chambre, les larmes aux yeux) : Non !!! Rendez-moi mon bébé !!!
-(Tyron, calmement) : Calmez vous Mayra, vous savez que ce n’est pas votre enfant…

Puis, il sortit et la porte se referma…



Elizabeth se redressa soudain dans son lit. Elle se réveilla en sueur. Il faisait noir autour d’elle. Elle posa une main sur son ventre. Il était toujours là ! Encore un cauchemar.
Elle se passa une main sur le visage. Encore une fois, elle avait rêvé qu’ils venaient lui prendre…Elle savait que cette fois, c’était inévitable…

Cette fois elle ne pourrait rien faire pour les en empêcher….
Elle avait déjà fait ce type de cauchemars, cinq ans auparavant… Pour Megan…
Mais cette fois, ses ennemis avaient changé de visages…

Flash Back


Elizabeth se trouvait en salle de contrôle. Elle se dirigea vers Rodney, John sur les talons.

-(Elizabeth) : Rodney, que se passe-t-il ?
-(Rodney, inquiet) : Nous avons repérer trois vaisseaux ruces, ils viennent de sortir de l’hyperespace, ils sont déjà en orbite basse.
-(John) : Pourquoi on ne les a pas détectés avant ?
-(Rodney) : je ne sais pas, ils étaient comme camouflés…
-(Elizabeth) : Il faut occulter la Cité.
-(Rodney) : On a plus le temps, le seul moyen de nous sauver, c’est de partir…
-(John) : On ne peut pas activer le bou…

C’est alors qu’une explosion retentit non loin d’eux. Des cris retentirent. Une seconde explosion retentit alors.

-(Rodney) : Ill faut aller chercher nos enfants, et vite partir !
-(Elizabeth, qui commençait déjà à partir vers l’infirmerie) : Bien, composez l’adresse du site alpha. (Dans son oreillette) Ici le Docteur Sheppard, évacuation immédiate de la Cité !

Puis, Elizabeth se dirigea vers l’infirmerie en courrant. Elle avait le cœur au bord de l’explosion. Il fallait qu’elle sauve sa fille… Elle croisa Carson et Laura, qui avait Myriam et Jennyfer dans les bras.

-(Elizabeth) : Carson, où est ma fille ?
-(Carson) : Avec le Docteur Mayers, ils essaient de s’enfuir.

Elizabeth laissa à pine le temps à Carson de finir sa phrase qu’elle courrait déjà vers l’infirmerie. Il y avait de la foule, beaucoup de monde, la panique, des explosions…
Il fallait qu’elle saue sa fille…

-( ?) : Liz…Elizabeth, réveille-oi !

Elizabeth se redressa soudain dans son lit, en sueur. Elle regarda autour d’elle, ses quartiers, la nuit, sur Atlantis, le calme… John…Megg !
Elle se leva et se dirigea vers le berceau de sa fille. Elle était là, et dormait tranquillement, sous son pendule en lune et étoiles…Elle allait bien…Elizabeth commençait à retrouver une respiration normale. Elle sentit une main se poser sur son épaule. Elle se retourna et vit John derrière elle. Elle lui sourit, et se retourna vers leur fille. John passa ses bras autour de la taille de sa femme. Elizabeth s’appuya contre son torse et posa ses mains sur les siennes.

-(John, à son oreille) : Tu as encore fait un cauchemar, c’est ça ?
-(Elizabeth, chuchotant pour ne pas réveiller Megan) : Oui…J’ai eu si peur John…
-(John) : Tout va bien maintenant, tu vois, elle va bien (il déposa un baiser dans ses cheveux, et lui dit) on devrait aller dormir une longue journée nous attend demain.
-(Elizabeth) : Oui, tu as raison.

Ils se recouchèrent alors. Elizabeth s’allongea, elle sentit John dans son dos, qui passa ses bras autour de sa taille.

-(John) : Bonne nuit.

Elizabeth ne répondit pas, encore trop secouée par ses cauchemars.
Elle avait si peur de perdre sa fille, un si grand danger planait sur leurs têtes…Les wraiths pouvaient arriver à tout moment…

-(John, comme s’il avait lu dans ses pensées) : Ne t’inquiète pas Liz, tout ira bien.

