Testament

Voilà c'est une fic que j'ai écrtie il y a quelques temps mais que je n'avais pas mis ici !!!
Pour votre information le coup du cancer me parait encore un peu bizarre mais c'est àvous de voir

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Testament

Auteur : Clélia

Résumé : Le titre est assez explicite

Genre : Comme on peut s’en douter Drame

Saison : Le plus tard possible

Disclaimer : Pas à moi, pas de sous, que pour m’amuser et amuser les autres (j’espère)

Note de l’auteur : C’est le premier que j’ose publier et j’avoue que j’ai un peu les boules alors si vous trouvez ça bien dites le et si vous trouvez ça nul, dites le aussi. La critique fait avancer (Y parait).

Note de l’auteur 2 : Je dédie cette fic à mon amie Léa qui fut ma première lectrice. Merci ma poule.

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Sam, Daniel et Teal’c se trouvaient dans la salle de briefing. Ils trépignaient, se demandant pourquoi le général Hammond les avaient convoqué, ils n’avaient pourta nt pas de missions avant 3 jours. Ils attendaient aussi le colonel O’neill qui était en retard comme d’habitude. Le général Hammond sortit de son bureau, le visage sombre.

H : Bonjour SG1, asseyez-vous.

Le général resta silencieux, la tête baissée, il cachait sa détresse. Il manipulait fébrilement un paquet de feuilles posées devant lui.

S : Mon général ! Vous allez bien ?
H(levant la tête) : J’ai bien peur que mon major. Commençons !
D : On attend pas Jack ?
H (les larmes aux yeux) : Ce matin, à 10h17, le colonel O’neill a été admis à l’hôpital militaire.

Les yeux de Sam, Teal’c et Daniel s’écarquillèrent.

T : Que s’est-il passé général ?
H : Le colonel avait un cancer généralisé qu’il nous a caché. La réponse de l’organisme aux trop nombreuses expériences pratiquaient sur lui au fil des années.
D(ne voulant y croire) : Vous…Vous en parlez…à l’imparfait.
H(baissant la tête) : Le colonel est décédé à 14h43 cet après-midi, d’un arrêt cardiaque.

La tête baissée, il pleurait en silence. Sam, la bouche ouverte comme un poisson sortit de l’eau, essayait de respirer. La terreur s’emparait d’elle. Daniel pleurait, la tête dans les mains. Teal’c, ne semblant pas y croire, se leva et regarda la porte des étoiles.

H(se calmant) : J’ai ici la lettre qu’il a laissé comme testament.

Il m’y une photocopie de la dite lettre devant chacun sans qu’aucun n’y prêta attention. Sam pleurait, enfin le peine sortait, silencieuse.

S(pensant) : Non, ce n’est pas possible…non…tu ne m’a pas quitté…dis moi que tu vas bien…que tu vas passer le porte en…en nous disant que…que tu vas bien…que ce n’est qu’une mauvaise blague…non…non…non.

H : Il est de mon devoir de vous la lire :

Chers amis,

C’est drôle de vous appeler comme ça, pour la première et la dernière fois j’ai le droit de dire ce que je pense sans que l’on me reprenne alors je ne vais pas m’en priver. Je vais vous évitez le »Si vous lisez cette lettre, c’est que je ne serais plus », je pense que vous vous en doutez. La première question que vous allez vous poser c’est pourquoi ? Pourquoi je ne vous ai rien dis ? D’abord parce que je ne voulais pas vous alarmer et puis vous alliez me conseiller de me soigner mais je voulais vivre et non survivre. Les dernières missions ont été plutôt dures mais j’ai tenu, vous avez bien vu. La seconde c’est depuis combien de temps je le sais ? Là je vous répondrais, un peu plus de 6 mois maintenant. C’est Janet qui me l’a révélé mais je lui ai demandé de se taire. Elle l’a fait. Mon général, ne lui reprochez rien, je vous en prie. Maintenant, j’ai des choses à dire à chacun d’entre vous.
D’abord Teal’c, vous avez été l’homme qui a le plus résisté à mon humour, vous êtes un dur ? Je ne peux plus essayer de vous faire rire maintenant, dommage ! Je sais que vous allez vous reprocher de ne rien avoir vu, ne vous reprocher rien, il n’y a pas de quoi. J’ai tout caché pour ne pas vous entrainer dans une spirale infernale. Ne vous reprochez rien, prenez soin de vous et de votre fils, c’est un bon garçon, il sera un grand guerrier, je vous le promet. J’aimerais encore vous demander quelque chose, prenez soin de Sam, elle aura besoin de vous, je vous la confie.