Elizabeth sourit malgré elle. Il lisait à travers elle comme dans un livre ouvert. John resserra un peu plus son évreinte contre la jeune femme. C’est alors qu’Elizabeth dit une chose qu’elle n’avait dit que rarement :

-(Elizabeth) : Je t’aime.

Elle sentit John se raidir contre elle. Elle savait qu’il n’avait pas l’habitude d’entendre ça, ce n’était pas leur genre de se dire je t’aime à tout bout de champ.

-(John) : Moi aussi je t’aime.
-(Elizabeth) : Bonne nuit.
-(John) : Bonne nuit Lizzy.

Puis, elle essaya de trouver le sommeil dans les bras de son mari….

Fin du Flash Back


Et à présent, c’était pour son fils qu’elle s’inquiétait. Pour cet enfant auqeul elle n’avait pas voulut s’attacher, et qui était aujourd’hui la seule chose qui la raccrochait à la vie. Lui, et l’espoir de revoir un jour John et Et à présent, c’était pour son fils qu’elle s’inquiétait. Pour cet enfant auqeul elle n’avait pas voulut s’attacher, et qui était aujourd’hui la seule chose qui la raccrochait à la vie. Lui, et l’espoir de revoir un jour John et Megan.
Il bougea en elle, elle le sentait. Elle posa la main sur son ventre. Elle secoua la tête, les larmes commençait à couler. Elle avait tellement pleurer, jamais elle n’aurait cru que c’était possible…
Mais elle avait encore des larmes…Elle pleurait tout e qu’elle avait vécu, mais aussi tout ce qui allait venir.
Car une chose était sûre, elle ne supporterait pas la perte de son fils, si elle n’avait aucun espoir de retourner sur Atlantis…
Elle se rallongea, elle devait essayer de trouver le sommeil, elle savait que ses nuits blanches à répétition, ne faisaient pas du bien à son bébé….

Elizabeth ferma les yeux, essayat de trouver le sommeil sans penser à ses cauchemars….

***********

Elle était à une table. Une table dans sa cellule, il venait de lui installer. Avec un papier et un crayon, au cas où cela la prendrait d’écrire…Et c’est ce qu’elle avait fait…Elle avait écrit une lettre à John…Elle savait qu’elle ne lui parviendrait peut être jamais, mais elle voulait l’écrire, plus pour elle que pour lui…Elle était assise à cette table, une lampe au dessus de sa tête. Une lampe qui projetait une tache blanche sur le bureau gris, comme tout le reste de la pièce. Du gris du sol au plafond. Il y avait juste une photo qu’elle avait réussi à grader avec elle, une photo de John, Megg et elle… Lors d’un retour sur Terre… Ce retour sur Terre, où elle avait appris à sa famille qu’elle était marié, et qu’elle avait un epetite fille…Alors qu’ils l’avaient vu partir seule….

Flash Back


Elizabeth était dans le salon de sa maison prés de Washington. Elle était arrivée avec John et Megg la veille. Ces deux-là étaient d’ailleurs dans le jardin en train de jouer. Megg avait dix mois.
Elizabeth tournait en rond devant le téléphone…Comment annoncer à sa famille qu’après deux ans d’absence, elle revenait mariée et mère de famille ?
Elle se décida alors à les appeler. Elle inspira profondément, se prépara émotionnellement à la chose. Puis elle prit le combiné, et composa le numéro de ses parents.
Une, deux, trois sonneries…
Quelqu’un qui décroche.

-( ?) : Allô ?

C’était Tom. Tom était le petit frère de Liz, il avait 25 ans. Elle était l’aînée de quatre enfants. Il y avait elle, sa petite sœur Laureen de 32 ans, Tom et leur petite sœur Tessa, qui avait 22 ans. Tom vivait toujours chez leurs parents…Il n’avait jamais eu envie de s’investir dans la vie active…Ni dans les études d’ailleurs.

-(Elizabeth) : Tom, c’est Liz.
-(Tom) : Eliz’! Comment vas tu depuis le temps?
-(Elizabeth) : Très bien, et toi toujours chez papa et maman ?
-(Tom) : Hey, ne te moque pas ! Alors, que c’est il passé pendant ses deux ans ?
-(Elizabeth) : Mon travail, qui me prends beaucoup de temps.
-(Tom) : Mouais…Je vois…Qu’est-ce qui t(amène ?
-(Elizabeth) : Je voulais savoir s’il y aurait une possibilité de tous se retrouver dimanche.
-(Tom) : Oui, Laureen et Tessa descendent également…Tu sais, tu en a manqué des choses…Laureen est maman !
-(Elizabeth) : C’est vrai ? Hum…Moi aussi…
-(Tom) : Quoi ????
-(Elizabeth) : Oui, d’une petite fille de dix mois…Et…Hum…Je suis mariée aussi.
-(Tom) : Mariée ??? Et ona pas été invité ?
-(Elizabeth) : On la fait sur la base où l’on travaille tous deux…Et il n’y avait personne
-(Tom) : Papa et Maman ne vont pas apprécié…
-(Elizabeth) : Je me dout ebien Tom. Mais maintenant que j’ai ma vie, rien ne pourra me la faire quitter !
-(Tom) : Je vois…Je suis heureux pour toi…Alors à dimanche, midi et demi !
-(Elizabeth) : Oui à dimanche.

Puis elle raccrocha le téléphone, et rejoignit John et Megg.
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MessageSujet: Re: Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi)   Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi) EmptyVen 4 Aoû 2006 - 11:31

*********

La voiture s’engagea dans une allée de graviers blancs au bord d’une maison.

Dans cette maison, vivait la famille Weir. A cet instant, il y avait Tessa, Laureen, son mari Nick et sa petite fille Lily, Tom, et leurs parents, Catie et Jack Weir. Catie, Jack et Tom étaient tous les trois à la fenêtre.
Ils virent la voiture d’Elizabeth, se garer dans l’allée. Le moteur s’arrêta.

-(Catie) :L’heure de vérité…
-(Jack) : Mon Dieu, qui peut être cet homme qui nous a tellement changé notre Liz ?
-(Tom) : En plus…Elle arrête pas depuis qu’elle a quitté la maison !

Il virent un homme de son âge. Ce dernier ouvrit laporte d’Elizabeth.

-(Catie) : Il est galant.
-(Tom) : Mouais…

Puis, l’homme ouvrit la porte arrière, et prit un bébé dans ses bras. Une petite fille qui avait de longs cheveux noirs.

-(Catie, attendrie) : Elle est mignonne…
-(Jack) : Mouais…


Elizabeth aida John a sortir les affaires de Megg de la voiture. Elle sourit. Elle avait parfaitement vu ses parents et son frère derrière la fenêtre de la cuisine en train de les espionner. Ils avaient fait la même chose la première fois qu’elle avait ramener Simon.
John avait Megg dans les bras, elle portait son sac. La petite fille regardait son père en disant :

-(Megan) : Pa, pa pa !!!

Elle ne savait que dire « Papa » et « Mama ». Après tout, elle n’avait que dix mois… Le seul problème, c’est qu’elle désignait tout sur Mama et Papa, même les pots de fleurs.

-(Elizabeth) : Bon on y va, pas trop nerveux ?
-(John) : Ils ne peuvent pas être si terribles que ça !!
-(Elizabeth) : Non ils sont juste paranoïaques !
-(John) : Mais non, je suis sûre que non !
-(Elizabeth) : Tu verras, aller on y va !

John lui sourit, et ils se dirigèrent vers l’entrée de la maison. Elizabeth frappa à la porte. On vint lui ouvrir. Ce fut sa mère qui ouvrit la porte.

-(Catie) : Eliza !! Bievenue chez toi ma chérie, nous sommes heureux de te revoir ! Mais allez-y entrez ! Ne restez pas dehors !
-(Megan, tendant les bras vers sa grand mère) : Papa !
-(John, souriant) : Non ma chérie.
-(Megan) : Mama ?
-(Elizabeth) : Non plus mon cœur !
-(Megan) : Broooo

Catie sourit. Puis, elle laissa entrer John, Elizabeth et Megg.
Une fois la porte refermée, ils furent rejoints par Tom et Jack, qui salèrent Elizabeth aussi chaleureusement que Catie.
Puis, Elizabeth fit les présentations :

-(Elizabeth) : Papa, Maman, Tom, je vous présente mon mari, John Sheppard, et notre fille Megan.
-(John) : Ravi de faire votre connaissance.
-(Megan) : Papa !!!
-(Catie) : Ravie de vous rencontrer aussi. Je dois dire que la nouvelle de votre mariage nous a un peu surpris.
-(Elizabeth) : On se doute maman…

C’est alors que Tessa et Laureen arrivèrent.