Sam hoqueta

Ensuite Daniel ou devrais-je dire Danny Boy, c’est comme ça que je te surnommé quand tu t’es élevé. Ca te va bien mon ami. J’ai eu si mal quand tu es mort et si je ne l’ai pas montré, j’ai été très heureux quand tu es revenu. Oh bon sang ! Quelle joie. Oh c’est vrai tu es un scientifique, bien emmerdant parfois mais au fond j’aime les emmerdeurs puisque j’en suis un. Me rebeller contre l’autorité, n’est ce pas ce que je fais de mieux ! Merci d’avoir été mon meilleur ami pendant toutes ces années. A toi aussi j’ai un service à te demander, toi aussi veille sur Sam à ma place, pour moi. Fais ça pour moi, s’il te plait.

Daniel hocha la tête, oui Jack, je te le promets.
Le général s’arrêta, la gorgez serrée, il continua, la suite était pour lui.

Mon général, tout d’abord merci ! Merci de m’avoir aidé et supporté pendant toutes ses années. Oh je sais ! Je ne suis un cas facile, toujours en retard, toujours grincheux et surtout insupportable. Vous m’avez couvert à de nombreuses reprises sans rien demander. Vous m’avez aidé à surmonter la mort de Charlie. En me donnant ce poste vous m’avez permis de surmonter le mort de mon fils et … vous m’avez permis d’aimer à nouveau, à la folie. Alors oui, merci ! Embrassez vos petites filles pour moi et dites leur que si elles ont besoin, elle siffle superJack. Je leur ai appris, il y a pas de problèmes !
Et pour finir Sam
Sam leva la tête, les yeux pleins de larmes, elle était prête à entendre les dernières volontés de l’homme qu’elle aimait
Toi non plus ne te reproche rien, même pas d’avoir attendu. Je t’en prie, fais ça pour moi ! Depuis que je t’ai vu, je n’ai pas pu détacher mon regard de toi. Jamais on ne m’avait fait si grande impression et il a fallu que j’attende tout ce temps pour le savoir. Passer toutes ses années à tes cotés fut un plaisir extrème, même tes théories auxquels je ne comprenait rien m’attiraient. Alors de là où je suis, si je te vois, continue à avoir des théories compliquées et surtout essaye de sourire même si je sais que ce n’est pas facile. Il est si beau ce sourire, il faut qu’il continue à éclairer cette base et mon cœur tant que je te verrais. Maintenant je te confie à Daniel et à Teal’c, sois heureuse autant que possible. Je t’attends mais pas trop tôt quand même. JE T’AIME !
Maintenant je vous laisse, je vais rejoindre mon fils. J’espère vous revoir mais pas avant au moins 50 ans. Merci d’avoir été la pour moi.


Jonhatan « Jack » O’neill

Sam avait fermé les yeux, il lui semblait l’entendre mais c’était une illusion, elle le savait. Elle devrait apprendre à vivre seule.

Elle ne vécu pas seule très longtemps, malgré les mots de son colonel. On le retrouva six mois plus tard dans ses quartiers, les plaques militaires de son colonel dans les mains et une balle dans la tête.

Fin

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Voilà je vous demande pas si vous êtes heureux, j’ai moi-même du mal à me retenir de pleurer même si c’est moi qui l’ai écrit. Voilà, une dernière chose si vous voulez le mettre sur un autre site il y a pas de problème mais dites le moi pour que je sois informer.