-(Tessa) : On a entendu du bruit !
-(Elizabeth) : Salut !
-(Laureen, la prenant dans ses bras) : Salut grand sœur !
-(Elizabeth) : Salut Laury, j’ai appris que tu étais maman !
-(Laureen) : Et toi aussi !

Elizabeth prit Tessa dans ses bras :

-(Tessa) : Elle a déjà une marraine ?
-(Elizabeth) : Oui, désolée.
-(Tessa, souriant) : Tant pis, ça sera pour le deuxième ! (désignant John) Tu nous présentes ?
-(Elizabeth) : Oui bien sûr. Tessa, Laureen, je vous présnete John Sheppard, John mes deux petites sœurs, Tessa et Laureen.
-(John) : Ravi de vous connaître.
-(Tessa, un grand sourire) : Moi aussi !!!
-(Laureen, leva les yex au ciel, puis sourit à John) : Moi aussi.
-(Tessa, désignant Megan) : C’est ma deuxième nièce ?
-(Elizabeth) : Deuxième ?
-(Laureen) : Oui, j’ai une petite fille de huit mois, elle s’appelle Lily.
-(Elizabeth, souriant) : Mes félicitations !
-(Laureen) : Merci à toi aussi. Et comment s’appelle-t-elle ?
-(Elizabeth) : Megan.
-(Laureen) : Comme grand père ?
-(Elizabeth) : C’est ça…
-(Catie) : Quand tu lui annonceras, elle sera contente. Surprise, mais…Contente.

Elizabeth regarda sa mère. Elle devait avoir une petite discussion avec ses parents.

-(Elizabeth, se tournant vers John) : Il faudrait que tu poses les affaires de Megg quelque part (se retournant vers Tessa et Laureen) l’une de vous ne veut pas lui montrer où c’est ?
-(Tessa, toute sourire) : Si bien sûr ! (à John) Venez, je vais vous montrer.

John donna Megan à Elizabeth, puis, prit les affaires de leurs filles et suivit Tessa dans le couloir.

-(Megan) : Papa !
-(Laureen) : Elle parle ?
-(Elizabeth) : Elle ne sait dire que papa et mama.
-(Jack) : Quel âge a-t-elle ?
-(Elizabeth, regardant Megan) : Dix mois.
-(Laureen) : Elle est plus vieille que Lily. (fronçant un instant les sourcils) Sans vouloir être méchante avec toi Eliza, elle ressemble plus à ton mari…
-(Elizabeth) : Oui, je sais, on me l’a déjà dit !
-(Jack) : Où vous êtes vous rencontrés ?
-(Elizabeth) : Nous travaillons ensemble.
-(Catie) : Sur ce projet sur le quel tu n’as rien le droit de nous dire ?
-(Elizabeth) : C’est exact.
-(Megan) : Zlantiz?
-(Laureen) : Zlantiz? Ca veut dire quoi ?

Elizabeth regarda Mega. Venait-elle de prononcer Atlantis ? Non, c’était trop tôt…

-(Megan) : Azlantiz ! Papa, Mama Azlantiz !!!

Ca y ressemblait bien quand même…

-(Jack) : Que fait-il dans la vie ?
-(Elizabeth) : Il est pilote dans l’Air Force.
-(Catie) : Un militaire ? Toi qui il y a encore quuinze ans manifestait contre l’anti-militarisme ?
-(Elizabeth) : Nos points de vues divergent assez sur la manière de diriger le projet que nous menons…Mais ce n’est pas ça qui changera ce que je ressens pour lui.
-(Catie) : Tu asis ma chérie, il ne faut pas croire que nous t’en voulons ! Au contraire, nous sommes très heureux que tu sois heureuse ! Nous somme sjuste un peu surpris, comprends-nous ! Tu es partie il y a deux ans, tu venais de rompre avec Simon, et là, tu reviens mariée et Maman !
-(Elizabeth) : Je comprends parfaitement !

Tessa et John revinrent à ce moment là.

-(Megan, en voyant son père) : Papa, Azlantiz !!

John regarda Elizabeth en levant un sourcil interrogateur.
Elizabeth hocha la tête…

-(Jack, souriant devant le tableau qui s’offrait à eux) : Bon, si on passait à table !

Fin dh Flash Back

C’était un des nombreux souvenir qu’elle avait avec sa famille....
Elizabeth se repencha sur la feuille de papier qui était devant elle. Une feuille, encore blanche…Elle avait envie de la remplir…Elle ne savait pas où commencer…Et puis elle se dit que cette lettre était plus pour elle-même…Elle ferait comme si elle écrivait à John, mais cette lettre ne lui parviendrait sûrement jamais….

John,

Cela fait tant de mois, tant de semaines, tant de jours que je n’ai pas entendu ta voix, vu ton visage…Senti ta présence prés de moi…Ca me manque à chaque instant…Tu me manques, Megg me manque…Jamaias je n’avait cru que ça serait aussi douloureux, que mon cœur puisse autant souffrir….Ton visage ne me quitte jamais…Chaque nuit dans mes rêves tu es là…Jamais je n’ai perdu espoir de te revoir….Au début, j’attendais que tu viennes me sauver… Mais depuis neuf mois, vous avez du abandonner les recherches…As tu perdu espoir ? M’as tu oublié ? Crois-tu que je sois encore en vie ? Tout mon cœur, ton mon être et toute mon âme prient, mais qui sait… La vie n’est jamais vraiment ce que l’on attend…
Sache qu eje ne t’oublierai pas…Que je n’ai jamais perdu espoir de vous retrouver…Vous êtes dans on cœur à chaque instant….J’aimerai être là…. Megan va bientôt avoir cinq ans…Elle me manque tellement…Je suis sûre que tu t’occupes bien d’elle…Tu sais que je te fais confiance, tu es la seule personne à qui je confierai ma vie….Ma vie qui t’appartiendra toujours, comme mon cœur…
Beaucoup de fois, j’ai cru que je ne vous reverrai jamais…Mais je n’ai jamais perdu espoir…. Je t’aime, à chaque instant un peu plus, si cela est possible, ce dont je doute…

J’espère un jour pouvoir vous revoir, mais il s’est passé beaucoup de choses durant ces neuf mois… Je ne sais pas s’il y a des choses pour lesquelles je dois être pardonnée… Mais si oui, je te demande de me pardonner…Parce que je n’ai jamais rien fais pour nuire à notre amour, à notre famille, à notre vie….

Pardonne-moi si je dois l’être…

Je t’aime, à chaque instant…. Tout le temps…

A toi pour Toujours

Elizabeth
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MessageSujet: Re: Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi)   Achaque Instant (suite de Plus je pense à toi) EmptyVen 4 Aoû 2006 - 11:31

************************************************************

I may have it rain
Please, forgive me
My wakeness caused you pain
Andthis song’s my sorry..

At night I’ll come soon...

**********************************************************

Un signal d’alarme. C’était sans doute ça qu’elle entendait….Un bruit inaudible, un bruit assourdissant, qui semblait retentir partout dans la pièce….Elle ouvrit les yeux, une lumière rouge qui clignotait….Une lumière rouge aveuglante au desus d’elle…Que se passait-il ?
Elle se redressa, parfitement réveillée à présent…Elle pouvait entendre les hauts-parleurs du centre…

« Attaque Calandrane, Attaque Calandrane, évacuation immédiate »

Il n’en fallait pas plus à Elizabeth. Elle sortit de son lit, et ouvrit sa cellule. Il y avait un monde fou qui hurlait dans les couloirs, tous les pensionnaires du centre, les gardes qui essayaient de les maîtriser.
Etrangement, Elizabeth se sentait forte. C’était une chose qu’elle avait de spéciale avec cette grossesse…Elle se souvenait de ce que Tyron lui avait dit un jour :

« Tant que vous proterez cet enfant, vous serez plus forte. Votre fils est un être unique, il protège sa mère, pour se protéger avant tout… »

Elizabeth sortit dans le couloir, essayant de se repérer dans le centre…Elle savait qu’ils gardaient tout. Ce qu’elle avait sur elle quand elle est arrivée…

Elle regarda le numéro de secteur, et s’engagea dans les escaliers. Elle arriva devant une porte, il y avait un garde. Il n’y avait que lui qui la séparait de ce qu’elle voulait. Il fallait qu’elle improvise.

-(Garde) : Qu’est-ce que vous faîtes là ?
-(Elizabeth) : Tyron vous cherche, il dit qu’il a besoin d’un garde !

Le garde hésita, puis il partit. Elizabeth se dirigea vers la porte. Elle regarda autour d’elle. Il n’y avait personne. Elle ouvrit la porte. Des murs, remplis de casiers. Elle regarda alors son avant bras, juste à la base de sa main. Un numéro de séire…Elle cherchait le casier correspondant . Elle le trouva. Elle ouvrit alors le casier… elle sortit ce qu’il y avait à l’intérieur…

Son uniforme. Elle le regarda et sourit. Puis, elle se dit qu’elle n’avait pas le temps de faire preuve de nostalgie. Elle mit son uniforme par terre, et cherche autre chose…Elle l’avait trouvé, son accés pour Atlantis…

C’est alors qu’elle se souvint de la puce, présente sous son épaule… Elle savait qu’elle n’avait pas le choix. Elle regarda dans les autres casiers, elle cherchait quelque chose…C’est alors qu’elle le trouva.
Elle prit le tee-shirt rouge de son uniforme, et le mit entre ses dents. Puis, elle dénuda son épaule. Elle chercha l’émetteur du doigt…Elle le trouva…Elle insipra profondément…Après plusieurs secondes de douleurs insupportable, elle enleva quelque chose…Un petit objet en métal …. Elle le jeta par terre, et l’écrasa d’un pied. Elle composa la plaie, mais la blessure avait déjà commencé à disparaître…Elle remercia silencieusement son enfant. Puis, elle sortit de la remise.
Elle se dirigea dans le couloir, elle devait rejoindre la Porte des Etoiles…elle savait où elle se trouvait…Elle s’y dirigea. Comme elle s’y attendait, il y avait des gardes devant la Porte. Elle savait que cette fois, il allait falloir se battre. Déjà d’ordinaire, elle n’était pas forte, mais enceinte de huit mois et demis…
Elle prit son courage à deux mains. Elle arriva derrière les deux gardes qui ne l’avait pas vu. Elle prit le premier par l’épaule, et lui colla un gros coup de poing sur la tête, il tomba assomé. Elle prit son arme, et neutralisa le deuxième garde…Un jeu d’enfant….Elle y était…

« Autodestruction de la base dans 1 minute »

Ah non, il ne manquait plus que ça ! Elle se dirigea vers la Porte des Etoiles.
Dés qu’elle arriva devant elle, elle se figea. Jamais elle ne l’avait trouvé aussi majestueuse, elle qui était sa libération…Se fut les hauts parleurs de la bases qui la ramenèrent à la réalité.

« Autodestruction dans 45 secondes.

Elizabeth se dirigea alors vers le DHD. Elle entendit des coups à la porte…Des gardes essayaient de rentrer…Elle réfléchit un instant…C’est alors qu’elle sentit quelque chose de froid sous elle…Non, pas maintenant !!!
Elle était entrain d eperdre les eaux….

Elle paniqua..Non, il ne fallait pas qu’elle accouche, pas maintenant, pas si prés du but…Elle se retourna alors vers le DHD, et composa la séquance d’une planète inhabitée dont elle se souvenait…Il y avait une surveillance wraith sur cette planète, elle devrait faire vite…
Elle activa la porte. Celle-ci s’enchlancha, et une grande vague bleue apparut. Elizabeth se précipita vers le vortex, elle regarda une dernière fois derrière elle.

« Autodestruction de la base dans 10 secondes… »

Elle passa le vortex…

Elle se retrouva quelques secondes plus tard, sur une planèt eplein de forêt…
Un ciel bleu, un soleil magnifique…Elle savoura les rayons du soleil sur sa peau…Et une vive douleur lui déchira le ventre…Elle poussa un hurlement, et posa une main sur son ventre…Il fallait qu’elle rentre sur Atlantis….Un Dart survola alors la zone, dans le ciel bleu…
Elle devait se dépécher. Elle composa la séquance d’Atlantis. Puis, elle prit ce qu’elle avait trouvé dans son casier dans la remise, quelques minutes plus tôt…Elle composa le code d’identitification de 677 sur le GDO….

Elle attendit quelques secondes, et alors qu’elle se préparait à franchir le vortex, le Dart repassa. A bout de forces, et au bord de l’accouchement, elle passa le vortex, en direction d’Atlantis….


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Dans « Loin du froid de Décembre… »
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